Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation

Quel enfant impossible et braillard ! Bref, un foutu progressiste !!

T'as oublié de mentionner que cliquer sur ton lien graphique n'apporte pas la solution encore, mais il faut cliquer-drette pis dire de télécharger la patente pour la lire à yeux reposés dans Mister Word - pis si j'ai bien vu, c'est un DOCX, donc postWord 2003, là si je me rappelle bien. Je m'en suis sorti les doigts dans le nez, j'ai le modèle 2007. Je suis comme progressiste, mitou.

Bon, revenons à nos moutons éconos. Lire un avocat et lire un économiste qui fait des " papiers ", c'est obtenir deux regards. En Droit, les lois et règles étant en place, on a l'impression que les vaches seront bien gardées, à l'abri des loups toujours à l'affut d'un repas gratis.

En économie universitaire (les auteurs subventionnés), on tente d'expliquer pourquoi ce n'est pas idéal, de proposer des solutions, d'offrir des avenues plus efficaces, et quoi encore ? en résumé, c'est du terrain. J'ai longtemps travaillé du côté de l'ALÉNA, de sa conceptualisation jusqu'à ses premiers travaux réunissant une bande d'invités voyageant aux frais de la princesse : le but de ces rencontres étant d'établir le libre-échange qui, dans le texte, était la chose la plus extraordinaire qu'on avait créé depuis les Tables mosaïques. Dans les faits, c'était l'imposition par le plus fort de ses exigences en matière d'échanges : Tarzan prend la poche, Jane ramasse ce qui va en tomber durant le rapt.

Il a fallu ajouter des réunions pour tenter d'obtenir davantage du Croquemitaine qui n'a pas attendu l' " époque récente " pour montrer son côté " sauvage ". Le " capitalisme sauvage " doit être un concept à géométrie variable car il est aussi récent que les Mellon et autres Rockefeller. Cette expression n'est pas née avant-hier à l'heure des vidanges. Je suppose que le premier qui la créa songea à " sauvage " dans le sens de " hors-la-loi ".

Ça fait longtemps que des gens d'affaires pratiquent l'économie comme un mafioso le commerce de la pizza.

En conclusion : ce texte laisse bien à entendre que le capitalisme actuel est pour beaucoup une dérive et non un accomplissement dont être fiers jusqu'au point de le protéger de nous-mêmes, de ses victimes !

La vrai conclusion est celle-ci :

La financiarisation de l'économie, qui prend souvent le nom incongru de capitalisme sauvage, est un phénomène propre à notre époque récente. Elle est le résultat du progrès technologique de l'électronique qui a permis interconnexion des réseaux de collecte et de revente des valeurs mobilières. A partir du moment où l'ingénierie financière ne consiste plus à affecter des ressources financières à une activité de production ou de services, le capitalisme financier n'a plus rien à voir avec le capitalisme originel. Le capitalisme financier est en ce sens (et en d'autres placés sur un plan éthique) une activité humaine condamnable et perverse.

Koganwel a écrit:

Quel enfant impossible et braillard ! Bref, un foutu progressiste !!
T'as oublié de mentionner que cliquer sur ton lien graphique n'apporte pas la solution encore, mais il faut cliquer-drette pis dire de télécharger la patente pour la lire à yeux reposés dans Mister Word - pis si j'ai bien vu, c'est un DOCX, donc postWord 2003, là si je me rappelle bien. Je m'en suis sorti les doigts dans le nez, j'ai le modèle 2007. Je suis comme progressiste, mitou.

Mais c'est qu'il a juré à quelque divinité malfaisante d'avoir ma peau, ma parole !
Foyons foir, calmement et posément :

Si tu te repositionnes sur mon message d'hier à 22h02, vois-tu sur le document en réduction, en bas à droite sur le bandeau inférieur, le bouton suivant, intuitif en diable :



En cliquant dessus, qu'arrive-t-il ?
(S'il n'arrive rien, c'est ta faute)

Kog a écrit:

