Parle à mon front, mein kampf est malade

La question de l'éducation :

L'un des grands problèmes de la société se situe à l'école : les élèves s'y ennuient et les enseignants qui ont presque tous choisi cette voie par défaut n'étant capable de rien d'autre, s'y morfondent.

On n'y ressasse à l'envi toujours les mêmes âneries qui n'intéressent plus personne : il faut mettre un grand coup de balai et faire fi de tout cela !
Aujourd'hui, les jeunes n'en ont rien à battre de la philo, de l'histoire, de la littérature; etc ... ce qu'ils attendent pour l'essentiel, c'est d'avoir une activité qui rapporte sans aller s'ennuyer dans un job ridiculement asservissant ... point barre.

Il faut les ouvrir très tôt sur l'international, là où sont aujourd'hui les meilleures opportunités et bien entendu sur l'anglais qui doit être la langue de référence économique, sociale et culturelle. Bien entendu, cet apprentissage de la langue d'Oncle Sam ne doit pas être confié à des enseignants qui baragouinent plus ou moins (j'ai des souvenirs personnels amusants sur ce sujet). Il doit se faire par une immersion complète dans un pays anglo-saxon de deux années. Rien n'interdit bien entendu en option de développer ses connaissances dans d'autres langues : chinois, russes, ... et même pourquoi pas français pour ceux qui le souhaitent encore.

à suivre ...

kalawasa a écrit:

C'est pas gagné, André, tant que le rêve de nos jeunes reste encore un poste de fonctionnaire!

Oh vous y allez fort, Kalawasa : revendeur de shit n'est pas un boulot bien pepere, tout de meme...
Tiens, et si les agriculteurs profitaient de la filiere et se mettaient à la culture de la marie jeanne ? On comblerait le fossé entre les generations par la meme occasion et les differences sociales dans la foulée.
Je vais finir ecologiste encartée, moi...


Mab, future ex verte

Mara-des-bois a écrit:

kalawasa a écrit:

C'est pas gagné, André, tant que le rêve de nos jeunes reste encore un poste de fonctionnaire!

Oh vous y allez fort, Kalawasa : revendeur de shit n'est pas un boulot bien pepere, tout de meme...
Tiens, et si les agriculteurs profitaient de la filiere et se mettaient à la culture de la marie jeanne ? On comblerait le fossé entre les generations par la meme occasion et les differences sociales dans la foulée.
Je vais finir ecologiste encartée, moi...


Mab, future ex verte

Ahhh oui et ce serait du "made in France"

kalawasa a écrit:

André a écrit:

Aujourd'hui, les jeunes n'en ont rien à battre de la philo, de l'histoire, de la littérature; etc ... ce qu'ils attendent pour l'essentiel, c'est d'avoir une activité qui rapporte sans aller s'ennuyer dans un job ridiculement asservissant ... point barre.

C'est pas gagné, André, tant que le rêve de nos jeunes reste encore un poste de fonctionnaire! Ils n'ont toujours pas compris que cette époque est révolue, et qu'un cas de crise grave, ils seront les premiers à ne plus être payés .

Quand je pense que dans ce pays on est en train de tuer la seule catégorie socio-professionnelle indispensable : les paysans !

Oui hélas Kalawa ! ... Nos jeunes sont formatés par l'establishment et sont en plein désarroi. C'est pour cette raison qu'il faut prendre le mal à la racine, dès le plus jeune âge.

Pour les paysans, oui effectivement, le chou fleur et le navet ne nourrissent plus leur homme (sauf les urologues pour le premier et les cinéastes arts et essais pour le second légume). Il y a pourtant des solutions pour rentabiliser leurs terres : location aux constructeurs d'éoliennes, mise en place d'extracteurs de gaz de schistes, location à des municipalités socialistes (mais bon, là il faut qu'ils se dépêchent ...) de terrains pour accueillir des camps de roms ou d'érythréens et de sénégalais repêchés à Lampedusa ...

kalawasa a écrit:

J'ai en effet bien peur que ce soit la seule solution pour beaucoup d'agriculteurs . On a énormément parlé des suicides chez France Télécom (une quarantaine par an), mais j'ai entendu très récemment un chiffre des suicides chez les agriculteurs : des centaines en 2 ou 3 ans !(je ne me rappelle pas des chiffres exacts) .

Terrifiant !  Pour le moment, nous pouvons importer la malbouffe de Chine, mais même ça va être fini un jour .   Une fois de plus , un grand merci à nos énarques !

Bonjour Kalawasa !  
Cinq cents ces trois dernières années, selon les chiffes publiés...

kalawasa a écrit:

MAB a écrit:

Tiens, et si les agriculteurs profitaient de la filiere et se mettaient à la culture de la marie jeanne ?

Bonjour chère Mab,

                              J'ai en effet bien peur que ce soit la seule solution pour beaucoup d'agriculteurs . On a énormément parlé des suicides chez France Télécom (une quarantaine par an), mais j'ai entendu très récemment un chiffre des suicides chez les agriculteurs : des centaines en 2 ou 3 ans !(je ne me rappelle pas des chiffres exacts) .    Terrifiant !  Pour le moment, nous pouvons importer la malbouffe de Chine, mais même ça va être fini un jour .   Une fois de plus , un grand merci à nos énarques !

Il s'agit pour la plupart d'éleveurs.

En ce qui concerne les cultivateurs de blé ,par exemple,,il vendent leur production toujours plus cher car ils suivent les cours de la bourse qui
ne font que monter.Et il n'y a pas que le blé.

11 -

Biloulou a écrit:

kalawasa a écrit:

(...) j'ai entendu très récemment un chiffre des suicides chez les agriculteurs : des centaines en 2 ou 3 ans !(je ne me rappelle pas des chiffres exacts) .
(...)

Bonjour Kalawasa !  

Cinq cents ces trois dernières années, selon les chiffes publiés...

Les chiffres ronds sont à prendre avé des réserves, ils donnent immédiatement le sentiment justifié qu'ils
contiennent des faussetés. Pour faire vrai il faut communiquer des chiffres qui transpirent le souci du détail
et donnent l'impression d'un comptage minutieux et exhaustif.

Par exemple ce chiffre des suicides chez les paysans français devrait avoir la gueule suivante : 496,127 suicides
étalés sur 1096 jours (ça fait 3 ans et comble de raffinement tient compte d'une éventuelle année bissextile).

Pourquoi un chiffre pas rond mais avé une virgule et des millièmes pour une statistique d'un événement tragique
qui se compte par individu par définition individualisable ?

Tout simplement pour faire croire primo que le chiffre reflète les variations saisonnières annualisées - un truc
de pros qui fait sérieux et chiadé en agriculture - et ensuite pour rendre ceux qui prennent connaissance du 
décompte attentifs au fait que les tentatives de suicides qui engagent le pronostic vital des désespérés
 qui attentent à leurs mauvais jours et qui ont une occurrence connue de réussir sont englobées dans le calcul.

Ungern a écrit:

Mais t'es pas déjà "en carte" ?

Oui, mais je milite pour la polyandrie, la polycartie etc.


Mab

PS : Kalawasa, le suicide dans le monde agricole, c'est 1 tous les 3 jours.

La polyarthrite aussi ?

Alande-Qui passe

Alande, poli, a écrit:

La polyarthrite aussi ?

Pas encore mais je suppose que ça peut venir.


Mab, pour les nouvelles experiences

Ungern a écrit:

Ca doit être "génant" ça la polyarthrite quand on est "en carte" ....
Faut se concentrer sur des spécialités alors ...

Ecoute, le seul poli- que je recuse est le polichinelle. Pour le reste, je suis tres indulgente.


Mab, mansuetude et tout ça

Quand je pense que dans ce pays on est en train de tuer la seule catégorie socio-professionnelle indispensable : les paysans !


....

20 -

kalawasa, le bonheur est dans l'après, a écrit:

Exact , Biloulou, je confirme avec le document ci-joint .  Ah, si un fonctionnaire se suicide, la presse se mobilise, les syndicats sont sur le pont, les politicards sont émus, on crée des cellules de soutien psychologique et un numéro vert . Mais pour un paysan , bof...

Là vous mettez en exergue un paradoxe de notre époque qui a perdu son socle terrien.

En effet, il serait plus logique de mettre à la disposition des catégories socio-professionnelles
le téléphone de larmoiement à la couleur idoine. Ainsi pour les malheureux qui se tuent à leur poste
chez les PTT ouvrir un numéro jaune, pour ceusses qui coupent définitivement la ligne de vie chez France Telcon
une ligne orange. Il s'ensuit que le numéro vert soit esclusivement réservé aux damnés de leur terre qui
voient leurs rangs s'éclaircir sous la grande faucheuse : les paysans !

Ceux qui pinent ailleurs et me disent que ça ne solutionne pas le fond du problème oublient l'essentiel
dans la démarche de compassion de masse : témoigner de la considération.

Notre laboratoire d'idées poursuit ses travaux en traitant d'une autre question essentielle pour notre société,

La préférence nationale

Force est de constater que l'exaspération des français patriotes est en grande partie due au fait que la citoyenneté soit désormais bradée dans des conditions insensées. Afin de défricher le terrain, il convient d'abord de définir ce que peut être un citoyen français. La langue, le domicile, la naissance (de parents français), l'appartenance à la culture judéo-chrétienne et des critères ethnologiques sérieux doivent être les fondements de la réflexion.    

Sur le plan ethnologique, nous retiendrons l'appartenance à un regroupement d'êtres humains qui se distinguent par des traits physiques communs héréditaires et par la couleur de leur peau.

Bref, tout le contraire de ce que propose activement la gauche caviardisée et passivement une droite institutionnelle complexée qui a, hélas, perdu tous ses repères en étant incapable d'afficher ses aspirations profondes.

Bien évidemment, nous ne fermons pas la porte, bien au contraire, à certains étrangers (Amérique du nord, Europe du nord, Australie, Nouvelle-Zélande, Asie du sud-est et du nord-est, ... ) désireux de partager un dessein commun avec nous. Des conditions de "pleine citoyenneté" et de "petite citoyenneté" doivent être mises en place (comme en Grande Bretagne par exemple).  

Dans ce cadre ainsi parfaitement redéfini de façon très limpide, la préférence nationale doit être le fil rouge de l'action. Cette préférence permettra ainsi d'économiser des milliards d'euros gaspillés jusqu'à maintenant par des gains de productivité dans l'éducation, dans la santé, dans la justice, dans le secteur pénitencier, dans la police, ... Ainsi, des dizaines de milliers d'emplois de fonctionnaires dans ces secteurs pourront être redéployés (ou, mieux encore, supprimés lorsque nécessaire) au service exclusif des citoyens français.

Nous retrouverons ainsi un pays où il fera à nouveau bon de vivre, un pays fier de son passé et confiant dans son avenir !

kalawasa a écrit:

André a écrit:

La préférence nationale

Que rajouter à cet article d'une limpidité biblique ? Rien ! Le fait de vouloir appartenir à un groupe ethnique cohérent est une loi de la nature, et rien ni personne ne peut aller contre ses lois !

J'ai toujours déploré , lors de prises de décision visant le long terme, l'absence d'un ethnologue et d'un urbaniste non politisé.

Une fois de plus (je sais que je me répète) ,cette position n'a strictement rien à voir avec le racisme dont on nous rebat éternellement les oreilles, mais, bien au contraire,nous permettrait de mieux aider et accepter l'autre, au lieu de créer des haines et antagonismes générés par les idées merdo-fumeuses de nos politicards obsédés par le "grapillage" de quelques voix !

Relisez "Tristes Tropiques" de Claude Lévy-Strauss !

Oui Kala, nos idées progressent très vite, on peut même parler de "préférence nationale décomplexée"

Comment mieux combattre les haines et les antagonismes qu'en protégeant jalousement le sol national ? Comment mieux protéger tous ces immigrés qu'en leur faisant fermement comprendre qu'ils doivent rester chez eux pour mieux jouir de leurs contextes, de leurs croyances, de leurs cultures ?  

Pour l'instant mais on ne saurait vraiment les blâmer, ils comprennent qu'ils passent à la caisse (à nos caisses) sans problèmes ... Demain, ils comprendront vite le total inintérêt à rappliquer pour cela : finis les soins gratuits, terminés l'école pour leurs enfants, tintin les allocations allouées généreusement. Pour ceux qui s'obstineraient encore à rester (je suis pour un retour au bled volontaire mais impératif), ils comprendront aussi vite que l'ère du laxisme est terminée : le moindre connerie (et que dire des autres) sera impitoyablement sanctionnée sans fausse pudeur, sans approche bisounours ...

La question n'est plus de savoir s'ils doivent ou non partir, elle est désormais de savoir quand ils partiront.