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| Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... | |
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+9Zed Branmakmorn06 Lawrence EddieCochran Charly GIBET Malba Biloulou Ungern 13 participants | |
Auteur | Message |
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Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 8/7/2010, 19:38 | |
| France: le nom d'Eric Woerth cité dans une nouvelle affaire 27.06.10 - 14:36 L'héritier de la famille Peugeot, Robert Peugeot, aurait sous-évalué la valeur de lingots d'or dérobés en décembre à Paris par crainte d'une enquête fiscale, à propos de laquelle il aurait rencontré Eric Woerth, alors ministre du Budget, selon le Journal du Dimanche. Eric Woerth s'est défendu de toute intervention au profit de Robert Peugeot, mais cette affaire tombe mal pour le ministre du Travail, déjà très fragilisé par sa mise en cause dans le dossier de Liliane Bettencourt, la milliardaire suspectée de fraude fiscale et pour laquelle travaillait son épouse. L'héritier du groupe automobile français Peugeot a dîné quelques jours après le cambriolage avec Eric Woerth, alors qu'il était " déjà sous le coup d'un litige fiscal" et craignait " une enquête sur l'origine de son or", selon le Journal du Dimanche (JDD). Le JDD explique que le montant du vol a d'abord été estimé à 500 000 euros, avant d'être ramené à 150 000 euros. " Le préjudice réel de 150 000 euros, sur lequel l'assurance a remboursé 82 000 euros, est conforme à l'ISF (montant de l'impôt sur la fortune auquel est assujetti l'héritier, ndlr) de M. Peugeot", a réagi un de ses conseillers cité par le JDD. L'entourage d'Eric Woerth a démenti au journal une intervention du ministre, assurant que la différence entre les deux montants serait une " erreur de calcul de la police". Le journal précise que Robert Peugeot a reçu la Légion d'honneur des mains d'Eric Woerth début juin. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 8/7/2010, 19:42 | |
| c'est daté du 27 juin vous n'aviez pas encore ramassé les poubelles depuis cette date ? |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 9/7/2010, 22:06 | |
| - Ungern a écrit:
- [...] mais cette affaire tombe mal pour le ministre du Travail, déjà très fragilisé par sa mise en cause dans le dossier de Liliane Bettencourt
Nous n'avons probablement pas la même notion de la morale et de l'équité, mais il me semble que ce sont les initiateurs et les propagateurs de rumeurs et calomnies, bref, le quatrième pouvoir qui se croyait déjà le premier, qui est drôlement fragilisé... Mais bon... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 9/7/2010, 22:41 | |
| - Citation :
Par Reuters, publié le 09/07/2010 à 20:21 Ingrid Betancourt réclame 6,6 millions de dollars à la Colombie
Ingrid Betancourt, qui a été retenue en otage pendant plus de six ans par la guérilla avant d'être secourue par l'armée, a engagé des poursuites contre l'Etat colombien en relation avec son enlèvement, annonce le ministère de la Défense.
Ingrid Betancourt, qui a été retenue en otage pendant plus de six ans par la guérilla avant d'être secourue par l'armée, a engagé des poursuites contre l'Etat colombien en relation avec son enlèvement, et réclame 6,6 millions de dollars à titre de compensation pour les effets traumatiques et les pertes de revenus liés à sa captivité dans la jungle. (Reuters/Mathieu Belanger)
Elle réclame 6,6 millions de dollars de dommages-intérêts à l'Etat colombien à titre de compensation pour les effets traumatiques et les pertes de revenus liés à sa captivité dans la jungle.
Le ministère a aussitôt fait valoir qu'elle ne pouvait à aucun titre imputer la responsabilité de son rapt à l'Etat.
Betancourt, qui possède aussi la nationalité française, avait été enlevée par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) alors qu'elle faisait campagne comme candidate à l'élection présidentielle de 2002. Des responsables de la sécurité lui avaient déconseillé de pénétrer dans une zone rurale que se disputaient l'armée et les guérilleros.
Le 2 juillet 2008, elle a été libérée avec trois Américains et onze militaires par un commando de l'armée colombienne dont les membres s'étaient fait passer pour les employés du CICR.
"Le ministère de la Défense est surpris et contrarié par cette demande, d'autant plus que les forces publiques ont fait preuve de zèle en préparant et en exécutant l'opération de secours", souligne un communiqué ministériel.
"Des hommes et des femmes des forces armées ont risqué leur vie en cherchant à rendre leur liberté aux otages au cours d'une opération qu'Ingrid Betancourt elle-même a qualifiée de 'parfaite'", ajoute-t-il.
