Architecture, expositions, et le reste aussi...

Lawrence a écrit:

Hum "Connards" aurait suffit, évitons les pléonasmes.....

Je l'admets. Au bénéfice du doute et en l'absence de pléonasmes.

(Je connais des connards qui se lavent les mains, les pieds, etc., plusieurs fois par jour, c'est dire ! )

24 -

Citation :

Je connais des connards qui se lavent les mains, les pieds, etc., plusieurs fois par jour, c'est dire !

Cher Biloulou bonjour,

Et si c'était là le "propre" des connards ?

EddieCochran a écrit:

24 - Et si c'était là le "propre" des connards ?

Bonjour Eddie !
Pour un peu je me serais senti illuminé aux infrarouges.
Mais vu que je suis un peu moins scrupuleux qu'eux pour le "etc" je me sens exclu du "target"

(Faut encore voir : connards d'eau douce ? connards d'eau salée ?)

26 -

Biloulou a écrit:

(Faut encore voir : connards d'eau douce ? connards d'eau salée ?)

(Le connardeau ? Vous parlez du le petit du connard ?)

Marigot ou mangrove peu importe pourvu que ça grouille !

Comme vous y allez !

Je me sens en parfaite communion avec la nature, mais pas au point de souhaiter la préservation de toutes les espèces.
Quoique même les plus rébarbatives aient parfois leur utilité...
Par exemple (question purement scientifique) : les connardeaux se nourrissent-ils d'aoûtats ?

Rétrospective Anish Kapoor à l'Académie royale
(AFP/Adrian Dennis - Londres, 28/09/2009)



"Vertigo", une sculpture d'Anish Kapoor exposée à l'Académie royale de Londres, le 22 septembre 2009.

L'Académie royale de Londres accueille jusqu'au 11 décembre une rétrospective des sculptures d'Anish Kapoor
Attraction de l'exposition, ordinairement exposée au Musée des arts appliqués de Vienne, Shooting into the Corner, est un canon géant tirant toutes les 20 minutes des boulets de cire rouge.

Mais aussi Yellow, rectangle de fibre de verre jaune encastré dans un mur ou, sous les arcades de la galerie, Svayambh, un bloc de cire couleur framboise.

L'oeuvre de l'artiste d'origine indienne intitulée Shooting into the Corner suscite l'effroi chez les visiteurs à chaque coup de canon, alors que chaque nouvelle explosion laisse une croûte rouge sang s'amasser sur les murs blancs. Quelque 30 tonnes de cire seront tirées pendant trois mois.

Dans l'exposition, présentant de nombreux défis logistiques, l'oeuvre du canon est celle qui a causé le plus de problèmes, selon l'un des commissaires, Adrian Locke. En effet, les réglages ont été millimétrés pour éviter les éclaboussures de cire sur le plafond vieux de 160 ans. "Nous n'avions jamais fait cela auparavant, c'était un nouveau défi pour nous", explique-t-il. "Nous avons pris des mesures pour protéger la structure du plafond, mais nous espérons que la cire partira facilement du plafond. Mais ça sera un gros travail, le moment venu."

Si Yellow éveille les sens par ces nuances de couleur Svayambh, en faisant corps avec les arcades de la galerie donne une impression de mouvement tout en restant figé.

A l'extérieur, la cour intérieure, n'est pas oubliée et les visiteurs sont accueillis par un gigantesque assemblage de 76 boules argentées, Tall Tree and the Eye, qui reflètent les bâtiments.

Caractéristiques des œuvres de Kapoor, la simplicité, les formes incurvées, monochromatiques et les couleurs intenses. De mystérieuses cavités sombres émanent souvent des réalisations, étonnantes par leur taille et leur beauté épurée, tactiles, aux surfaces reflétant l'image.

Anish Kapoor a étudié à la Doon School de Dahra, en Inde avant d'émigrer en Angleterre en 1972 où il vit depuis. Il étudie alors au Hornsey College of Art, puis plus tard à la Chelsea School of Art Design. Reconnu pour ses créations inspirées à la fois de la culture occidentale et de ses origines orientales, Kapoor, 55 ans, a été le lauréat du prestigieux prix Turner d'art contemporain en 1991.



