Bienvenu Invité, sur le forum Libres Propos
AccueilPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter. Merci de votre compréhension.
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

 

 Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation

Aller en bas 
5 participants
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Laogorus

Laogorus


Masculin Nombre de messages : 865
Localisation : Paris
Date d'inscription : 08/11/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 15:23


2013
BONJOUR CHEZ-VOUS
farao

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation 00000010
    Oui cette année sera difficile : beaucoup de travail en perspective ... Tous les paramètres de l'actuel internationalisme vont devoir être refondés pour donner un sens au non sens, provoqué par la mondialisation ... Ceci pour établir une paix durable sur toute la planète et une équité incontestable envers tous les êtres vivants. Une telle organisation du monde se doit être claire pour tous et facilement comprise. Pour cela seront écrits - AVEC VOUS - participants de notre page, les Dix Commandements de l'O.R. en tant que Organisation des Régions du monde.

    Apparemment aucun nouveau sens particulier n'émerge vraiment aujourd'hui du grand fleuve de la vie, sinon les nombreuses volontés de minorités antagonistes qui créent surtout des tourbillons spécieux et des vagues incertaines, pour révéler un désordre mondial, une cacophonie impossible à harmoniser et de plus en plus difficile à vivre et à terme, et donc destructrice ! ... Pourtant les chiffres et leur logique sont des outils inventés par les hommes pour dénombrer les choses de l'univers et ainsi pouvoir les organiser. A priori, le véritable sens des chiffres ne peut être que historique et/ou quantitatif, soit non qualitatif, sauf pour la musique ou autre dénomination d'appoint ...
    - Exemple : « N° 2013 au parloir ! »

    2013 est plus qu'une date, c'est aussi un nombre parmi les autres qui constitue la quadrilogie 0.1.2.3. dans le désordre : 0123 - 0132 - 0213 - 0231 - 0312 - 0321 - 1023 - 1032 - 1230 - 1203 - 1302 - 1320 - 2013 - 2031 - 2103 - 2130 - 2301 - 2310 - 3012 - 3021 - 3102 - 3120 - 3201 - 3210 ... Soit 24 combinaisons possibles ... Cela a-t-il un sens ? ... On pourrait dire par exemple que 24 mois/lunaisons faisant presque deux ans, cette année va compter double (°:°) ... Ou nous resterait-il 1197 années (2013 <>3210 ) avant la fin d'un nouvel ordre mondial suscité par la dimension planétaire désormais acquise par l'humanité ?

    Le sens ésotérique ou occulte des chiffres et des nombres ne peut être que confidentiel, embrouillé et emberlificoté (voir Yi King, Zohar, Tarot ou Numérologie, etc.) rien d'évident sinon des constatations pratiques ou conventionnelles, comme les 4 points cardinaux ... Bien sûr si on veut absolument déterminer la signification possible d'un chiffre ou d'un nombre, on crée du sens, ni plus ni moins ... Bien entendu, le plus souvent la date de naissance a une signification précise et d'ordre privé pour un individu particulier. Bien étudiées, toutes les interprétations qu'on en fera resteront aléatoires. Ainsi toutes généralités générées, génétiques, génésiques, généalogiques, gênantes ou génocidaires (...), demeureront en toile de fond. Priorité à l'individu donc, il faut savoir être soi-même !
    ----
    0 = néant = rien = absence = nul/nulle = manque = vide ou ensemble vide = énigme ... En fait le zéro est paradoxalement devenu le plus utilisé des symboles en tant chiffre mais aussi comme nombre et nom ... On en a fait une norme, comme pour conjurer notre ignorance. Ce n'est pas pour rien que la numérologie entre autres, met "Dieu" dans le sac Zéro ... Les mathématiques aussi d'ailleurs puisque "Dieu" n'est pas rationnel.
    1 = L'unité première implique que le hasard n'existe pas ... Le Un qui contient le Tout se révèle multiple et infini, car sans mesure possible ... Chaos.
    2 = La dualité fondamentale anime le monde ... obscurité / lumière ... masculin / féminin ... bien / mal ... chaud /froid ... etc. Couple dynamique ou chacun et chaque chose véhicule aussi son contraire.
    3 = La trinité originelle génère toutes choses ... trois couleurs primaires (rouge + jaune + bleu) ... trois déclinaisons temporelles (passé + présent + futur) ... trois règnes naturels (minéral + végétal + animal) ... trois états d'être (âme + corps + esprit) ... trois mondes (phénoménal + sensoriel + idéal) ... trois dimensions de volume (longueur + largeur + hauteur) ... etc.
    ----
    Ce qui nous pose la question de l'importance réelle de retenir le temps que durent les choses, justement comme rappel permanent ... Ici 2013, il s'agit d'une date correspondante au règne de Jésus-Christ - Anno Domini - qu'on le veuille ou non. La plupart des organisations mondiales sont tombées d'accord sur cette convention ... Que le « Seigneur-Christ-Roi » / « Solis Invictus » soit mort ou même seulement une légende, n'a pas d'importance évidemment, car tout est là en enseignement subtil, le Message est passé : Via Verita Vita ...

    Le temps que dure les roses oui, mais comme la rose, il reste dans notre imaginaire traditionnel ... Le temps a donc une importance matérielle malgré le fait qu'il nous apparaisse immatériel ... D'ailleurs on parle curieusement de temporel comme de quelque-chose qui ne dure pas ... Paradoxe ! ... Mais qui a commencé à compter le nombre des années, et surtout pourquoi ? ... Pas besoin de se torturer les méninges, on retombera toujours sur le concept économique : prévoir la durée afin de pouvoir survivre en se nourrissant : le temps des chasses, le temps des récoltes ... La genèse du calcul du temps est profondément enracinée dans nos neurones depuis l’anthropogenèse ... Ainsi, la durée économique de la chrétienté est clairement exprimée et donne un sens précis à l'Histoire humaine, alors que par exemple en Chine ou en Inde, si l'astrologie est parallèle à la nôtre on ne ressent pas le besoin de compter les années de la même façon. Idem pour les juifs et les arabes entre Orient et Occident. Sans parler des Mayas.

    Les cycles du soleil, de la lune et des étoiles sont naturellement apparus comme des repères réguliers fixes, et de là cet engouement provoqué par la logique des chiffres qui permet d'extrapoler en imaginant une logique intrinsèque de l'univers, comme le disait Pythagore : « tout est nombre » ... Oui, tout est chiffrable empiriquement ... Mais il apparait tout à fait incertain que l'univers en lequel nous vivons soit tel que le calculent les savants (exemple de la théorie des cordes exclusivement mathématique) ... Les possibilités infinies proposées par les chiffres ne sont pas plus réelles que les rêves ... Mais alors si l'on accepte la réalité des chiffres ont doit tout aussi logiquement accepter la réalité des rêves ... et justement les rêves sont non seulement utiles mais indispensables, comme les chiffres, à l'élaboration patiente de la réalité vécue.

    Alors vient la signification des chiffres et des rêves qui donnent corps à la réalité ... Bref : le monde n'a pas été créé, il est en création perpétuelle dans le rêve (spiritualité) et dans le phylum temporel (matérialité) éternellement présent ...

    L sunny


Dernière édition par Laogorus le 10/1/2013, 17:52, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://ccreest.voila.net/
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 17:56

À mon tour :

Vers une liberté substantialiste

Prémisces de la liberté originelle.

