Vivre avec l'islam a Molenbeek.

Rappel du premier message :

La Belgique menacée par des terroristes: perquisitions à Bruxelles
Deux personnes ont été interpellées ce jeudi matin en Région bruxelloise. Des perquisitions ont été menées par le parquet fédéral dans le cadre d'une enquête liée à des activités terroristes en Belgique.

Belgique - Faits divers 11:05

Cette opération de police a été menée notamment à Molenbeek-Saint-Jean et à Berchem-Sainte-Agathe. Une quinzaine de personnes seraient recherchées.

Le parquet fédéral ne s'exprimera pas avant la fin de l'action, vers 10h00 ce matin. De plus amples renseignements devraient alors nous parvenir.

La question,c'est: Pourquoi ils s'attaquent aux pieds de ces
petites bébètes?

Ils ont arrêté Jack???

Tensions à Molenbeek: "Leur loi de cow-boys, on n’en veut pas"


Un conflit oppose les jeunes du quartier aux forces de l'ordre, attaquées lors d'émeutes. Les jeunes se disent victimes de contrôles intempestifs: un excès de zèle qui aurait fait monter la tension. Jeudi, neuf policiers ont été blessés.








Votre région- Bruxelles 7:26



Tels sont les mots de certains jeunes habitants de Moolenbeek, à propos de la police. Au centre de ces deux parties qui s’opposent, se trouve un conflit qui peine à être résolu. Et pourtant, dans les deux camps adverses, il y a un point commun : une grande volonté de changement. Jeudi soir, les forces de l’ordre ont été attaquées par plusieurs fauteurs de troubles à Moolenbeek. D'autres jeunes du quartier, eux, en ont assez de ce climat insupportable, et veulent s’en sortir. Bon nombre d’entre eux se disent méprisés et victimes d’un comportement de cow-boy de la police, qui ne cause que des provocations, d’après eux.

"Leur loi de cow-boys on n’en veut pas !"

Un jeune habitant de Molenbeek, qui a pu se montrer agressif verbalement envers la police explique son état d’esprit : "Je ne dis pas qu’ils sont tous pourris, explique-t-il. La police a toujours existé et elle existera encore. Ce n’est pas cela le problème. Le souci, c’est que certains policiers veulent imposer leur loi. Nous on accepte la loi de l’état c’est normal, mais leur loi de cow-boys on n’en veut pas", expliquait-il au micro de Sébastien Rosenfeld.


"La solution : donner du travail aux jeunes"

Un homme d’une trentaine d’année, explique que le sentiment de frustration général pourrait être résolu si on donnait du travail aux jeunes du quartier. "La solution, elle est très simple : il faut trouver du travail aux jeunes du quartier, c’est tout. C’est très simple. Ils ont ouvert une boîte actiris, et aucun jeune n’a été engagé. Même pas pour nettoyer les toilettes. Ils ont ouvert le cirque : il n’y a pas un jeune du quartier non plus qui y travaille. Lorsqu’il y a des festivals à Tour et taxis, il n’y a pas non plus un jeune qui y travaille", relevait-il.


Annulation des festivités prévues ce week-end
Le bourgmestre de Molenbeek et président du collège de police de la zone de Bruxelles-Ouest, Philippe Moureaux (PS), a de son côté décidé d'annuler les festivités organisées ce week-end sur sa commune, notamment dans le cadre de la Journée sans voiture. M. Moureaux a indiqué que sa priorité comme bourgmestre était d'assurer la sécurité publique sur sa commune. L'annulation des festivités devrait permettre, d'une part, d'éviter des rassemblements qui ne pourraient être contrôlés et, d'autre part, de maintenir une mobilisation des forces de l'ordre en cas d'éventuels nouveaux incidents.
La ministre de l'Intérieur, Annemie Turtelboom (Open Vld), qui a été informée en temps réel des incidents de la nuit, a annoncé pour sa part que la police locale disposera du renfort policier nécessaire pour les prochains jours en cas de nouveaux débordements

Molenbeek: "On ne peut pas laisser passer" (Picqué)




