Ils Nous ont Quittés

Rappel du premier message :

Mara-des-bois a écrit:

andre a écrit:

C'est ainsi qu'un de ses amis s'est autorisé un mot d'esprit durant les derniers jours du chanteur : " Qu'il était vert mon vallée " ... parodiant ainsi avec humour Richard Llewellyn.

Il est vrai qu'avec toutes ses chimios ...    

Noooon, vous connaissez ça, vous ?
Vous etes vraiment beaucoup beaucoup plus vieux que je ne croyais...


Mab

Hein ?   

Hommage à Simone Veil

A cause des excès journaleux et politicards, je fais finir par la trouver antipathique . Trop, c'est trop !

PS : j'ai entendu l'hommage dithyrambique de Sarko : "Elle était partisante de...." Ça sonne bizarre...

À force de tergiverser sur la forme féminine de l'adjectif (partisane chez Robert, partisante chez Larousse version électronique), il était écrit que l'on finirait par ne plus savoir orthographier le substantif.

Emprunté de l'italien partigiano, lui-même dérivé de parte (« partie ; parti »), ledit substantif s'est d'abord écrit partysan, selon le Dictionnaire historique. La forme féminine partisane, attestée dès la fin du XVe siècle, fut aussi bien employée comme substantif que comme adjectif : Vous n'aviez point de partisane plus sincère (Voltaire). Telle estoit lors l'affection partisane (Agrippa d'Aubigné, cité par Littré). Toutefois, note Thomas, « l'usage de ce féminin se perdit et l'on vint même à en critiquer l'emploi ; ce qui amena la forme barbare partisante réservée au style très familier », par analogie avec les mots en -ant. Et les spécialistes de se gausser de la séduisante Ninon de Lenclos, qui écrivit en son temps : Comme femme, je suis partisante des modes.

De nos jours, l'Académie, après avoir longtemps considéré partisan comme exclusivement masculin à l'instar de témoin (Elle en est un bon témoin → Elle en est un fervent partisan), s'est enfin résolue à tolérer la forme partisane comme nom (pour désigner une personne qui soutient un parti, se déclare en faveur de quelqu'un) – en la qualifiant toutefois de rare – et comme adjectif (qui se dit de quelqu'un qui témoigne d'un certain parti pris), mais le mal est fait : le t injustifié de l'adjectif partisante a fini par rejaillir sur le substantif. À la décharge de notre journaliste, la graphie partisant se serait rencontrée sous la plume de Richelieu, mais Girodet n'en a cure et recommande d'« éviter absolument la forme incorrecte partisante ».

Il ne reste donc plus qu'à en prendre son parti : partisan(e) s'écrit comme courtisan(e).

701 -

Nissa la Bella a perdu une de ses plus illustres enfants. Coundouleança.

(Féminisation hystérique : c'est la faute des partis ânes !)

703 -

kalawasa a écrit:

Vous avez raison, Eddie : cette féminisation hystérique, obligatoire, paritaire est complètement débile ,
et à terme, elle sera contre-productive !

Cher Kalawasa bonjour,

Je souscris à votre point de vue. C'est, comparativement à l'informatique de tous le jours,
créer des sous-dossiers dans les dossiers. Or dans sous-dossiers il y a sous...

Question falabraque : un bloc-notes (blog pour les Francaouis) tenu par un alcoolique
contient-il nécessairement des saouls-dossiers ?

705 -

Eh oui ! Et c'est comme cela que l'on se retrouve au ban(c) de la société... Renversant !

kalawasa, qui vit hyyyyper dangereusement, a écrit:

Vous avez raison, Eddie : cette féminisation hystérique, obligatoire, paritaire est complètement débile ,
et à terme, elle sera contre-productive !

J'ai longtemps pensé comme vous : parité obligatoire, et gnagnagna, bah on va y arriver autrement, on sera mal vues, et puis il y a bien des mecs avec un cerveau qui soutiennent celles qui en veulent etc. Tu parles. Il est urgent d'attendre, oui.
Alors qu'est ce qu'on en a à battre d'etre "mal vues", franchement ?

Si on ne defonce pas la porte, rien ne se passe. Il semblerait que les latins aient en commun avec l'islam une espece de gene qui se transmet de pere en fils pour considerer la personne de sexe feminin comme une eternelle mineure, officiellement devouée à la reproduction et la vaisselle, avec de temps en temps une option intellectuelle ou artistique mais-point-trop-n'en-faut.

