Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension. |
|
| et Jésus dans tout cela ? | |
| | Auteur | Message |
---|
andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
| Sujet: et Jésus dans tout cela ? 29/6/2014, 20:39 | |
| Une première question doit être résolue : Jésus a-t-il réellement existé ou est-ce la religion chrétienne qui a fabriqué un mythe inspiré par un personnage de fiction comme Harry Potter ?
Pendant près de deux mille ans, la plupart du monde a considéré Jésus comme un homme réel doté d’une intégrité exceptionnelle (un peu comme Jérôme Cahuzac), possédant les attributs d’un leader et un pouvoir sur les forces de la nature (un peu comme François Hollande). Mais aujourd’hui, certains déclarent qu’il n’a jamais existé.
L’argument s’opposant à l’existence de Jésus, intitulé théorie du mythe de Christ, a commencé dix-sept siècles après que Jésus a parcouru les collines rocheuses de la Judée. Ellen Johnson, la présidente d’American Atheists (athées américains), résume ainsi la perspective du mythe de Christ, lors d’une interview dans le contexte de l’émission Larry King Live sur la chaîne CNN : " Il n’y a pas un brin de preuve laïque qu’un certain Jésus Christ ait jamais existé … Jésus est une combinaison d’autres dieux… qui avaient les mêmes origines, la même mort que le Jésus Christ mythologique."
L’animateur interloqué lui répondit : “Vous ne croyez donc pas qu’il ait existé un Jésus Christ ?”
Johnson lui rétorqua : " Il n’y avait pas…Il n’y a aucune preuve laïque que Jésus Christ ait jamais existé."
King fit immédiatement appel à une pause publicitaire. L’audience internationale de l’émission fut laissée dans le doute.[
Durant ses premières années en tant que professeur littéraire athée à Oxford, C.S. Lewis considérait aussi Jésus comme un mythe, croyant que toutes les religions étaient de pures inventions.
Des années plus tard, Lewis était assis au coin de la cheminée d’une chambre de dortoir à Oxford, en compagnie d’un ami qu’il décrivait comme l’athée le plus endurci de tous les athées que j’aie jamais rencontrés. Soudain, son ami lui déclara : “Les preuves de la vérité historique des évangiles sont vraiment étonnamment bonnes…On pourrait presque penser que cela s’est vraiment passé.”
Lewis en est resté interloqué et déplora que son ami ait commencé à boire. | |
| | | andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
| Sujet: Re: et Jésus dans tout cela ? 29/6/2014, 20:45 | |
| Une deuxième s'impose donc dans l'hypothèse où il aurait bien existé : Jésus est-il Dieu ?
Avez-vous déjà rencontré un homme qui s’attire tous les regards, où qu’il aille (un peu comme DSK) ? Certaines caractéristiques mystérieuses, indéfinissables le distinguent des autres. Eh bien, c’était ainsi il y a deux mille ans avec Jésus Christ. Mais ce n’était pas simplement la personnalité de Jésus qui captivait son audience. Les témoins de ses paroles et de sa vie nous déclarent que Jésus de Nazareth était différent des autres hommes (donc très différent de DSK) .
Le seul titre de compétence dont Jésus pouvait se réclamer, c’était sa propre personne. Il n’a pas écrit de livre, ni commandé d’armée, ni exercé de mandat politique, ni planté de pommes de terre. Il s’est principalement déplacé sur un rayon de 160 kilomètres de son village, attirant des foules émerveillées par ses paroles provoquantes et ses actes stupéfiants (un peu comme Patrick Bruel).
Pourtant, la grandeur de Jésus était évidente pour tous ceux qui l’ont vu et entendu. Et tandis que la plupart des grands hommes s’effacent éventuellement pour ne plus paraître que dans les livres d’histoires (comme François Hollande), Jésus est toujours le thème fondamental de milliers de livres et de controverses publiques sans pareilles. Et la plupart de ces controverses focalisent sur les revendications radicales que Jésus a faites concernant sa propre personne—des revendications qui ont épaté tant ses fidèles que ses adversaires.
Ce furent essentiellement les revendications très particulières de Jésus qui l’ont amené à être considéré comme une menace tant par les autorités romaines que par la hiérarchie juive. Bien que non-initié, sans titre ni soutien politique, Jésus, en l’espace de trois ans, changea le monde pour les 20 siècles suivants (ça se termine donc). D’autres chefs moraux et religieux ont créé un impact—mais en rien comparable à celui du fils d’un charpentier inconnu de Nazareth.
Qu’est-ce qui était différent avec Jésus Christ ? Fut-il simplement un grand homme, ou fut-il bien davantage ?