Belgique - Politique 9:03 Après deux nuits d'incidents à Molenbeek, le ministre-président de la Région Bruxelles-Capitale, Charles Picqué, affirme samedi dans la presse francophone qu'"on ne peut pas laisser passer", ajoutant que "la meilleure manière d'éviter que cela dégénère est d'assurer une présence policière plus permanente partout".
"Quand on voit ces bandes qui se battent pour des territoires, on est face à des gens sourds à toute action de prévention. Ici, l'action policière est fondamentale", selon le ministre-président bruxellois qui ajoute qu'il faut être exemplaire en termes de sanction et élargir les mesures vis-à-vis des mineurs. "Il faut aussi s'interroger sur la responsabilité parentale", ajoute M. Picqué. Pour prévenir l'embrasement, M. Picqué estime qu'"il faut assurer une présence policière permanente dans les quartiers. Pour cela, il faut disposer à côté de la police de proximité d'une réserve d'intervention, fédérale ou régionale, qui puisse venir en appui de la police locale dont on connaît la surcharge de travail". Le ministre-président estime qu'il faut aussi s'interroger sur "le phénomène des solidarités négatives qui s'expriment quand les gens se portent à la rescousse d'auteurs de délits alors qu'ils ne sont pas directement mêlés aux faits". (LUM)

Nous on accepte la loi de l’état c’est normal, mais leur loi de cow-boys on n’en veut pas", expliquait-il au micro de Sébastien Rosenfeld.

Rosenfeld ? De Tel-Aviv?

Information ou désinformation!

Tensions à Molenbeek: "Certains policiers veulent imposer leur loi"


Un conflit oppose les jeunes du quartier aux forces de l'ordre, attaquées lors d'émeutes. Les jeunes se disent victimes de contrôles intempestifs: un excès de zèle qui aurait fait monter la tension. Jeudi, neuf policiers ont été blessés. Dans la nuit de vendredi à samedi, de nouveaux incidents ont éclaté.









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Votre région - Bruxelles 16:20
Tels sont les mots de certains jeunes habitants de Moolenbeek, à propos de la police. Au centre de ces deux parties qui s’opposent, se trouve un conflit qui peine à être résolu. Et pourtant, dans les deux camps adverses, il y a un point commun : une grande volonté de changement. Jeudi soir, les forces de l’ordre ont été attaquées par plusieurs fauteurs de troubles à Moolenbeek. D'autres jeunes du quartier, eux, en ont assez de ce climat insupportable, et veulent s’en sortir. Bon nombre d’entre eux se disent méprisés et victimes d’un comportement de cow-boy de la police, qui ne cause que des provocations, d’après eux.

"Leur loi de cow-boys on n’en veut pas !"

Un jeune habitant de Molenbeek, qui a pu se montrer agressif verbalement envers la police explique son état d’esprit : "Je ne dis pas qu’ils sont tous pourris, explique-t-il. La police a toujours existé et elle existera encore. Ce n’est pas cela le problème. Le souci, c’est que certains policiers veulent imposer leur loi. Nous on accepte la loi de l’état c’est normal, mais leur loi de cow-boys on n’en veut pas", expliquait-il au micro de Sébastien Rosenfeld.


"La solution : donner du travail aux jeunes"

Un homme d’une trentaine d’année, explique que le sentiment de frustration général pourrait être résolu si on donnait du travail aux jeunes du quartier. "La solution, elle est très simple : il faut trouver du travail aux jeunes du quartier, c’est tout. C’est très simple. Ils ont ouvert une boîte actiris, et aucun jeune n’a été engagé. Même pas pour nettoyer les toilettes. Ils ont ouvert le cirque : il n’y a pas un jeune du quartier non plus qui y travaille. Lorsqu’il y a des festivals à Tour et taxis, il n’y a pas non plus un jeune qui y travaille", relevait-il.

Des incidents pour la deuxième nuit consécutive
Une nuit agitée. Mais moins que celle de jeudi à vendredi. La nuit dernière, de nouveaux incidents ont éclaté à Molenbeek. Quarante-trois personnes ont été interpellées. Parmi celles-ci, trois, arrêtées respectivement pour rébellion et coups envers des policiers, jet de pierres vers des véhicules de police et port d'arme prohibée, ont été mises à la disposition de la justice.

La police a trouvé cinq cocktails molotov sous un camion et la vitre d'un véhicule de police a été brisée. "Les jeunes étaient très nerveux", a précisé le porte-parole de la police pour la zone de Molenbeek. Mais cette fois, pas de confrontation directe entre policiers et jeunes. Et pas de policiers blessés.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, neuf policiers avaient été blessés et 10 véhicules de police endommagés, lors de heurts avec des jeunes à Molenbeek. Les incidents avaient débuté lorsque la police avait voulu contrôler l'identité d'un mineur. Il s'était rebellé et avait été emmené au commissariat local. Là, une soixantaine de personnes, dont des membres de la famille du jeune homme, avaient pris les policiers à partie en leur lançant des objets. Des échauffourées avaient ensuite éclaté dans une autre partie de Molenbeek.