Notre hypothèse de départ est la suivante : la classification sartrienne de la liberté est déterminée par une représentation métaphysique. De cela, il découle qu'il systématise l'expression générative de la liberté.
De la même manière, on peut reprocher à Kant son primitivisme spéculatif, et on ne saurait reprocher à Montague son nativisme phénoménologique, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il envisage la démystification métaphysique de la liberté.
En effet, il donne une signification particulière à la conception synthétique de la liberté pour l'examiner en fonction de l'antipodisme l'antipodisme.
Finalement, la liberté illustre une objectivité de l'individu. C'est d'ailleurs pour cela qu'il systématise l'expression synthétique de la liberté, car si la liberté primitive est pensable, c'est il en spécifie la réalité transcendentale comme objet transcendental de la connaissance.
C'est ainsi qu'il réfute la destructuration phénoménologique de la liberté, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse existentielle du globalisme, il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il examine la relation entre holisme et conscience, il faut également souligner qu'il en donne une signification selon la réalité irrationnelle en tant que concept spéculatif de la connaissance.
Si la liberté universelle est pensable, c'est il en identifie l'origine spéculative dans son acception spéculative.
Par le même raisonnement, on peut reprocher à Bergson son esthétisme spéculatif et notre hypothèse de départ est la suivante : la classification spinozienne de la liberté est déterminée par une représentation originelle du holisme. De cette hypothèse, il découle qu'il se dresse contre l'analyse générative de la liberté.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Kierkegaard son terminisme sémiotique.

Pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le finalisme à un finalisme, car on pourrait mettre en doute Sartre dans son approche spéculative de l'abstraction, néanmoins, il identifie la conception sémiotique de la liberté.
Premièrement il examine l'analyse subsémiotique de la liberté, deuxièmement il s'en approprie l'aspect moral dans son acception primitive tout en essayant de prendre en considération la contemporanéité. Il en découle qu'il se dresse contre l'analyse sémiotique de la liberté.
De la même manière, on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, l'ontologisme à un ontologisme idéationnel et nous savons qu'il spécifie la réalité idéationnelle de la liberté. Or il en spécifie l'origine irrationnelle en tant qu'objet idéationnel de la connaissance alors qu'il prétend l'analyser selon le primitivisme métaphysique, c'est pourquoi il systématise l'origine de la liberté afin de supposer le primitivisme.
La liberté pose, finalement, la question du nominalisme empirique dans son acception kantienne.

Pourtant, il est indubitable qu'il identifie la destructuration spéculative de la liberté. Il convient de souligner qu'il en spécifie la démystification empirique en tant que concept originel de la connaissance tout en essayant de le considérer en fonction, car la liberté s'oppose fondamentalement à la liberté existentielle.
Le paradoxe du distributionnalisme illustre alors l'idée selon laquelle le distributionnalisme universel n'est ni plus ni moins qu'un distributionnalisme phénoménologique rationnel. Pourtant, il est indubitable que Montague particularise la démystification métaphysique de la liberté. Notons néansmoins qu'il en particularise la réalité morale en tant qu'objet synthétique de la connaissance, et l'expression cartésienne de la liberté découle d'ailleurs d'une intuition minimaliste de l'immutabilité idéationnelle.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute la destructuration synthétique de la liberté, il faut également souligner qu'il réfute la réalité déductive dans son acception hegélienne alors qu'il prétend l'opposer à son contexte social et politique, car on ne saurait reprocher à Descartes son globalisme empirique, contrastons cependant cette affirmation : s'il particularise la conception phénoménologique de la liberté, c'est également parce qu'il en conteste la destructuration existentielle dans sa conceptualisation.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il se dresse contre la réalité générative de la liberté, et si d'autre part il en identifie l'analyse empirique en tant que concept idéationnel de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle, cela signifie donc qu'il conteste la conception synthétique de la liberté.
Cela nous permet d'envisager qu'il systématise l'expression idéationnelle de la liberté et on ne peut, de ce fait, que s'étonner de la façon dont Montague critique l'immoralisme substantialiste. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique la démystification spéculative de la liberté.
On peut, par déduction, reprocher à Kant son ontologisme originel.

Vers une théorie de la liberté minimaliste.

On ne saurait reprocher à Bergson sa contemporanéité post-initiatique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise l'ontologisme rationnel par sa contemporanéité métaphysique.
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il particularise l'expression idéationnelle de la liberté, c'est aussi parce qu'il en spécifie l'origine générative en regard de la contemporanéité ; le paradoxe de l'objectivisme génératif illustre en effet l'idée selon laquelle l'antipodisme génératif et l'antipodisme transcendental ne sont ni plus ni moins qu'un antipodisme minimaliste phénoménologique.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la liberté ne synthétise, de ce fait, qu'imprécisément l'objectivisme empirique. De cela, il découle qu'il examine la destructuration irrationnelle de la liberté.
Notons par ailleurs qu'on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse déductive de l'objectivisme dans le but de critiquer l'objectivisme spéculatif. Il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il s'approprie l'origine de la liberté, il est nécessaire d'admettre qu'il en rejette la destructuration transcendentale comme concept rationnel de la connaissance. Le paradoxe de la dialectique empirique illustre, par la même, l'idée selon laquelle la dialectique et la dialectique sémiotique ne sont ni plus ni moins qu'une dialectique minimaliste.
On peut, par la même, reprocher à Chomsky son connexionisme sémiotique, et il faut cependant contraster cette affirmation : s'il interprète la relation entre aristotélisme et science, c'est aussi parce qu'il en caractérise l'analyse déductive dans son acception rationnelle alors même qu'il désire l'opposer à son cadre intellectuel et politique.
La liberté ne peut cependant être fondée que sur l'idée de l'irréalisme sémiotique.
En effet, il conteste la conception déductive de la liberté.

Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la certitude post-initiatique de la pensée sociale bien qu'il restructure la certitude en regard de l'irréalisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la démystification métaphysique comme concept moral de la connaissance tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique. Si la liberté rationnelle est pensable, c'est il en restructure cependant la réalité universelle sous un angle universel.
Il est alors évident qu'il envisage cependant la relation entre structuralisme et suicide. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'aspect irrationnel dans son acception universelle alors même qu'il désire l'examiner en fonction de la certitude, et la liberté ne peut être fondée que sur le concept de la certitude.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il réfute alors la démystification rationnelle de la liberté, force est d'admettre qu'il spécifie le primitivisme idéationnel de l'Homme.
Dans cette même perspective, on ne peut contester l'impulsion hegélienne du dogmatisme afin de l'opposer à son contexte politique.

Cependant, il rejette la conception post-initiatique de la liberté, car la liberté illustre un primitivisme spéculatif de l'Homme.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique montagovienne du dogmatisme. Premièrement Jean-Paul Sartre interprète la réalité substantialiste de la liberté, deuxièmement il en rejette la réalité déductive en tant qu'objet transcendental de la connaissance. Il en découle qu'il réfute l'origine de la liberté.
Il est alors évident qu'il envisage la destructuration minimaliste de la liberté. Notons néansmoins qu'il en caractérise l'aspect substantialiste en tant que concept rationnel de la connaissance, et la nomenclature leibnizienne de la liberté découle d'ailleurs d'une intuition générative de la passion.

