LES VACCINS "VACCINER OU PAS ?"

Rappel du premier message :

Objet : VACCINS : EXCELLENT RAPPORT DU DR GIRARD, expert en pharmacovigilance
Lisez attentivement ce rapport accablant contre certains vaccins, notamment celui de la grippe saisonnière et celui de la grippe A/H1N1.
Vacciner_ou_pas.pdf (Objet application/pdf) (lien à ouvrir : http://www.rolandsimion.org/IMG/pdf/Vacciner_ou_pas.pdf
Oui, vous avez bien lu, page 23 :

45 Dans une innovation jusqu'alors inédite à ma connaissance, le chef du Service des maladies infectieuses du Kremlin-Bicêtre, ajoute à la liste des heureux prioritaires "les personnes relevant du régime de l'ALD" (affection longue durée) et, notamment "celles qui sont en chimiothérapie" (Libération.fr 28/08/09)... L'"intérêt de vacciner les cancéreux surtout en phase terminale !!!

C'est que si par malheur ils décèdent après la vaccination, cette regrettable complication ne sera pas imputée au vaccin...

Grippe A: «La décision de vacciner ou non va être difficile à prendre» - Libération
Une vidéo qui ne devrait pas tarder à disparaitre du net :
Dailymotion - Roselyne Bachelot, tu mens. Christian Cotten - une vidéo Actu et Politique
TAMIFLU & RELENZA : Une mystification très rentable mais dangereuse !!!
713466306.pdf (Objet application/pdf)
Voici ce qui se passe en Australie :
NOUVELLE GRIPPE • Les assureurs dénoncent le plan de vaccination australien | Courrier international
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Je n'ai aucune possibilité de vérifier la validité de ces renseignements, mais des personnes comme Ghislaine lanctot (ex médecin), soutiennent cette thèse.
Vaccination, Puces RFID, GSM, Chemtrails - Relier les points - [News Of Tomorrow]
RFID étiquettes dans les billets US et EURO - [News Of Tomorrow]
EETimes.com - Euro bank notes to embed RFID chips by 2005

IL FAUT AVANT TOUT EVITER CETTE VACCINATION, ET NE PAS ALARMER INUTILEMENT, mais si vous détenez une nouvelle carte d'identité, il y a une puce dedans, au niveau de la thyroïde (on ne le sent pas au toucher, mais on peut voir un petit rond).

Shansaa a écrit:

Pas d'accord. Je ne sais pas dans vos jardins suspendus mais en region Parisienne, la campagne de prevention et surtout la requisition des ecoles pour vacciner les eleves a debute treeeees tard, bien apres la menace des risques que le gouvernement brandissait. Les rares qui devaient l'attrapper l'avaient deja attrapee. Inutile de vous dire que les volontaires n'ont pas ete legion.

Bonjour Shansaa !

D'accord ou pas, le monde ne se limite pas à la région Parisienne et à mes jardins suspendus.
En Belgique, pour autant que je sache, la vaccination a été confiée aux médecins, généralistes, en particulier.

Citation :

Vous seriez un p'tit jeune "a risque" alors ? Le mien et les autres avec lesquels j'ai pu discuter m'ont dit de laisser tomber, que ca ne
servait pas a grand chose. Ce qui me fait dire que quand les medecins sont eux memes a ce point divises sur le bien fonde d'un acte medical, il vaut mieux oublier...

Jeune, bien portant et beau - vous avez oublié "beau". Ca explique tout : ils ont agit non seulement parce qu'ils étaient à la solde de l'industrie pharma mais surtout par flagornerie.

Citation :

Ben vous savez, apres le sang contamine et l'ESB, je suis plutot contente que l'on soit plus prudent avec notre sante

Bien entendu, et c'est justement le souci de prudence pour votre santé qui a présidé à l'étude, production et distribution de ce vaccin.
Mais les exemples que vous citez n'ont rien à voir avec le principe de précaution, mais encore, ils auraient pu être mieux choisis : le drame du sang contaminé a eu pour origine le refus des autorités sanitaires françaises d'utiliser des tests sanguins des labos américains et de continuer à faire comme si ne rien était en attendant les tests gaulois alors à l'étude ; l'ESB est l'exemple même de ce à quoi peut conduire la mode du recyclage à outrance, si cher aux tenants du principe de précaution.

