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| D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! | |
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+5Shansaa andre Biloulou Ungern Sigismond 9 participants | |
Auteur | Message |
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Sigismond
Nombre de messages : 270 Age : 77 Localisation : Paris Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 7/9/2013, 17:40 | |
| Rappel du premier message :La psychanalyse pour les homophiles mais contre l'homophilie
"Et la lutte pour l'acceptation sociale de tel ou tel penchant – de nature sexuelle on non – est l'une nombreuses voies fréquemment choisies pour éviter la confrontation avec sa propre histoire."
"We're all dolls and lonely dolls." Carly Bryant (auteure-compositeure-interprète lesbienne)
Incluant l'homophilie dans les perversions dès 1916-17, Freud la considère comme "une déviance fatale" . Il maintiendra cette qualification toute son existence :
"… les inhibitions se font connaître sous la forme de troubles multiples de la vie sexuelle. Il existe alors des fixations de la libido à des états de phases antérieures, dont la tendance, indépendante du but sexuel normal, est qualifiée de perversion… par exemple l'homosexualité… "
Et il fait l'observation clinique suivante :
"… l'élimination de l'inversion génitale ou homosexualité, n'est jamais apparue à mon expérience comme facile. Bien plutôt j'ai trouvé qu'elle ne réussit que dans des circonstances particulièrement favorables, et que même alors le succès consistait essentiellement à pouvoir libérer, pour la personne confinée dans l'homosexualité, la voie jusqu'alors barrée vers l'autre sexe, donc à restaurer sa pleine fonction bisexuelle."
Il est évident que sa condamnation de la bisexualité autosexuelle ne pouvait pas lui permettre de lever le refoulement de l'autosexualité à l'oeuvre dans l'homophilie. Nous adoptons ce terme à la suite de celui d'homoérotisme usité par Ferenczi, Freud et Bergeret qui soulignent ainsi le côté pervers de la chose en refusant la qualification de sexualité à une pratique qui dénie l'existence de la différence des sexes. La seule exception, bien ambigüe, à cette prise de position, fut dans une lettre personnelle et dictée par le souci de condamner l'homophobie :
"… l'homosexualité… n'est ni un vice ni un avilissement et on ne saurait la qualifier de maladie ; nous la considérons comme une variation de la fonction sexuelle, provoquée par un certain arrêt du développement sexuel… C'est une grande injustice de persécuter l'homosexualité comme un crime – et c'est aussi une cruauté."
Puisqu'il est évident qu'un "arrêt du développement sexuel" est une pathologie de la libido par fixation au stade phallique, un tel discours est manifestement clivé, gravement contradictoire.
La médecine américaine a constaté que les circoncis sont plus fréquemment homophiles , , , , , , . La chose s'explique aisément si l'on songe que la circoncision est vécue comme une trahison parentale alors que l'homophilie, allons-nous montrer, est également le résultat d'une telle trahison, celle qui est ressentie dans la répression de l'autosexualité. Cette dernière n'est peut-être pas une sexualité au sens plein du terme, elle est néanmoins la pratique sexuelle normale de Robinson. La loi d'amour (Moïse) contre la loi du désir (Lacan)
Le pervers – le phénomène est bien connu des "psys" – veut faire de sa perversion la loi. Il y parvient souvent : exhibitionnisme, féminin notamment, voyeurisme, homophilie, sadisme sur les enfants (mutilations sexuelles notamment), etc. Il utilise pour s'imposer soit la religion (mutilations sexuelles) soit divers lobbys (homos, haute couture, show business, etc.), et le pouvoir de séduction de la culture, de la mode (haute couture), etc. C'est ainsi que, depuis des millénaires, le lobby homophile s'impose à des populations subjuguées, incapables de résister au puissant narcissisme à l'œuvre dans la perversion homophile. Tapageur et exhibitionniste, il montre bien que l'homophilie tire son succès d'effets de contagion d'un groupe qui oublie que la sexualité est première et qui ne veut pas voir que l'homophilie n'est pas de la sexualité mais une perversion de la sexualité. Les homophiles s'appuient avec perversité sur les statistiques pour justifier leur pratique et nier qu'il s'agit d'une perversion, comme si la statistique pouvait s'opposer à l'éthique. Mais la perversion collective n'est