Bon, revenons à nos moutons éconos. Lire un avocat et lire un économiste qui fait des " papiers ", c'est obtenir deux regards. En Droit, les lois et règles étant en place, on a l'impression que les vaches seront bien gardées, à l'abri des loups toujours à l'affut d'un repas gratis.
En économie universitaire (les auteurs subventionnés), on tente d'expliquer pourquoi ce n'est pas idéal, de proposer des solutions, d'offrir des avenues plus efficaces, et quoi encore ? en résumé, c'est du terrain. J'ai longtemps travaillé du côté de l'ALÉNA, de sa conceptualisation jusqu'à ses premiers travaux réunissant une bande d'invités voyageant aux frais de la princesse : le but de ces rencontres étant d'établir le libre-échange qui, dans le texte, était la chose la plus extraordinaire qu'on avait créé depuis les Tables mosaïques. Dans les faits, c'était l'imposition par le plus fort de ses exigences en matière d'échanges : Tarzan prend la poche, Jane ramasse ce qui va en tomber durant le rapt.
Il a fallu ajouter des réunions pour tenter d'obtenir davantage du Croquemitaine qui n'a pas attendu l' " époque récente " pour montrer son côté " sauvage ". Le " capitalisme sauvage " doit être un concept à géométrie variable car il est aussi récent que les Mellon et autres Rockefeller. Cette expression n'est pas née avant-hier à l'heure des vidanges. Je suppose que le premier qui la créa songea à " sauvage " dans le sens de " hors-la-loi ".
Ça fait longtemps que des gens d'affaires pratiquent l'économie comme un mafioso le commerce de la pizza.
En conclusion : ce texte laisse bien à entendre que le capitalisme actuel est pour beaucoup une dérive et non un accomplissement dont être fiers jusqu'au point de le protéger de nous-mêmes, de ses victimes !

La vrai conclusion est celle-ci :
La financiarisation de l'économie, qui prend souvent le nom incongru de capitalisme sauvage, est un phénomène propre à notre époque récente. Elle est le résultat du progrès technologique de l'électronique qui a permis interconnexion des réseaux de collecte et de revente des valeurs mobilières. A partir du moment où l'ingénierie financière ne consiste plus à affecter des ressources financières à une activité de production ou de services, le capitalisme financier n'a plus rien à voir avec le capitalisme originel. Le capitalisme financier est en ce sens (et en d'autres placés sur un plan éthique) une activité humaine condamnable et perverse.

J'enjambe le roman (délectable, soit dit en passant) pour passer directement à la conclusion : oui, le capitalisme financier semble être devenu comme un mouton à trois pattes, une tentative mal aboutie - tenter est le propre de l'homme, n'est-ce pas ?
Mais cette conclusion est-elle vraiment une révélation ou une évidence ?

N'est-ce pas aussi une évidence que les dirigeants politiques ont négligé cette base du libéralisme que Eddie cite en dégustant la surprise de ceux, incrédules, qui ne la connaissaient pas ?

"Le forgeron de "la main invisible du marché" a consigné dans son ouvrage de référence que l'égoïsme individuel qui poussait à entreprendre avait ses limites dans la nature insatiable et déraisonnable de l'homme et qu'il convenait pour le bon fonctionnement du libéralisme que les pouvoirs publics veillent au grain en contenant autoritairement les débordements des agents économiques privés qui ne doivent pas être laissés livrés à eux-mêmes sans la surveillance "du prince".

En cliquant dessus, qu'arrive-t-il ?

T'es donc bien curieux, toi ?!? Tu fais un sondage ou de la délation ?

Gnark-gnark.

Ben, il arrive ce qui devait arriver. Je suppose. La connexion était lente, je n'ai pas attendu le résultat, entendu que je n'ai qu'une vie à vivre, ce ne sera pas à faire tes quatre volontés, pardi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

(Je pense que je vais arrêter de placoter avec un progressiste. On n'avance pas !!!)

Laogorus a écrit:

Je m'en vais donc faire l'état des lieux
À bientôt amis

Fais à ton aise mais fais vite....

Le zèlé Biloulou a écrit:

Fais à ton aise mais fais vite....

Pourquoi es-tu si pressé ?
Etudier les fluctuations du prix du carambar, c'est pas d'la tarte
Vite ne serait pas à mon aise

L

C'est pourquoi, si il y a un progressiste dans la salle,
j'aimerais qu'il m'explique le bien fondé
de ce que nous vivons actuellement.

