La femme est-elle l'égale de l'homme ? Qu'en pensent les tribunaux ?

Le souci dans ton raisonnement est le suivant : tu te bases sur une considération de la victime. Or, ce n'est pas du tout ce dont la jurisprudence tient compte pour trancher. Le principe est en effet "à une infraction sa sanction". Ainsi, puisqu'on ne juge pas aussi durement le fait de laisser mourir que la torture et le meurtre, la peine infligée en l'espèce aux parents de la petite fille est plus douce que celle infligée à ceux du petit garçon.
D'autre part, élément mineur dans ce cas, mais qui aurait pu se révéler déterminant, les événements ne se déroulent pas dans le même pays, donc il se pourrait très bien que les règles applicables aux infractions ne soient pas les mêmes.

Ungern a écrit:

Arnaud a écrit:

Le souci dans ton raisonnement est le suivant :

Non ; c'était uniquement pour foutre le "brol" et attirer les féministes ......

C'est cela même, oui !

(Pour Arnaud, en aparté : Arnaud, Ungern est comme le sky ou le vélo ; le connaître ne suffit pas, il faut le pratiquer....)

Arnaud a écrit:

Le principe est en effet "à une infraction sa sanction". Ainsi, puisqu'on ne juge pas aussi durement le fait de laisser mourir que la torture et le meurtre, la peine infligée en l'espèce aux parents de la petite fille est plus douce que celle infligée à ceux du petit garçon.

Bonjour Arnaud,


Il me semble pourtant que ne pas nourrir un enfant convenablement -surtout au point qu'il en meure-, meme en Belgique, est assimilé à de la maltraitance.
Bizarre, comme reflexion.

Ce ne serait pas plutot une bete histoire de juge ?
Ungern tape à coté, comme d'hab, ce n'est pas une question de sexisme mais de productivité : apres tout, ce ne sont que des enfants...


Mab

Ungern a écrit:

Je voulais t"amener ici,
et t'es venue .... 

Mauvaise pioche, vu le temps que j'ai mis à me pointer -et pas uniquement parce que le sujet etait signé Ungern
Et encore, j'ai repondu à Arnaud...  

Tu n'as jamais pensé à un sujet "tong" ou "cathare" (oui monsieur, parfaitement, c'est cumulable).
Tu n'as pas assez lu pour savoir qu'il faut connaitre son adversaire pour pretendre le manipuler un tantinet ?
Ni qu'il ne faut jamais bruler toutes ses cartouches dans la premiere salve ?
Au fond, tu n'es pas un coup au lit et il fallait une femme qui ne te connaisse pas pour oser te le dire.


Mab (pardon, Anonyme, veux-je dire)

Ca Mab tu te trompes ...
Et je ne vais pas enchaîner comme André ....

Pour ce qui est plus prosaïque avec le tir de cartouches,
je le disais ici même,il y a peu encore ...
Faut jamais vider son chargeur ....

Mais te concernant Mab,
je n'avais pas mis une limite de temps; j'avais mis une limite de lieu uniquement ....

Pour ce qui est du lieu, j'ai le "Formule 1",sur la route de Bordeau,
Pour ce qui est du temps,ça dépendra ....   

Non seulement la femme est l'égale de l'homme , mais elle lui est tellement supérieure qu'on lui consacre une journée spéciale !

Mara-des-bois a écrit:

Tu n'as jamais pensé à un sujet "cathare"
Mab (pardon, Anonyme, veux-je dire)

Tu sais Mab, il suffit que tu le suggères pour que j'y pense.

Les Cathares expulsés du paradis terrestres


Principalement concentré en Occitanie, dans les comtés de Toulouse et de Béziers-Albi-Carcassonne, le catharisme subit une violente répression armée à partir de 1208 lors de la croisade contre les Albigeois puis, condamné au IVe concile de Latran en 1215, durant un siècle, la répression judiciaire de l’Inquisition.

Dominique, nique, nique s'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant
En tous chemins, en tous lieux,
Il ne parle que du Bon Dieu,
Il ne parle que du Bon Dieu
À l'époque où Jean-Sans-Terre , d'Angleterre était le roi
Dominique, notre père, combattit les Albigeois

Cependant, il est important de souligner que le mot « cathare » n'est employé que par les inquisiteurs et autres clercs. Les hérétiques du midi toulousain sont avant tout des chrétiens en recherche de leurs racines, car ils observent stupéfait la montée en puissance de l'Eglise et la hiérarchisation du pouvoir ecclésiastique et cherchent donc à échapper à cette emprise grandissante.

Les dominicains sont des religieux mais pas des moines : ils ont la particularité de ne prononcer qu'un seul vœu, celui d'obéissance, dans les mains du maître de l'ordre (ou de son représentant).



La autant pour la paix de l'esprit qu des plaisirs de l'âme.

T  G