pas davantage justifiée que la folie collective. Elle existe dans la nature, ce n'est pas une raison pour qu'elle existe dans la culture. En tous cas, elle ne saurait être érigée en modèle social. Les parades du lobby homophile apportent de façon récurrente la démonstration publique que "l'enfant est un pervers polymorphe" et qu'à demeurer dans l'enfance, l'être humain s'abîme dans la décadence. Car les assourdissants décibels des manifestations prétendues gaies ne sont pas seulement assommants pour les riverains ; on y tue surtout l'amour, par le sexe, pour le plus grand profit de la classe dominante, droite et gauche confondues. Cette dernière n'autorise les jeux du cirque ("circenses") qu'à condition de prélever pour elle-même la majeure partie du pain ("panem") et ne lutte guère contre les drogues et les addictions. Nous sommes là dans l'hommage du vice au vice, de la perversion à la perversion. L'institutionnalisation de la perversion homophile par la démagogie et le snobisme politico-médiatique et commercial est ainsi le grand refuge du puritanisme hypocrite et dominateur contre la reconnaissance à part entière de l’autosexualité. Elle est favorisée par les politiques et les "psy" qui souhaitent s'attirer la clientèle homophile en flattant son narcissisme et celui de ses proches. Les exagérations actuelles en faveur de l'homophilie dans la société occidentale ne font que dissimuler l'intensité du refoulement de l’autosexualité, le dernier mais le plus tenace des tabous : le tabou des tabous. Freud a mis en lumière ce danger de l'homophilie :
"… l'amour pour la femme rompt les liaisons de masse propres à la race, à la partition en nations et à l'organisation en classes de la société, et accomplit de ce fait des opérations culturellement importantes. Il semble assuré que l'amour homosexuel se concilie beaucoup mieux avec les liaisons de masse, même là où il survient comme tendance sexuelle non-inhibée... " Le déni de la différence des sexes
Sur le plan intime, émotionnel, l'homophilie dénie l'existence du sexe opposé en tant qu'objet de désir et va parfois jusqu'à faire de ses parties sexuelles un objet de dé-goût, ce qui fait de l'homophilie le paradigme du sexisme. Le célèbre contrepet :
"Les Nippons contribuent au redressement de la Chine." (et vice-versa pour les dames)
fait bien sentir la chose. Insensible aux charmes de l'autre sexe, l'homophilie ignore une dimension essentielle, fondamentale, de la sexualité, à tel point que son activité sexuelle ne mérite pas le titre de sexualité. Comme le souligne Bergeret, ce n'est pas de la sexualité mais seulement de l'érotisme et, à la différence de l'autoérotisme, un érotisme pathologique, d'où notre terme d'homophilie. Les homophiles n'ont pas besoin de la contraception. Chez eux, alors que l'être humain est doté d'organes spéciaux pour le pur plaisir, le sexe tout entier perd son statut d'organe de reproduction pour devenir un organe de pur plaisir. La sexualité est pervertie en un jeu sexuel infantile. Le sexe tout entier devient un "sex toy" alors que nous avons des "sex toys" naturels. Les homophiles veulent adopter des enfants, ils ne veulent pas en faire. Cela parce qu'ils sont privés de l'accès à la sexualité véritable, laquelle n'existe que de et par la différence des sexes. Ils ne s'intéressent qu'aux préludes, non à l'acte sexuel lui-même. Aussi, le signifiant "sexe" est absent chez eux, ce qui caractérise leur psychose. Le désir inconscient à l'œuvre dans l'homophilie est de faire l'amour sans faire d'enfants. En termes psychanalytiques, les homophiles dénient l'existence même de l'autre sexe, ce que Freud a improprement (ou par une bien malencontreuse métaphore) dénommé "déni de la castration". Il s'agit d'un disfonctionnement libidinal dans lequel le déni n'est pas conscient, délibéré, mais inconscient, totalement incontrôlable et incontrôlé. Leur incapacité à être sexuellement excités par les personnes du sexe opposé est le symptôme caractéristique de leur absence de reconnaissance profonde, intime, en tant qu'êtres sexués, de la différence des sexes. Non seulement le sexe objet de désir est le même sexe mais encore, n'étant pas perçues comme objet de désir, les parties sexuelles du sexe opposé perdent tout intérêt et deviennent même objet de dégoût. Exclu de la relation sexuelle, le sexe opposé est discriminé. L'homophilie est ainsi un sex-isme inconscient. Pour les deux sexes, le phallus (le masculin et le féminin : le clitoris), pris en tant que jouet sexuel, est le seul organe sexuel. Le vagin est ignoré et l'on doit penser que le désir inconscient à l'œuvre est d'éviter la reproduction. L'institutionnalisation d'une "normalité" de l'homophilie est donc autant ou davantage pathologique que l'homophilie elle-même ; dans les deux cas, le puritanisme réprobateur de l’autosexualité est à l'œuvre. L'acceptation des homophiles comme membres des sociétés psychanalytiques est le comble de cette perversion/perversité sociétale. En effet, abandonnant la virilité vraie, celle qui ne récuse ni l'enfance ni la féminité, pour une fausse féminité ou une hyper (tout aussi fausse) virilité, l'homophilie est une des signatures de l'échec du complexe d'Œdipe. L'échec du complexe d'Œdipe
La fixation au stade phallique (narcissique) du développement libidinal est symptomatique de l'échec du complexe d'Œdipe. Nous allons voir que les homophiles trichent avec la loi en prétendant faire la loi. Cela découle de leur désir inconscient de leur propre mère (père) et de leur désir, tout aussi inconscient, de tuer le parent du sexe opposé. Du coup, c'est l'ensemble des personnes du sexe opposé qui sont symboliquement tuées, sexuellement ignorées. Leur dégoût ou leur ignorance des hommes (femmes) reconnaît inconsciemment le père (mère) comme le seul homme (femme) possible. Puisque leur amour de leur père (mère) est pur, leur amour des hommes (femmes) restera pur, sans désir et sans sexe. L'homophilie préserve la sacro-sainte image du père (mère). "Gay pride" or "sad shame", l'homophilie, résultat de la culpabilisation de l'autosexualité
L'homophilie est ainsi un phénomène de mode, largement utilisé par les séducteurs homophiles pour parvenir à leurs fins. Il est important de voir que ce phénomène tire toute sa force de la répression socio-parentale elle-même. En effet, l'initiation ou, plus précisément la réinitiation à la sexualité et à l'autosexsualité, survient le plus sou-vent dans une relation homophile dans laquelle l'un, en général le plus âgé, enseigne la sexualité à l'autre et en profite pour le séduire et abuser sexuellement de lui. L'homophilie apparaît ainsi comme une révolte collective pour s'affirmer inconsciemment contre la répression de la sexualité et de la sexualité infantile (autosexualité) opérée par une société et des éducateurs puritains. Mais un troupeau de moutons noirs est encore un troupeau de moutons et, pour être collective, une pathologie (incomplétude du développement libidinal) n'en est pas moins une pathologie. Car étroitement liée à la pédophilie, l'homophilie est, comme elle, une conséquence directe du refoulement de l’autosexualité infantile et de l'interdiction banale de "faire l'amour solitairement" (Claude François). C'est dans le but inconscient d'échapper aux effets de la menace d'exclusion par perte de l'amour parental qu'elle introduit un témoin dans la pratique autosexuelle. Si bien que l'homophilie est de l'autosexualité à deux. Ce faisant, elle singe la relation du couple parental dans un phantasme de reproduction monosexuée, lorsque ce n'en est pas un de reproduction anale. Il s'agit d'un jeu de rôle qui tourne en dérision, parfois par la caricature (travestis), l'hypocrisie de la moralisante moralité sexuelle parentale, tout aussi matriarcale que patriarcale. L'autosexualité est considérée comme dégradante par la langue elle-même. A tel point que, chez les homophiles, sa culpabilité inconsciente transparaît dans l'adoption de termes symptomatiques de son refoulement, "gay pride" vient ainsi à la place de "triste honte". Nous sommes en présence d'un déplacement, typique des phénomènes inconscients. Le résultat est l'adoption de pratiques sexuelles infantiles, régressives et dégradantes mais non ressenties comme telles : oralité (renvoyant à la succion du sein), analité et son cortège d'atroces pathologies médicales. La revendication d'une normalité de ces pratiques marginales, baptisées alternatives, et le gommage de leur caractère dégradant correspond au puissant refoulement de l'autosexualité à l'œuvre dans les sociétés humaines qui la considèrent comme infantile ou dégradante. La grande raison pour laquelle l'acte homophile n'est pas un acte sexuel est que dans cet acte, le sexe de l'un est en relation avec une autre partie du corps que le sexe de l'autre (le clitoris n'est pas le sexe mais l'organe autosexuel). Il s'agit d'une relation du pareil au même, fermée à la différence