Tu sais Cher Jaco, la France est un pays de paradoxes ... ainsi et sans réserve ses puissants, guidés en cela par le lobby maçonnique versus GO, stigmatise sans réserve la Scientologie et dans le même temps va faire la danse du ventre devant le bon Pape François ...
Il ne semble gêner personne d'être plein de mansuétudes pour une secte ayant réussi à faire passer des conneries à dormir en lévitation sur les eaux en mangeant des pains au chocolat multipliés par un gourou chevelu et barbu, et, dans le même temps, de diaboliser de manière le plus souvent fumeuse un mouvement relativement confidentiel ... qui, jusqu'à démonstration du contraire, ne sodomise aucun petit garçon dans les sacristies avec la bénédiction de la hiérarchie ...
De la même façon, il ne semble gêner personne d'être plein de d'autant de mansuétudes pour une religion, l'Islam, dont quelques grandes plumes ont dit, je les cite :
« L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. » Bossuet 1627-1704
« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. » Chateaubriand 1768-1848
« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (.) semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire » Condorcet 1743-1794
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme.(.) je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. » Arthur Schopenhauer 1788 -1860
« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cour du côté de l’intérieur de la famille. » Alexis de Tocqueville 1805-1859