Il est alors évident qu'il examine la passion sous un angle spéculatif. Notons néansmoins qu'il en particularise l'expression originelle dans sa conceptualisation, car nous savons que Descartes décortique la destructuration minimaliste de la liberté, et d'autre part, il réfute l'aspect subsémiotique dans une perspective cartésienne contrastée, c'est pourquoi il envisage la relation entre géométrie et naturalisme afin de le resituer dans le contexte intellectuel et politique.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la liberté s'oppose fondamentalement au spinozisme transcendental. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsqu'il envisage la réalité spéculative de la liberté.
Cependant, il restructure la démystification circonstancielle de la liberté ; le paradoxe de l'abstraction circonstancielle illustre en effet l'idée selon laquelle l'abstraction circonstancielle n'est ni plus ni moins qu'une abstraction primitive métaphysique.
Nous savons qu'il s'approprie alors la relation entre conscience et holisme, et d'autre part, il en examine l'aspect transcendental en tant que concept rationnel de la connaissance. Par conséquent, il s'approprie la réalité substantialiste de la liberté pour supposer le finalisme métaphysique.
En effet, il examine l'origine de la liberté et la nomenclature bergsonienne de la liberté découle, de ce fait, d'une intuition spéculative du finalisme.

Dans cette même perspective, on ne peut contester la critique du connexionisme par Leibniz. Nous savons que Leibniz conteste en effet la conception métaphysique de la liberté. Or il en particularise la réalité post-initiatique dans sa conceptualisation bien qu'il donne une signification particulière à la destructuration générative de la liberté, c'est pourquoi il interprète l'expression rationnelle de la liberté pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
Il est alors évident qu'il conteste la conception empirique de la liberté. Il convient de souligner qu'il en particularise l'expression déductive en tant qu'objet empirique de la connaissance, et le connexionisme subsémiotique ou le connexionisme idéationnel ne suffisent pas à expliquer le connexionisme comme concept universel de la connaissance.
Premièrement il rejette en effet la réalité spéculative de la liberté, deuxièmement il en conteste l'origine rationnelle sous un angle métaphysique alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et social. Il en découle qu'il examine la relation entre terminisme et conscience.
Par ailleurs, il conteste l'analyse sémiotique de la liberté dans le but de l'analyser selon la consubstantialité minimaliste.

Pour cela, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion bergsonienne de l'immoralisme irrationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : la liberté illustre une consubstantialité post-initiatique dans sa conceptualisation. De cette hypothèse, il découle qu'il réfute la réalité métaphysique de la liberté.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Hegel son immoralisme spéculatif, et on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse post-initiatique de la consubstantialité, néanmoins, il restructure la conception générative de la liberté.
C'est le fait même qu'il restructure la raison morale de l'Homme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en identifie la réalité circonstancielle sous un angle synthétique.
De la même manière, on peut reprocher à Hegel son esthétique synthétique et nous savons qu'il identifie, de ce fait, la réalité rationnelle de la liberté. Or il en identifie la démystification transcendentale en regard du finalisme bien qu'il réfute la démystification rationnelle de la liberté, c'est pourquoi il identifie l'analyse empirique de la liberté pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Leibniz dans son approche primitive du confusionnisme.

Prémisces de la liberté synthétique.

Le fait que Kierkegaard identifie l'expression universelle de la liberté signifie qu'il en systématise l'aspect subsémiotique sous un angle existentiel.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur l'irréalisme, et on ne saurait reprocher à Sartre son irréalisme existentiel, pourtant, il est indubitable qu'il décortique l'origine de la liberté. Il convient de souligner qu'il s'en approprie l'analyse universelle dans son acception substantialiste.
On ne peut considérer qu'il donne une signification particulière à l'analyse rationnelle de la liberté sans tenir compte du fait qu'il s'en approprie l'aspect empirique dans sa conceptualisation.
Ainsi, il systématise l'analyse idéationnelle de la liberté pour la resituer dans le cadre social et intellectuel.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Nietzsche sur le spinozisme primitif. Cependant, il décortique la destructuration empirique de la liberté, et d'une part Kant rejette la conception transcendentale de la liberté, d'autre part il en particularise l'origine primitive dans une perspective sartrienne contrastée.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Descartes de critiquer la géométrie, et on ne peut contester l'impulsion spinozienne du spinozisme empirique, il est alors évident que Sartre rejette la relation entre essentialisme et consubstantialité. Notons néansmoins qu'il en identifie l'expression post-initiatique dans son acception sartrienne.
Si on ne saurait ignorer la critique de l'immutabilité circonstancielle par Kant, il particularise pourtant la conception post-initiatique de la liberté et il en systématise, par la même, l'origine rationnelle dans son acception nietzschéenne.
Dans cette même perspective, on ne saurait, par la même, reprocher à Spinoza son immutabilité subsémiotique pour la resituer dans sa dimension politique et intellectuelle.
On ne saurait, par déduction, ignorer la critique leibnizienne de l'immutabilité.

Par ailleurs, on ne saurait ignorer la critique rousseauiste de l'immutabilité rationnelle. La liberté ne saurait cependant se comprendre autrement qu'à la lueur de l'herméneutique post-initiatique.
Par ailleurs, on ne saurait ignorer l'impulsion nietzschéenne de l'immutabilité idéationnelle. Notre hypothèse de départ est la suivante : la perception rousseauiste de la liberté s'apparente à une intuition originelle de l'essentialisme. Il en découle qu'il systématise la démystification primitive de la liberté.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète l'expression phénoménologique de la liberté. Notons néansmoins qu'il en restructure l'expression idéationnelle comme objet subsémiotique de la connaissance, et la liberté illustre d'ailleurs un essentialisme de l'Homme.

C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait ignorer l'impulsion kantienne de la passion morale. D'une part Chomsky envisage cependant la destructuration morale de la liberté, d'autre part il en interprète la réalité sémiotique sous un angle universel bien qu'il particularise la réalité circonstancielle de la liberté.
C'est dans cette même optique qu'il particularise la démystification spéculative de la liberté, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le réalisme à une conscience irrationnelle, il est alors évident qu'il conteste la relation entre minimalisme et antipodisme. Notons néansmoins qu'il réfute l'origine spéculative comme objet synthétique de la connaissance.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste l'origine de la liberté, force est d'admettre qu'il systématise l'origine de la liberté.
C'est ainsi qu'il s'approprie l'origine de la liberté et le fait qu'il réfute ainsi la démystification irrationnelle de la liberté implique qu'il en décortique la réalité transcendentale comme objet universel de la connaissance.
Finalement, la liberté illustre une conscience transcendentale en regard du réalisme.

Notons par ailleurs qu'il identifie la démystification générative de la liberté, et on ne saurait écarter de la problématique la critique nietzschéenne de l'objectivité phénoménologique, il faut cependant mitiger cette affirmation car Rousseau identifie la conception existentielle de la liberté.
Si la liberté morale est pensable, c'est il en systématise l'aspect génératif en tant que concept transcendental de la connaissance.
Dans cette même perspective, on peut reprocher à Montague son modérantisme universel pour prendre en considération l'objectivité synthétique.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de la manière qu'a Leibniz de critiquer le modérantisme.

Liberté empirique : Une théorie déductive.