Tu parlais de mur, Lao, tu viens d'en frapper un sans le voir ! Les progressistes ne regardant jamais en arrière pour mesurer le chemin parcouru et sa pertinence, afin de rester à jamais optimistes, ceux-là ne pourront pas t'expliquer ce qui est creature de la foi spontanée, donc dépourvu de rationalité.
Il m'arrive encore de demander des explications, sans trop en attendre. S'il en vient, je prends, comme la pluie qui vient rafraichir la canicule.

C'est pourquoi j'aime bien l'expression «progressiste-conservateur»...

C'est très pertinent chez Harper, cette apparente contradiction, sachant qu'il veut signifier par là qu'il est fidèle à sa définition du progrès.

Quant aux autres progressistes, qui n'ont pas su accoler l'étiquette " conservateur " à leur première prétention, je ne sais trop par quelle corde les p(r)endre.

Et si je les laissais s'enliser ?

Koganwel a écrit:

Et si je les laissais s'enliser ?

Les 7 milliards d'êtres humains actuels? Pour ce que j'en sais, et ce depuis l'invention de la civilisation, c'est bien d'enlisement qu'il est question et au poids physique de l'espèce humaine ce sera une tâche colossale sinon impossible pour sortir ce tas du bourbier dans lequel il est maintenant enfoncé jusqu'au cou.

Cependant j'avais souligné que je ne faisais pas allusion à la signification canadienne historique de l'expression «progressiste-conservateur» mais simplement à sa signification primaire potentielle.

Ce qui semble vous intéresser, Lao et Kog, c'est l'opposition des deux groupes, soit progressiste (les dits utopistes) et conservateur (les dits rétrogrades). L'un va aveuglément de l'avant, l'autre de même mais à reculons...

Je ne me vois appartenir ni à l'un, ni à l'autre. Vous?

Lequel alors?

Je comprends mieux ce qu'est le conservatisme que le progressisme.

Pratiquerais-je l'un ou l'autre ou l'un et l'autre ? Occupé à respirer, je ne m'étais pas posé la question : conserver est impossible, le passage des ans l'exprime bien, et le progrès, plus on m'en parle et moins je le vois en l'espèce, il resterait à l'imaginer comme d'une grâce à venir pour laquelle on a beaucoup prié.

Vu que je ne crois pas en la Providence... ni aux fées et autres farfadets. Serais-je insipide ?

Mon cher biloulou,
Vous rendez-vous compte de la dangerosité de vos propos dans "Vers une liberté substantialiste" , surtout pour un bleu débarquant sur ce forum? S'il est raisonnable, il quitte immédiatement le forum , sentant qu'il n'y a pas sa place. S'il essaie de comprendre, soit il se suicide, soit il finit à l'asile ! Mais le plus dangereux serait qu'il comprenne l'incompréhensible et qu'il se prenne pour Dieu! Quoiqu'il en soit , continuez dans cette voie , j'aime ce côté foldingue!

Amicalement vôtre

39 -

Laogorus qui a omis de chausser ses bésicles a écrit:

Koganwel a écrit:

La financiarisation de l'économie, qui prend souvent le nom incongru de capitalisme sauvage, est un phénomène propre à notre époque récente. Elle est le résultat du progrès technologique de l'électronique qui a permis interconnexion des réseaux de collecte et de revente des valeurs mobilières. A partir du moment où l'ingénierie financière ne consiste plus à affecter des ressources financières à une activité de production ou de services, le capitalisme financier n'a plus rien à voir avec le capitalisme originel. Le capitalisme financier est en ce sens (et en d'autres placés sur un plan éthique) une activité humaine condamnable et perverse.

Merci Kog de tenter de remettre le débat sur des rails
où la polémique reste aussi facile qu'inutile ...
(C'est un compliment )

L

Cher Laogorus,

J'ai peur que vous ayez versé indûment des droits d'auteur à notre talentueux débatteur Koganwel.

Je souligne ces errements dans le cadre du strict respect du capitalisme raisonné et durable.

Veuillez présenter mes hommages à Dame Aérienne et bonne année à tous deux.

