Vivre avec l'islam a Molenbeek.

La Belgique menacée par des terroristes: perquisitions à Bruxelles
Deux personnes ont été interpellées ce jeudi matin en Région bruxelloise. Des perquisitions ont été menées par le parquet fédéral dans le cadre d'une enquête liée à des activités terroristes en Belgique.

Belgique - Faits divers 11:05

Cette opération de police a été menée notamment à Molenbeek-Saint-Jean et à Berchem-Sainte-Agathe. Une quinzaine de personnes seraient recherchées.

Le parquet fédéral ne s'exprimera pas avant la fin de l'action, vers 10h00 ce matin. De plus amples renseignements devraient alors nous parvenir.

Citation :

VIVRE AVEC L'ISLAM A MOLENBEEK
le Jeu 27 Nov - 11:15
(...) Le parquet fédéral ne s'exprimera pas avant la fin de l'action, vers 10h00 ce matin. De plus amples renseignements devraient alors nous parvenir.

Il est 14 heurres et les sires du parquet brillent par leur absence. Que nous cache-t-on ?
Keskispass une fois ? Molenbrouck s'en va-t-en guerre ?

EddieCochran a écrit:

Citation :

VIVRE AVEC L'ISLAM A MOLENBEEK
le Jeu 27 Nov - 11:15
(...) Le parquet fédéral ne s'exprimera pas avant la fin de l'action, vers 10h00 ce matin. De plus amples renseignements devraient alors nous parvenir.

Il est 14 heurres et les sires du parquet brillent par leur absence. Que nous cache-t-on ?
Keskispass une fois ? Molenbrouck s'en va-t-en guerre ?

Il est 15h00 ?

Moustapha, cireur de chaussure...depuis 1943

Les gestes, il les connaît plus que par coeur. La brosse dans une main, en saccades, l'autre en allers et retours horizontaux pour faire contrepoids, le chiffon de velours qui virevolte sur le cuir. Moustapha cire les chaussures depuis... 1943.


Au coeur de Molenbeek, il est là tous les jours depuis 62 ans, à slalomer douze heures par jours entre tables et parasols sur les terrasses ambrumées d'un hôtel suranné.
1943: les troupes nazis sont battues à Stalingrad, Mussolini arrêté, le ghetto de Varsovie se soulève, Churchill, Staline et Roosevelt se partagent le monde à Téhéran. A Molenbeek, Moustapha a 8 ans et cire ses premières godasses.

Plus tard, le "gamin" a 71 ans et huit enfants. "Cinq garçons, trois filles. Y'en a que trois qui travaillent". La femme? "A la maison".
Comme un chat à l'affût, il repère vite sa proie: la chaussure sale, terne, si possible "étrangère": ça paye mieux.
Parfois assis à l'ombre sur son minuscule tabouret de poupée, il attend, le menton dans la main, dans sa blouse bleue. A ses pieds sa petite boîte de cireur qui s'ouvre sur les côtés, tel un capot de voiture des années 20. Toute sa vie tient dedans.
Sous un petit bonnet d'où émergent ses cheveux blancs, le visage est dépigmenté autour d'une fine barbe, blanche elle-aussi. Les dents sont rares et de guingois. Et pourtant, il arrive à sourir.
Combien de chaussures a-t-il pu cirer en 62 ans? Derrière ses épaisses lunettes, le regard incrédule s'agrandit devant une telle question.
"Je gagne 1.000, des fois 1.500" euros par mois.
"Il gagne bien. Ca va", sourit un garçon de café un peu moins âgé, le plateau chargé de verres de café fumant.
"M'arrêter? Pas possible. Il faut nourrir la famille, payer le loyer, acheter les médicaments", continue Moustapha en sortant d'une poche deux vaporisateurs contre l'asthme.
Et Albert II, surnommé le "roi des pauvres"? "Oooh je l'aime beaucoup. Je le regarde tout le temps à la télévision. Il est gentil. Mais il ne peut pas donner à tout le monde. Y'a beaucoup trop de pauvres!", sourit-il avec un léger claquement de brosse sur sa boîte en bois: le signal pour changer de chaussure sur le repose-pied.
Moustapha traverse l'Histoire sans histoire, accroupi, les poches remplies de boîtes de cirages, avec en tête des regrets teintés de fatalisme.