Comprenez : il n'est pas question de faire de la femme un etre superieur posé sur un piedestal, lui donnant le droit d'exprimer tous ses supposés caprices. Non, juste se souvenir qu'elle represente une moitié de l'humanité, et une moitié largement baillonnée et sous-estimée.
Il faut lui donner les memes droits et possibilités que les hommes. Ce n'est pas le cas actuellement. Il ne s'agit pas d'une histoire d'aspirateur ou de cuisine à partager parce que nous autres, pauvres menagères, souffrons d'etre les larbins, ça, c'est chacun et chacune qui voit. Non, je vous parle de sujets importants, serieux et determinants.
Les femmes sont moins payées que les hommes à travail egal.
Un homme peut donner son sperme pour repeupler la planete sans autre consentement que celui de sa conscience, mais une femme doit obligatoirement recueillir le consentement de son bipede à penis pour offrir ses ovocytes.

... Entre autres exemples, je ne developperais pas sur les carrieres bloquées des femmes parce qu'elles sont des femmes, et donc sujettes à toutes sortes de fragilités dans l'esprit brumeux des decideurs prehistoriques mal elevés par leurs propres meres.

Alors feminisation hysterique ? L'adjectif n'est pas anodin, vous ne pensez pas ?
Numerotez vos abattis, Kala, les jolies minettes des generations qui montent vont vous manger tout cru, bruler vos memoires de male dominant, et je vous promets de leur dire que c'est contre-productif


Mab -sissi, promis, je leur dirais, parce-que je vous aime bien-

Mara-des-bois a écrit:

[
... Entre autres exemples, je ne developperais pas sur les carrieres bloquées des femmes parce qu'elles sont des femmes, et donc sujettes à toutes sortes de fragilités dans l'esprit brumeux des decideurs prehistoriques mal elevés par leurs propres meres.

Mab -sissi, promis, je leur dirais, parce-que je vous aime bien-

Dans la boite de ma petite femme (avec qui je célèbre en ce jour notre 24ème anniversaire )ce sont celles qui ne couchent pas qui vient leur ascension stoppée ... bilan, les femmes qui ont les postes les plus élevés sont totalement incompétentes pour la mission qui leur est confiée et ma petite femme se retrouve à driver sa n+1 ... ... affligeant

une vanne à la façon Hollande :

pour ses obsèques : en voiture Simone !

quantat a écrit:

Dans la boite de ma petite femme (avec qui je célèbre en ce jour notre 24ème anniversaire )ce sont celles qui ne couchent pas qui vient leur ascension stoppée ... bilan, les femmes qui ont les postes les plus élevés sont totalement incompétentes pour la mission qui leur est confiée et ma petite femme se retrouve à driver sa n+1 ... ... affligeant

24 ans ? Bon anniversaire !
Que vous etes jeunes !

-----


Pour les collegues de ta chere et tendre, on pourrait peut-etre leur confier des jobs davantage dans leurs strings, pardon, cordes ?


Mab, boite à idées

702 -

La parité par l'orthographe de la langue française me semble un biais très mal tenu.

Très souvent, dans l'hystérie de vouloir transposer un terme qui jusqu'ici était du genre masculin - ou neutre
parfois - en une version féminine a conduit à des abérrations sémantiques, syntaxiques et sémiologiques.

Hérésies pour les puristes du canon de notre langue, sujet de dérision jusqu'au ridicule pour les moins à
cheval sur les préceptes académiques des belles lettres.

Il existe - ou plutôt existait - des règles installées par l'usage pour créer la forme féminine des substantifs
et des adjectifs.

La difficulté est de concilier la graphie et la prononciation, ce qui n'est pas forcément symétrique en français.
Par exemple placer un e en fin d'un mot masculin, si celui-ci n'est pas terminé par un e, donne un résultat
qui souvent ne se remarque pas en parlant si l'article qui précède le mot n'est pas employé. Par exemple
la dame de monsieur ours s'appelle ourse, quelle soit grande ou petite phonétiquement c'est pareil.

D'autre part comment féminiser un mot masculin terminé par un e (soit dit en passant, il faudrait dire
une e puisqu'il s'agit d'une lettre de l'alphabet) ? L'astuce consisterait à le faire précéder par un
article défini ou indéfini féminin : un aigle, une aigle. Sauf qu'une aigle ce n'est pas obligatoirement une
madame aigle, mais c'est aussi un emblème héraldique couronnant la hampe d’un drapeau ou d’armoiries.
Le contexte pourra espliciter l'acception à retenir.