Annulation des festivités prévues ce week-end
Le bourgmestre de Molenbeek et président du collège de police de la zone de Bruxelles-Ouest, Philippe Moureaux (PS), a de son côté décidé d'annuler les festivités organisées ce week-end sur sa commune, notamment dans le cadre de la Journée sans voiture. M. Moureaux a indiqué que sa priorité comme bourgmestre était d'assurer la sécurité publique sur sa commune. L'annulation des festivités devrait permettre, d'une part, d'éviter des rassemblements qui ne pourraient être contrôlés et, d'autre part, de maintenir une mobilisation des forces de l'ordre en cas d'éventuels nouveaux incidents.
La ministre de l'Intérieur, Annemie Turtelboom (Open Vld), qui a été informée en temps réel des incidents, a annoncé pour sa part que la police locale disposera du renfort policier nécessaire pour les prochains jours en cas de nouveaux débordements.

Molenbeek: la soeur du mineur porte plainte pour arrestation arbitraire


Jeudi soir, à Molenbeek. Un mineur de 16 ans est interpellé par la police. Suite à cet événement, divers incidents éclatent dans la nuit de jeudi à vendredi. Neuf policiers blessés et dix véhicules de police endommagés. Ce samedi, la famille du mineur dénonce des abus policiers.








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Votre région - Bruxelles 20:05 La famille, qui rencontrera lundi le bourgmestre de Molenbeek, Philippe Moureaux (PS), devait organiser une conférence de presse ce samedi après-midi, mais elle l’a annulée par crainte d’engendrer de nouveaux incidents la veille de la fin du ramadan.

L’appel au dialogue

La famille de Khalid Ouijan a lancé un appel au calme aux jeunes Molenbeekois mais aussi au dialogue envers les forces de l'ordre. Elle devrait rendre visite dimanche à Khalid Ouijan au centre de Fraipont où il a été placé par un juge de la Jeunesse pour une durée de 15 jours pour des faits qualifiés de rébellion.

Sa sœur dépose plainte pour arrestation arbitraire

La sœur du mineur a déposé plainte pour arrestation arbitraire de son frère. Dans cette plainte, la sœur explique que son frère est sorti jeudi soir de leur domicile, situé rue de Ribaucourt, pour parler avec un ami sur le trottoir quand un policier, sortant d'un véhicule, s'est jeté sur lui pour l'immobiliser à terre. Selon la sœur, son frère, qui a été menotté, aurait reçu des coups alors qu'il se débattait. La sœur et la mère du mineur sont sorties de la maison et auraient été aspergées d'un gaz lacrymogène et repoussées avec force. Selon toujours la sœur du mineur, ce dernier n'aurait nullement fait l'objet d'un contrôle d'identité comme l'affirme la police. D'après cette dernière, l'adolescent aurait tenté de prendre la fuite à la suite d'un contrôle d'identité puis aurait frappé un inspecteur au visage. Ce policier a fait usage d'un spray lacrymogène. La sœur déclare encore que son frère avait, le lendemain de son interpellation, un t-shirt blanc maculé de sang sous sa chemise déchirée, ainsi que la lèvre fendue. Des informations relayées par nos confrères de la Une.

Emeutes : Mohamed remet ça !



(20/09/2009)