Loll, je m'amuse

La branche belge d'Al-Qaida démantelée: Malika El Aroud, 'LA' djihadiste belge, interpellée
Quatorze personnes suspectées d'appartenir à Al-Qaida, dont un homme qui semblait sur le point de commettre un attentat-suicide, ont été interpellées ce jeudi matin. Parmi eux : Malika El Aroud et son mari, à peine revenu d'un camp en Afghanistan ou au Pakistan !

Le niveau d'alerte terroriste en Belgique ne sera pas relevé, a annoncé jeudi Peter Mertens du Centre de crise des Affaires étrangères. "Après avoir analysé la situation de façon approfondie, nous avons décidé de ne pas relever le niveau d'alerte terroriste. Les interpellations de jeudi ne changent donc rien ni au niveau national ni pour le sommet européen", explique Peter Mertens. Le niveau 2, sur un total de 4 niveaux, est donc maintenu. Ce niveau, qui est en vigueur depuis longtemps, fait état d'une menace latente.

Claude Moniquet, ce spécialiste en géostratégie bien connu du grand public, rappelle dans une interview accordée à notre confrère Jean-Pierre Martin (interview à voir en intégralité comme première vidéo au bas de cet article), que le niveau de menace, lui, reste bel et bien très élevé.

Malika El Aroud, la Belge qui a vécu avec Ben Laden

On apprend que dans les personnes interpellée se trouvent la Belge Malika El Aroud et son mari. Pour rappel, cette femme est la veuve d’un des assassins du Commandant Massoud, l’homme qui aurait pu aider l’occident à déjouer les attentats du 11 septembre 2001. « L’assassinat de Massoud et les attentats du 11 septembre sont intimement liés puisque les talibans n’ont autorisé ces attentats qu’à la condition que le commandant Massoud soit éliminé, puisqu’il était celui qui pouvait aider l’occident à réagir aux attentats depuis l’Afghanistan, » rappelle M. Moniquet. Mais le 9 septembre 2001, Abdessater Dahmane, mari de Malika El Aroud, tue le chef afghan dans un attentat-suicide en compagnie d’autres islamistes).

Pour Claude Moniquet, Mme Malika El Aroud, qui avait participé à cet assassinat de Massoud, est au centre de cette nouvelle affaire. « Soit elle est la victime d’erreurs judiciaires tragiques, soit elle est un pivot central de la mouvance jihadiste en Europe. Depuis des années, elle a continué un rôle de propagandiste du jihad via internet et des sites qu’elle anime. Elle a un rôle important de motivation et de recrutement, aujourd’hui, de jeunes jihadistes en Europe. C’est une figure idéologique centrale du jihad. »

Mais si elle a été interpellée, c’est parce que, « apparemment », dans les 3 personnes soupçonnées de préparer l’attentat qui étaient de retour d’Afghanistan ou du Pakistan (voir encadré) figure son mari actuel, un extrémiste musulman bien connu : le Tunisien Moez Garsallaou (à droite sur la photo).

C’est, selon M. Moniquet, la deuxième ou troisième fois que cette femme est interpellée chez nous. La première fois, elle a été au centre d’une enquête par rapport à sa participation au meurtre de Massoud. Sans compter sa condamnation récente pour propagation de l’islam radical et djihadisme en Suisse. Malika el Aroud qui, de plus, a vécu avec Oussama Ben Laden. « Elle en parle d’ailleurs dans son livre ‘Les Soldats de Lumière’. Elle le qualifie de fascinant, un espèce de père pour tout ceux qui l’approchaient. Et Trabelsi en parle dans les mêmes termes, » explique encore Claude Moniquet.

Nizar Trabelsi tirerait les ficelles depuis sa prison belge

Voici un autre terroriste bien connu en Belgique qui serait mêlé à cette préparation d’attentats. En septembre 2007 avaient eu lieu les premières vagues d’arrestations liées à Trabelsi (on parlait à l’époque d’un complot pour son évasion). Mais la police n’avait pas trouvé de quoi inculper les personnes recherchées. « Et aujourd’hui on est en face de gens qui ne sont sans doute pas différents de ceux qui avaient été inquiétés il y a un an. On est dans une mouvance qui touche directement le cœur d’Al-Qaida puisque Trabelsi avait rencontré Ben Laden et avait reçu directement de sa bouche la mission de commettre des attentats en Belgique et en France, » rappelle l’expert.