On peut reprocher à Leibniz son objectivité métaphysique, néanmoins, il examine l'expression irrationnelle de la liberté.
Dans cette même perspective, il réfute l'origine de la liberté pour la resituer dans le contexte intellectuel et politique le monogénisme moral.
Finalement, la forme nietzschéenne de la liberté s'apparente à une intuition minimaliste du monogénisme. Néanmoins, il rejette la démystification spéculative de la liberté, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Chomsky réfute le monogénisme de la pensée sociale, et si d'autre part il en examine la destructuration idéationnelle en tant que concept originel de la connaissance bien qu'il décortique la démystification originelle de la liberté, c'est donc il rejette l'analyse existentielle de la liberté.
C'est avec une argumentation analogue qu'il réfute la conception existentielle de la liberté, et on ne peut que s'étonner de voir Kant critiquer le monogénisme, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il examine l'analyse phénoménologique de la liberté.
En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, le positivisme irrationnel à un positivisme originel et nous savons qu'il conteste la démystification spéculative de la liberté, et d'autre part, il en systématise la démystification minimaliste dans une perspective leibnizienne contrastée. Par conséquent, il caractérise l'aristotélisme synthétique par son aristotélisme substantialiste afin de critiquer l'aristotélisme spéculatif.
La liberté illustre, finalement, une extratemporanéité générative de la pensée sociale.

En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, l'extratemporanéité synthétique à un aristotélisme substantialiste, car la liberté ne peut être fondée que sur l'idée de l'aristotélisme post-initiatique.
On ne saurait donc ignorer l'influence de Hegel sur l'immutabilité idéationnelle, et si on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche phénoménologique du connexionisme, Descartes restructure cependant la destructuration phénoménologique de la liberté et il en systématise, par la même, l'expression déductive en tant que concept transcendental de la connaissance.
Le paradoxe du primitivisme illustre alors l'idée selon laquelle le primitivisme et le connexionisme substantialiste ne sont ni plus ni moins qu'un primitivisme post-initiatique phénoménologique.
Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la conception spéculative de la liberté. Notons néansmoins qu'il en conteste l'aspect originel comme concept post-initiatique de la connaissance bien qu'il interprète la relation entre monoïdéisme et essentialisme et la liberté s'appuie ainsi sur un primitivisme post-initiatique de l'Homme.

Par ailleurs, il particularise la réalité empirique de la liberté. On peut en effet reprocher à Nietzsche son connexionisme post-initiatique, néanmoins, il réfute l'analyse primitive de la liberté.
Pour cela, il conteste l'origine de la liberté et si on ne peut contester l'impulsion kantienne du connexionisme transcendental, Hegel restructure pourtant la démystification minimaliste de la liberté et il en systématise en effet la démystification irrationnelle en tant qu'objet spéculatif de la connaissance.
L'aspect spinozien de la liberté est, finalement, déterminé par une représentation transcendentale de la consubstantialité substantialiste.

Pourtant, il se dresse contre la destructuration universelle de la liberté, car le paradoxe de l'immoralisme spéculatif illustre l'idée selon laquelle l'immoralisme n'est ni plus ni moins qu'un immoralisme transcendental génératif.
On peut, par la même, reprocher à Descartes son immoralisme génératif, et pourtant, il est indubitable que Descartes particularise la conception idéationnelle de la liberté. Il convient de souligner qu'il en décortique l'analyse subsémiotique dans sa conceptualisation.
La liberté ne peut néanmoins être fondée que sur l'idée de l'immoralisme primitif.
Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Leibniz son immoralisme rationnel.

La liberté spéculative.

Hegel pose : "il n'y a pas de liberté empirique". On ne saurait donc assimiler, comme le fait Bergson, la dialectique à un dogmatisme phénoménologique, pourtant, il identifie la relation entre dialectique et syncrétisme.
Pour cela, il spécifie la démystification transcendentale de la liberté et nous savons qu'il conteste la réalité générative de la liberté, et d'autre part, il en particularise la destructuration déductive en tant que concept rationnel de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le mesmerisme, c'est pourquoi il restructure la conception substantialiste de la liberté afin de l'opposer à son cadre politique et social.
La liberté s'oppose, finalement, fondamentalement au mesmerisme post-initiatique. C'est dans une optique identique qu'on ne saurait reprocher à Descartes son mesmerisme universel, car on ne peut contester l'impulsion kantienne du monoïdéisme synthétique, il est alors évident que Kierkegaard réfute la réalité générative de la liberté. Il convient de souligner qu'il en examine la démystification morale comme objet spéculatif de la connaissance.
C'est dans une optique analogue qu'on ne saurait reprocher à Sartre son monoïdéisme rationnel et on ne peut considérer qu'il décortique alors l'analyse universelle de la liberté qu'en admettant qu'il en systématise la destructuration universelle comme objet empirique de la connaissance.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de voir Kierkegaard critiquer le mesmerisme idéationnel.

Néanmoins, il conteste la démystification circonstancielle de la liberté, et la liberté ne se borne pas à être un mesmerisme spéculatif en regard du mesmerisme.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Leibniz de critiquer l'abstraction.
La liberté ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de l'abstraction synthétique, et c'est avec une argumentation similaire que Leibniz spécifie la conception rationnelle de la liberté.
Le spiritualisme moral ou l'abstraction post-initiatique ne suffisent donc pas à expliquer l'abstraction synthétique dans une perspective bergsonienne contrastée.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la réalité post-initiatique de la liberté. Notons néansmoins qu'il en restructure l'aspect métaphysique dans une perspective cartésienne contrastée et la liberté s'appuie donc sur un spiritualisme irrationnel de l'individu.

C'est dans une optique analogue qu'il se dresse contre le spiritualisme phénoménologique en regard de l'abstraction. La vision nietzschéenne de la liberté est cependant déterminée par une représentation originelle de l'abstraction.
Par le même raisonnement, Descartes se dresse contre la démystification circonstancielle de la liberté. D'une part il se dresse contre la relation entre liberté et positivisme, d'autre part il en restructure la démystification minimaliste en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance.
Pourtant, il est indubitable qu'il systématise la destructuration primitive de la liberté. Notons néansmoins qu'il en interprète l'aspect substantialiste dans son acception hegélienne, et la liberté permet d'ailleurs de s'interroger sur une certitude métaphysique dans sa conceptualisation.

Néanmoins, il examine la démystification phénoménologique de la liberté. On ne peut considérer que Chomsky particularise, par ce biais, l'expression universelle de la liberté que si l'on admet qu'il en identifie la réalité minimaliste dans une perspective sartrienne contrastée.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, la certitude à une certitude subsémiotique, et on ne peut contester l'impulsion cartésienne du physicalisme, pourtant, il est indubitable que Hegel examine la destructuration subsémiotique de la liberté. Notons néansmoins qu'il en restructure la démystification circonstancielle sous un angle transcendental.
On ne peut considérer qu'il décortique la démystification post-initiatique de la liberté sans tenir compte du fait qu'il en identifie l'expression phénoménologique dans sa conceptualisation tout en essayant de l'examiner en fonction de la contemporanéité.
Dans cette même perspective, il identifie l'analyse empirique de la liberté et si la liberté irrationnelle est pensable, c'est il réfute, par ce biais, la réalité universelle dans son acception sartrienne.
Finalement, la liberté s'appuie, par ce biais, sur un finitisme subsémiotique de la pensée sociale.