Les raisons précises pour lesquelles Betancourt estime que l'Etat devrait être tenu responsable de son enlèvement, n'ont pas été détaillées pour le moment.
Âgée de 48 ans, Ingrid Betancourt a passé la plus grande partie de son temps en Europe depuis sa libération.
Hugh Bronstein, Nicole Dupont et Philippe Bas-Rabérin pour le service français |
| | | Invité Invité
| Sujet: Eric Woerth encore au coeur d'un scandale ! 14/7/2010, 07:52 | |
| - Citation :
Éric Woerth visé par une nouvelle affaire
Selon le Canard enchaîné, Eric Woerth «aurait bradé une parcelle de la forêt de Compiègne avec son hippodrome et son golf à une association amie», la Société des Courses de Compiègne, jusqu'alors locataire des lieux, pour 2,5 millions d'euros. Crédits photo : AFP
Le Canard enchaîné et Marianne affirment mardi que le ministre, alors au Budget, a autorisé la vente à une connaissance de l'hippodrome de Compiègne à un prix dix fois inférieur à celui du marché. Bercy dément toute irrégularité.
Peu de répit sur le front des affaires pour Eric Woerth. Alors que le rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) vient de le blanchir de tout favoritisme vis-à-vis de Liliane Bettencourt, la vente de l'hippodrome de Compiègne en mars dernier, alors qu'il était encore ministre du Budget, pourrait lui amener de nouveaux soucis. Le Canard enchaîné et Marianne affirment mardi que le ministre a autorisé cette cession à des connaissances à un prix très inférieur à celui du marché et dans des conditions discutables. Une transaction effectuée six jours avant son départ de Bercy, en mars dernier. Cette parcelle de la forêt de Compiègne, comprenant un hippodrome et un golf, a été cédée de gré à gré 2,5 millions d'euros à la Société des courses de Compiègne alors qu'elle en vaudrait dix fois plus, estiment les hebdomadaires. Circonstances aggravantes, Eric Woerth aurait imposé par arrêté à l'Office national des forêts de se séparer de «ce joyau de 57 hectares». Au profit du président de la Société des courses de Compiègne que le journal satirique présente comme un «familier de Chantilly, de son hippodrome et de son maire Eric Woerth». Antoine Gilibert, qui louait auparavant le terrain, est aussi l'un des dirigeants de France Galop, association dont Florence Woerth, fait partie depuis 2003. Florence Woerth : «On cherche à nuire à ma famille»
Autre anomalie : la transaction, affirme le Canard enchaîné, n'aurait pas respecté la procédure. La loi soumet au vote du Parlement toute cession d'une parcelle forestière si la superficie domaniale de la forêt est supérieure à 500 hectares, ce qui est le cas de celle de Compiègne (140.000 ha). Or cette consultation n'a pas eu lieu. Marianne publie une lettre montrant qu'Eric Woerth s'est occupé personnellement du dossier et qu'il a donné son accord à cette vente. Pour justifier cette implication, le maire de Chantilly aurait simplement soutenu que c'est Bercy qui exerce, via l'Office national des forêts, la tutelle du domaine forestier et non le ministère de l'Agriculture. Le dossier aurait même causé de vifs échanges entre les deux institutions, selon les deux médias. Les services de Bruno Le Maire auraient estimé l'opération illégale. En outre, la vente s'est faite sans enchères, ni appel d'offres alors que les sociétés de courses ne peuvent bénéficier d'un tel privilège depuis une décision du Conseil d'Etat de 1979, ajoute le Canard enchaîné. Ces soupçons d'irrégularités ont été immédiatement démentis par Bercy et par le ministère de l'Agriculture. Selon Bercy, la transaction «s'est déroulée dans le strict respect du droit et dans l'intérêt de l'Etat». Le ministère des Finances rappelle que «le droit forestier et domanial permet la vente d'une partie d'un domaine public forestier à trois conditions», réunies lors de cette cession : une parcelle de moins 150 hectares, l'absence d'impact écologique et d'exploitation forestière. S'il n'y a pas eu d'appel d'offres et si le prix de vente était faible, c'est que la société d'Antoine Gilibert possédait un bail de 12 ans et qu'elle était propriétaire des bâtiments déjà existant, affirme Bercy. «La société de course payait 50.000 euros par an, soit un rendement locatif de 2% par an. Ce n'est pas intéressant pour l'Etat de toucher 2% par an, dans ces cas là il vaut mieux vendre», pointe-on au ministère des Finances. Florence Woerth, déjà malmenée par l'affaire Bettencourt, a aussi réagi promptement. Ces révélations constituent «une nouvelle marque de la détermination de ceux qui cherchent à nuire à ma famille», a dénoncé l'épouse du ministre du Travail. |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 14/7/2010, 19:02 | |
| La cabale continue de plus belle.... (Il est grand temps qu'un juge d'instruction s'intéresse à ces "journalistes"...) | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 14/7/2010, 19:12 | |
| Qui paie les greffes de cheveux d'Eric Woerth ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 14/7/2010, 19:40 | |
| - Bernard75 a écrit:
-
- Citation :
Éric Woerth visé par une nouvelle affaire
Selon le Canard enchaîné, Eric Woerth «aurait bradé une parcelle de la forêt de Compiègne avec son hippodrome et son golf à une association amie», la Société des Courses de Compiègne, jusqu'alors locataire des lieux, pour 2,5 millions d'euros. Crédits photo : AFP
Le Canard enchaîné et Marianne affirment mardi que le ministre, alors au Budget, a autorisé la vente à une connaissance de l'hippodrome de Compiègne à un prix dix fois inférieur à celui du marché. Bercy dément toute irrégularité.