Mais comment Trabelsi, qui pour rappel est libérable presque d’un jour à l’autre, peut-il être mêlé à ça alors qu’il est en prison ? Explications de M. Moniquet : « Je suis assez frappé des avocats de Trabelsi qui se plaignent des conditions de détention de leur client en ces termes : ‘inhumain, qu’il peut rien faire, voir personne’. Alors qu’on voit qu’il a une influence directe sur certaines choses, donc qu’il a des contacts. Comment se font ces contacts ? Est-ce qu’il y aurait des conditions de détention différentes de ce qu’expliquent les avocats, un certain laxisme puisqu’on se dit qu’il n’est plus dangereux, qu’il est en bout de peine et qu’on le laisserait donc avoir les contacts téléphoniques qu’il veut ? »

La police a stoppé son enquête et les a interpellés à cause de l'attentat-suicide imminent alors qu'un sommet européen s'ouvrait à Bruxelles

"Nous ne savons pas où cet attentat-suicide était envisagé, il pourrait s'agir d'une opération au Pakistan ou en Afghanistan, mais il ne pouvait être totalement exclu que la Belgique ou l'Europe puissent avoir été une cible", a déclaré le procureur fédéral Johan Delmulle alors qu'un sommet de l'Union européenne s'ouvrait à Bruxelles.

Selon des informations très récentes parvenues aux enquêteurs, a-t-il expliqué, le suspect avait "reçu le feu vert pour exécuter une opération dont il estimait qu'il ne reviendrait pas" et "avait dit adieu à ses proches, parce qu'il voulait aller au paradis avec la conscience tranquille". Il est par ailleurs question d'une vidéo, apparemment une vidéo d'adieux, qu'un coordinateur aurait par la suite fait parvenir à ses proches.

"Ces informations, liées au fait que le sommet européen se déroule en ce moment à Bruxelles ne laissaient évidemment pas d'autres choix que d'intervenir aujourd'hui", a ajouté M. Delmulle, qui a indiqué que 242 policiers avaient pris part à 16 perquisitions à Bruxelles et à une à Liège.

Lors de cette même opération, 11 autres personnes ont été interpellées pour audition. De nombreux ordinateurs et documents ont été saisis. Aucune arme ou explosif n'a en revanche été découvert.

Le parquet se refuse à confirmer que l'enquête est liée aux arrestations de septembre 2007 pour l'évasion de Trabelsi

L'enquête, décrite comme "la plus importante" sur le terrorisme en Belgique, est liée à un groupe d'islamistes belges ayant suivi des entraînements ou participé à des combats dans la zone Afghanistan-Pakistan, en liaison avec des "personnes importantes" d'Al-Qaïda, selon le parquet fédéral.

Ouverte depuis décembre 2007, l'enquête, qui implique 83 enquêteurs de façon permanente, pourrait avoir un lien avec l'intervention de la police le 21 décembre 2007 dans l'affaire Nizar Trabelsi. Un groupe aurait en effet projeté d'aider Nizar Trabelsi à s'évader, mais il a été intercepté par la police. C'est l'enquête sur ces suspects qui a mis les enquêteurs sur la piste du groupe démantelé jeudi.

L'enquête aurait démontré que cette intervention a permis d'éviter un attentat à Bruxelles. Le niveau de menace terroriste élevé en décembre 2007 aurait poussé le groupe à annuler son action. Les perquisitions du 21 décembre auraient ensuite perturbé ses projets.

Tiens chat noir a disparu

Al-Qaïda: deux Belges, dont un imam, arrêtés en Italie
Le parquet et la police antiterroriste italiens ont examiné la possibilité d'un lien entre ces deux hommes interpellés pour immigration clandestine en Italie il y a un mois et des suspects arrêtés hier.
Al-Qaïda: deux Belges, dont un imam, arrêtés en Italie
Le parquet et la police antiterroriste italiens ont examiné la possibilité d'un lien entre ces deux hommes interpellés pour immigration clandestine en Italie il y a un mois et des suspects arrêtés hier.

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Belgique - Faits divers 18:05

L'imam Bassam Ayachi et le citoyen belge ont été arrêtés le 11 novembre dernier dans le port de Bari pour immigration clandestine après la découverte dans leur véhicule alors qu'ils arrivaient de Grèce avec trois Palestiniens et deux Syriens. L'imam a notamment évoqué lors de ses interrogatoires son admiration pour Mohammed Atta, le chef du commando d'Al-Qaïda du 11 septembre et a donné le nom de l'Egyptien à son fils de six ans, qui se trouvait avec lui au moment de son arrestation et qui a été placé dans une institution.

