AF 447

D'une lecture rapide de l'intervention de Lawrence...

Citation :

Le président du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), Paul-Louis Arslanian, a reconnu mercredi que les enquêteurs disposaient "d'éléments", tout en jugeant prématuré d'en tirer des conclusions.

Ne tombons pas dans le piège des médias qui sèment la polémique pour récolter des sous.
Paul-Louis Arslanian n'a rien reconnu du tout, il a donné une indication, fait savoir, communiqué une information, mais n'a rien reconnu du tout.

Citation :

A Paris, Christophe Prazuck a cependant précisé que les avions militaires français déployés dans la zone de recherches n'ont pas encore détecté de débris.

Cela provient probablement du fait que les responsables des recherches se sont partagés les zones à surveiller et que les débris ne se trouvent certainement pas répartis uniformément dans toutes les zones où s'opèrent ces recherches.

Comme l'a suggéré sèchement un responsable interrogé hhier par David Pujadas qui ne cessait de l'interrompre comme un roquet impatient, il faut arrêter de se lancer dans des élucubrations, le boulot maintenant c'est de rassembler tous les éléments qui permetront ensuite d'échaffauder des hypothèses crédibles qui se ressereront peu à peu autour de la réalité des choses.

Mais on peut aussi d'ores et déjà faire des paris - les plus divers c'est le mieux - ça augmente les chances de pouvoir proclamer à la fin : je l'avais bien dit !...

2-

Je me pose bien des questions.....
Pourquoi ne pas laisser reposer en paix tous ces braves gens et méditer !

"Oh combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne horizon se sont évanouis !
Combien ont disparu, dure et triste fortune !
Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,
Sous l’aveugle océan à jamais enfouis !
Combien de patrons morts avec leurs équipages !
L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages
Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots !
Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée.
Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée :
L’une a saisi l’esquif, l’autre les matelots !
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !
Vous roulez à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus.
Oh ! que de vieux parents, qui n’avaient plus qu’un rêve,
Sont morts en attendant tous les jours, sur la grêve,
Ceux qui ne sont pas revenus !"
Hugo


Les recherches apporteront elles des réponses et des solutions ?
Oui peut être mais lesquelles, tout était déjà tellement parfait !
A moins que $$$$$$$ les assurances ????
Ce serait dégeulasse !!!!!!!!!!!!!

Mais on peut aussi d'ores et déjà faire des paris - les plus divers c'est le mieux - ça augmente les chances de pouvoir proclamer à la fin : je l'avais bien dit !...

Le principe de précaution voudrait qu'on interdise de vol au moins jusqu'à la fin de l'enquête : les A 320, les A 330, les A 340 et bien entendu les A 380.

PS : pensez à liquider vos titres EADS ...

Ca sent le délit d'initiés à plein tube....

et renforcez vos positions sur boeing bien sûr !

Ah !? Voilà que ça devient intéressant et honnête !

Sans oublier de renforcer les positions sur ROCHE pour la grippe et les vaccins ...

Citation :

Données historiques


Evolution EADS

Période Variation + Haut + Bas

1 Janv.	-3.12%	14.400	8.117
1 semaine	+0.34%	12.200	11.405
1 mois	+3.88%	12.355	10.550
3 mois	+5.76%	12.355	8.117
6 mois	-5.86%	14.400	8.117
1 an	-22.97%	16.685	8.117
3 ans	-56.49%	27.700	8.117
5 ans	-42.16%	35.420

héhé ...

Citation :

Données historiques

Evolution Boeing

Période Variation + Haut + Bas

1 Janv.	+15.96%	49.50	29.05
1 semaine	+11.64%	49.50	43.20
1 mois	+17.39%	49.50	41.52
3 mois	+63.25%	49.50	29.08
6 mois	+26.26%	49.50	29.05
1 an	-36.58%	78.82	29.05
3 ans	-39.75%	107.83	28.60
5 ans	+5.50%	107.83	28.60

MM20	44.69	MM50	N/A
MM100	39.19	RSI14	70.

