Billets d'humeur

Je suis déçu, très déçu, terriblement déçu...

J'avais posté récemment un extrait du célèbre film "Les galettes de Pont-Aven" .

Cet extrait est une anthologie du cinéma français, interprété par un des meilleurs acteurs au monde (et je ne parle pas du sublime jeu de l'actrice...
J'espérais secrètement que cette séquence susciterait des réactions...Oh, certes pas des compliments, mais des remarques dans le genre "gros dégueulasse" ou "pervers pépère"....même pas !
Mais Nom de Dieu de putain de bordel de merde (célèbre locution de l'acteur), la vie, c'est quand même ÇA , non ?
La vraie vie , ce n'est pas Hamon, Macron, Fillon,Trump....., mais ÇA (évidemment pas que...)
Et si ces politicards se battent pour le pouvoir, c'est pour ÇA ! Quantat, médecin de l'âme, vous le confirmera !
Cette apathie , cet "encroûtage" m'inquiètent . Serait-ce de la retenue, de la pudeur, du dégoût, ou alors du désintérêt (beaucoup plus grave... )

PS : j'avais posté la séquence dans le fil "Club des votants de droite", pensant toucher un max de monde !

https://youtu.be/-NO6_w2YV7M?t=236

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Cher Kalawasa bonjour,

J'avais visionné le lien vers l'estrait des Galettes de Pont-Aven que vous aviez collé dans le fil cité, et j'en suis resté dessus, sur l'objet de la scène.

Ajouter une émotion quelconque sur du sublime revenait à l'altérer. A l'arrêt sur ces fesses, je me suis tu.

Ni retenue, ni pudeur, mais instant extatique à la pensée de cette merveille de la nature où la main de l'honnête homme peut prendre son pied.

Vous avez éveillé en moi l'esthète contemplatif, Cher Kalawasa.

kalawasa a écrit:

Je suis déçu, très déçu, terriblement déçu...

J'en suis navrée pour vous, Kala, mais il ne faut pas vous mettre dans cet etat. Vous avez peut-etre des dons en peinture, ne desesperez pas.

Et lisant le mot d'Eddie, je trouve toute la sagesse du dicton qui dit que lorsque le sage montre la lune, le fou regarde le doigt.



Mab

Et les sages de la papille qui respectent les traditions régionales séculaires, nourriront de fortes pensées qui engendreront même, qui sait, de succulentes égrégores...

Biloulou a écrit:

Et les sages de la papille qui respectent les traditions régionales séculaires, nourriront de fortes pensées qui engendreront même, qui sait, de succulentes égrégores...

Biloulou, il se passe quelque chose avec l'egregore ? Tu viens de decouvrir le mot ou tu es tombé amoureux de Victor Hugo ?
Quel rapport avec le cul que reve de peindre Kalawasa ? (Tu ne confondrais pas avec "La grande bouffe " ?)


Mab -tant de questions, si peu de reponses-

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Et les sages de la papille qui respectent les traditions régionales séculaires, nourriront de fortes pensées qui engendreront même, qui sait, de succulentes égrégores...

Biloulou, il se passe quelque chose avec l'egregore ? Tu viens de decouvrir le mot ou tu es tombé amoureux de Victor Hugo ?
Quel rapport avec le cul que reve de peindre Kalawasa ? (Tu ne confondrais pas avec "La grande bouffe " ?)
Mab -tant de questions, si peu de reponses-

kalawasa a écrit:

Biloulou a écrit:

de succulentes égrégores.

Cher Biloulou,
                         Je vais être bref pour la simple raison que je n'ai plus de mots ! . Une telle digression frise le sublime : partir d'une anatomie goulument décrite par notre esthète Eddie et un peu plus crument par maitresse Mab pour en arriver à l'élégore ésotérique sionisto-maçonnique et au saut quantique est d'une qualité exceptionnelle ! Ça c'est du forum ! J'en suis bouleversifié...
Ah nom de Dieu de putain de bordel de merde , que c'est bon de ne pas se sentir seul...  

Que je vous explicasse.

Le rapport n'a rien de charnu, c'est Pont Aven.

Il y a de longues années, j'ai fait connaissance du mot "égrégore", c'était dans un récit fantastique, rien à voir avec Victor, d'après mes souvenirs.
Ce mot, à significations diverses y était utilisé comme une pensée/force/objet, c'est à dire, un ensemble de pensées synchrones qui entraient en vibration harmonique, se renforçaient, au point de prendre une vie propre voire même une forme matérielle.
Cette signification me plaisait beaucoup, je l'ai retenue pour l'avenir.