Il y a des noms de fonctions ou de professions qui connaissent un féminin, mais qui parfois en lui-même
est perçu comme un déclassement. La doctoresse par exemple, une forme féminine tout à fait académique
du mot docteur, semble dans la considération générale - qui serait plutôt un manque de considération - d'un
statut inférieur à celui de docteur. Encore que docteur ne soit au départ qu'un titre universitaire. Il faudra
plutôt se référer au terme médecin qui est dévolu à ce métier. Mais s'il y a un médecin, une médecine
n'est pas une dame médecin. Alors appelons-la une docteure. Ecrit ça passe, prononcé c'est inaudible.
Je me plairais à lui dire Madame, comme à la reine d'Angleterre, c'est plus déférent.

Que dire des titres et des privilèges qui pour l'heure ne connaissent -connaissaient- que le genre masculin ?
L'on se perdrait en conjectures. Par exemple écrire une majore de promotion est contre nature, puisque ce
n'est pas la forme latine du mot major (le premier.) Son dérivé la majeure serait syntaxiquement plus
juste, mais serait-il accepté ?

Dans les grades militaires la forme féminine est carrément ridicule. Une sergente, une lieutenante, c'est
ridicule. Que dire d'une colonelle censée être non pas colonel mais l'épouse du colonel. Idem pour une
générale ou maréchale... La cohérence s'impose. Pas d'hystérie svp. N'usons pas de cette cuisine qui ferait
de la matelote le féminin de matelot !

Et que dire des mots d'êtres vivants qui sont d'emblée du genre féminin ? Pour parler du mari de la baleine
faudrait-il retirer le e de la fin  et l'appeler le balein. Ballot n'est-ce pas ?

Et la nouvelle écrivaine serait-elle d'une veine différente de l'écrivain ?

Du tac et de la mesure dans l'usage de règles, non pas douloureuses, mais supportables.

Pardonnez-moi, Dame Simone.

kalawasa a écrit:

Mab a écrit:

Il semblerait que les latins aient en commun avec l'islam .....

Vous n'avez pas l'impression que vous envoyez le bouchon un peu trop loin ?
Vous noterez sur l'image ci-dessous qu'il a 7 hommes (disons...bipèdes) et une femme qui se coltine 3 gosses et un bagage ....Culture latine ?  



Le multiculturalismei salvateur est en marche et va éliminer les machos latins !

Vous etes sur de vouloir me relancer sur le sujet ?

Prenez les chiffres europeens sur les femmes battues, sachant qu'on considere que les cas des femmes issues de l'immigration musulmane sont sous evalués car elles ne portent pas plainte (c'est culturel, leur inferiorité est ecrite et sacrée).
La France, l'Espagne, l'Italie sont tres competitives en matiere de coups et blessures sur femelles. Et je ne parle pas du Portugal. En France, une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son bien-aimé, en Italie, une tous les trois jours.

Alors pour etre honnete, remplacer les machos latins par les abrutis multiculturaux ne changeraient pas grand chose au sort des sparring partners.


Mab

149 000 hommes ont été victimes de violences au sein de leur couple en 2012 et 2013, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (qui s'appuie l'enquête de victimisation « cadre de vie et sécurité »).
398 000 Sur la même période, les femmes étaient toutefois bien plus nombreuses à se déclarer victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint et de leur ex-conjoint.

Vous voudriez peut-être 398 000 hommes battus, pour une sombre histoire hystérique de parité ?

et,désolé, j'ai fais une citation du message de Mab en y incluant mon commentaire
mais comme j'avais envoyé et ai voulu supprimer , le message de Mab a disparu avec.

je demande humblement pardon à tatie Mab

donc,en réponse au message de Mab dans lequel elle affutait
la poële en fonte , voici

Si on part du principe que les femmes sont plus chétives et se plaignent donc
plus aisément qu'un homme qui reçoit un coup et qui ne s'en plaint pas je crois
plutôt à une vraie parité dans ce domaine.
cqfd

Charly a écrit:

et,désolé, j'ai fais une citation du message de Mab en y incluant mon commentaire
mais comme j'avais envoyé et ai voulu supprimer , le message de Mab a disparu avec.

je demande humblement pardon à tatie Mab

"Je ne pardonne pas, je tue", disait mon grand-père.
Dieu merci, je ne suis pas un homme, mais pour le coup, je te suggere de rejoindre Kalawasa sur le banc des volontaires designés d'office à la parité des coups & blessures


Mab

Charly a écrit:

donc,en réponse au message de Mab dans lequel elle affutait
la poële en fonte , voici

Si on part du principe que les femmes sont plus chétives et se plaignent donc
plus aisément qu'un homme qui reçoit un coup et qui ne s'en plaint pas je crois
plutôt à une vraie parité dans ce domaine.
cqfd

C'est moi que tu traites de chetive qui se plaint ?