Alors qu'il se trouvait en visite à New York, le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni a affirmé jeudi que ces deux arrestations étaient liées au coup de filet intervenu en Belgique contre des terroristes présumés, se refusant à tout autre détail. Une réunion a eu lieu vendredi au Tribunal de Bari (sud) entre le procureur chargé de l'enquête sur les deux Belges et un responsable local de la police antiterroriste.

Pour rappel, six des quatorze personnes soupçonnées d'appartenir au réseau d'Al-Qaïda et interpellées jeudi ont été placées sous mandat d'arrêt et inculpées d'appartenance à une organisation terroriste, selon la porte-parole du parquet fédéral de Bruxelles.

Notre pays, base arrière du terrorisme islamiste ?
La vague d'interpellations de membres présumés d'Al-Qaïda, qui a débouché sur l'inculpation de cinq hommes et de Malika El Aroud, confirme le rôle de base arrière du terrorisme islamiste joué par notre royaume, pourtant combattu depuis des années.

Interpellée lors de ce coup de filet effectués à Bruxelles et Liège et inculpée avec les cinq hommes pour "appartenance à un groupement terroriste", Malika El Aroud, 49 ans, est sans conteste le fil rouge reliant les différents dossiers ayant démontré ce rôle de plaque tournante de la Belgique depuis 2001.

Belge d'origine marocaine, portant en rue le niqab (un voile couvrant le visage, sauf les yeux), Malika El Aroud s'est faite une réputation internationale sur les sites islamistes, en louant notamment "l'acte héroïque" de son premier mari, Abdessatar Dahmane, qui assassina le commandant Massoud, le chef de la lutte contre les talibans, le 9 septembre 2001. En 2003, elle a comparu devant le tribunal correctionnel de Bruxelles chargé de juger la filière ayant acheminé les assassins de Massoud en Afghanistan et ayant aidé le Tunisien Nizar Trabelsi, désigné par Al-Qaïda pour commettre un attentat-suicide contre des soldats américains basés en Belgique. Malika El Aroud n'avait à l'époque été condamnée que d'un simple avertissement du tribunal.

Remariée à un Tunisien, Moez Garsallaoui, elle a continué à diffuser de la propagande jihadiste sur internet depuis la Suisse, d'où elle a été expulsée en 2007. Interviewée par le Herald Tribune en mai dernier, Malika El Aroud expliquait: "Ce n'est pas mon rôle de déclencher des bombes, c'est ridicule. J'ai une arme, c'est d'écrire. C'est mon jihad. Vous pouvez faire beaucoup de choses avec des mots. Ecrire est aussi une bombe". Selon le parquet fédéral, elle joue donc aussi un "rôle important" dans la branche d'Al-Qaïda démantelée jeudi, tout comme son second mari, Moez Garsallaoui.

Ce dernier a selon les enquêteurs fait office d'agent de liaison dans la zone afghano-pakistanaise (où il serait toujours actuellement, contrairement à des rumeurs qui stipulaient que l'homme faisait partie des personnes interpellées jeudi) entre des volontaires venus notamment de Belgique et des "personnalités importantes d'Al-Qaïda".

Le parquet fédéral, qui surveillait le groupe depuis un an, est convaincu que l'un de ces hommes, rentré en Belgique le 4 décembre, avait reçu le "feu vert" d'Al-Qaïda pour commettre à bref échéance un attentat-suicide.

Il s'agirait d'un jeune (Hicham B.) de 20 ans, originaire d'un quartier à forte population immigrée de Bruxelles.

L'intervention policière avait été précipitée par la tenue quelques heures plus tard d'un sommet européen dans la capitale belge, même si la police ne disposait pas de précisions sur le pays et la cible du possible attentat. La préparation active d'un attentat n'a d'ailleurs pas été retenue pour l'instant contre les six personnes inculpées.

Yves Leterme a cependant indiqué que l'hypothèse d'une annulation du sommet avait "été sur la table" mais qu'en fin de compte, "cela n'avait jamais été nécessaire". "Si après coup, sans avoir pris ces mesures de prévention, il y avait eu une attaque à la bombe ou un désastre, les gens auraient dit que tout n'avait pas été fait pour l'éviter", a-t-il dit pour justifier le coup de filet.