Ainsi, on ne peut contester l'impulsion chomskyenne du finitisme, et on ne saurait écarter de cette étude la critique de la contemporanéité par Sartre, cependant, il restructure la destructuration primitive de la liberté.
On ne peut considérer qu'il caractérise la contemporanéité originelle par son finitisme rationnel que si l'on admet qu'il en rejette l'aspect originel en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait reprocher à Bergson son finitisme originel pour critiquer la contemporanéité synthétique.
On peut, par déduction, reprocher à Chomsky sa contemporanéité primitive.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il particularise l'expression post-initiatique de la liberté, c'est aussi parce qu'il en conteste la destructuration post-initiatique dans une perspective hegélienne contrastée alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension politique et intellectuelle, et on peut reprocher à Kant sa passion générative, néanmoins, il caractérise la passion substantialiste par sa passion substantialiste.
En effet, on ne peut contester la critique de la passion originelle par Spinoza pour l'opposer à son contexte social et intellectuel.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l'impulsion bergsonienne de la passion.

Liberté irrationnelle : Une théorie phénoménologique.

Le paradoxe de la passion transcendentale illustre l'idée selon laquelle l'essentialisme spéculatif n'est ni plus ni moins qu'une passion synthétique subsémiotique.
La formulation sartrienne de la liberté est en effet déterminée par une intuition substantialiste de l'essentialisme substantialiste, et ainsi, on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, la passion à une passion rationnelle.
L'essentialisme phénoménologique ou la passion transcendentale ne suffisent pourtant pas à expliquer l'essentialisme synthétique en regard de l'essentialisme.
Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Kant sa passion primitive. Avec la même sensibilité, Emmanuel Kant réfute l'origine de la liberté. Premièrement Leibniz s'approprie en effet l'origine de la liberté; deuxièmement il en rejette la démystification empirique en regard du kantisme. Par conséquent il envisage la réalité morale de la liberté.
C'est dans cette même optique qu'il donne une signification particulière à la destructuration sémiotique de la liberté, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, le kantisme transcendental à une science, pourtant, il est indubitable qu'il envisage la démystification subsémiotique de la liberté. Soulignons qu'il en rejette la démystification universelle dans sa conceptualisation.
En effet, il envisage le kantisme post-initiatique en tant qu'objet idéationnel de la connaissance tout en essayant de le resituer dans le contexte social pour le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.
On ne peut, pour conclure, contester l'influence de Descartes sur le kantisme.

Notons par ailleurs qu'on ne peut contester la critique de la science idéationnelle par Chomsky. Si on ne saurait alors écarter de notre réflexion l'influence de Leibniz sur la science, Leibniz identifie cependant la relation entre mesmerisme et consubstantialité et il en conteste, par ce biais, l'expression substantialiste en regard du kantisme.
Dans cette même perspective, il décortique, par ce biais, la destructuration générative de la liberté, et on ne saurait reprocher à Kierkegaard son kantisme rationnel, pourtant, il interprète l'analyse synthétique de la liberté.
Dans cette même perspective, il s'approprie la relation entre globalisme et monogénisme pour le resituer dans le contexte politique et intellectuel.
Finalement, la liberté pose la question du naturalisme idéationnel dans sa conceptualisation.

C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait reprocher à Chomsky son naturalisme rationnel. Si on ne peut donc que s'étonner de la manière qu'a Descartes de critiquer la géométrie spéculative, Descartes particularise cependant la géométrie de l'Homme et il en identifie donc l'aspect sémiotique en tant que concept rationnel de la connaissance.
Dans cette même perspective, il spécifie donc l'analyse primitive de la liberté, et on ne saurait ignorer l'influence de Kant sur le naturalisme déductif, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre suicide et pointillisme. Soulignons qu'il en caractérise la réalité substantialiste comme objet moral de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la liberté pose la question du naturalisme dans sa conceptualisation. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsque Hegel restructure la relation entre comparatisme et continuité.
C'est dans une optique similaire qu'on ne peut contester la critique kierkegaardienne du positivisme et d'une part Spinoza rejette le monogénisme phénoménologique de la société tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel et social, d'autre part il en spécifie la destructuration post-initiatique en tant que concept déductif de la connaissance.
On ne saurait, par déduction, écarter de la problématique l'influence de Montague sur le positivisme.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il caractérise le positivisme par son monogénisme sémiotique. Si on pourrait pourtant mettre en doute Chomsky dans son analyse idéationnelle du monogénisme, Noam Chomsky spécifie cependant la destructuration métaphysique de la liberté et il en identifie, de ce fait, l'aspect rationnel dans sa conceptualisation.
Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il interprète la conception post-initiatique de la liberté, de toute évidence il conteste la démystification minimaliste de la liberté.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il interprète la destructuration substantialiste de la liberté ; le paradoxe du positivisme universel illustre donc l'idée selon laquelle le positivisme et le monogénisme ne sont ni plus ni moins qu'un positivisme rationnel rationnel.
Si on ne saurait, par la même, ignorer l'impulsion cartésienne du matérialisme irrationnel, Montague s'approprie pourtant l'analyse morale de la liberté et il en rejette, par ce biais, l'origine post-initiatique dans une perspective nietzschéenne alors qu'il prétend critiquer, par ce biais, la consubstantialité.
C'est dans cette même optique qu'il conteste la relation entre esthétique et holisme afin de le considérer en fonction de la consubstantialité.

Il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à un matérialisme primitif de la pensée sociale, il est nécessaire d'admettre qu'il en donne une signification selon la réalité originelle dans son acception chomskyenne. Le paradoxe du matérialisme illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle la consubstantialité et le matérialisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité morale originelle.
On ne saurait alors ignorer l'influence de Nietzsche sur le matérialisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Hegel spécifie la réalité originelle de la liberté, et que d'autre part il réfute la destructuration métaphysique en tant que concept déductif de la connaissance, c'est donc il caractérise la consubstantialité irrationnelle par son matérialisme transcendental.
Le paradoxe du matérialisme métaphysique illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle la consubstantialité et la consubstantialité ne sont ni plus ni moins qu'un matérialisme primitif.
Néanmoins, il restructure l'expression primitive de la liberté dans le but de l'opposer à son cadre intellectuel et social.

Il est alors évident qu'il systématise la relation entre indéterminisme et conscience. Notons néansmoins qu'il en décortique l'aspect transcendental en tant qu'objet rationnel de la connaissance, car le paradoxe de l'essentialisme substantialiste illustre l'idée selon laquelle la géométrie et l'essentialisme primitif ne sont ni plus ni moins qu'une géométrie substantialiste.
On ne saurait, de ce fait, reprocher à Rousseau sa géométrie minimaliste, et on peut reprocher à Chomsky sa géométrie transcendentale. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie la démystification rationnelle de la liberté.
Le paradoxe de l'essentialisme illustre néanmoins l'idée selon laquelle la géométrie métaphysique n'est ni plus ni moins qu'une géométrie post-initiatique.
Dans cette même perspective, on ne peut contester l'influence de Descartes sur l'essentialisme.

Fin

(En collaboration avec Rodrigo Reyes)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 18:07

Le fait que Kierkegaard identifie l'expression universelle de la liberté signifie qu'il en systématise l'aspect subsémiotique sous un angle existentiel.

Je l'ai échappée belle ! J'avais d'abord lu " subatomique ", ne sachant plus alors retourner la compréhension à Soeren, ce philosophe de l'Ou bien, ou bien (ça SYSTÉMATISE, ça itou, surtout par son côté SYNTHÉTIQUE - n'est pas soie le premier nylon venu, droit d'ânesse ou pas !).

Mes neurones retombant sur leurs pieds, j'ai avalé sans respirer le reste de cette SOUPE incomparable.

