Du côté de la Belgitude...

charlycharly1940 a écrit:

Le mieux,c'est cet homme,âme charitable, il sauve d'abord le vélo.

Oui C'est vrai, j'y pensais justement en regardant la photo, ca me fait penser a quelqu'un qui pechait sur la plage et qui souleve et emporte par une vague un peu plus forte que les autres, refusait de lacher sa canne a peche!

Je viens d'apprendre hier - dans des circonstances dont j'aurais préféré me passer - que la plupart des magistrats bruxellois interdisent aux policiers de prendre en photo des délinquants mineurs interpelés lors de faits de vol ou d'agression... j'imagine que la raison invoquée doit tenir du "respect des droits de l'enfant qu'il ne faut pas criminaliser à outrance pour lui offrir des chances de résinsertion".

Moi j'appelle cela "éducation à l'impunité", car quand des gosses de 14-15 ans sont capables de planifier une embuscade en plein jour pour fracasser une vitre de voiture et arracher un sac, ils savent parfaitement ce qu'ils font.

Alice, en colère

... et connaissent parfaitement la loi. c'est d'ailleurs pour cela que s'ils sont arretes ils precisent leur age. D'une part presque tout leur sera pardonne d'autre part meme s'ils sont punis, a 18 ans, leur dossier est clos.

Sachant que la majorité d'entre eux ne sont pas interpelé (à vue de nez, je dirais que 80% de délinquants responsables de vols, dégradations, agressions physiques... ne sont pas interpelés par la police), que sur les 20% d'interpelés, la majorité est relachée dans les heures qui suivent sans aucune poursuites et que donc, seule une infime minorité reçoit des sanctions.

Il y a quelque chose de pourri quelque part...

Il y a quelque chose de pourri quelque part...

OUI!

Coïncidence ?

En 15 jours, dans mon cercle familial proche, 2 agressions :
- une tentative de sac-jacking avec bris de vitre hier... ma seule satisfaction : j'ai tiré plus fort que ce petit con qui n'a pas su attraper mon sac, mon seul regret : j'aurais du écraser le comparse au lieu de freiner pour lui laisser le passage... et en fait laisser le temps à son copain d'éclater ma vitre...
- 3 baies vitrées brisées au lance-pierre (pour se venger d'avoir été vus et mis en fuite la veille avant de pouvoir détruire un lampadaire éclairant l'allée d'un immeuble... préparatifs de vol ?)

Ces deux agressions commises par des jeunes d'origine maghrébine (ou turque, pour ceux qui feraient la fine bouche), toujours en groupe, toujours lâchement.

Et dans les photos que j'ai pu consulter au commissariat, 80% étaient celles de jeunes maghrébins.

Si tous les maghrébins ne sont pas délinquants, c'est néanmoins une certitude que la majorité des délinquants en région bruxelloise sont des maghrébins.

Je viens d'apprendre qu'une amie a subi la même mésaventure que moi la semaine dernière, avec moins de chance, son sac a été volé... l'auteur du délit était aussi "bronzé".

No more comments.

Alice a écrit:

Citation :

Tu as peut être en partie raison: on constate que la perversion est beaucoup plus fréquente chez les hommes.
En l'occurence on ignore si c'est un pervers ou un psychotique; auquel cas les candidates féminines ne manquent pas (une de leur spécialité est la congélation de leur progéniture)

Salut Quantat,

D'après les premières analyses, il s'agirait plutôt d'un schizophrène, on est dans le domaine de la psychose donc.
Et puis, faire un quelconque comparatif avec les cas de déni de grossesse accompagnés de psychose puerpérale, c'est un raccourci fallacieux (la majorité des cas de déni de grossesse ne mène pas à la mort du bébé, et quand celui-ci meurt, c'est souvent par manque de soins, si la "maman" était en déni total et se retrouve seule lors de l'accouchement, elle tombe souvent dans un état de sidération face à ce qui lui arrive (au sens propre comme au sens figuré) état qui est parfois suivi par un état psychotique les amenant à garder caché leur bébé (congelé ou autre). On est vraiment ici dans une toute autre pathologie (je ne pense pas qu'on puisse qualifier ce genre de drame de passage à l'acte d'un psychotique, on est dans un autre registre)

Salut Alice, je ne parlais pas du déni de grossesse
Je parlais de ces femmes qui tuent leur enfant et le congèlent, quelques fois plusieurs jours après l'accouchement. Le phénomène n'est qu'occasionnellement corrélé au déni de grossesse.
Certaines mères noient leur bébé lors du bain...

Le point commun ici est qu'elle "réalise" le fantasme suprême: posséder l'objet manquant

Salut Quantat,

Citation :

Le phénomène n'est qu'occasionnellement corrélé au déni de grossesse.
Certaines mères noient leur bébé lors du bain...