La politique belge d'intervention préventive a probablement permis d'éviter un attentat à Bruxelles fin 2007. Notre gouvernement comptent continuer sur cette voie afin d'éviter que la Belgique, épargnée jusqu'ici, ne devienne à son tour la cible d'attaques terroristes.

La politique belge d'intervention préventive a probablement permis d'éviter un attentat à Bruxelles fin 2007. Notre gouvernement comptent continuer sur cette voie afin d'éviter que la Belgique, épargnée jusqu'ici, ne devienne à son tour la cible d'attaques terroristes. (Jack)


Très drole Jack, mais c'est que le monde entier est la cible des terroristes. En fait, tout ce qui est vivant. Les terroristes sont des arabophone, et la langue arabe moderne vient du Coran, et le Coran, d'un fils de pute.

Ils disent, comme parlant dans un demi-sommeil, l'islam est a 90% autre que des arabophones. Bien vrai, et ce n'est dailleur pas le 90% autre que arabophone qui nous pètes a la gueule, mais bien le 10% restant qui est arabophone.

Tant que ce livre (Le coran) et la langue qui en découle, existeront, le terrorisme existera.
Nous n'y pouvons presque rien.

Qui sont les six suspects du réseau kamikaze ?
Parmi les six suspects placés sous mandat d'arrêt, dans le cadre du coup de filet anti-terroriste de jeudi dernier, figure Abdulaziz Ibnu Abdullah Bastin, l'un des fils de Jean-François Bastin (photo).



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Belgique - Faits divers 9:10

Abdulaziz Ibnu Abdullah Bastin est connu comme étant "l'une des figures de proue de l'islamisme radical belge". Son grand frère, Muhammed el Amin Bastin, est connu pour avoir été inquietté par la justice turque, après les attentats d'Istanbul, qui avaient fait 63 morts et 750 blessés en novembre 2003.

Les autres suspects sont Malika el Aroud, veuve d'un des terroristes qui avait tué le commandant Massoud en 2001; Icham Beyayo, soupçonné d'avoir été sur le point de commettre un attentat-suicide, J. Trefois, Y. Harrizi et Ali el Ghanouti.

Selon La DH, Y. Harrizi, Ali el Ghanouti et Icham Beyayo ont séjourné "dans la zone pakistano-afghane", sur l'invitation du réseau terroriste d'al-Qaida.

"C'est un message précis entre Beyayo et une femme en Belgique, intercepté par les Américains et immédiatement transmis aux Belges, qui a précipité l'opération de jeudi", précise La DH.

JACKLELOUP a écrit:

Qui sont les six suspects du réseau kamikaze ?
Parmi les six suspects placés sous mandat d'arrêt, dans le cadre du coup de filet anti-terroriste de jeudi dernier, figure Abdulaziz Ibnu Abdullah Bastin, l'un des fils de Jean-François Bastin (photo).



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Belgique - Faits divers 9:10

Abdulaziz Ibnu Abdullah Bastin est connu comme étant "l'une des figures de proue de l'islamisme radical belge". Son grand frère, Muhammed el Amin Bastin, est connu pour avoir été inquietté par la justice turque, après les attentats d'Istanbul, qui avaient fait 63 morts et 750 blessés en novembre 2003.

Les autres suspects sont Malika el Aroud, veuve d'un des terroristes qui avait tué le commandant Massoud en 2001; Icham Beyayo, soupçonné d'avoir été sur le point de commettre un attentat-suicide, J. Trefois, Y. Harrizi et Ali el Ghanouti.

Selon La DH, Y. Harrizi, Ali el Ghanouti et Icham Beyayo ont séjourné "dans la zone pakistano-afghane", sur l'invitation du réseau terroriste d'al-Qaida.

"C'est un message précis entre Beyayo et une femme en Belgique, intercepté par les Américains et immédiatement transmis aux Belges, qui a précipité l'opération de jeudi", précise La DH.

Aie, les belges convertis, souvent les pires extrémistes, pour une fois je suis d'accord....

Lawrence a écrit:

Aie, les belges convertis, souvent les pires extrémistes, pour une fois je suis d'accord....

Convertis ?
Je veux bien, mais convertis à quoi ?

Ou bien l'Islam serait la seule religion qui compte des nouveaux fidèles ?

