FAITS DIVERS

Doubs : un homme blessé par un obus de la Seconde Guerre mondiale

RTL.fr

Un habitant de Pont-de-Roide, dans le Doubs, a été blessé à la main et au visage par un obus de la Seconde Guerre mondiale qui a explosé alors qu'il tentait de le désamorcer.

L'explosion d'un obus datant de la Seconde Guerre mondiale a blessé un jeune homme de 23 ans à la main et au visage, lundi 16 décembre au soir dans le Doubs, a-t-on appris ce mardi.

Cet habitant de Pont-de-Roide (Doubs) essayait de désamorcer le petit obus dans le sous-sol de sa maison, lundi aux alentours de 19H00, lorsque l'engin rouillé a explosé dans sa main gauche. Il a reçu des éclats d'obus au visage et souffre d'une fracture ouverte du poignet. Il a été transporté conscient au centre hospitalier de Belfort, et ses jours ne sont pas en danger, selon la gendarmerie.

Le jeune homme avait découvert l'obus sur un chantier, et une vingtaine de munitions datant de la dernière guerre mondiale ont également été découvertes à son domicile, a ajouté la gendarmerie.

Nîmes : le jeu-concours dégénère dans un hypermarché

leparisien.fr

Des bousculades, des menaces de mort, une plainte et une enquête. La fête a tourné à la foire d'empoigne dans un hypermarché Leclerc de Nîmes (Gard), selon le quotidien Midi-Libre.



Les faits se déroulent le 14 décembre dernier, rapporte le quotidien : l'enseigne fête l'agrandissement de ses locaux et décide d'organiser un jeu-concours sous forme de loterie.
Un animateur remet aux clients des tickets de jeu à valider dans une machine, laquelle affiche ensuite «cadeaux», «bon d'achat», «voiture» ou «perdu».

Une voiture au coeur de la discorde

L'animateur aurait laissé entendre que le principal lot, une Alfa Romeo d’une valeur de 12 000 euros, serait gagnée à partir de 17 heures. C'est alors que l'excitation monte que la file, pourtant encadrée par des barrières et vigiles. Un groupe de jeunes se serait immiscé dans la queue sans attendre son tour, et l'un d'eux aurait remporté finalement la voiture tant convoitée, a témoigné une cliente qui a finalement porté plainte.

Selon celle ci, sa mère «a crié que tout cela était truqué. Ces jeunes l’ont alors injuriée et l’un d’entre eux, qui était un copain du gagnant, a jeté une barrière dans sa direction. Il a voulu la frapper et avant qu’il n’y parvienne, je me suis interposée. Il m’a donné un coup de pied puis m’a écrasé la cheville assurant qu’il allait me buter», a-t-elle raconté à Midi-Libre. Une enquête a été ouverte suite au dépôt de plainte.

Gênée et dépassée par les événements, la direction de Leclerc assure que pour le prochain jeu, ils mettront à disposition des joueurs une urnes pour les tickets.

Ils agressent un handicapé mental et postent la vidéo sur Facebook

nouvelobs.com

Deux mineurs, âgés de 14 et 15 ans, ont été placés garde à vue à Grenoble après avoir publié sur Facebook la vidéo de leur agression.



Les deux jeunes sont suspectés d’avoir humilié "un jeune homme, souffrant d’une légère déficience mentale, dans le parc de La Poya à Fontaine, en présence de plusieurs autres personnes", écrit le quotidien. Une personne, présente sur place, a filmé la scène et a posté sur les réseaux sociaux dans la nuit de dimanche à lundi.

"Sur les images, on voit en effet le jeune homme, l’air hagard, se faire bousculer avant d’être poussé dans un plan d’eau dont il ressort aussitôt, mouillé jusqu’aux genoux", relate "Le Dauphiné Libéré".

Sur le film, qui dure une minute et 23 secondes, posté sur le profil Facebook d'un des auteurs présumés, on découvre deux jeunes en train de mettre au sol leur victime tout en lui tenant le bras, décrit Europe 1.

"L'un d'eux jette ensuite la capuche du blouson du jeune homme à terre dans un bassin situé quelques mètres plus bas. Les deux amis le brusquent ensuite tout lui en intimant de se lever avant de précipiter le jeune homme dans l'eau, qui se retrouve mouillé dans la mare jusqu'aux genoux."

Des internautes "scandalisés" ont publié les commentaires pour dénoncer les faits et ont alerté le "portail officiel de signalement des contenus illicites d'internet", la plateforme du Ministère de l’Intérieur pour signaler les abus sur le web.