Youpie !

Citation :

L'enquête menée par les autorités canadiennes révèlent que l'avion d'Air France avait abordé la piste d'aterrissage avec une altitude et une vitesse trop élevées.

Le 2 août 2005, l'Airbus A340 d'Air France s'est écrasé à son atterrissage à Toronto. Sous la tempête, l'avion avait glissé le long de la piste avant de finir sa course dans un petit ravin et de prendre feu.
Selon l'enquête des autorités canadiennes, l'Airbus volait trop vite. "L'appareil est arrivé à Toronto au milieu d'une violente tempête, dont les vents changeaient rapidement de direction et avec peu de visibilité", a expliqué Wendy Tadros, directrice du Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST). "Il est arrivé trop haut et trop vite. En posant ses roues presque à la moitié de la piste, mouillée et glissante, il n'a tout simplement pas eu assez de place."

D'après Réal Levasseur, chargé de l'enquête, le vent a changé de direction alors que l'appareil se trouvait à 60 mètres d'altitude et, soufflant dans son dos, en a augmenté la vitesse. "Le commandant de bord a choisi d'atterrir, considérant cette option plus sûre que d'annuler l'atterrissage au dernier moment dans une tempête", a indiqué Levasseur. Toutefois, n'ayant pas pris en compte l'état glissant de la piste, les pilotes ne se sont pas rendus compte que leur approche trop longue ne leur permettrait pas de freiner à temps.

L'accident du 2 août 2005 n'avait heureusement fait aucune victime, les 297 passagers et les 12 membres d'équipage ayant pu rapidement quitter l'appareil. Il a cependant marqué les esprits.

Tssss ...

D'une lecture plus attentive du texte de Lawrence où il cite notamment Le Monde, il me semble voir dans ces citations des pense-bêtes des premières leçons de pilotage.
Je n'en fais pas le détail tellement j'aurais l'impression de jouer dans la cour de récréation de Molière : la grenouille qui veut se faire plus grande que le boeuf.

Bref, je ne veux pas que le ridicule fasse de moi la 229ème victime du vol AF 447 - pour Li Monde c'est déjà fait.

http://www.quoidonc.fr/770/le-striptease-dune-hotesse-de-lair/


Ce sont les derniers échanges avec le contrôle de Dakar ... une faute d'inattention des PNT ?

Une des dernières photos de l'équipage ...

Et ben voilà, une fois repêchés et mis entre les mains de gens compétents, les débris parlent : ils n'ont rien à voir avec l'A-330 disparu.
De même, les nappes de "kérosène", une fois analysées, sont de l'huile de moteurs maritimes...

Prophètes, journalistes et autres charognards : du calme, du calme...

16-

E.T. ?

Biloulou a écrit:

Et ben voilà, une fois repêchés et mis entre les mains de gens compétents, les débris parlent : ils n'ont rien à voir avec l'A-330 disparu.
De même, les nappes de "kérosène", une fois analysées, sont de l'huile de moteurs maritimes...

Prophètes, journalistes et autres charognards : du calme, du calme...

Et Toi ?

Moi ça va merci, toi aussi ?

18-

Et moi et moi et moi......

j.Dutronc !!!

Biloulou a écrit:

Et Toi ?

Moi ça va merci, toi aussi ?

Les instruments de bord révèlent qu'une hôtesse se serait assise malencontreusement sur le joystick en faisant une savante gâterie au commandant de bord ...

Les débris récupérés dans l'Atlantique par des secouristes brésiliens ne proviennent pas de l'Airbus A330 d'Air France qui s'est abîmé lundi dans l'océan.

A Paris, le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, a appelé une nouvelle fois à la prudence sur les données de l'enquête et indiqué que la priorité était la recherche des boîtes noires.

"L'objectif principal, c'est de mettre la main sur ce qu'on appelle les boîtes noires, les enregistreurs de vol", a-t-il dit sur RTL.