Dans mon histoire (peut-être du Borges ?) une crainte inexplicable, irraisonnée, vite devenue angoisse, s'était emparée d'un village isolé, au point de prendre forme et vie propre : une sorte de gigantesque chauve-souris menaçante dont les ailes ouvertes couvraient le patelin en entier. La nuit, évidemment.

De là à ce que les pensées suscitées par Pont Aven prennent la forme de ces délicieuses galettes...  

(Si vous ne les aimez pas, vous pouvez vous les mettre où vous voulez....)

Jean-Pierre Marielle sur la fin..... Adorable...

Excellent, on s'y reconnaitrait presque !

(C'est Lawrence ?)

Biloulou a écrit:

Excellent, on s'y reconnaitrait presque !

(C'est Lawrence ?)

Voici Lawrence l y a peu dans le Wadi Rum.......

Lawrence a écrit:

Voici Lawrence l y a peu dans le Wadi Rum.......

Les cornes sont plus plates que d'habitude, mais bon...

kalawasa a écrit:

Trop le dégoût, trop la rage du lavage de cerveau suivi du bourrage de crâne politico-médiatique...
De plus, LP déconne !
Il pleut : je vais faire un tour en forêt    Bye...

bonne balade Kala, ne regardez pas les infos, c'est déprimant

kalawasa a écrit:

Trop le dégoût, trop la rage du lavage de cerveau suivi du bourrage de crâne politico-médiatique...
De plus, LP déconne !
Il pleut : je vais faire un tour en forêt    Bye...

Quoi ? LP déconne ? Comment ça ? Tous les sociétaires ne se ressemblent pas....  
Il pleut aussi à WSL, mais le bois sauvage devant  chez moi n'est plus.

Tu ne sais pas la chance que tu as...

kalawasa a écrit:

Il pleut : je vais faire un tour en forêt    Bye...

eh ! dans un mois le printemps revient

Ça c'est vrai, ça...

Ça c'est vrai, ça...

Je dirais même plus...

Ça alors, le premier avatar de Sylvette !

                 
 Il fallait s’y attendre… C’est l’une des conséquences de la réforme des régions : l’Alsace disparaît des écrans radar. La nouvelle édition du manuel scolaire d’histoire-géographie de Hachette ne mentionne plus l’Alsace dans les cartes des nouvelles régions administratives (page 240), ce qui était prévisible. Mais, plus étonnamment, l’Alsace n’existe plus sur la carte des reliefs du pays (page 241), qui mentionne pourtant encore les Vosges et la Lorraine.
             
    L’effacement de l’Alsace des programmes scolaires va de pair avec d’autres mesures prises par la région Grand Est. Depuis le 1erjanvier 2017, les plaques d’immatriculation sont estampillées « Grand Est » et les annonces dans les trains TER ont substitué le terme « Grand Est » à celui d’« Alsace ».
               
  L’Alsace en tant que telle est rayée également des statistiques : les publications économiques régionales ignorent, désormais, l’économie alsacienne. Ainsi, l’INSEE regroupe ses publications régionales dans une rubrique « acalienne »(ACAL pour Alsace-Champagne-Ardennes-Lorraine).
               
   Mais il y a plus grave : voilà que nos jacobins du Grand Est veulent, également, faire sortir l’Alsace de l’Histoire… Annoncée comme une réforme purement administrative, qui ne changerait rien à l’identité et au quotidien des gens, il s’agit bien d’une tentative d’imposer une nouvelle identité. La preuve : en 2017, l’assemblée du Grand Est souhaite « donner corps à une politique mémorielle qui puisse s’appliquer sur l’ensemble du territoire régional », à travers la mise en place d’un Comité d’histoire régionale du Grand Est. En clair, il s’agit de créer de toutes pièces une histoire régionale du Grand Est, en effaçant l’Alsace (idem pour la Lorraine) partout où c’est possible…
                 
 Une usurpation d’identité, en quelque sorte, d’ethnocide culturel dont l’historien tchèque Milan Hübl avait dénoncé le mécanisme :
               
  « Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. »

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                   Les futures générations ignoreront totalement que l’Alsace, ou la Lorraine, ont existé un jour. Leur disparition semble en bonne voie.

Les élus, de la base jusqu'au sommet, sont des fumiers, des lâches, des crevures, veuls et vénaux ! Qu'ils aillent en enfer !

Je comprends que la population concernée se sente flouée, trahie, face à ce génocide identitaire.
Je n'ose exprimer autrement mon indignation, de crainte qu'une mauvaise interprétation pas tout à fait innocente me voue aux gémonies...