BONJOUR - BUEN DIA

Rappel du premier message :

Ahh ce n'est pas encore pour tout de suite, mais quand nous nous deciderons, je demanderai a Biloulou d'avoir la gentillesse de bien vouloir nous preparer le plan d'un petit parcours de derriere les fagots, alors!

Bonjour et bonne semaine à vous toutes et tous de LP

Bonjour et bonne semaine à vous toutes et tous de LP

çà commence fort par un doublon!

Et n'oublions pas que c'est la journée mondiale de la lutte contre... contre...

La journée de la lutte contre les antis?

...contre... contre...

Bonjour Biloulou ,Charly et Re . Bon lundi a tous!

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Merci, Re !

bonjour Biloulou Charly Sylvette Rë (qui fait des progrès en largeur !)

excellente semaine à vous tous

demain je vais aller traîner à Rennes, je vais leur apporter le soleil

Bonjour Sylvette bonjour Marie (dans l'ordre de l'apparition à l'écran.)

Marieden

Bonne route et la bise a tous!

ATTENTION, ATTENTION !

Un anonymous est signalé en France dans les environs de Plaisir.
Qu'on se le dise !

(Bonjour Marieden ! )

ah ? c'est plus bas que Plaisir, c'est du côté de la Vendée ou de La Rochelle

Bonjour .Les filles de la Rohelle . Celles qui ont armé un batiment.

Oui... mais bon, tout le monde sait que les filles de La Rondelle ne font pas le printemps...

Et les filles du bord de mer?

Julie,Alexandre etune de mes protégées.

C'est pas très net,mais c'est fait de la terrasse au zoom 14 x.

With CANON , of course!

C'est Julie, celle-là ? Comment tu la distingues de tes autres biquettes ?

Biloulou a écrit:

C'est Julie, celle-là ? Comment tu la distingues de tes autres biquettes ?

On ne dit pas "celle-là",on dit,"cette dame"
Et on la distingue à ce qu'elle ne broute pas.(l'herbe)

Et je l'ai rendue anonyme , car Jack,qui est venu travailler
dans notre région pourraît peut-être la reconnaître.
Il suffirait qu'il ait dû aller se faire soigner aux urgences,
il n'aurait pas pu la rater.Et ne l'aurait oublié , c'est certain.

Photo tres sympa et champetre, ca va encore endormir Lawrence

Sylvette
Ben oui,c'est champêtre,on habite dans le bled,quelques habitations
le long du chemin,puis des hectares de verdure.

charlycharly1940 a écrit:

On ne dit pas "celle-là",on dit,"cette dame"
Et on la distingue à ce qu'elle ne broute pas.(l'herbe)

C'est un regrettable manque de discernement de ma part.

Comme tu sais c'est d'abord les yeux que je regarde. Or, là, en matière d'yeux, Alexandre mis à part...
Mais je regrette sincèrement la confuson.

Si si.

charlycharly1940 a écrit:

Et je l'ai rendue anonyme , car Jack,qui est venu travailler
dans notre région pourraît peut-être la reconnaître.
Il suffirait qu'il ait dû aller se faire soigner aux urgences,
il n'aurait pas pu la rater.Et ne l'aurait oublié , c'est certain.

Jackleloup est garde-champêtre ?

C'est en rapport avec ceci ?

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JUSTICE : Le juge, le garde champêtre et l’assureur.

Non, il ne s’agit ni d’une nouvelle fable de La Fontaine, ni d’un conte d’Alphonse Daudet, mais d’un jugement du tribunal de police du canton de Herve. Un tribunal dont le président ne manque ni d’humour ni de sens commun comme le prouvent les attendus.

Le prévenu, agent d’assurances, avait eu la malencontreuse idée d’exercer sa profession sur le territoire de la paisible commune de Thimister-Clermont : « ô funeste destin » écrit le juge.

Attendu que ledit destin ne tarda pas à fondre sur l’intempestif visiteur et ce sous les aspects de l’hono¬rable garde champêtre chef local, lequel sans doute tout retourné par la survenance d’un événement inhabituel au sein de sa quiète et pastorale commune, passa illico à l’action, mit la main au collet de l’assureur, de moins en moins rassuré, et l’emmena sans hésitation au poste pour identification et audition ;

Attendu qu’au bout d’une heure de tête-à-tête, rien n’était éclairci ; que le doute, au contraire, sournoisement, s’était emparé de l’esprit verbalisant : être ou ne pas être marchand ambulant quand on est placier d’assurances ? ; telle est la question que sombrement remâchait l’honorable garde champêtre ;

Attendu qu’il fallait sortir du sombre abîme de l’hésitation; qu’a cette fin, il rédigea à l’adresse de son autorité supérieure, suprême espoir, un rapport « pour information, pour servir comme de droit (sic) et aux fins de connaître avec certitude (est-elle de ce monde ?) si l’intéressé est en infraction ou ne l’est pas. Pour connaître enfin si la taxe communale sur le colportage doit lui être appliquée» ;

Attendu que l’autorité ainsi saisie — surtout d’effroi semble-t-il face à une question si épineuse — fit savoir, par une apostille, que son office souhaiterait que soit tranché par le tribunal de police le problème de l’application de... l’arrêté communal au cas d’espèce » ;

Attendu ô désarroi, que la lumière n’a point jailli ; que l’office en son émoi perdait même de vue les peines correctionnelles sanctionnant les infractions de l’arrêté royal du 28 novembre 1939 pour ne retenir que l’imputabilité de la redevance communale ;

Attendu encore qu’ayant beaucoup évolué au fil des temps, le contrat d’assurance en pleine évolution de par l’apparition de nouveaux risques (les mines de prévention hasardeuse en feront désormais partie) ne peut être rangé dans la catégorie des « denrées » définies au Larousse comme étant des « marchandises quelconques destinées à la consommation (S.E. alimentaire) » ;
qu’il ne peut en être ainsi même si à l’occasion un assuré dépité peut avoir envie d’avaler son contrat et de mordre l’assureur trop habile ; (...)

Attendu qu’à l’évidence, les agents, courtiers d’assurances, même lorsqu’ils font du porte-à-porte (les temps sont durs) ne sont pas assimilables à des marchands de lacets, punaises, épingles, clous ou autres jarretelles et encyclopédies ; qu’ils ne sont point des marchands ambulants et ne tombent pas sous le coup de l’A.R. de novembre 1939 ; lequel arrêté frappe par ailleurs de peines correctionnelles les contrevenants — ce qui semble avoir échappé à
l’autorité poursuivante qui ne vise que l’applicabilité de la taxe communale ;

Attendu qu’en toute hypothèse, si un doute subsistait en l’espèce — quod non — le tribunal quant à lui et selon un principe fondamental qu’il croyait pourtant connu de tous, en ferait bénéficier le prévenu ; que la prévention n’est pas établie ;

Le tribunal statuant contradictoirement, renvoie le prévenu des poursuites sans frais, délaisse à charge de l’Etat, les frais liquidés à quatre cent et trois francs».

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Vous ne le croirez pas mais... le parquet a interjeté appel.
Jacques L. HENRY

(« Pourquoi Pas ? » du 22/05/1985)