N'acceptant pas l'interpellation de son cousin, il est venu au commissariat pour exiger sa libération
La police souhaite des sanctions plus rapides
Des incidents prévisibles
MOLENBEEK Manifestement, certaines personnes ne comprennent pas... Ou ne veulent pas comprendre... qu'on n'a pas tout à dire et surtout pas à tout exiger de la police.
Dans la nuit de jeudi et vendredi, des violents affrontements ont éclaté à Molenbeek suite à une arrestation refusée par la famille de l'interpellé. Les émeutiers et policiers se sont affrontés pendant plusieurs heures.
Une soixantaine de jeunes d'origine étrangère ont assiégé le commissariat exigeant la libération du suspect. Ils n'ont pas hésité à lancer des pavés en direction du commissariat, des policiers et même des pompiers.
Au total, neuf policiers ont été blessés, trois de la police de Bruxelles-Capitale Ixelles et six de la zone Ouest (dont Molenbeek fait partie). "Deux ont repris le travail mais les autres sont encore en incapacité", nous explique le porte-parole de la zone. "Ils ont tout été pris en charge par des psychologues".
Ces émeutes ayant pour cause le refus d'une arrestation ont fait grand bruit... On aurait pu penser que l'absurdité du geste allait être comprise par chacun. Ce ne fut pas le cas pour Mohamed, 23 ans qui a refait exactement la même chose au même endroit dès le lendemain soir.
"Son cousin avait été arrêté administrativement et emmené au commissariat de la rue du Facteur - là où ont eu lieu les affrontements de la vieille", expliquait le parquet ce samedi matin. "À plusieurs reprises, Mohamed est venu au commissariat pour se plaindre de cette arrestation".
À la longue, les policiers lui ont demandé d'entrer dans les bureaux afin de s'y calmer. Et surtout de ne pas inciter les autres à l'émeute. "Arrivé dans le couloir près des escaliers, il a poussé les policiers en arrière". Surpris par cette rébellion, les inspecteurs sont tombés à terre. "Ils ont dévalé les marches de l'escalier". Mohamed les a accompagnés dans cette chute.
"L'intéressé a été mis à la disposition du parquet de Bruxelles".
Après avoir été entendu par le magistrat de garde, il a été libéré. "Ce qui ne l'empêchera pas d'être poursuivi devant le tribunal correctionnel pour outrage".




Emmanuelle Praet

Molenbeek: Khalid enfermé pour 15 jours à Fraipont


Le jeune à l’origine des émeutes à Molenbeek a été placé pour 15 jours à Fraipont. Sa famille, qui le décrit comme un agneau, s'oppose à cette décision judiciaire. Le père de l'adolescent va rencontrer ce lundi le bourgmestre de la commune, Philippe Moureaux.





Vos réactions
"15 jours... Et ben C'est pas cher payé pour 9 policiers à l'hôpital/blessé. Je plains déja celui qui a reçu la bonbonne de gaz sur le dos qui lui est toujours hospitalisé... Il sortira peut être même de l'hopital APRÈS que le jeune ait été remis en liberté... Pffff a quand une réforme de la justice" Votre région - Bruxelles 10:42



La nuit a été calme à Molenbeek. Une centaine de policiers étaient toujours présents dans la commune bruxelloise, théâtre d’émeutes dans la nuit de jeudi à vendredi. Neuf policiers avaient alors été blessés. Dans la nuit de samedi à dimanche, la police a arrêté administrativement une quinzaine de personnes. Mais aucun incident n’a été signalé. Le jeune, dont l'arrestation jeudi soir a été à l’origine des émeutes, a lui été placé pour une durée minimale de 15 jours au centre pour mineurs délinquants de Fraipont, selon le journal Le Soir. Sa famille décrit pourtant Khalid comme un agneau qui n'a "jamais volé une pomme". Sa soeur a même déposé plainte contre les policiers pour arrestation arbitraire.

Rencontre entre le père et le bourgmestre
Ce lundi, une rencontre est prévue à 13h entre le père de l’adolescent de 16 ans et le bourgmestre de Molenbeek, Philippe Moureaux. Une réunion de travail, rassemblera également des représentants des polices locale et fédérale, de la Justice et des services de prévention pour voir comment améliorer la situation.
Pour prévenir l'embrasement, le ministre-président de la Région de Bruxelles-Capitale, Charles Picqué, estime qu'il faut assurer une présence policière permanente dans les quartiers. Pour cela, il faut disposer à côté de la police de proximité d'une réserve d'intervention. Il ajoute qu'il faut être exemplaire en termes de sanction et veut élargir les mesures vis-à-vis des mineurs.

Des sanctions plus rapidesLe chef de corps de la police de Molenbeek, Johan De Becker, estime également que la justice doit sanctionner plus rapidement les jeunes fauteurs de troubles qui sévissent dans sa commune. Un temps trop important s'écoule entre le moment des faits et la sanction prise, a-t-il déclaré dimanche dans l'émission Zevende Dag.

Il a par ailleurs nié l'existence de zones de non-droit sur le territoire de la commune, admettant seulement que le travail de la police est difficile dans certains quartiers.