des sexes, enfermée dans l'oralité ou l'analité, avec le sadomasochisme afférent. Certes, ces pratiques contre nature sont une révolte contre l'interdiction antinaturelle de l’autosexualité mais pourquoi diable se déculpabiliser à deux – dans d'infantiles et phantasmatiques jeux de rôles sujets à des modes génératrices de vives frustrations – là où il n'y a pas à culpabiliser ? Ce sont le plus souvent des relations de séduction et de multipartenariat, dans lesquelles l'un des deux "partenaires" domine l'autre. Pratiquement, on ne voit pas l'intérêt de recourir à quelqu'un du même sexe pour obtenir une jouissance que l'on peut si facilement se procurer par soi-même, sans risque de contagion ni de complications sociales ou sentimentales. Pratiquement toujours, la relation hétérosexuelle apporte les divines douceurs, le velouté et la lubrification naturelle incomparable de muqueuses faites l'une pour l'autre par la nature. Au contraire, si l'oralité est irritante (la salive est un piètre lubrifiant), la sodomie apporte au passif d'atrocement douloureuses pathologies de l'anus et à l'actif des infections aussi diverses qu'éventuellement mortelles(*) et enfin, pour les deux partenaires, des odeurs peu ragoûtantes. De plus, comme le signale justement Rossellini par le dire d'un enfant dans "Rome, ville ouverte", oralité et analité impliquent des postures "dégradantes". Les pathologies liées à la sodomie prouvent qu'elle est une pratique contre-nature. Négatif de la névrose, la perversion s'appuie aussi sur un choix névrotique, en ce qu'il résulte de la culpabilisation de l'autosexualité. "Têtu", et souvent pédophile
L'échec du complexe d'Œdipe dans l'homophilie tire sa force de s'appuyer sur un redoutable phénomène névrotique, inconscient donc. Grâce au cas d'un de ses patients, la psychanalyste Melita Schmideberg a pu établir l'existence d'un lien puissant entre d'une part un trait de caractère bien connu des homophiles : la certitude absolue d' "avoir raison" ("incapacité à avoir tort"), d'autre part une éducation à la propreté anale rigide, névrotisante. Le névrosé-pervers homophile reproduit ainsi tristement, contre lui-même et les autres, la sévérité maternelle. La conséquence en est que les femmes, et tout particulièrement leur sexe, inspirent la répulsion. L' "inversion" est ainsi totale, aussi bien dans la pratique physique (sodomie, oralité) que dans le mental (certitude d'être dans le vrai) ! Cette confiance en soi éhontée éclate dans une pédophilie souvent revendiquée par ses célébrités : André Gide, Constantin Cavafy, Frédéric Mitterand, Daniel Cohn-Bendit... La pédophilie est la sœur jumelle de l'homophilie. Cette perversion, qui se sert de l'enfant comme d'un objet, est le pire exemple des résultats de la répression de l'autosexualité. En effet, pour une fois, on peut dire que la séductrice (le séducteur) se masturbe avec (dans sa victime). Ces dernières sont parfois assassinées après usage, recevant le même mépris que leur bourreau a lui-même subi dans sa propre autosexualité. La revendication d'un droit au mariage : droit des enfants et droit des adultes
Accorder le titre de mariage à l'union de personnes de même sexe est d'abord une aberration linguistique. Ensuite, le phénomène homophile est ambivalent. Il repose sur la prétention in-consciente à une reproduction monosexuée dans un désir d'enfants de personnes du même sexe. Ce phantasme est plaisamment représenté par le bilboquet (signe de reconnaissance cher aux homophiles masculins), symbolisant le phallus portant le monde. Le désir inconscient à l'œuvre dans cette revendication montre bien qu'au fond, les homophiles jouent au papa et à la maman en s'utilisant comme poupées et l'on peut souvent désigner lequel des deux joue le rôle masculin ou féminin. Mais la langue a des barrières infranchissables ; même si la perversité du lobby homophile et de ses supporters politiques a réussi, dans nombre de pays, à obtenir la dénomination de mariage pour leurs unions, elles ou ils ne seront jamais ni "mari et femme" ni "papa et maman", et elles et ils ne pourront jamais apporter aux enfants qu'ils souhaitent élever le modèle d'un véritable couple, seul structurant de la personnalité. Les adultes n'ont pas le droit d'imposer à des enfants un mode de vie aberrant des lois de la nature avec la conséquence que l'enfant aurait deux "papas" ou deux "mamans", avec le risque des bien logiques railleries afférent à pareille situation.