Pour la beauté du débat, il ne faut pas confondre "principe de précaution", gage d'immobilisme, avec "principe de prévention", superbement ignoré par les naturalistes de salon.

Citation :

Mab est certainement tres chic mais moi je suis tetue

Quand vous allez voir les soldes d'hiver vous allez changer d'avis, vous verrez.

Allez, bonne année et bonne santé, hein ? Surtout bonne santé !

Bonne Année à tous les heureux non vaccinés et aux autres, que le bon sens vous aiguille tous vers une saine evaluation des risques et necessités,


Mab

Mara-des-bois a écrit:

Post Script'homme : Shansaa, tenez bon. "Il" va faire appel à votre bon coeur, vous promettre un avenir sans ecologie, mais de grace, tenez bon.

Non mais en plus "Il" essaie de me faire croire a une affaire de soldes d'hiver... Ah mais je savais bien qu'on essaierai de se debarrasser du surplus de
vaccin Hachemachin d'une facon ou d'une autre !!.

Le vrai secret du vaccin,ce n'est pas son élaboration qui a été faite avec les moyens du bord compte tenu du délai et de la quantité demandée .

Le vrai secret c'est la panique et la totale incapacité des pouvoirs publics de contrôler cette panique .


Un autre secret ,bien plus inapparent et qui n'a encore jamais été abordé ici ,est l'évolution de l'industrie pharmaceutique des médicaments vers les vaccins .

La raison en est toute simple: avec quelques centaines de millions d'euros tout le monde peut faire sa petite usine et vendre des copies génériques de tout médicament a brevet dépassé.
Tandis que pour des vaccins,c'est tout à fait différent : il faut mettre des milliards d'euros et il faut acquérir des capacités et des brevets pour les astuces de cuisine ....

1° Exemple : le vaccin contre le cancer du col utérin : 1.000 euros en Belgique ..
Et il y a tt plein de vaccins en cours de préparation ,non seulement contre des maladies infectueuses,mais même contre des affections métaboliques : un vaccin contre le rejet de cellules de greffe,un vaccin contre les occlusions artérielles (il fait ce qu'il peut,il garantit pas...il augmente vos chances de vous en tirer ...) .

Pour commencer cette nouvelle année avec les meilleures chances d'arriver au bout sans encombre n'est pas de se faire vacciner (Bill doit avoir des intérêts dans les labos) mais de bien se nourrir d'abord et avant tout : du lait entier riche en calcium et vitamines, des céréales riches en oligos éléments, des oeufs, des fruits, des légumes, des viandes (fraîches), des poissons frais), un peu de thé, de café et de vin (bio) sans dépasser les doses prescrites, peu de sucreries, peu de chocolat... Avec ça, tout ira bien. Je ne me suis jamais fait vacciner pour les diverses grippes, ni jamais pris d'antibiotique ni de sirop pour la toux et autres vasoconstricteurs. Je soupçonne quand même très fort les labos pharmaceutiques de nous affaiblir avec tous leurs produits afin de nous rendre dépendant.

Voilà ! c'est mon avis et je le partage.

Aérienne a écrit:

Voilà ! c'est mon avis et je le partage.

Même le chocolat ?

Ungern a écrit:

Le vrai secret du vaccin,ce n'est pas son élaboration qui a été faite avec les moyens du bord compte tenu du délai et de la quantité demandée .

Le vrai secret c'est la panique et la totale incapacité des pouvoirs publics de contrôler cette panique .


Un autre secret ,bien plus inapparent et qui n'a encore jamais été abordé ici ,est l'évolution de l'industrie pharmaceutique des médicaments vers les vaccins .

La raison en est toute simple: avec quelques centaines de millions d'euros tout le monde peut faire sa petite usine et vendre des copies génériques de tout médicament a brevet dépassé.
Tandis que pour des vaccins,c'est tout à fait différent : il faut mettre des milliards d'euros et il faut acquérir des capacités et des brevets pour les astuces de cuisine ....

1° Exemple : le vaccin contre le cancer du col utérin : 1.000 euros en Belgique ..
Et il y a tt plein de vaccins en cours de préparation ,non seulement contre des maladies infectueuses,mais même contre des affections métaboliques : un vaccin contre le rejet de cellules de greffe,un vaccin contre les occlusions artérielles (il fait ce qu'il peut,il garantit pas...il augmente vos chances de vous en tirer ...) .