Emeutes à Molenbeek: A. Turtelboom se concerte avec les policiers











Belgique - Faits divers 18:48 La ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom entame lundi en fin de journée une série de concertations à propos de la gestion structurelle des quartiers difficiles. Elle reçoit ainsi plusieurs représentants des polices locale et fédérale, ainsi que de la Justice bruxelloise pour se pencher sur les problèmes d'ordre public dans certains quartiers de la Région bruxelloise. La réunion de lundi est consacrée à l'examen des mesures à prendre pour gérer la situation sur le terrain au cours des prochains jours et des problèmes structurels de maintien de l'ordre. Mardi, la ministre consacrera une nouvelle réunion à l'examen des mesures de prévention qui pourraient être prises. La réunion de concertation politique organisée ultérieurement, durant la semaine qui commence, rassemblera autour de la ministre, des bourgmestres de la capitale et des représentants du gouvernement bruxellois.

"Des peines immédiates pour les fauteurs de troubles"



(21/09/2009)




Le ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V) veut insuffler une nouvelle vie à la procédure pénale accélérée
BRUXELLES Le ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V) veut insuffler une nouvelle vie à la procédure pénale accélérée, écrivent lundi Het Nieuwsblad et De Standaard. Le ministre affirme vouloir "le plus vite possible" y réfléchir avec le procureur du Roi de Bruxelles Bruno Bulthé.

M. De Clerck a senti la pression augmenter lorsque le sp.a a laissé entendre que le ministre devait donner un signal à M. Bulthé si celui-ci ne devait rien entreprendre pour poursuivre plus rapidement les fauteurs de troubles de Molenbeek-Saint-Jean. Le chef de corps de la police de la commune, Johan De Becker, avait lui déjà indiqué que la justice devrait pouvoir punir plus rapidement les personnes provoquant des violences à Molenbeek.

"On a tendance à demander facilement l'application de la procédure pénale accélérée et je ne suis d'ailleurs pas contre en principe", a indiqué M. De Clerck. "Nous devons seulement veiller à ne pas vouloir aller trop vite. Les choses doivent se passer correctement. Il ne doit pas y avoir de faute de procédure".

Le ministre dit vouloir s'appuyer sur les essais qui ont été effectués en matière de procédure pénale accélérée, soulignant que toutes les tentatives en la matière n'ont pas été couronnées de succès.

Brice De Ruyver, criminologue à l'université de Gand et ancien expert en matière de sécurité du gouvernement Verhofstadt, pointe lui l'économie illégale à grande échelle qui sévit dans quasi toute la commune de Molenbeek et à Anderlecht. "Cela va du trafic de drogues au trafic de voitures et même d'êtres humains".

Il propose dès lors au gouvernement d'envoyer massivement l'inspection sociale à Molenbeek afin de passer tout au crible avec la police et de contrôler chaque commerce de la commune "Il est possible qu'une bombe se cache sous ce quartier mais il n'y a pas d'alternative", estime M. De Ruyver.



La Dernière Heure 2009

Saisie de plus 300 plants de canabis à Schaerbeek




Votre région - Bruxelles 9:55 La police de la zone de Bruxelles a découvert plus de 300 plants de cannabis dans un immeuble situé au 40 de la rue Emmanuel Hiel, a-t-on appris mardi auprès du porte-parole de la police locale. Les policiers ont trouvé sur place du matériel servant à la culture de cannabis.

Règlements de comptes à Molenbeek : 7 perquisitions, 5 interpellations


Mohamed, Saïd, Redouane et Miloud ont été interpellés lors de ces perquisitions menées ce mercredi matin à Jette et à Molenbeek. Le 5ème, Zakaria, s'est présenté spontanément à un commissariat de police. Ils sont suspectés de nombreux faits de violence commis entre la 5 et le 7 septembre, notamment contre les forces de l'ordre.







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Belgique - Faits divers 16:37
La police de la zone de Bruxelles-Ouest a mené mercredi matin dès 5 heures, avec l'appui des unités spéciales d'intervention de la police fédérale, sept perquisitions à Jette et Molenbeek à la suite de plusieurs bagarres notamment au couteau et au marteau, a indiqué la police locale. Cinq personnes ont été interpellées par les forces de l'ordre et sont actuellement auditionnées par la brigade judiciaire de la police locale de la zone de Bruxelles-Ouest.