Peu de répit sur le front des affaires pour Eric Woerth. Alors que le rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) vient de le blanchir de tout favoritisme vis-à-vis de Liliane Bettencourt, la vente de l'hippodrome de Compiègne en mars dernier, alors qu'il était encore ministre du Budget, pourrait lui amener de nouveaux soucis. Le Canard enchaîné et Marianne affirment mardi que le ministre a autorisé cette cession à des connaissances à un prix très inférieur à celui du marché et dans des conditions discutables. Une transaction effectuée six jours avant son départ de Bercy, en mars dernier. Cette parcelle de la forêt de Compiègne, comprenant un hippodrome et un golf, a été cédée de gré à gré 2,5 millions d'euros à la Société des courses de Compiègne alors qu'elle en vaudrait dix fois plus, estiment les hebdomadaires. Circonstances aggravantes, Eric Woerth aurait imposé par arrêté à l'Office national des forêts de se séparer de «ce joyau de 57 hectares». Au profit du président de la Société des courses de Compiègne que le journal satirique présente comme un «familier de Chantilly, de son hippodrome et de son maire Eric Woerth». Antoine Gilibert, qui louait auparavant le terrain, est aussi l'un des dirigeants de France Galop, association dont Florence Woerth, fait partie depuis 2003. Florence Woerth : «On cherche à nuire à ma famille»
Autre anomalie : la transaction, affirme le Canard enchaîné, n'aurait pas respecté la procédure. La loi soumet au vote du Parlement toute cession d'une parcelle forestière si la superficie domaniale de la forêt est supérieure à 500 hectares, ce qui est le cas de celle de Compiègne (140.000 ha). Or cette consultation n'a pas eu lieu. Marianne publie une lettre montrant qu'Eric Woerth s'est occupé personnellement du dossier et qu'il a donné son accord à cette vente. Pour justifier cette implication, le maire de Chantilly aurait simplement soutenu que c'est Bercy qui exerce, via l'Office national des forêts, la tutelle du domaine forestier et non le ministère de l'Agriculture. Le dossier aurait même causé de vifs échanges entre les deux institutions, selon les deux médias. Les services de Bruno Le Maire auraient estimé l'opération illégale. En outre, la vente s'est faite sans enchères, ni appel d'offres alors que les sociétés de courses ne peuvent bénéficier d'un tel privilège depuis une décision du Conseil d'Etat de 1979, ajoute le Canard enchaîné. Ces soupçons d'irrégularités ont été immédiatement démentis par Bercy et par le ministère de l'Agriculture. Selon Bercy, la transaction «s'est déroulée dans le strict respect du droit et dans l'intérêt de l'Etat». Le ministère des Finances rappelle que «le droit forestier et domanial permet la vente d'une partie d'un domaine public forestier à trois conditions», réunies lors de cette cession : une parcelle de moins 150 hectares, l'absence d'impact écologique et d'exploitation forestière. S'il n'y a pas eu d'appel d'offres et si le prix de vente était faible, c'est que la société d'Antoine Gilibert possédait un bail de 12 ans et qu'elle était propriétaire des bâtiments déjà existant, affirme Bercy. «La société de course payait 50.000 euros par an, soit un rendement locatif de 2% par an. Ce n'est pas intéressant pour l'Etat de toucher 2% par an, dans ces cas là il vaut mieux vendre», pointe-on au ministère des Finances. Florence Woerth, déjà malmenée par l'affaire Bettencourt, a aussi réagi promptement. Ces révélations constituent «une nouvelle marque de la détermination de ceux qui cherchent à nuire à ma famille», a dénoncé l'épouse du ministre du Travail. il est om le nom de celui ou de celle qui a écrit cet article ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 15/7/2010, 02:31 | |
| - Citation :
- il est om le nom de celui ou de celle qui a écrit cet article ?