Un vaccin contre le cancer c'est pas cher à 1.000 Euros .

Ungern a écrit:

Oui,mais c'est contre le seul et unique cancer du col et du à ce seul et unique virus ...

C'est pour faire bander Ombreblanche?

IBN EL SAHRA a écrit:

Ungern a écrit:

Oui,mais c'est contre le seul et unique cancer du col et du à ce seul et unique virus ...

André adorera

IBN EL SAHRA a écrit:

Ungern a écrit:

Oui,mais c'est contre le seul et unique cancer du col et du à ce seul et unique virus ...

Mettez en sur le fil à André , il adorera

Poitou-Charentes : le retour mortel de la grippe H1N1
(La Nouvelle République, rédaction Poitiers, le 12/01/2011 05:46)



En décembre 2009, alors que l'on parlait de risque pandémique. - (Photopqr/Sud Ouest)

Deux femmes sont décédées dans la Vienne, début janvier, des suites d'une grippe A/H1N1 ce qui porte à 12 le nombre de victimes en France depuis le début de l'hiver. Le fils de l'une d'entre elles s'insurge.

S i nous avions été en 2010, son sort aurait peut-être été différent... Ludovic a perdu sa mère le 3 janvier dernier. Agée de 56 ans, cette habitante du sud de la Vienne s'est éteinte chez elle, terrassée par une grippe H1N1 alors qu'aucun médecin, souligne son fils, n'a été en mesure de diagnostiquer le virus fatal.

Le week-end dernier, c'est une autre femme, originaire des Deux-Sèvres et âgée de 37 ans, qui est décédée au CHU de Poitiers où elle avait été admise quelques jours auparavant. Aucune de ces deux victimes ne présentait des pathologies à risque. « Ma mère était juste un peu asthmatique. Elle n'était pas vaccinée », souligne Ludovic.

Depuis le début de l'année, en France, le virus de la grippe H1N1 a causé près de dix décès, tout du moins officiellement recensés (lire ci-dessous).
Un an après la disparition médiatique de la pandémie mondiale et la fin de la polémique sur les vaccinations de masse, le virus opère toutefois un retour mortel. Le Poitou-Charentes est d'ailleurs aujourd'hui l'une des trois régions françaises les plus touchées par l'épidémie grippale. Une vague contagieuse qui navigue entre plusieurs souches virales. Dont la H1N1.

Ludovic a contourné son deuil à l'aide d'un courrier adressé hier matin à notre rédaction de Poitiers. Une lettre digne, mais pleine de colère rentrée. Joint au téléphone hier après-midi, ce jeune homme ne comprend toujours pas ce qui est arrivé à sa mère. « Souffrante, raconte-t-il, elle a consulté son médecin le 31 décembre. Il a diagnostiqué une grosse grippe et lui a prescrit les médicaments standards. Mais son état s'est dégradé. Le dimanche 2 janvier, mon père a composé le numéro des médecins de garde. Il a été redirigé vers le Samu, qui a réalisé un diagnostic par téléphone en préconisant de prendre du Doliprane. »

Sa mère est morte la nuit suivante, à 3 h du matin. La famille, en faisant pression auprès des autorités médicales, a réussi à « obtenir des analyses complémentaires ». Quelques jours plus tard, le CHU de la Milètrie, à Poitiers, confirmait que le décès était bien lié au virus H1N1. « Elle a été emportée en quarante-huit heures et aucun médecin n'a diagnostiqué le virus, relève Ludovic. Est-ce que ça serait passé de la même façon il y a un an, quand on ne parlait que de la vaccination et du principe de précaution ? »

» édito

'' Elle '' est revenue !

Janvier, froideur, douceur, microbes. Classique ! Grippe hivernale, gastro, fièvre et courbatures à tous les étages. Classique ! Mais voilà, dans ce bulletin médico-météorologique vient s'immiscer un mélange de lettres et de chiffres qu'on avait eu tendance à oublier : A/H1N1. L'invraisemblable affolement qui a saisi la planète toute entière, spécialistes, gouvernements et populations au printemps 2009 avec cette nouvelle forme de grippe, a probablement été (trop) rapidement classé au rayon des paniques oubliées. Avec un peu de honte, pas mal d'agacement du côté du public français, échaudé par l'impression de gabegie provoqué par les errements du ministère de la Santé de l'époque.