(Remarquons en passant que c'est ce genre d'individus que la presse servile nomme "résistants", "insurgés" ou "activistes" une fois qu'ils exercent leurs méfaits en Irak, en Afghanistan ou ailleurs dans ce vaste monde)

¥_zed_¥ a écrit:

D'après moi se sont des arabo-belges, sinon c'est des fous et les extrèmistes arabo-musulmans sont mort de rire devant la faiblesse de ces belges.

Bonjour Zed !

Et pourtant si, Zed, des belges on ne peut plus belges... mais de la pire espèce qui soit !

Zeynep Sever, 19 ans, Miss Bruxelles habitant Molenbeek, a été couronnée Miss Belgique 2009 mardi soir au Spiroudome de Charleroi. Elle succède à Alizée Poulicek, Miss Belgique 2008. Elle se profile comme la Miss de la multiculturalité.






People - Miss Belgique 10:15

Originaire de Molenbeek, Zeynep Sever, désormais Miss Belgique 2009, a participé à l'élection de Miss Turquie lorsqu'elle avait 17 ans. Elle a d'ailleurs la double nationalité, belge et turque. Elue Miss Bruxelles, elle étudie le secrétariat-tourisme. La première dauphine est Cassandra D'Ermilio, Miss Hainaut, originaire de Quaregnon et la deuxième dauphine Michèle Thyssen de Genk (Limbourg). Vous êtes déjà nombreux à donner votre avis, louant la grande beauté de Zeynep qui est le nom donné à une plante qui pousse dans le désert. Certains d'entre vous, par contre, critiquent le fait qu'elle ne parle pas le néerlandais ("Je commence à comprendre et je fais des efforts" a expliqué la plus jolie fille du Royaume à notre journaliste Alix Battard) et pas suffisamment bien le français.

La police retrouve 8 jeunes habitués des sac-jackings à Molenbeek


Huit suspects ont été interpellés par la police de la zone de Bruxelles-Ouest après trois sac-jackings commis à Molenbeek depuis le 31 décembre, a-t-on appris lundi au parquet de Bruxelles.






Belgique - Faits divers 16:12 Deux suspects ont été appréhendés dans le cadre d'un sac-jacking commis samedi soir à hauteur d'un feu de signalisation en phase rouge situé au coin de l'avenue du Château et du boulevard Louis Mettewie. L'un des auteurs s'est emparé du sac d'une conductrice de 27 ans après avoir brisé la vitre avant droite du véhicule de cette dernière. Il a pris la fuite à bord d'une voiture en direction de la place Simonis avant d'être rattrapé avec un complice par la police. Les deux auteurs présumés, Redouan, né en 1991, et Youssef, né en 1983, ont été déférés au parquet.

Dans la nuit de vendredi à samedi, la police de la zone de Bruxelles-Ouest a interpellé trois suspects à la suite d'un sac-jacking commis à un feu de signalisation au boulevard Belgica. La conductrice, âgée de 45 ans, a été blessée à la main, par les débris de verre. Elle a identifié des suspects sur base de photographies. La police a retrouvé le butin au domicile d'un des trois suspects. Ils sont tous âgés de 16 ans.

La police locale a pris en flagrant délit trois autres suspects, âgés de 17, 21, 22 ans, le 31 décembre 2008, rue Vanderstichelen. Les auteurs venaient de tenter de commettre le vol d'un sac à main dans un véhicule conduit par une femme de 37 ans.

Manif à Bruxelles : voitures retournées, Quick vandalisé, Richard Miller (MR) blessé



Ils étaient quelque 30.000 à manifester dans les rues de la capitale, en théorie "pour la paix". Mais comme à Anvers, Liège ou Charleroi, des groupes de casseurs sèment le trouble. De nombreuses vitres ont volé en éclat et M. Miller a été touché par un pavé.



Vos comentaires
"vous avez raison chers amis musulmans, maintenant que vous avez démoli nos commerces et véhicules, nous sommes disposés à vous aider à trouver des solutions. Ici comme là-bas la mauvaise graine se cache parmi le peuple qui lutte pour survivre ou pour défendre une juste cause! je suis écoeurée..." de nath




Parcours de la manifestation

La manifestation a débuté à 14h00 à la gare du Midi et a rejoint ensuite, via les boulevards du Midi, Jacqmain, Anspach et Lemonnier, le boulevard Albert II, près de la gare du Nord, où un podium était dressé et des intervenants ont pris la parole durant une demi-heure.

La circulation automobile a été interrompue sur le parcours et les rues avoisinantes dès le départ du cortège.





