Et si on relançait la mode du brelot ?

Le brelot (ou brelau) est une coiffe bourguignonne d'inspiration espagnole portée autrefois dans la Bresse.



Alors, mesdames, n'avez-vous pas envie de faire sensation pour l'automne qui arrive ?

Cette photo en dit long sur l'évolution vestimentaire des femmes européenes ! 

Et à l'autre bout, les sabots, ô les sabots... sont de toute beauté !

Eh ben mon cochon... Y a des jours où chuis ben ben contente de n'etre ni espagnole ni bourguignonne, moi j'vous l'dis.


Anonyme

Mara-des-bois a écrit:

Eh ben mon cochon... Y a des jours où chuis ben ben contente de n'etre ni espagnole ni bourguignonne, moi j'vous l'dis.
Anonyme

Ouais... mais même en tenant compte de ton âge canonique ce serait difficile de te faire remonter jusqu'à là...

OmbreBlanche a écrit:

Biloulou a écrit:

Et à l'autre bout, les sabots, ô les sabots... sont de toute beauté !

Oui mais faits à la main en vrai bois d'arbre. Les nuits d'hiver quand il faisait froid et gris dehors, c'est comme cela que les paysans passaient leurs soirées au coin du feu : lui fabriquait ses sabots, pendant qu'elle brodait dentelles et broderies.
C'était le bon vieux temps.

Ouis... et parfois on mettait les sabots inachevés de côté pour tailler une pipe....

Biloulou a écrit:

Ouais... mais même en tenant compte de ton âge canonique ce serait difficile de te faire remonter jusqu'à là...

Je remonte meme à l'arbre si necessaire, môssieur Biloulou.
Ce n'est pas une question d'epoque mais de bon gout.


Mab -parler chiffon avec un homme... Faut vraiment que j'ai le social chevillé à l'ame...-

c'est comme cela que les paysans passaient leurs soirées au coin du feu : lui fabriquait ses sabots, pendant qu'elle brodait dentelles et broderies.




...et à quelle heure ils couchaient ?  

Mara-des-bois a écrit:

Je remonte meme à l'arbre si necessaire, môssieur Biloulou.
Ce n'est pas une question d'epoque mais de bon gout.
Mab -parler chiffon avec un homme... Faut vraiment que j'ai le social chevillé à l'ame...-

N'en fais rien, ne dis rien, laisse-moi respirer cette petite merveille...