Des millions de vaccins, des millions de masques, un pays mobilisé avec, au final, des millions de vaccins à la poubelle ; des millions de masques dans les tiroirs et des millions de Français qui refusent de tendre leur bras à la seringue. Et un bilan (heureusement !) beaucoup moins dramatique qu'annoncé. Plus de trois cents victimes en France, tout de même, de ce phénomène classé au rang de « pandémie » par la très pointilleuse Organisation mondiale de la santé. Loin des chiffres de la mortalité d'une simple et banale grippe saisonnière qui provoque de 1.500 à 2.000 décès par an.
Cet automne, quand a démarré la nouvelle campagne de prévention contre cette maladie dont le caractère habituel fait qu'on en oublie ses capacités mortelles, le simple mot H1N1 associé au vaccin, a provoqué un rejet collectif. Regrettable, certainement. Mais prévisible. Et voilà que ces deux décès à Poitiers viennent brutalement, cruellement, rappeler que le virus de 2009 est toujours actif. Qu'en moins de quinze jours de janvier, sept personnes en sont mortes en France. Pas d'affolement, disent les spécialistes. Vaccinez-vous, répètent-ils ! Avec les maux d'hiver, l'ombre de cette grippe oubliée revient donc planer sur la France.

repères

Au 5 janvier, 72 cas graves signalés

> Les régions les plus touchées. Au 5 janvier 2011, selon InVS et le Réseau Sentinelles France, la plupart des régions françaises étaient au-dessus du seuil épidémique. Parmi les régions les plus touchées, le Poitou-Charentes (la 3 e au niveau national) et la région Centre (5 e au niveau national).

> Au 5 janvier toujours, 72 cas graves ont été signalés. La plupart d'entre eux sont, après confirmation virologique, liés au virus H1N1.

> Le H1N1 majoritaire. D'après les études publiées à ce jour, le virus H1N1 semble devenir majoritaire (trois autres souches grippales prédominantes existent). Il reste à l'origine des cas graves.

> 7 décès. En France, au 5 janvier, 7 décès ont été enregistrés (source InVS). La plupart d'entre eux sont liés au H1N1.

> Moins de « comptabilité ». Entre le mois de juillet 2009 et le mois de janvier 2010, en pleine pandémie mondiale, 312 décès dus à la H1N1 avaient été déclarés en France métropolitaine.

l'avis de l'expert

Le Pr Louis Bernard : '' Il n'est pas question de seuil d'alerte ''

La grippe H1N1 a fait deux victimes ces jours derniers en Poitou-Charentes. Il semble que deux cas se soient déclarés en Indre-et-Loire. Doit-on s'inquiéter ?

« Franchement, je ne le pense pas. Je ne connais pas le cas des deux victimes poitevines, mais je suppose qu'ils ont été aggravés par des facteurs associés. Concernant Tours, les deux dossiers que vous évoquez sont sérieux et considérés comme tels, mais pas plus que les années précédentes. Et peut-être même moins. Permettez-moi de vous rappeler que la grippe ressurgit chaque hiver et qu'elle tue à chaque fois. Cette année, H1N1 a pris le pas, on en parle davantage, notamment en raison de la polémique qui s'était développée lors de la précédente campagne. Mais les autres variantes persistent et nous nous situons dans les fourchettes de chiffres habituels, il n'est pas question de seuil d'alerte. »

Comment un virus peut '' prendre le pas '' comme vous le dites, et s'imposer ?

« C'est un peu compliqué à expliquer. Disons qu'il y a un phénomène de glissement, par mutations successives conduisant, tous les dix/vingt ans, vers un virus nouveau et à une pandémie. H1N1 est apparu l'an passé. Nous n'en connaissions pas le pouvoir pathogène et il était parfaitement normal et légitime d'engager les précautions qui ont été prises, au moins dans la phase initiale. »

Quelle est l'attitude sage ? Se faire vacciner sans céder à la psychose ?

« Exactement. Le vaccin saisonnier intègre la protection contre le H1N1, il est important de le rappeler. On peut en débattre à perte de vue si l'on veut, mais je considère que se faire vacciner est une attitude responsable, adulte, collective. C'est désormais le cas en milieu hospitalier, mais l'adhésion à cette norme qui résulte du bon sens, n'a pas toujours été aussi massive et spontanée. Vous savez qu'aux États-Unis, le personnel médical et soignant y est contractuellement contraint. S'y soustraire signifie un licenciement immédiat. »

Peut-on se protéger contre tous les virus ?