Oui : tu trouveras tout cela sur Marianne2. |
| | | Malba
Nombre de messages : 1281 Localisation : Partout Date d'inscription : 27/02/2010
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 15/7/2010, 06:30 | |
| 57 hectares pour 2 m d'euros à Chantilly, c'est vraiment pas cher. Ca fait donc le prix au m2 à 45 euros. Même pour un terrain non constructible c'est une belle affaire ! Maintenant, il serait bon pour éclaircir le sujet que l'on nous donne le prix au m2 de terres non constructibles à Chantilly. Il n'y a pas un seul agent immobilier pour le faire ? | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 15/7/2010, 08:34 | |
| Bonjour Malba ! Il y aussi d'autres critères que le fait que ce terrain ne soit pas constructible comme résidentiel, comme le fait que l'acheteur avait un bail de très longue durée, qu'il est propriétaire des bâtiments qui y sont... Mais mieux vaut peut-être prendre connaissance pas des rumeurs mais des informations de première main ? ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Exclu RTL - Eric Woerth réagit aux nouvelles accusations de la presse"C'est n'importe quoi !"C'est la réaction exclusive à RTL d'Eric Woerth, après les nouvelles révélations le concernant. Selon "Le Canard enchaîné" et "Marianne", l'actuel ministre du Travail aurait autorisé, lorsqu'il était encore au Budget, la vente à des connaissances d'une parcelle de la forêt de Compiègne à un prix très inférieur au marché. "La transaction s'est effectuée dans le cadre d'une politique de ventes immobilières de l'Etat que j'ai créée". Et d'ajouter : "Des dossiers comme cela, on doit pouvoir en trouver 1000, 1200, 1300, 1500 !" Egalement joint par RTL, Antoine Gilibert, le Président de la Société des courses de Compiègne, s'insurge contre les révélations de la presse, affirme qu'il n'a même "jamais" vu Eric Woerth ou son épouse et déclare qu'il n'espérait même pas autant pour le terrain. La réaction de Antoine Gilibert, Président de la Société des courses de Compiègne : "Je suis effaré par ce qui est dit (...) nous n'espérions même pas autant d'argent pour ce terrain !"Petit tour du propriétaire de la parcelle incriminée "L'association en question, c'est la société de course qui court sur l'hippodrome depuis cinquante, soixante, quatre-vingts ans, et qui est propriétaire des bâtiments", a expliqué Eric Woerth au micro de RTL. "Cela n'a pas été vendu pour une bouchée de pain. Cela a été vendu à l'estimation des domaines. Pour ceux qui ne savent pas de quoi il s'agit, c'est l'Administration qui évalue les biens. Cela été vendu dans le cadre d'une politique de ventes immobilières de l'Etat que j'ai créée. Alors des dossiers comme cela, on doit pouvoir en trouver 1000, 1200, 1300, 1500 ! Je ne sais pas... On a vendu pour 600 ou 700 millions d'euros, parce que c'est bien pour les finances de la France"."Il n'y a évidemment pas de sous-estimation d'un bien", a renchéri le ministre du Travail. "Quand je lis ce qui est incroyablement écrit d'une façon tellement superficielle, quand on compare au prix des maisons à côté. C'est juste pas constructible, c'est juste du terrain pour un hippodrome, c'est juste avec une mairie de Compiègne qui est favorable à cela parce que cela consolide l'activité de la ville ! Voilà, c'est juste normal de faire cela..." "Ne relayez pas n'importe quoi !", a tonné Eric Woerth. "Il y a des évaluations de la part des services des Domaines. Et ce type de terrain, ça vaut ce que vaut son utilisation - c'est-à-dire en terme d'hippodrome. Et demain on sortira autre chose. Quand vous êtes dans un grand ministère, vous traitez des milliers de dossiers, et vous les traitez avec un maximum de sérieux. C'est mon cas, comme l'a montré l'Inspection générale des Finances. Sur les 6.000 ou 7.000 dossiers qu'ils ont regardés, je n'ai jamais vu un ministre autant passé au crible. Ca ne me fait pas peur. Mais tirez-en les conséquences..." ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Une chose m'épatera toujours : quand un journaliste parle d'un autre journaliste, c'est toujours des "révélations". Jamais l'hypothèse qu'il s'agisse d'une rumeur, d'une manipulation, d'une "information" dirigée, de l'intox, de la basse propagande... jamais ! Pourtant c'est si souvent le cas... Esprit de caste, quand tu nous tiens...