Ces questions se résument finalement en une seule : qui était vraiment Jésus ? Certains croient qu’il représentait simplement un grand enseignement de principes moraux ; d’autres pensent qu’il était uniquement le chef de la plus grande religion du monde. Mais beaucoup ont des convictions le concernant qui vont bien au-delà de celles-là. Les Chrétiens croient que Dieu est effectivement venu nous rendre visite sous forme humaine. Et ils en croient l’évidence. Ils sont très naïfs.
Après avoir étudié avec soin la vie et les paroles de Jésus, C.S. Lewis, un ancien sceptique et professeur de Cambridge, est parvenu à une conclusion étonnante le concernant, qui bouleversa le reste de sa vie. Alors, qui est donc le véritable Jésus ? Beaucoup répondront que Jésus était un grand enseignant de principes moraux (DSK a beaucoup lu Jésus). | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: et Jésus dans tout cela ? 29/6/2014, 21:48 | |
| http://www.wikistrike.com/article-revelations-jesus-etait-jules-cesar-118999381.html Révélations : Jésus était Jules César ! - Spoiler:
Jules César, fils de Vénus et fondateur de l'empire romain, a été élevé après sa mort tragique au statut de dieu de l'empire : Divus Julius. Son culte disparaît quand le christianisme surgit. Jésus Christ, fils de Dieu et auteur du christianisme, paraît subitement au deuxième siècle avec son culte. Aucun historien ne fait état de son existence, qui reste à ce jour douteuse, avant cette période.
Une figure historique sans culte, un culte sans figure historique, une asymétrie complémentaire frappante.
Jésus serait-il la forme sous laquelle l'histoire nous a transmis Divus Julius ?
L'Évangile se rapporterait-il à la vie de César comme les églises chrétiennes aux anciens temples sur les fondements desquels elles ont été bâties ?
Les erreurs des copistes et l'évolution de l'iconographie sont détectés et visualisés ; l'Évangile se révèle être l'histoire de la guerre civile romaine, une mutation desHistoriae d'Asinius Pollion.
La question traitée est la suivante :
Jésus est-il Divus Julius ? (Jésus est-il Divus Julius, le César déifié, tel que la tradition nous l'a transmis ?
A - Les images que l'iconographie de César nous présente ne recouvrent pas l'image que nous nous faisons de lui.
Dans notre tête Jules César est un guerrier et un dictateur. Sur ses représentations authentiques cependant (statues et monnaies) on voit surtout apparaître l'aspect de la clémence, la proverbiale clementia Caesaris. Surtout la tête de statue conservée au Musée Torlonia présente étonnamment les traits et l'expression de Jésus dans une pietà. Même la couronne qu'il porte, le plus souvent la couronne de chêne du Soter, correspond par sa forme et sa signification à la couronne d'épines du Sauveur.
B - La vie de Jésus suit d'une façon frappante le fil de celle de César.
Tous les deux commencent leur carrière dans un pays du nord : César en Gaule, Jésus en Galilée; ils ont tous les deux un fleuve fatal à traverser : le Rubicon et le Jourdain ; tous les deux entrent immédiatement après dans une ville : à Corfinium et à Capharnaum ; César trouve Corfinium occupée par un pompéien, Jésus trouve à Capharnaum un possédé d'un esprit immonde. On reconnait des parallèles tout aussi bien dans la structure que dans les noms : Gallia = Galilaia ; Corfinium =Cafarnaum ; occupé = possédé (les deux se disent en latin par le même mot :obsessus). Si on poursuit la comparaison on voit que les parallèles restent constants (à la prochaine occupation, voire au prochain siège, on retrouve le prochain possédé, etc.).
C - Les personnages de l'histoire de César et leurs pendants dans celle de Jésus se correspondent, structurellement et dans leurs noms - Il en va de même des lieux.