J'ai peur que vous ayez versé indûment des droits d'auteur à notre talentueux débatteur Koganwel.

Je vis cet outrage fait à la vérité, mais ayant la bonne volonté affaiblie par ma cure de nombrilisme, je ne rappelai pas le facteur errant, signant le chèque adressé au porteur et confiant à un complice docile le soin de changer ce papier blanc pour du papier vert.

Jamais un auteur n'a atteint une telle bassesse. Je dois être bipolaire.

Je n'aurais pas écrit ce paragraphe de cette façon, le mot que j'ai pour qualifier de sauvage le capitalisme n'est certes pas aussi barbare que ce mot qui tortille la langue et écorche les lèvres : financiarisation. Je paniquerais de le prononcer une fois sans trébucher comme Christ en chemin de croix et d'entendre mon voisin dire : " Vous pouvez répéter, mon ami ? " (On torturait pour bien moins que ça du temps de Pinochet.)

kalawasa a écrit:

Mon cher biloulou,
Vous rendez-vous compte de la dangerosité de vos propos dans "Vers une liberté substantialiste" , surtout pour un bleu débarquant sur ce forum? S'il est raisonnable, il quitte immédiatement le forum , sentant qu'il n'y a pas sa place.
S'il essaie de comprendre, soit il se suicide, soit il finit à l'asile ! Mais le plus dangereux serait qu'il comprenne l'incompréhensible et qu'il se prenne pour Dieu! Quoiqu'il en soit , continuez dans cette voie , j'aime ce côté foldingue!
Amicalement vôtre

Bonjour Kalawasa !

Saint Pierre (gloire à Son nom) vous l'avait dit, fréquenter LP n'est pas sans risques...
Si je peux vous donner une suggestion, restez en vie, c'est un risque à prendre.
On n'est pas que des phénomènes, que diable !
(Quoique... pour certains de nos camarades... )

Zed a écrit:

Croire, n'est-il pas le gros bobo de la planète?

Pas le bobo, la condition sine qua non de la survie de l'humanité.



Mab

EddieCochran a écrit:

39 -

Laogorus qui a omis de chausser ses bésicles a écrit:

Koganwel a écrit:

La financiarisation de l'économie, qui prend souvent le nom incongru de capitalisme sauvage, est un phénomène propre à notre époque récente. Elle est le résultat du progrès technologique de l'électronique qui a permis interconnexion des réseaux de collecte et de revente des valeurs mobilières. A partir du moment où l'ingénierie financière ne consiste plus à affecter des ressources financières à une activité de production ou de services, le capitalisme financier n'a plus rien à voir avec le capitalisme originel. Le capitalisme financier est en ce sens (et en d'autres placés sur un plan éthique) une activité humaine condamnable et perverse.

Merci Kog de tenter de remettre le débat sur des rails
où la polémique reste aussi facile qu'inutile ...
(C'est un compliment   )

 

L

Cher Laogorus,

J'ai peur que vous ayez versé indûment des droits d'auteur à notre talentueux débatteur Koganwel.

Je souligne ces errements dans le cadre du strict respect du capitalisme raisonné et durable.

Veuillez présenter mes hommages à Dame Aérienne et bonne année à tous deux.

_______________________

Bonne année Eddie ...
Aérienne t'embrasse !

L

46 -

Zed a écrit:

Vous allez ou avec vos bonnes années, ces le 6 septembre (encore l'été) on a même pas encore vu noël  

C'est chaque fois la bonne année pour moi lorsque la belle Aérienne m'embrasse !

Pareillement Chère Aérienne et merci de penser à moi :

Ouais... et sur ces entrefaites moi je me les gèle, j'attends toujours mes mitaines...
(C'est vrai qu'avec le réchauffement climatique....)

Biloulou a écrit:

Ouais... et sur ces entrefaites moi je me les gèle, j'attends toujours mes mitaines...
(C'est vrai qu'avec le réchauffement climatique....)

Ça me semble curieux d'enfiler des mitaines à ces extrémités-là pour les réchauffer...
Mais, bon, tous les goûts sont dans la Nature dit-on.

Si ça peut vous dépanner en attendant que l'esquise Aérienne se mette au crochet
je vous offre cet ouvrage tricoté main :