« Non, bien sûr. Nous sommes focalisés sur la grippe, mais d'autres types de virus sont apparus ces dernières années. Ils entraînent de sérieuses difficultés pulmonaires et, pour tout dire, nous restons assez démunis face à leurs offensives cycliques. Je songe en particulier à ces crèves qui vous mettent brutalement sur le flanc. C'est un phénomène relativement récent, ses dégâts ne sont pas minces. Qui en parle ? »

les chiffres : 349

C'est le nombre officiel de décès causés en France par la grippe A-H1N1 en 2009-2010, selon l'Institut national de veille sanitaire (InVS).
> Le bulletin épidémiologique hebdomadaire qui donne ces chiffres précise que l'âge moyen de ces décès a été de 59,4 ans pendant cette période. Il avait été de 81,7 ans pour la période 2000-2009.
> La France avait acheté 94 millions de doses d'injections pour une population de 64 millions d'habitants. Moins de 7 millions de personnes s'étaient fait vacciner.
> L'OMS a qualifié la situation de « pandémie » de juin 2009 à août 2010. Mais le virus continue de circuler avec un risque de complications sévères de 2 à 3 %.

Cette triste histoire me rappelle l'histoire du berger qui criait au loup...
Avec, dans le rôle du berger, la belle Roselyne ... ... ...

Brûlons l'ENA et forçons les politiques à ouvrir des livres, et à les lire (je sais je suis très exigeant)

Oui, bon, il ne s'agit pas de grippe mais c'est aussi en rapport aux médicaments...

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Il était accro au jeu et au sexe à cause d'un médicament
(20minutes.fr - Guillaume Frouin - le 01.02.11 à 11h48)



Didier Jambart, 52 ans, habite Indre. —F. Elsner / 20 Minutes

JUSTICE - Un malade de Parkinson attaque un laboratoire pharmaceutique...

C'est une première en France, selon son avocat. Cet après-midi, Didier Jambart, un malade de Parkinson de 52 ans, va assigner son neurologue et le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) devant le tribunal de grande instance de Nantes. Il leur reproche de ne pas leur pas avoir signalé les effets indésirables du Requip, médicament avec lequel il a été traité entre 2003 et 2005.

Il devient accro au jeu et au sexe
Marié et père de deux garçons, cet habitant d'Indre est en effet devenu vite accro au jeu. En un an, il dépense ainsi « 100 000 € » dans les casinos et les sites de jeu en ligne. Pour assouvir sa passion, ce cadre alors habilité « secret défense » à la DCNS multiplie donc les crédits à la consommation. Surtout, il vole des numéros de cartes bancaires. Voisins, collègues, l'agent immobilier qui prend en photo sa maison... Tout le monde y passe. Y compris ses nouvelles relations homosexuelles : depuis qu'il prend du Requip, Didier Jambart est aussi sujet à l'exhibitionnisme et aux poussées d'« hypersexualité »... Depuis, cet ancien conseiller municipal a changé de médicament, et les effets indésirables ont cessé. GSK, de son côté, affiche à présent une mise en garde sur sa notice.

Aujourd'hui, Didier réclame 450 000 € au titre du préjudice moral et économique. « Depuis cette histoire, mon avancement de carrière a été stoppé net », plaide-t-il. « On est aussi des parias à Indre. On n'a plus d'amis, on vit isolé au milieu du monde. »

Le Requip est toujours en vente aujourd'hui. « C'est un bon médicament pour traiter la maladie de Parkinson, mais il a de gros effets secondaires », insiste Didier Jambart. Interrogé hier, le laboratoire GSK s'est refusé à tout commentaire.

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On peut logiquement s'interroger sur la nature des traitements suivis par un de nos honorables intervenants et grand voyageur...

le jeu et le sèxe sont des passions passionantes ce monsieur , s'il a de l'argent pour se permettre cela c'est bon ce médicament .

C'est une personne qui n'a plus d'argent alors elle s'attaque par avocats intérposés la firme pharmaceutique .

Le Jackpot

Ne croyez pas à son air ahuri c'est un gros malin requin qui fait le malade $$$quand tu nous tiens !!!

Est-ce qu'il est vraiment efficace, celui d'en bas à droite ?
Il y a des réductions par quantité ?

(C'est que j'ai des clients, moi !)