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Je sais que j'empiète sur le domaine de prédilection d'Emma, mais je craignais que cet évènement majeur de l'art contemporain lui échappe... surtout le canon à cire rouge...

Bonjour Messire !

Un autre "oeuvre" exposéee est un énorme bloc de cire rouge (non, pas le canon, autre "chose") qui semble proche du point de fusion. Cette masse se déplace très lentement au hasard et laisse bien évidemment des traces rouges sur tout ce qui elle touche : portes murs, mobilier, vitres, plancher...

J'ai vu une interview d'un des commissaires qui, d'un sourire jaune vaguement inquiet, rappelait que le bâtiment et son contenu sont classés, il espérait qu'il n'y aurait pas de dommages irréparables...

Oui, c'est assurément sensationnel !

Nuit Blanche 2009



Inaugurée en 2002, cette manifestation gratuite est un concept culturel simple et intelligent : accroître la place de la culture dans la ville, et en particulier celle de l'art contemporain. Cette 8ème édition, qui se déroulera dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 octobre.

http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2009/09/17/03013-20090917ARTFIG00559-nuit-blanche-2009-.php

Placée cette année sous le signe du rêve et de la déambulation, la Nuit Blanche sera l'occasion d'errer d'un bout à l'autre de Paris. Première zone d'activité culturelle nocturne : les Buttes-Chaumont. Quartier populaire et poètique, Alexia Fabre et Franck Lamy veulent y créer un «espace de rêve» traversé par un «parcours onirique». Deuxième localisation d'expérimentation contemporaine : les quartiers de Châtelet et du Marais. L'identité artistique de cet espace passera par des jeux de lumière et des oeuvres projetées. Troisième espace symbolique choisi : le Quartier Latin. Ici, la démarche artistique de cette 8ème édition s'articulera autour des hauts lieux du savoirs. Certaines villes autour de Paris proposent également des animations pour la Nuit Blanche. Aubervilliers, Nanterre, ou encore St-Denis sont de la fête.

quelqu'un pourrait m'expliquer, c'est quoi l'art?

jam a écrit:

quelqu'un pourrait m'expliquer, c'est quoi l'art?

C'est pour les cochons.

Vingt ans de fouilles archéologiques et le César du Rhône s'exposent à Arles

César

http://www.lepoint.fr/culture/2009-10-24/vingt-ans-de-fouilles-archeologiques-et-le-cesar-du-rhone-s/249/0/388731

Le musée départemental Arles Antique expose à partir de samedi et jusqu'au 19 septembre 2010 les trésors issus de vingt ans de recherche archéologique dans le Rhône, avec en vedette un désormais fameux buste en marbre de César, remonté des eaux en 2007. Tête d'affiche, la sculpture vient clore un parcours muséographique qui chemine au milieu de quelque 500 pièces sorties des eaux tumultueuses du fleuve par les chercheurs du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm). L'exposition remonte le fleuve depuis son embouchure et son avant-port maritime jusqu'à l'actuel emplacement de la ville d'Arles, où était installé dans l'Antiquité un port commercial et fluvial. Dans les premières salles, c'est cette activité économique que l'on découvre. Multiples amphores, restes des navires (au total, une quinzaine d'épaves ont été trouvées), lingots de fer ou de plomb ainsi que différents objets du quotidien (bagues, outils, semelles, petites statuettes ou céramiques ciselées) évoquent le fourmillement économique de la cité. Dans la Arles antique, arrivaient des cargaisons venues de toute la Gaule, d'Europe, d'Orient ou d'Afrique: Le vin de Catalogne, l'huile de Crète... Mais la cité n'était pas qu'un port. Les objets - morceaux de colonnes, frises, éléments de mausolée - évoquent une toute autre cité "ornée, monumentale", "façade ostentatoire destinée à montrer la richesse et la puissance de Rome. Outre le buste star, le public pourra notamment y découvrir une statue de Neptune en marbre de près de 1,80 mètre de hauteur (IIIe siècle après JC), la statue en bronze dite du "captif", un homme aux mains liées dans le dos, un genou à terre (Ier siècle avant JC) ou encore un bas-relief représentant une allégorie de la victoire, en bronze doré.

Le récit de la mission 2009, racontée par l'équipe des archéologues plongeurs :

: http://videos.lefigaro.fr/video/iLyROoafIgTt.html

Architecture, ombres et lumière.