Jean-Pierre Rosenczveig, Président du tribunal pour enfants de Bobigny et de Défense des Enfants International, membre du bureau international des droits de l'enfant ) a situé le problème en droit :
"On ne doit pas toucher à la filiation car qu’on le veuille ou pas on glisse des droits de "l’adulte à être parent à la négation de l’enfant personne.
"En effet, l’adoption ouverte aux couples homosexuels revient à nier une partie de la réalité de la conception de l’enfant. Tout enfant a du masculin et du féminin dans son histoire biologique. On ne peut pas le nier. Cette filiation biologique est première et fondatrice...
"Nous entrons dans une période où l’enfant devient, avec l’appui des sciences de la vie, un objet revendiqué de désir entre adultes, solitaires ou en groupe, du même sexe ou pas, qui s’organisent pour répondre à leurs attentes d’adultes. Où est la cellule familiale, plus ou moins ébranlée, certes généralement présente au temps jadis qui avait le souci d’accueillir un enfant et de le protéger, de l’encadrer et de l’accompagner pour lui-même ?
"Il s’agit non pas d’une régression, mais plutôt d’une révolution sociétale dont les enfants feront les frais."
Mais, comme pour la circoncision d'ailleurs, Rosenczveig a omis de se fonder sur le principe 10 de la Déclaration universelle des droits de l'enfant :
"L'enfant doit être protégé contre les pratiques qui peuvent pousser à la discrimination raciale, à la discrimination religieuse ou à toute autre forme de discrimination."
Tout enfant a le droit d'être élevé dans les mêmes conditions que les autres enfants : avoir un papa et une maman. Les désirs des adultes doivent s'effacer devant le droit des enfants. L'union de deux personnes de même sexe ne doit pas créer un droit spécial sur l'enfant. Conclusion : ni Dieu ni gai
Il est vital de résister à ses pulsions. De même que le psychanalyste doit s'abstenir de toute relation sexuelle avec ses patients, de même l'ami sincère doit résister à d'éventuelles pulsions homophiles. Les amitiés doivent demeurer pures, platoniques, tout particulièrement vis-à-vis des jeunes enfants, souvent victimes des homophiles. On ne mélange pas davantage l'amitié et le sexe qu'on n'inverse le haut et le bas ou l'avant et l'arrière (attention, fragile, manier avec précaution !). Il faut respecter le mode d'emploi prévu par la nature. Pour cela, les éducateurs ne doivent jamais réprimer la sexualité. On ne peut que l'éduquer, la tempérer et l'orienter. Pour achever ces réflexions, la perversion homophile est probablement responsable de la décadence de la démocratie grecque qui n'a pas pu survivre avec une telle perversion en son sein. L'exclusion des femmes de la vie politique ne saurait être remplacée par la féminisation des mâles ou de certains d'entre eux. L'échec de la virilité-féminité signe celui de l'œdipe, pour la femme comme pour l'homme. Les grands responsables de cette situation sont les psychiatres, psychologues et psychanalystes qui, faisant la partie belle au passage à l'acte dès qu'il s'agit d'homophilie, ont rayé le terme "condamnation" de leurs manuels et dictionnaires. Certains vont jusqu'à faire de l'homophilie un résultat thérapeutique ! Celui qui est conscient de la nature vaginale de son prépuce ne prendra pas les anus ou les bouches pour des vagins et une observation de "hard core" masculin nous permet d'adresser un conseil aux homophiles invétérés : les fesses des jeunes garçons qui les séduisent tant ressemblent à s'y méprendre à un agrandissement des deux rondeurs du sommet du gland. Nul besoin d'encourir les foudres de la société ; on n'est jamais si bien servi que par soi-même. L'existence des homophiles rappelle à l'humanité que l'autre sexe n'est pas une terre à conquérir mais une terre étrangère à visiter avec respect. L'homophilie est une maladie grave, la maladie de ceux qui se complaisent dans le même parce qu'ils ne savent pas que le meilleur, c'est la différence. Miller A. L'avenir du drame de l'enfant doué. Paris : PUF ; 1996. p. 86. Freud S. Introduction à la psychanalyse. 