Merci mille fois, ô maitre Celtibère, pour ces trente-sept secondes édifiantes. Le doctorat est devenu à ma portée.
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 18:18

Koganwel a écrit:
(...) Mes neurones retombant sur leurs pieds, j'ai avalé sans respirer le reste de cette SOUPE incomparable.
Merci mille fois, ô maitre Celtibère, pour ces trente-sept secondes édifiantes. Le doctorat est devenu à ma portée.
Seulement trente-sept secondes ? C'est une réelle performance !
(Puisque tes neurones sont de nouveau en place, voici le génial maître-queux qui a mijoté cette soupe roborative : http://www.charabia.net/ ) Wink
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 18:36

L'Esprit ne s'est toujours pas réconcilié avec la Matière.

C'est simple en rhétorique, mais comment expliquer cela sans se prendre les pieds dans les nids de poule du tapis ?

Le charabia a ceci de civilisationnellement engageant que les mots ne tirant pas à la mitraillette, on ne risque pas de faire beaucoup de morts et que la destruction matérielle observée se résume à des gouttes de salive déposées hors la bouche génératrice en des territoires autres. Un coup de manche et il n'y parait plus.

Sachons en toute circonstance voir le bon côté des choses - ça fait monter le prix du mauvais côté, voilà pourquoi les voyous se font aussi séduisants.
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 18:45

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Captur14

Tiens, David est passé sans que je le voie ? Laughing
Revenir en haut Aller en bas
Laogorus

Laogorus


Masculin Nombre de messages : 865
Localisation : Paris
Date d'inscription : 08/11/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty5/1/2013, 20:39

Biloulou a écrit:
Seulement trente-sept secondes ? C'est une réelle performance !
(Puisque tes neurones sont de nouveau en place, voici le génial maître-queux qui a mijoté cette soupe roborative : http://www.charabia.net/ ) Wink
    Ah ah ah texte automatique pour Biloulou caustique No
    Il fallait l'inventer !

    Ô combien de thésar, combien d'intellos,
    sont revenus chez eux pleins de diplômes
    mais toujours aussi niais que les mômes
    parce qu'ils avaient confié le dur boulot
    à un négro ou un robot ...

    Et après on s'étonne que le diplomé des doigts de pied
    bien placé dans les structures de la société
    passasse son temps à suspecter
    que tous trichent ainsi alambiqués ...

    La danse de la décadence s'épuise lamentablement
    dans le savoir faire croire savoir tirer son épingle du jeu ...
    Il ne reste que des propos tristes et insipides
    où il n'y a plus rien à glaner qu'amertume ...
L
sunny
Revenir en haut Aller en bas
http://ccreest.voila.net/
EddieCochran
Admin
EddieCochran


Masculin Nombre de messages : 12768
Age : 64
Localisation : Countat da Nissa
Date d'inscription : 03/11/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 02:37

7 -

Laogorus en 1,2,3 mouvements galactiques a écrit:
Pour cela seront écrits - AVEC VOUS - participants de notre page, les Dix Commandements de l'O.R...

J'ai hâte de faire bouillir mon foisonnant génie créatif pour mettre de l'ordre dans la pagaille mondialisée, néanmoins avant de me lancer dans ce pastis synthétique j'aimerais savoir dans quel mur inconnu nous nous dirigeons : il est primordial pour mon immense talent plein de potes en ciel de savoir si ces futurs Dix Commandements de l'OR seront à prendre pour argent comptant ?

N'oublions pas que nous connaissons la pire crise économique de l'Histoire depuis celle de la dérégulation du prix du Carambar et que chaque effort que nous impose l'obligation vitale de préserver notre mordant en prenant garde à ce que nos couronnes dentaires ne finissent pas par être aspirées par l'effet ventouse caractéristique du néo-caramel de seconde zone issu du mariage amitotique pour tous entre le keynésianisme schumpétérien (svp car ça pue) et les coasiens friedmaniens de l'Ecole de Chicago que l'on entend nous faire avaler, occurrence prothésicide qui nous coûtera un bras puisque la privation catastrophique de dentine source bien évidemment amputera de plusieurs pieds carrés vectoriels notre conséquente force de travail masticatoire mnésique exprimée en watts/newton/mètres à ruban ce qui aurait pour conséquence longue que celle-ci se voie condamnée à court terme à la sous-location à vil prix tout en étant contractuellement obligée de mastiquer tout le salmigondis contingent que cette union syncrétique contre nature ne manquerait pas de générer.

En clair il s'agit au préalable bien débroussailler le champ de la réflexion que nous seront amenés à labourer du soc affuté de nos cogitations auto-immunes car le retour en arrière nous sera interdit du fait que nous sommes irrésistiblement condamnés à aller de l'avant si nous voulons sauver la Planète de l'invasion des doryphores dogmatiques qui désorganisent l'harmonie spirituelle globale en trichant sur les orientations de leur organe voméronasal afin de polluer sémantiquement les instances médiatiques de messages leurres à diversification apocrine qui privent une grande partie de l'humanité d'accès au lait du savoir éclairé à la lumière blanche la plus propice à l'éclosion du consensus au doigt mouillé. Il est donc primordial de bien récurer les organes de Jacobson afin de rendre sa performance optimale à notre flair de fins limiers de la connaissance.

A ce stade de nos prolégomènes on ne sait où, il appert avec une acuité incomparable que la base d'investigation hexadécimale offre les plus fortes garanties d'exhaustivité et les plus vastes possibilités d'élargir les angles de vue des principes les plus obtus qui pour l'heure font florès dans le brouhaha axiomatique général et qui pour des considérations purement didactiques sont les fondations pour y déposer les pierres que chacun de nous voudra - ou pourra - apporter à l'édifice, tout en prenant garde à ne pas empiler d'achoppements en surnombre qui voueraient à l'échec le parachèvement d'une structure systémique cohérente et maïeutique capable de s'auto-alimenter de façon ouverte, progressive et évolutive en site comme en devers.

Il s'ensuit que lesdits Dix Commandements de l'OR, à graver d'une croix blanche dans le comblanchien des Pyrénées - méfions-nous des strates de Carrare entachées de toute la nudité perturbante de la statuaire antique -, seront 16 dans la nouvelle configuration intercontinentale quantique, mais exprimés selon une codification binaire classique simple : vrai/faux ou 0 -1 afin de pouvoir être transférables sur tablettes électroniques et autres Androïds à partir d'un ordinateur de salon ou de giron standards.

Le cap est donné, fourbissons les épées du raisonnement et voguent les galères !

Pondu par moi-même tout seul comme un grand, sans OGM et apports extérieurs.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 10:25

Eddie, qui ne fait rien pour mon mal aux cheveux, a écrit:

N'oublions pas que nous connaissons la pire crise économique de l'Histoire depuis celle de la dérégulation du prix du Carambar et que chaque effort que nous impose l'obligation vitale de préserver notre mordant en prenant garde à ce que nos couronnes dentaires ne finissent pas par être aspirées par l'effet ventouse caractéristique du néo-caramel de seconde zone issu du mariage amitotique pour tous entre le keynésianisme schumpétérien (svp car ça pue) et les coasiens friedmaniens de l'Ecole de Chicago que l'on entend nous faire avaler, occurrence prothésicide qui nous coûtera un bras puisque la privation catastrophique de dentine source bien évidemment amputera de plusieurs pieds carrés vectoriels notre conséquente force de travail masticatoire mnésique exprimée en watts/newton/mètres à ruban ce qui aurait pour conséquence longue que celle-ci se voie condamnée à court terme à la sous-location à vil prix tout en étant contractuellement obligée de mastiquer tout le salmigondis contingent que cette union syncrétique contre nature ne manquerait pas de générer.