Bonjour Emma
Cà laisse rêveur(euse),non?

"Emmurés", la reconstitution en 3D du Mur de Berlin

A l'occasion du 20e anniversaire de la chute du Mur de Berlin, la Deutsche Welle vous propose, en collaboration avec la Stiftung Berliner Mauer, une documentation animée en 3D sur les anciennes installations le long de la frontière. Il n'existe aujourd'hui que peu de vestiges du Mur. Il a fallu plus de 100 000 heures de recherches pour reconstituer virtuellement le dispositif de béton, d'alarmes et de miradors qui séparait la partie occidentale de Berlin du reste de la République Démocratique allemande.



http://www.la-croix.com/Le-Mur-reconstitue/article/2399305/25041

Le service international de diffusion allemand propose, à l’occasion des 20 ans de la chute du Mur, une reconstitution 3D du rideau de fer : « Emmurés ! – la frontière interallemande ». Réalisée en coopé ration avec la Fondation du mur de Berlin, l’animation se concentre sur deux points de la frontière : la célèbre Bernauer Strasse, au centre de la capitale, et le village est-allemand de Hötensleben, situé en Saxe-Anhalt. Deux des rares endroits qui gardent aujourd’hui les stigmates de ce passé. Les barbelés, systèmes d’alarmes ou encore paillassons hérissés de pointes ont disparu du paysage. À Berlin, la «bande de la mort» a suscité l’appétit des promoteurs immobiliers. Le film d’animation permet de transmettre à la jeune génération l’horreur et les dangers d’une telle installation. Cette reconstitution décrit avec minutie l’ensemble du système frontalier, s’appuyant sur l’expertise d’historiens et plus de 130 000 images d’archives. Seul un aspect a été oublié : il n’est pas question des agents de la Stasi ayant pour consigne de tirer sur les personnes qui tentaient de fuir la RDA.

Séquences audio et vidéo sur le sujet :

Video: "Emmurés" - Animation en 3D
Video: "Emmurés" - Making Of

Santiago Calatrava : la gare va projeter Liège dans le futur



Santiago Calatrava, l'architecte de la nouvelle gare de Liège-Guillemins inaugurée ce vendredi a expliqué qu'il a fait un instrument pour intégrer Liège dans le réseau international des grandes villes. La gare a été planifiée pour au moins 60 ans.

http://www.rtbf.be/info/societe/mobilite/santiago-calatrava-la-gare-va-projeter-liege-dans-le-futur-142528

L'architecte espagnol Santiago Calatrava, 59 ans, sème depuis une trentaine d'années d'impressionnantes structures blanches reconnaissables entre toutes. Il a dessiné la gare de Lyon, celle de Lisbonne ou encore la plateforme multimodale à New York sur le site de Ground Zero, mais aussi le stade olympique d'Athènes ou un pont ultramoderne sur le très protégé Grand Canal de Venise. Calatrava a inventé son propre langage architectural: des structures complexes, aériennes où le béton, l'acier et le verre semblent entrer en mouvement, comme un être vivant. Le choix du blanc accentue l'impression de légèreté de ses constructions monumentales. Georges Lauwerijs lui demande s’il se considère comme un bâtisseur de cathédrales. "Cela fait déjà longtemps qu’on ne construit plus de cathédrale, mais le fait de pouvoir faire des bâtiments publics, donc des bâtiments adressés au public, c’est une manière de porter l’architecture très près des gens et aussi de rendre service à la société", explique Santiago Calatrava. Il poursuit dans la comparaison religieuse: "Les gares sont le résultat du fait de la résurrection du transport en commun à travers le chemin de fer. La grande vitesse a donné une impulsion au chemin de fer. Ces constructions-ci sont des constructions que je projette dans le futur et qui sont faites pas seulement pour nous mais aussi pour la génération à venir. Je pense que la façon dont Euro Liège TGV a planifié le grand effort d’infrastructure qui a été fait dans cette gare en recomposant le tracé des voies en prenant la ligne venant de Namur, en faisant un tunnel pour éviter toutes sortes de croisements, la gare est prête à mon avis pour la prochaine génération de train. Donc je pense qu’elle a été planifiée pour au moins 60 ans." Des voix critiquent la nouvelle gare de Liège-Guillemins, lui reprochant d’être peu écologique: elle n’est pas équipée de panneaux solaires, par exemple.

http://www.calatrava.com/

Liège, le 17 septembre 2009. La SNCB-Holding, Infrabel et Euro-Liège-TGV inaugurent, en cette fin septembre 2009, la gare de Liège-Guillemins. Il s’agit d’un joyau architectural créé par l’architecte Santiago Calatrava.