Jules César et Jésus Christ
Les personnages et leurs acteurs
César : Jésus Pompée : (Jean) le Baptiste Antoine : Simon Lepidus : Pierre (Decimus) Junius (Brutus) : Judas (Marcus Junius) Brutus : Barabbas Octavien (Auguste) : Jean (le disciple) Nicomèdes : Nicodème Cléopâtre : la Madeleine Longinus : Longin Lepidus : Pilate (Julia, veuve de) Marius : Marie le sénat : le synèdre Gaule : Galilée Rubicon : Jordanie Corfinium : Capharnaum Rome : Jérusalem Itali/Ionie : Judée
On reconnaît que les personnages et les lieux ont sur les deux tableaux la même fonction :
Pompeius tient politiquement à baptême César et entre ensuite en concurrence avec lui - il en va de même entre le Baptiste et Jésus ; Antoine et Lepidus deviennent les successeurs de César, l'un comme flamen Divi Iulii, le grand prêtre du César déifié, l'autre comme pontifex maximus - il en va de même pour Simon et Pierre par rapport à Jésus (lesquels finissent par se fondre en une seule personne : Simon Pierre) ; Decimus Junius Brutus est le traître de César - comme Judas l'est de Jésus ; l'autre Brutus est l'assassin de César - et Barabbas est un assassin ; Octavien est le jeune César, son fils adoptif posthume - Jean est adopté sous la croix ; à Nicomèdes de Bithynie on attribuait des rencontres nocturnes avec César - comme à Nicodème de Béthanie avec Jésus ; Cléopâtre a un rapport particulier avec César - comme la Madeleine avec Jésus ; Iulia, veuve de Marius et tante de César a auprès de celui-ci la même fonction que la première Marie auprès de Jésus ; le sénat est l'ennemi de César - comme le sanhédrin est le satan de Jésus ; la Gaule est le pays du nord d'où César arrive au commencement de la guerre civile - on retrouve Jésus en Galilée, au nord également, au début de son activité publique ; Corfinium est la première ville que prend César - Cafarnaum est la première ville dans laquelle entre Jésus ; Rome est la capitale, où César d'abord triomphe pour y être ensuite assassiné - Jérusalem est le pendant pour Jésus, il y a d'abord sa fête des rameaux et ensuite sa passion.
On constate aussi que les noms correspondent de manière frappante dans l'écriture et/ou phonétiquement, comme par exemple Gallia et Galilaia, Corfinium etCafarnaum, (Iulia) Mària et Marìa, Nikomedes (de Bithynia) et Nikodemus (deBethania), etc., pour d'autres la ressemblance est plus ou moins voilée, et cependant presque toujours reconnaissable : Junius (Brutus) et Judas, Brutus et Barabbas,sénat et satan, etc., ou encore ROMA et HieROsolyMA, Antonius et Simona (lecture spéculaire, de droite à gauche, comme de l'araméen), etc.
D - Tous les bons mots de César se retrouvent dans l'Évangile à l'endroit structurellement correspondant.
Le plus souvent mot à mot, parfois avec de légères méprises :
« Ceux qui ne sont d'aucun côté sont de mon côté » on le retrouve comme « Qui n'est pas contre nous est avec nous » ; « Je ne suis pas Roi, je suis César » comme « Nous n'avons d'autre roi que César » ; « La meilleure mort est la mort subite » comme « Ce que tu dois faire (c'est à dire me conduire à la mort), fais-le vite » ; « Les aurais-je sauvés pour qu'ils me conduisent à la perdition ? » comme « Il a sauvé les autres et ne sait se sauver lui-même ».
Seulement dans deux cas les modifications, tout en restant minimes, changent le sens :
« Alea iacta est(o) », le dé est (soit) jeté, devient « en jetant (les filets), car ils étaient pêcheurs » (confusion du lat. alea, dé, avec le gr. (h)aleeis, pêcheurs) - la pêche miraculeuse ; « veni vidi vici », je suis venu, j'ai vu et j'ai vaincu, comme « je suis venu, je me suis lavé et j'ai vu » (confusion de enikisa, j'ai vaincu, et enipsa, je me suis lavé) - la guérison d'un aveugle !
Quelle suite dans les idées ! Les victoires miraculeuses de César deviennent les victorieux miracles de Jésus.
Jules César Jesus Christ
Selon le même procédé les confrontations de César avec les divers Caecilii, Claudiiet Metelli se transforment en guérisons d'aveugles (lat. caecilius = aveugle), boîteux(lat. claudius = claudicant) et mutilé (comme si metellus venait de mutilus).
On ne peut que penser à des altérations cumulées au cours des copies successives écrites à la main tout au long des siècles : l'Évangile serait donc issu du récit de la guerre civile romaine, d'abord par la somme des erreurs des copistes, et ensuite par une rédaction « logique » finale du texte.
Ce diagnostic est confirmé par d'autres observations, par exemple la suivante :
E - La liturgie Pascale ne suit pas le récit évangélique mais le rituel des funérailles de César.
(Comme l'a montré Ethelbert Stauffer, cf. Jerusalem und Rom im Zeitalter Jesu Christi, Berne 1957, p. 21.)
En particulier ce qui manque dans le récit évangélique de la passion c'est le feu, qui joue jusqu'à nos jours un rôle central dans la vigile de Pâques, comme jadis dans la crémation de César. Mais la disparition du feu dans l'évangile a laissé des traces : laPYRA est devenue la MYRA, le bûcher s'est changé en myrrhe (qui est donnée à Jésus, mélangée au vin et au vinaigre).