"La vidéo et le compte de l'auteur présumé ont été signalés 60 fois sur la plateforme du ministère", selon Europe 1. "L'agresseur présumé s'étant enregistré sur le réseau social sous un pseudonyme, il a fallu un concours de circonstance pour l'identifier."

"Les policiers grenoblois ont alors été saisis de l’affaire et ont rapidement localisé la scène avant d’identifier la victime", écrit le journal. La victime est un jeune majeur pris en charge par une structure d’accueil pour handicapés.

Ghana : Bagarre entre deux hommes, un pénis mordu !

koaci.com

Un jeune ghanéen est assigné en justice à Jusao pour avoir mordu le pénis de son frère pendant leur bagarre. L’incident est né du boycott de l’accusé de contribuer aux frais de facture d’électricité.



Après avoir comparu au tibunal, Adjei Amponsah, l’accusé a été libéré sous caution contre le paiement d’une somme de 6.000 Ghana cedis soit environ 127.000 F cfa.

Pour sa défense, Adjei a plaidé non coupable dans cette affaire et selon l’agence de presse nationale GNA, il est appelé à recomparaître en justice le 7 février 2014.

Des dessous de cette affaire selon le rapport de la Police, il ressort qu’un malentendu existait entre les deux frères. Ce différend porte sur le partage des frais d’électricité entre Kwaku Amponsah, la victime, d’avec son frère Adjei Amponsah, l’accusé. Les deux frères résident au domicile familial à Patriensa, une localité près de Konongo, dans la région Ashanti.

Des dessous de cette bagarre, il est révélé que l’accusé n’aime pas contribuer à chaque fois qu’il lui est demandé de payer sa part d’électricité consommée.

S’étant entendu pour s’asseoir et discuter de leurs problèmes de factures d’électricité des mois d’octobre et de novembre 2013, les discussions n’ont pu aboutir. Un antagonisme a pris le dessus sur les échanges.

C’est au cours de la bagarre qu’Adjei a saisi le pénis de son frère Kwaku avec ses dents et l’a malheureusement mordu. Selon des témoins, la victime a saigné avant d’être transporté à l’hôpital de Konongo pour soins.

Rappelons qu’après la fin du long délestage qui a secoué le Ghana l’année dernière, des ménages à Accra se plaignent que le courant est devenu très cher avec les compteurs prépayés. Cette situation est souvent la cause des disputes dans des cours où les locataires ont un seul compteur.

Un père tue son fils d'une balle en plein cœur

ladepeche.fr

Un père de famille de 59 ans a tué son fils par arme à feu, peu avant 1 heure, dans la nuit de samedi à dimanche à Ondes (Haute-Garonne). Une dispute qui a dégénéré est à l’origine de ce drame familial.



Un terrible drame familial s’est noué, dans la nuit de samedi à dimanche, dans un petit pavillon à l’entrée d’Ondes, une commune de 700 âmes, dans l’Ouest du département. Pour une raison que l’enquête devra déterminer, un père de famille de 59 ans, Michel Berthomé, a tué son fils, Guillaume, âgé de 29 ans d’un coup de carabine.

Il était 0 h 50, lorsque les secours ont été prévenus. Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers comme le Samu n’ont pu que constater le décès de la victime, touchée en plein thorax.

Le père et le fils avaient passé une soirée familiale dans la salle des fêtes communale. Tout s’était bien déroulé jusqu’à ce que le ton monte entre les deux hommes. De fil en aiguille, la discussion est devenue très violente.

Michel Berthomé a fini par quitter la soirée pour regagner son domicile, 10 rue de Castelnau, à l’entrée du village. Mais son fils l’a suivi. Là, dans le huis clos de cette maison de plain-pied, la dispute a repris et le ton est encore monté. Le père de famille a fini par empoigner sa carabine 22 long rifle. Il a tiré une seule fois, «de très près, a précisé hier le procureur de la république de Toulouse, Michel Valet. Il a atteint la région du cœur.»

La jeune victime, un mécanicien dans les travaux publics, n’a pas survécu à sa blessure. Son père a été interpellé par les gendarmes et placé en garde à vue. Hier, en fin de matinée, encadré par les militaires, il est retourné sur les lieux du drame afin de préciser davantage encore ses déclarations. «Le motif de la dispute est comme souvent difficile à démêler», a souligné le procureur. Une autopsie du corps doit être pratiquée aujourd’hui.

Hier, les voisins de la famille étaient surpris en apprenant les faits. «C’était une famille unie, installée depuis longtemps ici. Guillaume, nous l’avons vu grandir. C’était un garçon plutôt réservé.»

L’enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse-Mirail et à la brigade de Grenade.