Belgique - Société 18:48 Les manifestants ont défilé à partir depuis 14h30 dans les rues de Bruxelles en vue de dénoncer la situation dans la bande de Gaza. La tête du cortège a quitté lentement les environs de la gare du Midi à partir de 14h30 et a rejoint à 15h00 la Bourse tandis que les derniers manifestants se trouvaient toujours dans le quartier de la gare. Peu avant 17h00, la fin du cortège n'était pas encore arrivée à la Gare du Nord, point de dislocation de la manifestation. Maintenant qu'elle est disloquée, la police reste sur place pour sécuriser les rues de la capitale et s'attend à de nouveaux débordements en soirée.

Richard Miller touché à la tête par un pavé


Le député wallon MR Richard Miller a été blessé alors qu'il participait à la manifestation. Il a été touché à la tête par un pavé lancé lors d'échauffourées qui se sont produites à la fin de la manifestation. "Tout s'est bien passé pendant la manifestation mais tout à coup, il y a eu des incidents lors de la dislocation du cortège devant la gare du nord", a expliqué M. Miller. "C'est alors que j'ai été touché à la tête par un pavé. J'étais sonné et je me suis retrouvé ensanglanté", a-t-il précisé alors qu'il attendait, dans un combi de la police, l'arrivée d'une ambulance pour être évacué. Il participait à la manifestation à la demande du président de son parti Didier Reynders pour y représenter le MR, a-t-il encore ajouté.


Liste provisoire des dégâts : les équipes de télévision et leurs véhicules attaqués

Un important service de maintien d'ordre a été mis en place par les organisateurs de la manifestation. Mais un premier groupe isolé du cortège, qui n'était pas encadré par la police, s'en est pris à un restaurant 'Quick' dont la porte vitrée a été fissurée. Aucun manifestant n'a réussi à pénétrer dans le restaurant dont l'entrée est actuellement interdite au public sur ordre de police.


Une voiture a été retournée sur le Boulevard Albert 2 (photo) et une dizaine d'autres véhicules ont été endommagés, a constaté un journaliste sur place.


Les vitres d'un abribus ont également volé en éclat. Une auto-pompe de la police est entrée en action.

Des groupes de voyous s'en sont également pris à des membres de la presse, dont des équipes de RTL-TVI qui couvraient la manifestation pour le journal de 19h, ainsi qu'à leurs véhicules.

A 18h00, une dizaine de personnes avaient été arrêtées, a-t-on indiqué de source policière.

Alors que le cortège se disloquait à hauteur de la gare du Nord, là où M. Miller a été touché, une centaine de perturbateurs ont rejoint le boulevard Baudouin où ils ont brisé des vitrines de magasins.

Des bâtiments de la Communauté flamande ont également été visés.

Rue Neuve, la police a chargé à cheval pour disperser les fauteurs de troubles, a constaté un journaliste sur place. Une auto-pompe se tenait par ailleurs prête à intervenir tandis qu'un hélicoptère de la police fédérale continuait à survoler la capitale.



De nombreux manifestants portent des drapeaux aux couleurs de la Palestine et le keffieh palestinien. "Israël, assassin", scandent de nombreux participants. "La mort d'un enfant n'est jamais un dégât collatéral" ou "Gaza, la nouvelle Shoah", peut on lire sur des calicots. Plusieurs manifestants réclament le boycott des produits israéliens, tandis que d'autres dénoncent le silence de l'Union européenne face aux raids israéliens menés sur la bande de Gaza. Certains ont également, comme vous pouvez le voir sur une des photos tirées des images tournées cet après-midi par RTL-TVI, brûlé des drapeaux israéliens. Tout le contraire de la demande des organisateurs ...


C'est un rassemblement plus important que tous ceux ayant déjà eu lieu en Belgique qui se déroule cet après-midi à Bruxelles, en vue de dénoncer la situation dans la bande de Gaza. Les différentes ONG et associations organisatrices espèrent 20.000 personnes. De nombreux appels au calme ont été lancés pour éviter tout débordement. Les organisateurs sont confiants : un important service de maintien d'ordre mis en place par les organisateurs de la manifestation précède le cortège à la tête duquel se trouve un groupe d'enfants.