Dernière édition par Biloulou le 15/7/2010, 10:31, édité 1 fois | |
| | | Malba
Nombre de messages : 1281 Localisation : Partout Date d'inscription : 27/02/2010
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 15/7/2010, 10:25 | |
| Bonjour Biloulou Sur ce point, je me pose des questions, seulement des questions. Je ne connais pas les prix dans le secteur et on ne sait pas si les choses se sont déroulées en bon ordre ou pas. Ce que je trouve curieux dans toutes ces histoires, c'est l'omniprésence de Madame Woerth. Elle est partout où il y a problème... Enfin bon, ça ne veut rien dire, hein ! | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| | | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 15/7/2010, 18:11 | |
| Qu'est ce qu'on fait avec 57 Ha qui ne sont pas à bâtir ?
Excellente question !!!
Soit on attend qu'ils le soient .... Et si on est très méritant,on attendra peu de temps ....
Soit,puisqu'on ne sait rien en faire d'autre,on l'achête pour revendre le bois . Mais il doit y avoir des règles strictes d'abattage dans la région . On est pas dans les landes ,il est pas question de "coupe à blanc" . Et déjà les landes avec le prix du m² et les subventions,les forestiers sont pas très "contents" ...
Soit on est un philantrope amoureux de la nature et du cheval. Ca me semble la seule explication plausible .... | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 4/8/2010, 15:01 | |
| Eric Woerth à nouveau épinglé dans un scandale fiscal(L'Humanité le 04/08/2010)Mercredi, le quotidien Libération révèle, sur la base d’un courrier de 2008 signé Eric Woerth, que l’ancien Ministre du Budget a personnellement obtenu un dégrèvement fiscal sur la succession du sculpteur César, sur demande d’Alain-Dominique Perrin, exécuteur testamentaire de l’artiste, connu pour son engagement – financier – à droite et auprès de Nicolas Sarkozy.Libération publie ce mercredi 4 août des extraits d’une lettre d’Eric Woerth datée du 24 avril 2008 par laquelle, selon le quotidien, le Ministre ordonne l’abandon des redressements engagés par le fisc en 2000 à l’encontre de César Baldaccini et de la Société civile de l’atelier de César. A l’époque, dressant l’inventaire de la succession de l’artiste, la justice pénale avait répertorié 175 œuvres « non rapportées ». En 2004, 59 sculptures manquantes étaient retrouvées, et un rapport de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) concluait que les 116 autres avaient été « détournées et dissipées sciemment » par l’ex-compagne de César, Stéphanie Busuttil. Mais le non lieu fut finalement prononcé en 2006 par la justice pénale. C’est sur cette base que s’étaient alors engagées les négociations avec le fisc. Dans un communiqué, le Ministère du Travail répond qu’Eric Woerth, dans son ancienne fonction de ministre du Budget, est ainsi intervenu "dans le respect du droit fiscal". Interrogé par RTL, Bruno Le Maire, Ministre de l’Agriculture, dit « croire en l’honnêteté d’Eric Woerth ». « C'est quelqu'un que j'apprécie, il fait une bonne réforme des retraites et pour moi, c'est l'essentiel », a-t-il ajouté sur RTL. Le journal Libération met pourtant des éléments factuels sur la table. Dans le courrier publié, le ministre aujourd’hui pris dans la tourmente de l’affaire Bettencourt écrit : « Il ressort de l’examen approfondi de ce dossier que, dans le cadre de la vérification de l’activité du sculpteur déployée par M. Baldaccini, le rehaussement opéré en 1998 au titre des œuvres manquantes ne peut être maintenu. (…) Ces décisions seront prochainement annoncées, dans les formes réglementaires ». A Libé de conclure qu’Eric Woerth « est donc bien intervenu, et ce en amont des services et des ‘formes réglementaires’ ». Le quotidien rappelle que le 27 juin, l’intéressé avait déclaré n’avoir « jamais empêché un contrôle fiscal »… Selon Jack Lang, il était « dans son rôle ». « C'est un procès injuste à l'égard du ministre car il était dans son rôle. L'administration fiscale a un patron : il rend des arbitrages. Parfois l'application stricte du droit peut aboutir à des injustices. Les recours gracieux sont normaux », a souligné Jack Lang