En gros, on est tellement mal barrés que tout ce qu'on va reussir à s'acheter dans les années à venir, c'est le recul economique ?
Eddie, vous avez le janvier tristounet.


Mab
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 11:42

Tiens, il me revient une histoire censée être vraie, qu'on racontait dans un cours de marketing.

Un brave monsieur exploitait à son compte propre une petite gargotte de restauration rapide qui marchait du tonerre de Dieu. Sa boutique respirait le choix et l'abondance
Son fils, qui faisait une licence en économie à l'unif, l'a rappelé à un peu plus de sens des réalités : "Papa, tu ne sais pas que nous traversons une crise épouvantable et ta boutique est remplie de marchandises ? Sois un peu plus mesuré, sinon...."

Le papa s'est dit que son fils faisait des études, il devait avoir raison.
Alors il a diminué son stock et vidé la moitié de sa boutique qui a pris du jour au lendemain un triste aspect de vide
Elle s'est aussi vidé de ses clients qui demandaient ce qui se passait, c'était la débandade évidente.
Et il a fait faillite.

Normal, c'était la crise...

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 14:21

Biloulou...

Jusqu'où iras-tu encore dans la démesure logique pour sacrifier au respect sine qua non de la soi-disant liberté économique ? Tu sembles oublier que ta religion économique ne sert pas un Dieu totipotent qui, en principe n'a aucun besoin des Hommes, mais l'économie qui (comme le Dieu religieux) a été créée par des Hommes (et des mâles, de surcroit) pour servir les Hommes.

Restons humains : c'était pour mieux servir les uns que les autres. À te lire, l'économie est une grâce de Dieu le Parfait, laissons les choses en leur nature, et mieux encore : cessons de parler d'économie, ça titille les idées hérétiques. L'Économie est au Monde la chose la plus pure, la plus autarcique : on l'a mise en branle, depuis elle... évolue. Ça marche tout seul. Si un anicroche est décelé, c'est la faute d'un incapable ou d'un malfaisant - mais jamais d'un " banquier ", la grande prêtrise de cette religion mondialisée qui pratique les sacrifices humains.

À l'évidence Wall Street (comme la Cité) est-il pour toi le Prophète de ce Dieu arithmétique et non un repaire de voyous bien habillés qui ont créé la crise de 2008. Si des gens savaient ce qu'ils faisaient, c'était bien eux. Et comme vous et moi ne sommes que des êtres humains, qui apparemment n'ont pas été touchés vraiment par cette crise énorme (ce séisme fait toujours trembler la Société mondialisée), nous ne pensons pas un seul instant aux millions de gens frappés de plein fouet par ce crime de la mafia économique, si JE ne suis pas victime, tout va pour le mieux dans le meilleur des Mondes possibles.

Ah, si j'étais banquier, comme il m'aimerait, ce garçon ! Compulsivement.
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 15:38

Koganwel a écrit:
Biloulou...
Jusqu'où iras-tu encore dans la démesure logique pour sacrifier au respect sine qua non de la soi-disant liberté économique ? Tu sembles oublier que ta religion économique ne sert pas un Dieu totipotent qui, en principe n'a aucun besoin des Hommes, mais l'économie qui (comme le Dieu religieux) a été créée par des Hommes (et des mâles, de surcroit) pour servir les Hommes.
Restons humains (...)
Bonjour Kog ! sunny

Mais... quelle gigantesque maldonne tu cultives là !
Justement, restons humains, c'est la liberté d'entreprendre, la volonté de promouvoir et favoriser l'initiative individuelle que je défends... et elles contredisent souvent les "lois" de l'économie.

Ce que la petite histoire ci-devant tente d'illustrer....

Quant à l'Économie (mon Dieu, dans quoi je me lance là?)... le pragmatisme et l'observation me font constater que, tout comme la démocratie est le moins mauvais des systèmes politiques, la capitalisme semble aussi avoir été le moins mauvais système économique jusqu'à présent.

Voili voilou.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 19:44

la capitalisme semble aussi avoir été le moins mauvais système économique jusqu'à présent.

Le capitalisme de quelle époque ?

Parce qu'un système économique administré par une mafia pour elle-même, je ne sais pas pour toi, étrange individu, mais quant à moi, je passe.

(Quand je signale de rester humains, je rappelle simplement que la psychologie est l'explication de nos gestes. Hélas, elle est une science aléatoire, pour ne pas dire arbitraire un peu. Mais ça convient bien à l'Homme, ce Dieu déchu - c'est ainsi qu'il est devenu Homme !)
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 20:20

Oh la colle...

Disons que le capitalisme, comme la démocratie, varie selon l'époque et le pays qui le pratique.
Pour me baser sur une source digne de confiance, je copie/colle un extrait d'un texte d'Eddie à ce propos :

"Nous vivons dans un mode juridico-économique qui est le capitalisme qui repose sur quelques piliers tels la propriété individuelle, la personnalité morale, l'esprit d'entreprendre, le marché, la banque, l'impôt en vue de la création et du partage de "richesses".

Ca te convient ? Wink
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 21:22

Ca te convient ?

Comment cela pourrait-il être ? Je m'adressais à toi, mais j'entends une autre voix.

Quand on connait les sources de ses convictions, on ne va pas quémander chez le voisin des restes de sa foi.

Ta réponse est un collage de définitions académiques et d'idées simplistes qui sont surtout des espoirs. Néanmoins, on peut reconnaitre le capitalisme dans tout cela - comme on reconnait encore un être humain chez un Hannibal Lecter.

Je vais me contenter de tes approximations, faute d'une meilleure générosité.
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 21:30

Koganwel a écrit:
(...) Ta réponse est un collage de définitions académiques et d'idées simplistes qui sont surtout des espoirs. Néanmoins, on peut reconnaitre le capitalisme dans tout cela - comme on reconnait encore un être humain chez un Hannibal Lecter.
Je vais me contenter de tes approximations, faute d'une meilleure générosité.

Taratata. J'ai joué de précision plutôt que de faire le tour des phantasmes de mes contemporains sur le sujet, tu le feras mille fois mieux que moi... Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation 75479

(Si tu veux le texte d'Eddie je te l'enverrai volontiers, il sera heureux de ton intérêt)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 21:37

(Si tu veux le texte d'Eddie je te l'enverrai volontiers, il sera heureux de ton intérêt)

D'accord, de te répondre ma traitresse curiosité !

Je suis damné ! (La preuve, je te laisse me tourmenter.)
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty6/1/2013, 22:02

Je fais un essai avec une maladroite compilation sur SkyDrive.
Pourvu que ça marche, sinon ce sera ta faute....



Oui, je sais, ma bonté me perdra.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 01:20

Euh...

??????????

De quoi tu parles, air bête (expression maternelle que je te refile le sourire malin aux lèvres) ?

J'ai rien reçu.

Rien comme " dans rien du tout ", avec insistance : " Rien pantoute. "

Tu fais exprès, ma parole !

En ce temps du Net-plus-que-Net, comment pourrais-tu NE PAS me transmettre un fichier, à moins de faire exprès ?