1916-17. Paris : PUF ; 2000. p. 314. Freud S. Abrégé de psychanalyse. 1938. Paris : PUF ; 2010. p. 244. Freud S. De la psychogénèse d'un cas d'homosexualité féminine. 1920. Paris : PUF ; 1996. T. XV. p. 239. Freud S. Trois essais sur la théorie de la sexualité. 1905. Paris : PUF ; 2006. p. 79, note de 1920. Bergeret J. Psychologie pathologique. Paris : Masson ; 2008. Freud S. lettre du 9.04.1935. Correspondance. 1960. Paris : Gallimard : 1966. p. 461. Schmideberg M. Psychoanalytic review 1948 Foley J. The unkindest cut of all. Fact magazine 1966; 3 (4): 2-9. http://www.cirp.org/news/1966.07_Foley Leitch I. Circumcision - a continuing enigma. Australian paediatric journal 1970; 6: 59-65. http://www.cirp.org/library/general/leitch1 Kimmel T. Men scarred by circumcision. National organization of circumcision information resource centers. San Anselmo: 2000. http://www.cirp.org/news/nocirc12-7-00/ Fink K., Carson C., De Vellis R. Adult circumcision outcomes study: effect on erectile function, penile sensitivity, sexual activity and satisfaction. J urol 2002 ; 167 (5) : 2113-2116. http://www.cirp.org/library/sex_function/fink1 Laumann E., Masi C., Zuckerman E. Circumcision in the United States. JAMA 1997 ; 277 (13) : 1052-1057. http://www.cirp.org/library/general/laumann Dave SS, Johnson AM, Fenton KA et al. Male circumcision in Britain : findings from a national proba-bility sample survey. Sex trans infect 2003 ; 79 : 499-500. http://www.cirp.org/library/general/dave1/ Freud S. Psychologie des masses et analyse du moi. 1921. Paris : PUF ; 2006. p. 79, note de 1920. (*) Rappelons que la faible érogénéité de l'anus n'est qu'une incitation à la propreté. Elle est purement externe puisque l'anus interne ne contient pas de terminaisons nerveuses érogènes: la pénétration anale ne procure aucun plaisir mais de graves irritations chez l'un (hémorroïdes, gravissimes fissures anales), et des infections urologiques par remontée urétrale (urétrites, prostatites), éventuellement mortelles chez l'autre. Passer de l'anus au vagin est délétère pour ce dernier. Schmideberg M. A note on homosexuality and circumcision. Psychoanalytic review 1948 XXXV (2) : 183-84. Rosenczveig J-P. Filiation(s) : 1=1=1 … = 1. http://blog.rosenczveig.com/filiations-111-1/ | |
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Auteur | Message |
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Sigismond
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 8/9/2013, 19:09 | |
| Je vous signale que cet article est extrait d'un autre, nettement plus fourni, disponible à cette adresse :
http://www.academia.edu/3892339/Pour_lautosexualite_mis_a_jour_le_28.07.2013_ | |
| | | kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 8/9/2013, 21:42 | |
| - Sigismond a écrit:
Si tu avais lu les lignes qui précèdent, tu aurais compris que je parle de leur amour des personnes du sexe opposé. Je te présente toutes mes excuses, je suis honteux et confus , je bats ma coulpe : je reconnais que , victime d'un biais cognitif, j'ai simplement survolé l'article, car les histoires de trouduc commencent à me les gonfler! Peut-être parce que je suis atteint de "normalitude" , ce qui rend les gens totalement inintéressants . | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 8/9/2013, 21:43 | |
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| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 8/9/2013, 21:54 | |
| - Ungern a écrit:
Une coupe anatomique montrerait alors : une zigounette . dans son vagin de poche. dans le cul de la madame ... Voilà , au moins c'est clair .Honnêtement, je croyais que c'était plus compliqué .Merci, Ungern ! | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 8/9/2013, 22:49 | |
| - EddieCochran a écrit:
- 14 -
- Biloulou, le cœur gai, a écrit:
Mais ceci est mon avis personnel, je ne tente de convaincre personne que je suis dans le bon d'autant plus qu'une opinion peut évoluer dans n'importe quel sens et à n'importe quel moment. J'ai dit.