Rappel des faits

• Une première dispute a éclaté vers la mi-juillet dans le quartier de la rue Ribaucourt à Molenbeek. Un homme avait été blessé au couteau au cours d'une bagarre.
  
• Le 5 septembre, le frère de l'une des protagonistes de la bagarre a été agressé par des inconnus rue Groeninghe à Molenbeek. La victime a reçu plusieurs coups de batte de base-ball. La police a été assaillie à son arrivée sur les lieux.
  
• Le lendemain, la même victime a été agressée violemment par 5 ou 6 inconnus dans un snack situé rue Delaunoy à Molenbeek. Elle a été blessée de 13 coups de couteau. Ses jours ne sont toutefois pas menacés. Les auteurs ont tiré quelques coups avec une mitraillette de type Kalachnikov. Un expert balistique a confirmé qu'une Kalachnikov a été utilisée sur place.
  
• Le 7 septembre, un frère de la victime a été son tour agressé au cours d'une entrevue avec des protagonistes de la bagarre. L'homme a reçu un coup de marteau sur la main.
  

Couteau, épées, pistolet … des pièces à convictions ont été trouvées
Les enquêteurs ont identifié l'auteur présumé du coup de couteau donné au cours de la bagarre de la mi-juillet dans le quartier Ribaucourt à Molenbeek. Le suspect, Abdrahim B., a été interpellé par la police et déféré devant un juge d'instruction qui l'a placé sous mandat d'arrêt.
Mercredi, la police locale de la zone de Bruxelles-Ouest a mené des perquisitions avec l'appui des unités spéciales d'intervention de la police fédérale à sept adresses distinctes à Jette et Molenbeek. Cinq personnes ont été interpellées.
La police a appréhendé quatre suspects à leur domicile. Elle a saisi au domicile du premier, Mohamed B., un couteau, au domicile du second, Saïd B., deux épées et du troisième, Redouane B., un pistolet de calibre 22 avec un chargeur. Aucun objet n'a été saisi à l'adresse du quatrième suspect, Miloud B.. Le cinquième suspect, Zakaria A., n'a pas été retrouvé à son domicile. Il s'est présenté spontanément à un commissariat de police.

JACKLELOUP a écrit:

Couteau, épées, pistolet … des pièces à convictions ont été trouvées...

Ahhh... ces grands romantiques !

Quelle chonce!!!!

Je voudrais rire mais je ne sais pas si je peux....

Je voudrais rire mais je ne sais pas si je peux....


Il vaut mieux rire que pleurer la grimace est plus belle.

Molenbeek : un homme agressé par deux femmes pour une histoire de papiers




Votre région - Bruxelles 18:00 Un homme a été agressé mercredi soir par deux femmes, sur la voie publique, rue de Ribaucourt à Molenbeek, a indiqué jeudi la police de la zone de Bruxelles-Ouest. Des policiers, qui patrouillaient dans le quartier, sont directement intervenus.

Les deux femmes, qui sont sœurs, se disputaient avec un homme. Le trio était entouré de témoins. L'homme a déclaré aux policiers avoir été menacé au moyen de couteaux par les deux sœurs. Les couteaux ont été trouvés par la police au milieu de la rue. Les deux femmes, dont l'une est en séjour illégal, ont été interpellées par les forces de l'ordre.

La dispute aurait éclaté au sujet de papiers que devait procurer l'homme à l'une des deux sœurs. Les deux femmes ont menacé la victime, à qui elles auraient remis de l'argent, au moyen de couteaux. Elles estimaient que l'homme ne suivait pas suffisamment le dossier de régularisation.

Claudia tuée parce qu'elle refusait de porter le voile


Trois frères pakistanais auraient tué une Schaerbeekoise de 32 ans, au physique de mannequin, car elle refusait de porter le voile et voulait vivre à l'occidentale. La police a retrouvé sa voiture et l'endroit où elle a été tuée.












divers jeu 24 sep, 9:38
Selon La Dernière Heure, trois frères pakistanais suspectés d'être responsables de la mort de Claudia Lalembaïdje, une Schaerbeekoise de 32 ans, auraient tué la femme parce qu'elle refusait de porter le voile et voulait vivre à l'occidentale. Le lieu où elle a été séquestrée et tuée par ses ravisseurs est localisé en Région bruxelloise, chaussée de Neerstalle à Forest.
La jeune femme d'origine tchadienne avait disparu le 14 juin dernier dans le quartier Helmet à Schaerbeek. Son corps avait été retrouvé le 29 juin dans une valise flottant sur le canal de l'Escaut à Trith-Saint-Léger au nord de la France. L'autopsie a révélée que Claudia a été étranglée ou asphyxiée.