après avoir précisé qu'il parlait en son nom propre et non pour le parti socialiste. Eric Woerth aurait en fait accepté de procéder à cette « révision du passif fiscal » car la demande lui en aurait été faite par Alain-Dominique Perrin. Si l’homme est l’exécuteur testamentaire de César, il est aussi et surtout un des invités du Fouquet’s et membre du « Premier cercle », l’association des grands donateurs de l’UMP. Comme le confirme son avocate, Me Chatain, « Alain-Dominique Perrin contribue, à titre personnel depuis trente ans, et ce de manière officielle, à l’UMP et aux différents partis qui l’ont précédé ». Rappelons qu'en 2008, Eric Woerth était trésorier de l’UMP (une fonction qu’il a quittée vendredi sur conseil de Nicolas Sarkozy). Logiquement, les deux hommes avaient intérêt à entretenir de bons rapports. Les révélations de Libération tendent à prouver qu’Eric Woerth a déjà concédé des avantages fiscaux quand le réseau des donateurs du parti présidentiel étaient concernés. Le personnage d’Alain-Dominique Perrin rappelle alors inévitablement celui de Patrice de Maistre, l’homme de confiance de Liliane Bettencourt. Dans son éditorial qui accompagnait les révélations évènement de Libération, Fabrice Rousselot en a posé : « si Eric Woerth est intervenu dans la succession de César, pourquoi ne l’aurait-il pas fait au profit de la milliardaire ? ». Sur France Info, le député socialiste Bruno Le Roux a réclamé la nomination d'un juge d'instruction : « avec toutes ces affaires qui se rajoutent les unes aux autres", "il n'y a qu'une seule chose qui soit aujourd'hui valable, c'est la nomination d'un juge d'instruction qui puisse en toute indépendance instruire ces différents dossiers qui commencent à faire beaucoup ».+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Ca frise le sublime : alors que toutes les "révélations" de la presse sur les "scandales" qu'elle collait à la peau d'Eric Woerth se sont révélés être des mensonges, faux, calomnies et autres difamations, cette même presse continue soit à lancer, soit à répercuter, toujours des "révélations", "épinglages", "scandales", sans honte ni retenue ! C'est fabuleux !(Oui, Shansaa, les mots ont de l'importance... beaucoup, même ! ) | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 4/8/2010, 15:09 | |
| Et voilà, c'était prévisible et prévu....
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Affaire Woerth : "des couillonnades" (Europe1.fr - publié le 04 Août 2010 à 13h49)
Alain-Dominique Perrin, chargé de la succession de César, a dénoncé les informations de Libération.
Alain-Dominique Perrin, l’homme d’affaires désigné comme exécuteur testamentaire du sculpteur César, n’a pas mâché ses mots mercredi à la mi-journée sur Europe 1. Répondant aux informations de Libération , et aux accusations portées contre Eric Woerth, alors ministre du Budget, qui serait intervenu pour alléger un redressement fiscal, Alain-Dominique Perrin a parlé de "couillonnades", de "bidouilles".
"J’ai rencontré Eric Woerth à peu près 5 minutes, comme j’ai rencontré d’ailleurs tous ses prédécesseurs (…) M. Woerth s’est contenté de donner instruction à ses services de suivre la procédure normale. (…). M. Woerth n’est pas intervenu personnellement, c’est totalement faux", a-t-il martelé.
"Un patron de droite" "La position de l’administration fiscale a changé en cours de contrôle à l’issue d’une longue procédure pénale entre les héritiers qui s’est terminée par un non-lieu", a aussi tenu à rappeler Alain-Dominique Perrin.
Alain-Dominique Perrin a reconnu avoir donné des fonds pour l’UMP. Un geste qu’il a revendiqué. "Il faut porter une étoile rouge pour cela ?", s’est-il insurgé, se présentant comme "un patron de droite et fier de l’être".
Alain-Dominique Perrin a au passage lancé une lourde charge contre Libération, dénonçant "un travail de faussaire" et assurant que la lettre d'Eric Woerth citée par le journal avait été "tronquée". Quant à l'actuel ministre du Travail, Eric Woerth, il a affirmé dans un communiqué que "tout a été fait dans le respect du droit fiscal, contrairement aux insinuations et aux erreurs de l'article".
