Ecologie : oui , politisée : non !
COUP DE PUB A FESSENHEIM : LA VRAIE NATURE DE GREENPEACE (par Maurice D.)
Greenpeace vient encore de s'illustrer sur une centrale nucléaire, Fessenheim, dont ils dénoncent la dangerosité et le manque de sécurité, la preuve en est la façon rapide et efficace avec laquelle ils y ont pénétré.
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> > > > Facile, quand on bénéficie de complicités intérieure et extérieure des autorités, ce qui est évident, et quand ceux qui effectuent la manœuvre sont des professionnels de ce genre d'exercice.
UNE OPERATION BIDON - DES COMPLICITES EVIDENTES
> > > > Essayez de pénétrer dans un site nucléaire français et vous comprendrez pourquoi il faut au minimum une certaine "indulgence" de la direction à l'intérieur et des autorités publiques à l'extérieur pour qu'une équipe nombreuse puis se retrouver à l'intérieur. Et y rester quelques heures à mettre en place des banderoles et des systèmes audio-vidéo avant que le service de sécurité intérieure et les gendarmes soient autorisés à intervenir.
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> > > > L'arrestation n'est ensuite qu'une formalité médiatique, les "militants" étant très vite relâchés. En effet, le service de sécurité a ordre d'arrêter si possible ou d'abattre tout terroriste qui pénètrerait par effraction sur le site. Mais les militants de Greenpeace ne risquent rien pour une raison simple : "on" a demandé à la sécurité de ne pas intervenir, de se limiter à surveiller l'opération en bouclant les accès au cœur de la centrale.
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> > > > Pourquoi ? Parce qu'à la veille des élections qui s'avèrent difficiles pour lui, le pouvoir socialiste fait tout son possible pour obtenir les voix écologistes et les a négociées avec EELV en offrant comme monnaie d'échange une opération coup de poing rondement menée contre le nucléaire.
UNE PRESSE GOURMANDE ET COMPLICE
> > > > La complicité de la presse est également évidente car elle raffole de ces opérations spectaculaires. Greenpeace de son côté recherche avant tout des actions qui puissent avoir un fort impact médiatique et renforcer son image. Car, pour Nadège Fréour du Centre de politologie de LYON : "les dirigeants de l’association... sont les dépositaires d’une véritable marque “Greenpeace”. La communication de l’association est entièrement confiée à des professionnels et centralisée au sein du bureau londonien “Greenpeace Communication”, qui gère notamment la production et la diffusion d’images d'actions spectaculaires minutieusement orchestrées. Ce procédé lui permet de fournir “clés en main” aux médias des images agréées, qui véhiculent le point de vue privilégié par l’organisation."