N'ayant moi-même aucun parti-pris je partage entièrement votre avis, tout comme celui des Delon et de leur impressaria Mab.
C'est curieux, cette pluralité me fait songer à quelqu'un... et encore mieux s'il s'agissait d'une dualité... Mais bon, je dois faire erreur ! - EddieCochran a écrit:
- Biloulou faisant sa mise au point a écrit:
- Je m'en fiche éperdument de ce que des adultes consentants font dans leur intimité à un seul, à deux ou à plusieurs, d'un seul sexe ou des deux, et même en compagnie d'animaux domestiques... dans la mesure où ça reste dans le cadre de ce qui est permis par la loi, les comportements insolites ne sont pas un délit, que je sache.
Parfaitement, et comme nous sommes dimanche, pour ceux qui en ont l'envie, il leur est offert la possibilité de jeux récréatifs
- spoiler a écrit:
- Histoire d'accroître le cercle de ses amis...
C'est la version anglaise du "Bon Coin" ? | |
| | | quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 9/9/2013, 16:53 | |
| L'homosexualité ne me gène pas...
En revanche l'homophilie je trouve ça trop grave : rendez vous compte qu'une simple petite coupure et la personne peut se vider de tout son sang... alors que la personne couche ou pas avec des chèvres, des homosexuels, ou des chaussettes, je m'en fiche: c'est trop pas cool de mourir pour une petite coupure ! | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 9/9/2013, 17:00 | |
| - quantat a écrit:
- L'homosexualité ne me gène pas...
En revanche l'homophilie je trouve ça trop grave : rendez vous compte qu'une simple petite coupure et la personne peut se vider de tout son sang... alors que la personne couche ou pas avec des chèvres, des homosexuels, ou des chaussettes, je m'en fiche: c'est trop pas cool de mourir pour une petite coupure !
Très vrai, surtout si tu parles de l'hémophilie... mais bon, c'est aussi une anomalie.... | |
| | | quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 9/9/2013, 17:08 | |
| Tu regardes jamais Kameloot Biloulou ? Mes préférés sont Gauvin et Perceval ... un modèle d'ethique stoïcienne et de rigueur linguistiique | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| | | | quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 9/9/2013, 17:15 | |
| Faut reconnaître qu'il faut être dans les bonnes conditions pour apprécier cette série... une fois qu'on a été sensibilisé, c'est comme une drogue | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 10/9/2013, 08:46 | |
| - Biloulou a écrit:
- "On" a déjà tenté de me convertir à cette saga, mais avec un échantillon si mal choisi que la sauce n'a pas pris.
"On" n'y peut rien si tu raisonnes avec tes pieds : tu ne sais pas saisir la beauté où elle est, que veux tu que je te dise. Cela etant, si je peux me permettre, Quantat, j'aime beaucoup la philosophie de la famille de la reine, à qui on pourra reprocher un petit coté primaire mais paaaaas denué de bon sens. Mab |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 10/9/2013, 08:53 | |
| - Mara-des-bois a écrit:
- "On" n'y peut rien si tu raisonnes avec tes pieds : tu ne sais pas saisir la beauté où elle est, que veux tu que je te dise.