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
C'est à se demander si le "délit de presse", passible des assises, existe toujours dans le Droit français... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 4/8/2010, 16:03 | |
| Publié le 04/08/2010 à 12:33 AFP 7 Succession du sculpteur César: Eric Woerth était dans son rôle, estime Jack Lang Le député socialiste Jack Lang a estimé lundi matin qu'il faudrait un changement de la Constitution pour rendre applicable la mesure voulue par Nicolas Sarkozy de déchéance de la nationalité française pour certains criminels d'origine étrangère. Eric Woerth, en tant que ministre du Budget, "était dans son rôle" quand il est intervenu dans le dossier de la succession du sculpteur César, a estimé mercredi Jack Lang, ancien ministre socialiste de la Culture, dans une déclaration à l'AFP. "C'est un procès injuste à l'égard du ministre car il était dans son rôle. L'administration fiscale a un patron: il rend des arbitrages. Parfois l'application stricte du droit peut aboutir à des injustices. Les recours gracieux sont normaux", a souligné Jack Lang après avoir précisé qu'il parlait en son nom propre et non pour le parti socialiste. Selon le quotidien Libération, Eric Woerth, en tant que ministre du Budget a autorisé un dégrèvement fiscal de 27 millions d'euros sur la succession du sculpteur César, décédé en décembre 1998, à la demande de son exécuteur testamentaire Alain-Dominique Perrin, actuel président de la Fondation Cartier pour l'art contemporain et l'un des grands donateurs de l'UMP. "La décision de M. Woerth était légitime, et ses précédesseurs de droite comme de gauche ont été appelés à rendre des décisions semblables en toute équité", a insisté Jack Lang sans autre précision. Quant à Alain-Dominique Perrin, l'ancien ministre de la Culture a estimé qu'"il était également dans son rôle" en ayant porté le dossier fiscal de César devant l'administration. "Perrin, dont je ne suis pas l'ami, est un grand mécène, un ami des arts, courageux et actif", a souligné le ministre. Jack Lang, qui en son temps avait commandé à César la statue du Centaure exposée au carrefour de la Croix rouge à Paris, suggère la mise en place d'"une sorte de commission en équité" pour juger des recours gracieux en matière fiscale, sans plus de détails. Le ministre du Travail depuis mars dernier, Eric Woerth, au coeur d'une vive polémique liée à l'affaire Bettencourt, a fait démentir mercredi par son cabinet avoir outrepassé ses anciennes fonctions dans la succession César. "Tout a été fait dans le respect du droit fiscal", selon le communiqué du ministère. _____________ c'est un copie/colle de l'article du Point, mais je ne vois pas ce que vient faire le commentaire hors propos, sous la photo de Lang |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 4/8/2010, 16:08 | |
| ils ont vraiment décidé d'avoir sa peau |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 16/8/2010, 13:40 | |
| Questions autour d'un emprunt d'Éric Woerth(Le Figaro, par Bastien Hugues, le 16/085/2010 à 13:18)Crédits photo : Abaca Selon Mediapart, le ministre du Travail aurait déclaré à sa banque gagner 3.000 euros brut par mois lors d'une demande de prêt en 2008. Son entourage nie toute irrégularité et dénonce un acharnement. Chaque semaine continue d'apporter son lot de révélations à propos d'Eric Woerth. Après avoir été mis en cause dans l'affaire Bettencourt, dans la vente de l'hippodrome de Compiègne, dans la succession fiscale du sculpteur César ou encore pour des remises de légions d'honneur controversées, le ministre du Travail se voit cette fois reprocher une déclaration de revenus troublante. En 2008, pour sa campagne municipale à Chantilly, Eric Woerth aurait soumis à sa banque une demande de prêt de 6.500 euros sur huit mois. Problème : selon le site Mediapart, le formulaire d'emprunt rempli par le demandeur et déposé auprès du Crédit Agricole présente Eric Woerth comme «ingénieur cadre technicien» aux revenus de 3.000 euros, alors qu'à l'époque, ses seules indemnités de ministre et de maire s'élèvent respectivement à 14.000 et 2.400 par mois. Aucun impôt sur le revenu n'est par ailleurs déclaré. Au vu de ses autres emprunts, le Crédit Agricole en déduit alors que l'endettement bancaire du ministre est de 89% et qu'il dispose pour lui-même de 112 euros par mois pour vivre. «Le prêt lui est toutefois accordé», s'étonne Mediapart. Contacté, le Crédit Agricole se justifie en indiquant que ce type de prêt est accordé non pas en fonction des revenus, mais «en fonction de la capacité du candidat à se faire rembourser ses frais de campagne». Et Mediapart de multiplier les interrogations : «Pourquoi la banque fait-elle comme si les déclarations du ministre étaient exactes ? S'interdit-elle de lui demander des explications ? Et Eric Woerth ? Quel intérêt a-t-il à mentir sur sa situation ? A-t-il des revenus à cacher ? Est-il soucieux que personne ne connaisse le montant de ses impôts sur le revenu ?»