Mab

Lawrence a écrit:

Requiescant in pace

cher ami elle le mérite !

coco!

kalawasa a écrit:

A cause des excès journaleux et politicards, je fais finir par la trouver antipathique . Trop, c'est trop !

PS : j'ai entendu l'hommage dithyrambique de Sarko : "Elle était partisante de...." Ça sonne bizarre...

À force de tergiverser sur la forme féminine de l'adjectif (partisane chez Robert, partisante chez Larousse version électronique), il était écrit que l'on finirait par ne plus savoir orthographier le substantif.

Emprunté de l'italien partigiano, lui-même dérivé de parte (« partie ; parti »), ledit substantif s'est d'abord écrit partysan, selon le Dictionnaire historique. La forme féminine partisane, attestée dès la fin du XVe siècle, fut aussi bien employée comme substantif que comme adjectif : Vous n'aviez point de partisane plus sincère (Voltaire). Telle estoit lors l'affection partisane (Agrippa d'Aubigné, cité par Littré). Toutefois, note Thomas, « l'usage de ce féminin se perdit et l'on vint même à en critiquer l'emploi ; ce qui amena la forme barbare partisante réservée au style très familier », par analogie avec les mots en -ant. Et les spécialistes de se gausser de la séduisante Ninon de Lenclos, qui écrivit en son temps : Comme femme, je suis partisante des modes.

De nos jours, l'Académie, après avoir longtemps considéré partisan comme exclusivement masculin à l'instar de témoin (Elle en est un bon témoin → Elle en est un fervent partisan), s'est enfin résolue à tolérer la forme partisane comme nom (pour désigner une personne qui soutient un parti, se déclare en faveur de quelqu'un) – en la qualifiant toutefois de rare – et comme adjectif (qui se dit de quelqu'un qui témoigne d'un certain parti pris), mais le mal est fait : le t injustifié de l'adjectif partisante a fini par rejaillir sur le substantif. À la décharge de notre journaliste, la graphie partisant se serait rencontrée sous la plume de Richelieu, mais Girodet n'en a cure et recommande d'« éviter absolument la forme incorrecte partisante ».

Il ne reste donc plus qu'à en prendre son parti : partisan(e) s'écrit comme courtisan(e).

c'est tout ce que vous suggère la mort d'une grande dame française ?

pour moi votre phrase :"A cause des excès journaleux et politicards, je fais finir par la trouver antipathique . Trop, c'est trop !" a un gout douteux !

qu'est-ce qui vous dérange le plus ?

qu'elle soit femme ?

qu'elle soit une femme respectable et respectée ?

où que pour un raciste patenté comme vous qu'elle soit une femme JUIVE remarquable ?

coco!

Mara-des-bois a écrit:

kalawasa, qui vit hyyyyper dangereusement, a écrit:

Vous avez raison, Eddie : cette féminisation hystérique, obligatoire, paritaire est complètement débile ,
et à terme, elle sera contre-productive !

J'ai longtemps pensé comme vous : parité obligatoire, et gnagnagna, bah on va y arriver autrement, on sera mal vues, et puis il y a bien des mecs avec un cerveau qui soutiennent celles qui en veulent etc. Tu parles. Il est urgent d'attendre, oui.
Alors qu'est ce qu'on en a à battre d'etre "mal vues", franchement ?

Si on ne defonce pas la porte, rien ne se passe. Il semblerait que les latins aient en commun avec l'islam une espece de gene qui se transmet de pere en fils pour considerer la personne de sexe feminin comme une eternelle mineure, officiellement devouée à la reproduction et la vaisselle, avec de temps en temps une option intellectuelle ou artistique mais-point-trop-n'en-faut.

Comprenez : il n'est pas question de faire de la femme un etre superieur posé sur un piedestal, lui donnant le droit d'exprimer tous ses supposés caprices. Non, juste se souvenir qu'elle represente une moitié de l'humanité, et une moitié largement baillonnée et sous-estimée.
Il faut lui donner les memes droits et possibilités que les hommes. Ce n'est pas le cas actuellement. Il ne s'agit pas d'une histoire d'aspirateur ou de cuisine à partager parce que nous autres, pauvres menagères, souffrons d'etre les larbins, ça, c'est chacun et chacune qui voit. Non, je vous parle de sujets importants, serieux et determinants.
Les femmes sont moins payées que les hommes à travail egal.
Un homme peut donner son sperme pour repeupler la planete sans autre consentement que celui de sa conscience, mais une femme doit obligatoirement recueillir le consentement de son bipede à penis pour offrir ses ovocytes.