Paris Photo met l'Orient à l'honneur

La 13ème édition de Paris Photo, le rendez-vous international de la photographie, propose du 19 au 22 novembre au Carrousel du Louvre une grande exposition consacrée cette année à la scène photographique arabe et iranienne, à laquelle participeront plus d'une centaine d'exposants.

http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2009/11/18/03013-20091118DIMWWW00492-paris-photo.php





«Paris Photo» au Carrousel du Louvre (I er ). Du 18 au 22 novembre. 99, rue de Rivoli 75001 Paris 01 44 50 19 98 Métro 1 Palais Royal - Musée du Louvre, Métro 7 Palais Royal - Musée du Louvre, Bus 95 Du jeudi au dimanche à 11h30. Entrées réduit : 7.5€ normal : 15€



Au Carrousel du Louvre, du 19 au 22 novembre, Paris Photo fait des émules dans les musées et les galeries.

Victor Hugo, pionnier de la photo : Victor Hugo, Maison de Victor Hugo, 6, place des Vosges (IVe). Tlj de 10 heures à 18 heures sauf le lundi. Entrée libre. Jusqu'au 31 janvier.

Un safari couleur en Bretagne, Musée Albert-Kahn, 10-14, rue du Port, 92100 Boulogne-Billancourt. Du mardi au dimanche de 11 heures à 18 heures. Entrée : 1,5 €. Jusqu'au 4 juillet.

Jean-François Spricigo, Académie des beaux-arts, 23, quai Conti (VIe). Du lundi au samedi de 11 heures à 18 heures. Entrée gratuite. Exposition « Anima » jusqu'au 21 novembre.

« L'Iran entre espoir et chaos » à la Monnaie de Paris, jusqu'au 20 déc.

«165 ans de photo iranienne » au Musée du Quai Branly, jusqu'au 22 novembre.

Regards sur l'Iran du photographe Kaveh Kazemi.

Dans la série "à Marseille, on exagère" (et un avant-goût de Marseille-Provence 2013, capitale européenne de la culture) !

Un pastel de Degas volé au musée Cantini à Marseille

Une enquête a été ouverte après qu'un pastel de Degas a été dérobé au Musée Cantini de Marseille, où il était présenté dans la cadre de l'exposition temporaire "De la scène au tableau".

Un pastel du peintre Edgar Degas (1834-1917), baptisée "Les choristes", d'une valeur de 800.000 euros, a été dérobé dans la nuit du 30 au 31 décembre au musée Cantini, à Marseille. Des sources policières et un membre du personnel du Musée marseillais avaient, dans un premier temps, indiqué que le tableau était estimé à 30 millions d'euros. Il s'agit en fait d'un petit pastel de 27x32cm, peint en 1876-77 par Degas. Il faisait partie d'une vingtaine d'œuvres, prêtées par le musée d'Orsay, présentées dans le cadre de l'exposition "De la scène au tableau" qui s'est ouverte le 6 octobre et devait s'achever dimanche 3 janvier.

Dubaï inaugure avec faste "Burj Dubai", la plus haute tour du monde
(AFP - Publié le 01/01/2010 à 12:44)




Dubaï inaugure avec faste lundi soir la plus haute tour du monde, Burj Dubai, géant de plus de 800 mètres de haut appelé à devenir le nouvel emblème de l'émirat, récemment ébranlé par une crise financière.

Feux d'artifice, jets d'eau musicaux, spectacle son et lumière: l'émirat n'a pas lésiné sur les moyens pour émerveiller les quelque 6.000 invités à l'inauguration, qui coïncide avec le quatrième anniversaire de l'accession au pouvoir du souverain de Dubaï, cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum.
Des écrans géants ont été installés à proximité de la tour pour permettre aux badauds de suivre l'événement, retransmis en direct à la télévision.