«Des allégations absurdes»Dans un communiqué, l'entourage d'Eric Woerth a assuré lundi que le prêt avait été «souscrit dans des conditions normales comme tous les prêts électoraux», soulignant qu'il avait été «remboursé également à des conditions normales et classiques». «Ce prêt est adossé à la garantie de remboursement de l'Etat après validation des comptes de campagnes (...) et non aux revenus du candidat.» «Le Crédit Agricole connaît parfaitement la réalité des revenus d'Eric Woerth, celui-ci étant client de longue date de cette banque», a-t-on encore précisé. «Les revenus mentionnés «correspondent aux revenus arrondis perçus (...) en tant que maire. Il s'agit d'un prêt lié à des élections municipales, c'est donc tout à fait cohérent.» Et si l'agence bancaire mentionne la profession d' «ingénieur cadre technicien», c'est parce qu' «elle ne tient pas compte de la qualité d'élu, qui n'est pas une profession».«Sauf erreur, depuis quand quelqu'un qui cherche un prêt bancaire minore-t-il ses revenus ? Chaque Français comprendra à nouveau l'absurdité de ces allégations…». Et le cabinet du ministre de conclure : «La liberté de la presse est un dogme fondamental mais elle n'est ni la liberté d'insinuer, de manipuler, ou d'amalgamer comme en témoigne jour après jour l'acharnement que subit Eric Woerth».+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Je remarque surtout l'utilisation répétitivé du mot "révélation" au lieu d'allégation (mensongère, de surcroît). Et la commission du délit de presse se poursuit, imperturbablement... | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 16/8/2010, 16:13 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 16/8/2010, 16:38 | |
| Une rumeur court que Ungern serait un évadé d'un centre pour adultes atteints de symptômes de frustration due a une trop grande mise a l'écart des activités politiques et primordiale du pays. |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 16/8/2010, 16:57 | |
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| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 2/9/2010, 12:27 | |
| Révélation sensationnelle :Dans les années 80, Éric Woerth, alors en vacances sur la Côte d'Azur, aurait payé un pan-bagna avec un chèque-repas et aurait demandé la monnaie ! La justice aurait ouvert une enquête (Source : Laurent Gerra ce matin sur RTL ) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... 2/9/2010, 12:50 | |
| Bettencourt: Woerth reconnaît être intervenu pour la Légion d'honneur à de Maistre
Le ministre du Travail Eric Woerth a reconnu jeudi être intervenu pour l'attribution de la Légion d'honneur au gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre.
Lors d'une rencontre avec les journalistes de la presse économique et financière à Paris, le ministre a reconnu qu'il avait écrit un courrier en ce sens à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur en mars 2007, alors qu'il était lui-même simple député et trésorier de l'UMP.
"Ce courrier vous l'avez vu, j'étais député, j'ai fait comme un simple député, c'est d'une grande banalité tout ça", a répondu le ministre, pressé de questions sur l'affaire Bettencourt, après s'être exprimé sur les retraites. A la question de savoir s'il pouvait confirmer l'existence de cette lettre, le ministre s'est quelque peu emporté. "Je n'ai jamais dit qu'elle n'avait pas existé, qu'est ce que c'est que cette histoire ?", a-t-il lancé.
Lundi, son avocat Jean-Yves Le Borgne, avait affirmé que son client n'avait pas "porté" le dossier d'attribution de la Légion d'honneur à M. de Maistre mais avait peut-être donné un avis positif. "Eric Woerth a toujours dit qu'il n'avait pas porté le dossier en tant que ministre et qu'il n'avait pas attribué cette décoration", avait dit l'avocat à l'AFP. "M. Woerth a dit aux policiers qu'il ne se souvenait pas d'une quelconque action (en faveur de M. de Maistre) mais que si on l'avait sollicité, il avait pu donner un avis positif", avait ajouté Me Le Borgne, en réponse à une information de l'hebdomadaire L'Express.
Plus généralement, sur l'ensemble de l'affaire, le ministre a répété jeudi avoir toujours dit la vérité.
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| Sujet: Re: Il s'appelait "Pas d'chance" ,il est né sur les fortifs ... | |
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