Le ministre de la Défense, Hervé Morin, a déclaré que, par principe, l'hypothèse de l'attentat terroriste n'était pas exclue, même si aucun élément ne venait l'étayer, faute de menaces ou de revendication.

"Je n'ai jamais exclu (la piste du) terrorisme", a-t-il dit devant l'Association des journalistes de la presse aéronautique et de l'espace (AJPAE). "L'enquête n'a pas d'éléments qui puisse corroborer cela, nous ne privilégions aucune hypothèse."

Un hélicoptère militaire brésilien Lynx embarqué à bord d'une frégate dépêchée sur place pour participer aux recherches a récupéré un coffre à bagages et deux gilets de sauvetage, à 1.100 km des côtes nord-est du Brésil.

Mais le général Ramon Borges Cardoso a déclaré par la suite à la presse à Recife, où ces débris ont été acheminés, que rien de ce qui avait été repêché ne provenait en fait de l'Airbus.

Onze avions de l'armée de l'air brésilienne quadrillent une zone de 6.000 km², à partir d'une base située dans les îles de Fernando de Noronha, au large des côtes du nord-est du Brésil. En mer, trois navires de guerre brésiliens passent au peigne fin le secteur présumé de la catastrophe.

INCOHÉRENCE DES VITESSES MESURÉES

L'Airbus, qui se rendait de Rio de Janeiro à Paris, a disparu pour des raisons encore non élucidées, avec 228 personnes à bord, alors qu'il survolait l'Atlantique.

Officiels et pilotes français ont invité à la prudence après la multiplication des hypothèses sur le drame.

Le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) a relevé, dans un communiqué publié jeudi soir, que seuls deux éléments étaient établis à ce stade de l'enquête.

D'une part la présence, à proximité de la route prévue de l'avion au-dessus de l'Atlantique, de conditions dites de "cellules convectives" (mouvements verticaux de l'atmosphère qui se traduisent par des courants ascendants et descendants), caractéristiques des régions équatoriales.

D'autre part, "à partir de l'exploitation des messages automatiques transmis par l'avion, l'incohérence des différentes vitesses mesurées" de l'appareil.

Cet élément laisse penser qu'une sonde a pu être endommagée, transmettant des données erronées à l'équipage sur la vitesse de l'appareil.

En conséquence, Airbus a émis une recommandation à ses clients rappelant que les équipages doivent suivre les procédures d'usage s'ils soupçonnent une défaillance des indicateurs de vol.

Cette recommandation, validée par le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), n'implique pas que les pilotes aient commis des erreurs mais que les instruments de mesure de vitesse fonctionnaient mal.

"Ce document d'information n'implique aucun blâme", a déclaré vendredi un porte-parole d'Airbus,

Dès lundi, quelques heures après la disparition de l'avion, Air France avait indiqué que l'appareil avait traversé une zone orageuse et qu'un message automatique indiquait une "panne du circuit électrique."

Ce discours sur les vitesses recommandées me fait penser à une règle empirique pour déterminer la vitesse d'un avion en approche finale :

1. Sans vent : vitesse de décrochage + 30% (vitesse est un terme impropre, il faudrait parler d'angle d'attaque qui, lui, correspond en général à une certaine vitesse). Exemple : vitesse de décrochage, 100kts ; vitesse d'approche, 133kts.
2. S'il y des rafales : augmenter la vitesse trouvée comme ci-dessus de la moitié de la différence entre le vent et la rafale. Exemple : vent 30kts avec rafales à 40kts. Vitesse d'approche 133kts + 5 (moitié de de la différence entre 30 et 40) = 138kts..

Les pilotes conscienscieux ajoutent à la vitesse ainsi trouvée 1kts par personne à charge : 1kts pour madame, 1kts par enfant, 1kts pour grand-père et autant pour grand-mère s'ils habitent chez lui...

(kts = 1 noeud = 1 millle nautique/h = 1.852,00 mètres/heure)

Cette enquête manque de corps ...

Et oui, on repense à E.T. ou BOUM-BOUM.....

Bertrand a écrit:

Cette enquête manque de corps ...