... Entre autres exemples, je ne developperais pas sur les carrieres bloquées des femmes parce qu'elles sont des femmes, et donc sujettes à toutes sortes de fragilités dans l'esprit brumeux des decideurs prehistoriques mal elevés par leurs propres meres.

Alors feminisation hysterique ? L'adjectif n'est pas anodin, vous ne pensez pas ?    
Numerotez vos abattis, Kala, les jolies minettes des generations qui montent vont vous manger tout cru, bruler vos memoires de male dominant, et je vous promets de leur dire que c'est contre-productif


Mab -sissi, promis, je leur dirais, parce-que je vous aime bien-

bravo !

merci !

de tout cœur avec vous !

coco!

quantat a écrit:

Mara-des-bois a écrit:

[
... Entre autres exemples, je ne developperais pas sur les carrieres bloquées des femmes parce qu'elles sont des femmes, et donc sujettes à toutes sortes de fragilités dans l'esprit brumeux des decideurs prehistoriques mal elevés par leurs propres meres.

Mab -sissi, promis, je leur dirais, parce-que je vous aime bien-

Dans la boite de ma petite femme (avec qui je célèbre en ce jour notre 24ème anniversaire )ce sont celles qui ne couchent pas qui vient leur ascension stoppée ... bilan, les femmes qui ont les postes les plus élevés sont totalement incompétentes pour la mission qui leur est confiée et ma petite femme se retrouve à driver sa n+1 ... ... affligeant

quoi vous aussi déblatérer sur les femmes !

juste deux exemples qui vous monterons votre erreur !

madame Curie prix Nobel dont beaucoup lui doivent leur vie !

et Madame Golda Meir notre remarquable premier ministre qui sut calmer les généraux israéliens pendant la guerre de kippour
.........................................

coco!

Franchement, Coco, Kala n'est pas raciste.
Tout l'excede, soit, et son seuil de tolerance à toute forme d'hommage, d'honneur, de courbettes est (tres) bas, mais ça ne fait pas de lui un antisemite ou je ne sais quoi. Ce n'est pas Simone qui l'agace, plutot le battage mediatique autour de son deces, si j'ai bien saisi.
Battage d'autant plus hypocrite que la pauvre femme souffrait de la maladie d'Alzheimer, ce qui est tu comme si c'etait une maladie honteuse, et que par exemple, il semble hors de question de rappeler, pour ne pas "ternir" un parcours courageux, qu'elle a defilé contre le mariage homosexuel. Comme si elle n'avait pas le droit d'etre contre !
Bref.


C'est pour ça que Kalawasa vit retiré dans les montagnes - peut-etre avec des kalawasettes, on ne sait pas... - et qu'on lui donne acces à l'electricité 2 heures par jour.
Sinon, il serait encore plus enervé.

(Et au passage, Quantat non plus n'est pas un redoutable sexiste )


Mab

Mara-des-bois a écrit:

Franchement, Coco, Kala n'est pas raciste.
Tout l'excede, soit, et son seuil de tolerance à toute forme d'hommage, d'honneur, de courbettes est (tres) bas, mais ça ne fait pas de lui un antisemite ou je ne sais quoi. Ce n'est pas Simone qui l'agace, plutot le battage mediatique autour de son deces, si j'ai bien saisi.
Battage d'autant plus hypocrite que la pauvre femme souffrait de la maladie d'Alzheimer, ce qui est tu comme si c'etait une maladie honteuse, et que par exemple, il semble hors de question de rappeler, pour ne pas "ternir" un parcours courageux, qu'elle a defilé contre le mariage homosexuel. Comme si elle n'avait pas le droit d'etre contre !
Bref.


C'est pour ça que Kalawasa vit retiré dans les montagnes - peut-etre avec des kalawasettes, on ne sait pas... - et qu'on lui donne acces à l'electricité 2 heures par jour.
Sinon, il serait encore plus enervé.

(Et au passage, Quantat non plus n'est pas un redoutable sexiste   )


Mab

quoi kala n'est pas raciste ? !!!!!!!!!

d'être obsédé par les musulmans comme Kala ne fait pas des lui un raciste ?

pour moi il n'y a pas que l'antisémitisme qui est raciste !pour moi est raciste toute personne qui a la haine et le mépris pour tous ceux qui sont différents !

qu'ils soient noirs, arabes, jaunes ou handicapés vieux ou femmes! n'ont pas le droit d'être méprisés ou hait !

coco!