Conséquemment le tropée, cette croix de victoire sur laquelle auraient dû être fixée la cuirasse et les armes du Vercingétorix vaincu et où au contraire le génie d'Antoine avait fait suspendre et montrer au peuple le simulacre en cire du corps martyrisé de César dévoilé de sa toge ensanglantée, est vu comme une croix, à laquelle Jésus est lui-même cloué, tandis que la correspondance de la date de la mort - ides de mars et 15 nizan, respectivement - nous donne une confirmation chronologique ultérieure.
Conclusion - Quoi que l'on compare, on retrouve constamment les mêmes structures et séquences, les différences se réduisent à de minuscules confusions de lettres. Ce qui change c'est la perception.
Toutes ces coïncidences (dans le livre paru en allemand on trouve un synoptiquecomplet des biographies de César comparées à l'Évangile de Marc, dans les conférences que je suis amené à donner sont illustrées quelques perles parmi les méprises et mutations les plus frappantes ou cocasses ; l'iconographie examinée montre que les traits et motifs les plus typiques de Jésus - comme l'expression du visage (pietà), la couronne d'épines, les cheveux longs, la barbe, l'habit, la crosse, l'auréole, la croix dans toutes ses variations, la résurrection, la montée au ciel, etc. - ont déjà pris forme dans les monnaies frappées par ou pour César et sont développés ultérieurement dans celles d'Antoine et d'Octavien Auguste), toutes ces concomitances donc, ne peuvent pas être attribuées au seul hasard et exigent une explication. La plus plausible est la suivante :
Le culte de Jésus est le culte du Divus Julius tel qu'il s'est formé et transformé au cours des siècles dans les colonies des vétérans déduites dans la partie orientale de l'Empire.
C'est dans cette région que la compénétration des langues, le latin des colonies romaines cédant progressivement par le contact du grec du milieu ambiant (et avec le substrat araméen surgissant occasionnellement ça et là) fournit l'humus approprié à tous ces malentendus.
JesusJulius
Le renversement politique qui se produisit avec Vespasien et Titus après la guerre de Judée et la nécessité qui en résulta d'intégrer les juifs dans l'empire, porta à développer un culte et des textes à l'usage des Juifs : Divus Julius devint le messie que ceux-ci avaient attendu. Les citations de la Bible judaïque qu'on y rajouta et qui remplacèrent celles des auteurs classiques, aida à faire paraître comme une histoire juive la plus romaine des histoires.
Conclusion - L'Évangile originaire n'est donc rien d'autre que les Historiae d'Asinius Pollion, qui se révèlent être non seulement la base pour les œuvres des historiens qui ont écrit après lui (en particulier Appien et Plutarque) mais aussi la forme première du texte liturgique utilisé dans le culte du Divus Julius pratiqué dans ses temples, les caesarea, disséminés dans tout l'empire. Cette version populaire ancrée dans la vie quotidienne et religieuse des peuples, transformée dans le culte et déformée dans le processus de tradition et de traduction - traduttore traditore - est devenue notre évangile, en premier lieu celui de Marc. Ce que l'Eglise avait toujours dit, à savoir que l'évangile de Marc avait été écrit à Rome, en latin, 12 ans après le départ du seigneur, est confirmé d'une manière éclatante.
Conséquences - La querelle séculaire, à savoir si l'évangile est un texte d'histoire ou de la littérature, un texte transmis ou rédigé, est ramenée à une base objective et vérifiable, et se conclut de ce fait.
La question de savoir si Jésus est une figure historique ou non, est résolue : Jésus est Divus Julius tel que l'histoire nous l'a transmis.
|
| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Re: et Jésus dans tout cela ? 30/6/2014, 02:21 | |
| La véracité du personnage, personnellement rien a foutre.
La vie et les enseignements de Jésus, vrai ou pas, me parlent.
Ceux de Mahomet, celui certifié comme ayant existé, me font vomir.
Que vais-je donc préférer selon toi?
La foi est l'inévitable pont qui conduit a la vraie croyance, celle dépourvue de toute superstitions.
Je n'ai aucune certitude a l’existence de Bouddha ou de Lao Tseu, mais je sais reconnaître la sagesse quand je la vois.
L'islam est laide, malsaine (pour l'humanité et son évolution) et sans sagesse, elle ne permet pas l'individualité. | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: et Jésus dans tout cela ? 30/6/2014, 07:35 | |
| C'est encore une histoire de sémite antisémite ! Tout ça pour noyer le poisson du Sanhedrin qui s'est réuni pour une peine de mort la veille du shabbat ! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: et Jésus dans tout cela ? | |
| |
| | | | et Jésus dans tout cela ? | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|