Parce qu'il faut faire appel à la raison pour saisir la beauté ? Et avec les pieds, par dessus le marché ? Tu vois le spectacle ? Moi qui croyais aux vertus chrétiennes... Mab, pour dire vrai et selon mes souvenirs, je crois que pour apprécier comme il se devait l'épisode que tu m'as fait connaître, j'aurais dû avoir une bonne connaissance du background de la série, du contexte général, du caractère des personnages, bref, de quoi réveiller mes neuronnes préalablement sensibilisés et ne demandant qu'à être chatouillés à nouveau ! Or je n'en avais jamais entendu parler, moi, pauvre ignorant et âne mal bâté... | |
| | | quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 12/9/2013, 12:39 | |
| - Mara-des-bois a écrit:
- Biloulou a écrit:
- "On" a déjà tenté de me convertir à cette saga, mais avec un échantillon si mal choisi que la sauce n'a pas pris.
"On" n'y peut rien si tu raisonnes avec tes pieds : tu ne sais pas saisir la beauté où elle est, que veux tu que je te dise.
Cela etant, si je peux me permettre, Quantat, j'aime beaucoup la philosophie de la famille de la reine, à qui on pourra reprocher un petit coté primaire mais paaaaas denué de bon sens.
Mab Certes.... je dois également dire que depuis quelque temps je suis hanté par l'image de Guenièvre, la visage tordu par la terreur et le dégoût, lorsqu'elle explique pourquoi elle aime pas les oiseaux... J'apprécie beaucoup la grande sagesse de son père également ... j'aurai pu m'entendre avec lui | |
| | | Sigismond
Nombre de messages : 270 Age : 77 Localisation : Paris Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: confusion homo-hémo 12/9/2013, 15:47 | |
| - quantat a écrit:
- L'homosexualité ne me gène pas...
En revanche l'homophilie je trouve ça trop grave : rendez vous compte qu'une simple petite coupure et la personne peut se vider de tout son sang... alors que la personne couche ou pas avec des chèvres, des homosexuels, ou des chaussettes, je m'en fiche: c'est trop pas cool de mourir pour une petite coupure ! Attention l'homosexualité, ça n'existe pas, comme démontré dans mon article, la pratique à laquelle cela fait allusion s'appelle scientifiquement l'homophilie. | |
| | | Sigismond
Nombre de messages : 270 Age : 77 Localisation : Paris Date d'inscription : 04/11/2008
| | | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 12/9/2013, 16:14 | |
| - Sigismond a écrit:
- Z'ètes pas fous de perdre votre temps devant la télé ; moi, je n'en ai pas et n'en ressent nul besoin.
Bonjour Sigis ! Ah, parce que c'est une série télévisée ? Voilà pourquoi je ne la connaissais pas, excepté les épisodes épars qu'"on" m'a passé. Ca m'a l'air d'une lamentable lacune dans ma culture... (Quelle chaîne ?) | |
| | | andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 12/9/2013, 16:51 | |
| ... alors les vieilles tarlouzes ! | |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| | | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 19/9/2013, 17:40 | |
| Ce Poutine... il devient peu à peu quelqu'un de hautement recommandable ! | |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| | | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 19/9/2013, 18:07 | |
| Si on dit "homo sexuel" .
Un type qui se masturbe,c'est un "auto sexuel" !
Et il ne faut pas confondre auto sexuel avec autophile ! Un autophile c'est un type qui se masturbe dans les pots d'échappements d'une bagnole !
C'est comme pédophile,pédologue et podologue . La langue française est très riche ! | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 19/9/2013, 18:34 | |
| - Ungern a écrit:
- Si on dit "homo sexuel" .
Un type qui se masturbe,c'est un "auto sexuel" ! Et il ne faut pas confondre auto sexuel avec autophile ! Un autophile c'est un type qui se masturbe dans les pots d'échappements d'une bagnole ! C'est comme pédophile,pédologue et podologue . La langue française est très riche !
Notre excellent camarade Kalawasa t'approuvera à 100%, il vient de survivre à une épreuve redoutable... https://librespropos.1fr1.net/t7204-la-magie-des-langues | |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 12/2/2014, 14:02 | |
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| | | Sigismond
Nombre de messages : 270 Age : 77 Localisation : Paris Date d'inscription : 04/11/2008
| Sujet: Re: D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! 12/2/2014, 15:20 | |
| - Charly a écrit:
Tous des malades pervers ! | |
| | | | D'abord on ne dit pas homosexualité (ça n'existe pas !) mais homophilie ! | |
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