La fin des massacres, pas l’augmentation de la haine

Un slogan devrait rassembler les manifestants : « Stop aux massacres ». Or, depuis le milieu de l’offensive israélienne, les manifestations qui ont eu lieu en Belgique ont presque toutes été le théâtre de débordements. Plusieurs interpellations ont eu lieu à Anvers, Charleroi et Liège. Il s’agissait souvent de jeunes ne comprenant pas le caractère pacifique des manifestations, qui profitaient de ces organisations pour exprimer des propos racistes ou haineux, ou encore pour se livrer à des actes de vandalisme gratuits.

Les organisateurs ne nient pas un risque d’incidents, mais se montrent rassurants. « Nous aurons notre propre service d’ordre et nous recevons un appui de communautés musulmanes de Bruxelles et d’Anvers. Nous n’avons été avisés d’aucun appel à la violence», a déclaré Ludo De Brabander, l’un des organisateurs et porte-parole de l’asbl Vrede.

Les appels au calme et à la dignité

Les organisations qui soutiennent cette manifestation sont nombreuses : Oxfam solidarité, 11.11.11, l’Union des Mosquées de Bruxelles, la Ligue des Musulmans de Flandre, la Composante de la Communauté Arabe de Belgique, etc. Les organisateurs, eux, espèrent 20.000 personnes, soit le double de la manifestation qui avait eu lieu le 31 décembre 2008.

Philippe Moureaux, bourgmestre de Molenbeek, a lancé un appel au calme et à la dignité, tout comme le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode, Jean Demannez : « Tout débordement violent et tout slogan haineux et raciste sont par principe inacceptables et desserviraient la cause palestinienne », explique le bourgmestre de Saint-Josse au journal Le Soir.

La Ligue des musulmans demande de ne pas brûler de drapeaux

La Ligue prie les manifestants de rester calmes. Il s’agit d’un message de paix. Elle demande aux manifestants de ne pas brûler de drapeaux israéliens, ni de scander des slogans haineux.

Et voilà, c'est en voyant ça que je me demande si toutes ces manifestations sont la démonstration d'une aspiration de paix ou une déclaration de guerre, de sang et de violence aux côtés des terroristes du Hamas.

Bref, une apologie du crime terroriste qui aurait dû être interdite et punie au pénal si autorisée.

Quelqu'un d'autre que moi oserait-il se prononcer ?

Et pendant ce temps là les flamands s'amusant


Froid: plus de 50.000 personnes sur le Damse Vaart












Belgique - Société 18:42 Le canal du Damse Vaart, entre Bruges et Sluis (sud-ouest des Pays-Bas), a accueilli dimanche quelque 50.000 patineurs. C'est ce qu'a indiqué le commissaire de la police de Damme, Jan Bonneure.
L'interdiction de patiner a été levée dimanche à 11h00. Elle n'avait toutefois pas empêché de nombreux patineurs de s'aventurer dès samedi sur la glace. Dès dimanche matin, des milliers de personnes se sont élancées sur ce canal pris par le gel. La police de Damme a estimé leur nombre à plus de 30.000 personnes sur le territoire de la commune en se fondant sur le nombre de véhicules stationnés (plus de 10.000). Elle a du mettre en oeuvre un plan de circulation particulier pour accueillir toutes ces voitures, alors que le centre touristique de Damme était saturé. Selon le commissaire Bonneure, la glace était encore de bonne qualité. Les services de secours sont intervenus à plusieurs reprises pour des chutes, parfois lourdes. Cinq personnes ont été hospitalisées avec des fractures ou des entorses. (GGD)

Quelque 800 personnes à la manif de la communauté juive à Anvers


Quelque 800 personnes ont participé dimanche à la manifestation pour la paix au Proche-Orient organisée par la communauté juive d'Anvers, a indiqué la police, selon laquelle aucun incident n'est à déplorer.














Belgique - Société 18:42 Les manifestants appelaient notamment à soutenir Israël dans sa lutte contre le mouvement islamiste Hamas. "Cette organisation terroriste ne peut pas gagner le combat. L'Europe doit aujourd'hui plus que jamais se montrer solidaire avec Israël, le seul Etat démocratique de la région", a ainsi martelé le professeur Marc Cogen, qui enseigne le droit international à l'université de Gand.

Le conseiller communal Open VLD Claude Marinower a de son côté dénoncé l'antisémitisme croissant en Belgique depuis le début de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza, le 27 décembre dernier.

Enfin, Diane Keyser du Forum des organisations juives a annoncé que d'autres actions seront organisées.