La hauteur exacte de cette "cité verticale" qui s'élève à plus de 800 mètres doit être annoncée au cours de la cérémonie, présidée par cheikh Mohammad.
La construction de la tour, entamée en 2004, "a coûté 1,5 milliard de dollars", a déclaré lundi aux journalistes Mohammed Alabbar, PDG du géant immobilier Emaar, son promoteur.
Selon lui, la tour comptera 200 étages mais uniquement 160 d'entre eux seront occupés par des appartements ou des bureaux.

"Nous avons vendu 90% du projet", a assuré M. Alabbar, lors d'une tournée avec les journalistes, qui ont été emmenés au 124e étage de la tour offrant une vue panoramique de l'émirat.

Cette inauguration intervient alors que Dubaï fait face à une dette publique de plus de 100 milliards de dollars, selon les estimations.

Burj Dubai pourrait ainsi être, d'après des analystes, le dernier des projets pharaoniques ayant fait la réputation mondiale de l'émirat, dont une île artificielle sous forme de palmier construite par le géant immobilier Nakheel, en partie à l'origine des difficultés financières de Dubaï.
"Les cycles économiques vont et viennent, la crise a duré trop longtemps (...) plus de 20 mois, nous touchons à sa fin", a encore dit M. Alabbar.
Il s'est déclaré convaincu que l'ouverture de la tour allait se répercuter positivement sur le secteur de l'immobilier à Dubaï, qui a chuté de 50% au cours des 12 derniers mois.

L'obélisque d'acier et de verre, qui a englouti 330.000 m3 de béton et 31.400 tonnes de barres de fer, se dresse entre désert et mer comme une icône architecturale visible à 95 km à la ronde.
Burj Dubai compte plus de mille appartements, des bureaux dans 49 étages et un luxueux hôtel Armani, qui sera ouvert en mars 2010 et offrira un spa et des restaurants.

La tour disposera en outre de quatre piscines, du restaurant le plus élevé de la planète, au 122e étage, et d'un parking de 3.000 places.
A terme, 12.000 personnes devraient habiter ou travailler dans cette tour, où les premiers locataires pourront emménager en février.

Le modèle de la tour, surmontée d'une flèche en acier, s'est inspiré du lys du désert, qui pousse dans la région du Golfe, selon ses promoteurs.
La tour est l'élément central d'un projet de 20 milliards de dollars, le nouveau quartier "Downtown Burj Dubai", incluant 30.000 appartements et le Dubai Mall, l'un des plus grands centres commerciaux du monde.

L'architecte est l'Américain Adrian Smith du bureau Skidmore, Owings and Merrill (SOM, basée à Chicago). Les travaux de construction ont été réalisés par la firme sud-coréenne Samsung Engineering & Construction, le groupe belge BESIX et la société locale Arabtec.

La tour devait initialement être inaugurée en 2008. Elle dépasse désormais la tour Taipei 101 (Taïwan), construite en 2004 et qui s'élève à 508 mètres.

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Un vent favorable du désert nous apprend que le restaurant du 122ème étage, le restaurant le plus élevé de la planète, aurait été acquis par un faux ressortissant belge résidant à Marbella, agissant pour le compte d'une ex-haute personnalité politique britannique. À vérifier.

Au premier plan,Lawrence et son banquier

Même projet à Beyrouth et le "nec plus ultra" la forme de l'ilot palmier sera un cèdre........



Ce projet est une réalité....

charlycharly1940 a écrit:

Au premier plan,Lawrence et son banquier

J'ai aussi entendu parler d'une île artificielle en forme de ménorah au large de l'actuelle bande de Gaza...

Biloulou a écrit:

J'ai aussi entendu parler d'une île artificielle en forme de ménorah au large de l'actuelle bande de Gaza...

Et dans l'étang du parc de la Woluwe,aucun projet?

MAIS SI CHARLY......

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Et en rade de Tel Aviv aussi, ensuite une orange à Jaffa !!!!!!!!!

charlycharly1940 a écrit:

Biloulou a écrit:

J'ai aussi entendu parler d'une île artificielle en forme de ménorah au large de l'actuelle bande de Gaza...

Et dans l'étang du parc de la Woluwe,aucun projet?