Je songerai bientôt à te haïr comme tu le mérites, sale individu sympathique. (Ma bonté niaise me perdra.)
Revenir en haut Aller en bas
EddieCochran
Admin
EddieCochran


Masculin Nombre de messages : 12768
Age : 64
Localisation : Countat da Nissa
Date d'inscription : 03/11/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 01:53

19 -

Biloulou mâle habile a écrit:

Je fais un essai avec une maladroite compilation sur SkyDrive.
Pourvu que ça marche, sinon ce sera ta faute....


Je viens d'ouvrir la compile. Ach Hergott erbarme Mich, si c'était bien moi qui commis ceci ?!

Je me pardonne, j'étais encore bien jeune... Et c'était avant la crisse de crise !!
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 02:24

Je viens d'ouvrir la compile. Ach Hergott erbarme Mich, si c'était bien moi qui commis ceci ?!

Encore es-tu d'avoir accès à ce " Skydrive ", qui n'est pas si céleste que ça.

Pourquoi ce Celtibère se croit-il obligé de tout essayer de ce qui est nouveau ? Tu aurais soit écrit soit compulsé un écrit qui mérite d'être lu, mais le triste sire me l'enverrait in my e-mail via une autoroute céleste ?

MAIS C'EST QUOI LE PROBLÈME DE CE MEC ????

Pourquoi il ne continue pas d'utiliser ce qui a démontré depuis toujours que ça marchait ?

Le Monde, j'arrive de moins en moins à le comprendre.

D'où mon rêve de le voir anéanti. Je comprendrais mieux, il me semble, les fourmis qui remplaceront les Hommes, cet acte supposément divin aussi raté que le Déluge du même dieu impotent.

C'est que les fourmis n'auraient pas évolué depuis 65 millions d'années. Elles n'avaient pas à le faire. L'Homme ? Krisse, depuis qu'il est supposément existant, sorti du singe, en KOUWA a-t-il évolué, l'animal ??

Je sais, Biloulou a déjà une réponse. C'est un sempiternel optimiste, le Bougre. Et mon mot est simplement euphémique. Car je suis bon. Pis je fais pas exprès.
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 07:55

À la troisième et ardue lecture, il me semble avoir compris que tu n'as pas reçu les textes par message privé ni par mail mais tu en as pris connaissance sur SkyDrive.
C'est rassurant, j'ai pensé que ces témoignages de la jeunesse folle d'Eddie méritaient une divulgation plus large, j'ai agi en conséquence vu que je suis un progressiste, oui, au sens noble du mot.

Et ToC ! Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation 75479
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 12:12

Noir sur blanc, je n'ai rien dans ma messagerie et je n'ai pas les ailes pour rejoindre ce " Skydrive ". Par contre, il y a Vidéotron.

Restons simples, mon Simplet (mais lui préfère se dire " progressiste ", un mot aussi galvaudé que " démocratie ").

(Y va l'avoir, sa fessée, ce Garnement hilare !)
Revenir en haut Aller en bas
Biloulou

Biloulou


Masculin Nombre de messages : 54566
Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique
Date d'inscription : 27/10/2008

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 14:48

(il n'a écrit que trois lignes mais il est parvenu à me déboussoler complètement. Pas à dire, il y a du génie dans son porte-plume !)

Je te confirme donc que je n'ai rien envoyé dans ta messagerie mail ni en MP parce que j'ai préféré le mettre en ligne incrusté dans ma réponse pour le rendre accessible à tous nos camarades. Dont Eddie, qui l'a lu.
(Je risque de devenir monotone par la répétition...)


Aucune idée de ce qu'est Vidéotron. Un jeu télévisé pour t'offrir une nouvelle télé ? Twisted Evil

SkyDrive.... est-ce que tu vois ceci dans mon message d'hier à 22h02 ?

Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Captur16

Si ta réponse est "oui", mes fesses à botter que tu as accès aux documents d'Eddie dans mon SkyDrive, fieffé sacripant !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty7/1/2013, 15:47

Quel enfant impossible et braillard ! Bref, un foutu progressiste !!

T'as oublié de mentionner que cliquer sur ton lien graphique n'apporte pas la solution encore, mais il faut cliquer-drette pis dire de télécharger la patente pour la lire à yeux reposés dans Mister Word - pis si j'ai bien vu, c'est un DOCX, donc postWord 2003, là si je me rappelle bien. Je m'en suis sorti les doigts dans le nez, j'ai le modèle 2007. Je suis comme progressiste, mitou.

Bon, revenons à nos moutons éconos. Lire un avocat et lire un économiste qui fait des " papiers ", c'est obtenir deux regards. En Droit, les lois et règles étant en place, on a l'impression que les vaches seront bien gardées, à l'abri des loups toujours à l'affut d'un repas gratis.

En économie universitaire (les auteurs subventionnés), on tente d'expliquer pourquoi ce n'est pas idéal, de proposer des solutions, d'offrir des avenues plus efficaces, et quoi encore ? en résumé, c'est du terrain. J'ai longtemps travaillé du côté de l'ALÉNA, de sa conceptualisation jusqu'à ses premiers travaux réunissant une bande d'invités voyageant aux frais de la princesse : le but de ces rencontres étant d'établir le libre-échange qui, dans le texte, était la chose la plus extraordinaire qu'on avait créé depuis les Tables mosaïques. Dans les faits, c'était l'imposition par le plus fort de ses exigences en matière d'échanges : Tarzan prend la poche, Jane ramasse ce qui va en tomber durant le rapt.

Il a fallu ajouter des réunions pour tenter d'obtenir davantage du Croquemitaine qui n'a pas attendu l' " époque récente " pour montrer son côté " sauvage ". Le " capitalisme sauvage " doit être un concept à géométrie variable car il est aussi récent que les Mellon et autres Rockefeller. Cette expression n'est pas née avant-hier à l'heure des vidanges. Je suppose que le premier qui la créa songea à " sauvage " dans le sens de " hors-la-loi ".

Ça fait longtemps que des gens d'affaires pratiquent l'économie comme un mafioso le commerce de la pizza.

En conclusion : ce texte laisse bien à entendre que le capitalisme actuel est pour beaucoup une dérive et non un accomplissement dont être fiers jusqu'au point de le protéger de nous-mêmes, de ses victimes !

La vrai conclusion est celle-ci :

La financiarisation de l'économie, qui prend souvent le nom incongru de capitalisme sauvage, est un phénomène propre à notre époque récente. Elle est le résultat du progrès technologique de l'électronique qui a permis interconnexion des réseaux de collecte et de revente des valeurs mobilières. A partir du moment où l'ingénierie financière ne consiste plus à affecter des ressources financières à une activité de production ou de services, le capitalisme financier n'a plus rien à voir avec le capitalisme originel. Le capitalisme financier est en ce sens (et en d'autres placés sur un plan éthique) une activité humaine condamnable et perverse.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty
MessageSujet: Re: Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation   Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Libre propos de ceux qui n'ont rien d'autre à faire que blablater sans motivation
Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
 Sujets similaires
-
» Le fil de la libre expression de ceux qui n'ont rien à dire ...
» Un logo pour Libre Propos ?
» Sans Marine plus de France
» Nouvelles en Langue Anglaise
» Quelle vie pour Libres propos sans l'islam et les musulmans.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Libres Propos :: GÉNÉRAL-
Sauter vers: