Ecole : la catastrophe

Je n'ose pas commenter ce genre d'événements, tellement je crains de passer pour un ignare au Royaume d'Absurdie...

heureusement qu'elle est arrivée NVB

kalawasa a écrit:

Accrochez-vous : je viens d'entendre que les gamins de l'école primaire devaient, tous les jours, faire des exercices de lecture, d'écriture et de calcul ! Inouï ! Quelle révolution !
Sondage RTL de ce jour : 98% des personnes approuvent ....

Il aura donc fallu des générations de connards intellos dans les ministères pour revenir aux fondements fondamentaux et comprendre que la réussite dans la vie en dépend (en grande partie...car tout le monde ne peut pas être footballeur ...)

Kalawasa, si vous connaissiez le niveau dans certains REP, reseau d'education prioritaire (nouveau nom alakon des ZEP, zone d'education prioritaire, et je suis sure qu'un corniaud a été payé pour trouver ça), vous seriez un peu soulagé d'apprendre que ça devient officiel


Mab -vous saviez qu'il y a des ecoles où les pitchouns ne savent meme pas dans quel sens il faut ecrire leur nom ?-

C'est confirmé : la Najat nous a bel et bien enfumés...


Olivier Vial, président de l'UNI et directeur du CERU, think-tank sur l'éducation
Najat Vallaud-Belkacem, grâce à son tour réalisé avec «la dictée quotidienne», mérite d'entrer directement dans la famille des grands illusionnistes.
Robert Houdin, l'inventeur de la magie moderne, aurait été fier d'elle. Tous les principes qu'il avait édictés sont respectés! La maîtrise du boniment, d'abord! Que le magicien définit comme «la fable destinée à donner à chaque tour d'escamotage l'apparence de la vérité». Ce sont les fameux éléments de langage que la ministre martèle tentant de nous faire croire qu'elle va renforcer l'apprentissage des savoirs fondamentaux, alors même que dans le cadre de sa réforme du collège, elle réduit de 120 heures par an le nombre d'heures consacrées à l'enseignement de ces disciplines.
Le «détournement d'attention» ensuite, qui reste le ressort le plus puissant des tours de passe-passe, est sans doute la technique que Najat Vallaud-Belkacem maîtrise le mieux. Cela consiste à dissimuler une action, comme par exemple la baisse continue du niveau d'exigence, en en simulant une autre paraissant naturelle aux yeux des spectateurs: «Les enfants des cours élémentaires devront faire une dictée quotidienne!». L'objectif est ainsi de diriger l'attention des spectateurs là où «il n'y a rien d'anormal à voir», ce qui permet au prestidigitateur d'accomplir tranquillement ses manœuvres à l'insu du public. Un peu comme quand la ministre agite dans sa main droite une tribune dans laquelle elle appelle au retour de la dictée pour attirer l'attention des parents légitimement inquiets de la baisse du niveau des élèves en français, tout en continuant sur sa gauche à mener les politiques inspirées par les «pédagos» les plus idéologues.

kalawasa a écrit:

J'ai honte...Je suis en pétard contre moi...Je me suis fait avoir comme un bleu...Le retour aux fondamentaux à l'école ? C'était trop beau pour être vrai...De la com politicarde pure....

Et pourtant, et pourtant.. Demandez le programme aux jeunes profs des ecoles, s'il y en a autour de vous...

Vous savez, ça n'a rien d'etonnant, le retour à l'essentiel est une quasi obligation lorsque, dans certaines ecoles, les enfants n'entendent du français parlé qu'à l'ecole.

Soyez tranquille, c'est le genre de choses que les adultes qui le constatent gardent pour eux. Comme la rentrée de certains enfants debut octobre, et avec la benediction de l'Educ Nat. parce qu'ils sont encore en vacances au bled. Les dames payées pour les aider à suivre une scolarité dont leurs parents se foutent, elles, sont bien en classe le 1er septembre


Mab -c'est important, que les auxiliaires de vie scolaire aient de l'education-

Brevet des collèges : Najat Vallaud-Belkacem dévoile sa réforme des notes

LE FAIT DU JOUR. Les élèves aujourd'hui en 4e étrenneront le tout nouveau brevet en juin 2017. La ministre nous en dévoile le contenu. Avec notamment une notation rénovée.

Propos recueillis par Christel Brigaudeau et Véronique Maribon-Ferret | 30 Sept. 2015, 06h58 | MAJ : 30 Sept. 2015, 07h13

Non, Najat Vallaud-Belkacem jure qu'elle n'a pas « un goût particulier pour les difficultés ». C'est, dit-elle, par souci de cohérence qu'elle annonce ce matin une nouvelle réforme des notes et du brevet, présentée comme la dernière pierre à l'édifice de la refondation de l'école entamée par le gouvernement en 2012.

Vous annoncez aujourd'hui une réforme du brevet. Mais cet examen, dont les élèves n'ont pas besoin pour passer en seconde, sert-il à quelque chose ?

NAJAT VALLAUD-BELKACEM . Le brevet est un vrai diplôme qui donne accès à certains concours de la fonction publique. C'est aussi la première fois que l'élève est confronté à un examen, unique sur tout le territoire, objectif, et qui permet de témoigner de l'acquisition de connaissances. Certains auraient voulu qu'on y renonce, mais je trouve important de maintenir cette première expérience. Je veux même accorder toute son importance à ce rite de la fin de la scolarité obligatoire.

Comment ?

L'école primaire et le collège sont les seuls endroits où toute une classe d'âge se côtoie. Nous voulons que le diplôme célèbre la fin de la scolarité obligatoire. Aussi, nous créons dès cette année une cérémonie républicaine de remise des brevets. Elle aura lieu chaque premier mercredi qui suit la rentrée des classes (NDLR : la première aura lieu le 7 septembre 2016). Il s'agit de faire revenir les élèves sur le lieu de leur réussite, qu'ils puissent être applaudis en présence des élus locaux et des parents, par les collégiens plus jeunes. Comme autrefois le certificat d'études, on renoue avec la célébration du premier diplôme.

l'école où ma petite fille a passé son brevet ne vous a pas attendu pour "célébrer" la remise de ce "premier diplôme" et c'était il y a 7 ans déjà !!!

Après la réforme contestée du collège, les polémiques sur les nouveaux programmes, était-il vraiment nécessaire de chambouler aussi le brevet avec une nouvelle réforme ?

Tout est cohérent. Les réformes conduites jusqu'à présent avaient vocation à moderniser l'enseignement. Pour que ces réformes s'inscrivent vraiment dans le quotidien des établissements, il faut qu'à la fin tout cela soit sanctionné par une évaluation. Cette réforme est la dernière pierre à l'édifice.

Votre réforme introduit, en plus des notes, un système d'évaluation sur la base de huit grandes compétences, qui recouvrent à chaque fois plusieurs matières. Qui renseignera ces champs, et qui arbitrera si les professeurs des différentes matières ne sont pas d'accord entre eux ?

Les professeurs principaux auront un rôle à jouer pour avoir un regard global sur la maîtrise du socle commun de compétences que chaque élève doit maîtriser à la fin de sa scolarité obligatoire. Mais l'idée est aussi que les enseignants se parlent. C'est la principale innovation de nos réformes : on leur demande de travailler ensemble sur des projets et, au moment de l'évaluation, de porter des regards croisés sur l'élève pour déterminer ses compétences.

Y aura-t-il un temps prévu pour ces échanges ?

C'est un sujet sur lequel nous travaillons en ce moment avec les organisations syndicales.

Ne craignez-vous pas de créer une nouvelle usine à gaz, en ajoutant un mode d'évaluation aux notes traditionnelles ?

C'est un éclairage supplémentaire. On veut savoir si un élève, à la fin de sa scolarité, maîtrise le langage à l'oral et à l'écrit, s'il a compris les grandes règles scientifiques, les notions de citoyenneté... L'idée est de pouvoir juger l'élève non pas seulement sur la base des disciplines mais sur la base de compétences multiples, complexes. C'est une vraie nouveauté. Les familles seront tenues informées à la fin de chaque cycle de la progression de leur enfant dans ses apprentissages. Notre évaluation est beaucoup plus parlante pour les parents.

Alors pourquoi ne pas être allé au bout de cette logique en supprimant pour de bon les notes ?

Un certain nombre d'enseignants évaluent déjà sans notes. C'est le cas pour 80 % des équipes dans le primaire du CP au CE 2, pour 70 % en CM 1 et en CM 2. Ceux qui veulent s'engager dans cette voie le pourront. Et ceux qui préfèrent recourir aux notes continueront à le faire. On ne force pas l'innovation.

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kalawasa a écrit:

Pardonnez-moi, chère Marieden, de ne pas lire cet article , étant à l'avance sûr de ne rien comprendre !

pourtant, d'après "elle" il n'y a aucune difficulté euréka !

Oh pardon !

La laïcité est en marche....

 

417 -

kalawasa a écrit:

La laïcité est en marche....

Bravo, l'intégration de l'Alsace à la Francaouie est visiblement un succès. A quand une estention
du Concordat au mahométisme ?

C'est bien, ce campus sera un allié de poids pour rééduquer les jeunes chances pour la Francaouie
qui trafiquent les bagnoles chouravées afin de leur apprendre à utiliser de manière halal le tapis
de prière islamique dont l'usage a été lamentablement dévoyé !

C'est tout bon !

kalawasa a écrit:

La laïcité est en marche....

           

C'est en marche !

Et ça me rappelle la manière avec laquelle les muz albanais ont envahi
progressivement le Kosovo.
Avec en finalité l'exode des Chrétiens vers le nord du pays où ils vivent
maintenant dans un énorme ghetto.

Tout ça avec la bénédiction des dirigeants européens qui se sont empressés
plus tard d' entériner l'indépendance du Kosovo islamique et de reconnaître
cette "nation".

kalawasa a écrit:

La laïcité est en marche....

Et allez, les turcs, maintenant, il ne manquait plus que ça.
Mais quand se decidera-t-on à interdire l'ingerance d'autres pays sous pretexte de religion ?
L'islam melange politique et religion, alors non, non et non.

Vivement qu'on sabre la double nationalité.


Mab