Un meurtre au Pakistan
Deux frères, détenus à la prison de Saint-Gilles, clament leur innocence et évoquent un complot. Le troisième est toujours en fuite. La police le recherche activement. Selon le quotidien, ils avaient déjà tué une femme au Pakistan. Un crime qui les aurait poussés à fuir le pays et à s'installer en Europe. L'objectif des trois frères étaient alors de trouver trois femmes à marier afin d'obtenir des papiers et régulariser leur situation dans l'espace Schengen. Un des frères, Ali, a séduit Claudia qui est tombée follement amoureuse de lui.
Après l'avoir assassinée, ses meurtriers ont découpé sa carte d'identité et jeté dehors tous les petits morceaux. Mais, la police en a retrouvé un minuscule dans sa voiture, abandonnée à Anderlecht. Des traces exploitables y figurent et pourraient bien être utilisées comme preuve.

Plus de policiers pour les quartiers bruxellois à problèmes


Les membres du conseil ministériel restreint sont tombés d'accord sur le fait qu'il faut plus de policiers pour Bruxelles. L'objectif est d'attribuer à la Région bruxelloise 50 agents de plus.











Votre région - Bruxelles 11:55 Les membres du conseil ministériel restreint sont tombés d'accord sur le fait qu'il faut plus de policiers pour Bruxelles. L'objectif est d'attribuer à la Région bruxelloise 50 agents de plus, a fait savoir le porte-parole de la ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom. Le conseil ministériel restreint s'est penché vendredi sur les incidents qui se sont déroulés la semaine dernière à Molenbeek.

Les agents supplémentaires qui seront mis à la disposition des communes de la capitale devront permettre de veiller qu'en cas d'incident, la voie publique pourra être "récupérée" rapidement. La proximité de cette réserve devra permettre une intervention plus rapide en cas de nécessité. Des actions ciblées pourront aussi être mises sur pied plus rapidement, par exemple en matière de lutte contre le trafic de drogue.
Un groupe de travail composé de spécialistes de la Justice, de l'Intérieur et de la Défense va à présent se pencher sur la manière de libérer davantage d'agents du corps de sécurité de la police fédérale.
La ministre de l'Intérieur rencontrera la semaine prochaine un certain nombre de bourgmestres bruxellois.

20 policiers de plus chaque nuit dans quatre zones bruxelloises


La ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom (Open Vld) a plaidé vendredi soir pour une plus grande coopération entre les six zones de police de la Région-capitale en cas d'extrême urgence.











Votre région - Bruxelles 12:28 La ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom (Open Vld) a plaidé vendredi soir, au cours d'une rencontre avec les bourgmestres de quatre zones de police bruxelloises, pour une plus grande coopération entre les six zones de police de la Région-capitale en cas d'extrême urgence, deux semaines après d'importantes échauffourées à Molenbeek.

Les bourgmestres, précise la ministre, ont souligné que la coopération était déjà importante, mais ont semblé disposés à lui donner un caractère formel et explicite.
Elle a par ailleurs confirmé la création d'une nouvelle réserve de 50 policiers à Bruxelles, ce qui représente à court terme la mise à disposition de 20 agents de plus chaque nuit dans quatre des six zones de police bruxelloises, week-end compris.
Par ailleurs, un bâtiment sera ouvert à Etterbeek avant juillet 2010 et la présidence belge de l'Union européenne pour accueillir jusqu'à 400 personnes en cas d'arrestation administrative de 24 heures. D'ici là, elle espère le cas échéant pouvoir recourir à un espace vide du palais de justice.

Evasion du Palais de Justice de Bruxelles: perquis et arrestation




Votre région - Bruxelles ven 2 oct, 9:42
Selon un quotidien francophone vendredi, six perquisitions ont été menées jeudi matin à Molenbeek dans le cadre de l'enquête sur l'évasion du palais de justice de Bruxelles du 4 août 2009. Trois majeurs ont été interpellés et déférés au parquet, qui a requis des mandats d'arrêt.
Lors des perquisitions, les policiers ont découvert deux armes de poing ayant servi à l'évasion et un kilo de haschisch.