Tu as des statistiques à ce sujet ? Car de mon côté, les seules infos concernant des bébés "congelés" ou tués quelques jours après l'accouchement sont liées à un déni de grossesse (ou alors à un cas de grossesse non désirée, la "mère" tuant son enfant étant souvent une femme (très jeune) isolée et en grande détresse sociale... pas grand chose à voir avec un passage à l'acte psychotique (ce qui n'enlève rien à l'horreur du geste ceci dit).

Et les mamans qui noient leur enfant dans le bain, oui, ça doit exister... comme des papas qui jettent leur enfant d'un pont ou d'une falaise...

Non je n'ai pas de statistiques... et n'y vois aucun intérêt, sauf pour une étude sociologique.
J'assiste régulièrement à des présentations de malades à l'hopital psychiatrique d'Armentière où des psychiatres, des psychologues (mais pas des cognitivistes ni des comportementalistes) et des psychanalystes discutent des cas présentés et d'autres...
Ce que je t'ai dis ci dessus , je le tiens de Marie Laure Susini, qui est une spécialistes des criminels pervers (je ne partage toutefois pas ses hypothèses)... c'est notamment elle qui suivait le cannibale japonais lorsqu'il était encore en France...
La question lui avait été posée, lors d'une conférence, de savoir si le meurtre d'enfants par la mère relevait de la perversion ( avant qu'elle ne réponde je pensais déjà que non, pour des raisons de structure: la femme est, de par sa place vis à vis du père et de la mère, moins encline à croire à la "pleinitude" de la mère - j'essaye d'éviter le jargon).
Les cas de mères qui congèlent leur gamin figurait comme un type parmi d'autres de ces homicides, un cas exemplaire en ceci qu'il illustre particulièrement bien le statut d'objet de l'enfant dans cette situation (il y en a d'autres évidemment... comme le viol de l'enfant par la mère lorsque le père a quitté le foyer)
Quand tu me réponds "comme les papas qui jettent...." ; je suis amené à supposer que nous ne discutons pas dans le même cadre: tu sembles vouloir soutenir que les hommes AUSSI, voire plus que les femmes... ... à quoi je te réponds que c'est très vraisemblable, mais que la guerre hommes -femmes, évaluation des mérites comparés etc... ne m'intéresse pas, elle est stérile... Je n'ai, personnellement aucune envie de défendre les hommes...ou d'attaquer les femmes... pour moi ces deux ensembles sont aussi factices que les juifs, les maghrébins, les français etc etc (là encore je crois que nous recherchons une sorte de confort intellectuel en identifiant une catégorie qu'on pourra rendre responsable de tous les maux)

Ce que je trouve intéressant, en revanche, c'est la structure mentale des individus, et la place qu'y prend le meurtre...
Pour le cas de ces femmes (qui tuent leur enfant) je crois effectivement que ça relève d'un accès psychotique... mais je comprends très très mal la psychose, d'autant qu'elle n'est pas du même type que chez l'homme, je suppose...

J'oubliais Alice... si tes sources sont journalistiques, ne t'étonne pas de cette confusion (déni de grossesse et infanticide)..
Les journalistes ont réussi confondre le pédophile pervers et le pervers sadique (cf Dutroux) ...alors que le type "pur" de pédophile n'a rien d'un sadique (voir Amélie Nothomb "l'hygiène de l'assassin": la deuxième partie me paraît être la plus belle présentation jamais faite du fantasme pédophile... c'est un génie cette fille)

Citation :

La question lui avait été posée, lors d'une conférence, de savoir si le meurtre d'enfants par la mère relevait de la perversion

Comme si on pouvait tirer une règle générale pour les meurtres d'enfants... Il y a tant de situations différentes, et d'individus au psychisme différent impliqué dans ce type d'acte.
Ma réponse aurait été : parfois oui, parfois non. (mais la question est idiote... ou mal formulée)

Citation :

( avant qu'elle ne réponde je pensais déjà que non, pour des raisons de structure: la femme est, de par sa place vis à vis du père et de la mère, moins encline à croire à la "pleinitude" de la mère - j'essaye d'éviter le jargon).

Heu, la "mère" ici, c'est celle de la femme, ou c'est la femme elle-même qui est mère ?
En clair : elle est moins encline à croire en la plénitude de sa mère, ou en sa propre plénitude (vis-à-vis de son enfant) ?

Citation :

Les cas de mères qui congèlent leur gamin figurait comme un type parmi d'autres de ces homicides, un cas exemplaire en ceci qu'il illustre particulièrement bien le statut d'objet de l'enfant dans cette situation

Je pense que le bébé congelé a effectivement une sorte de statut d'objet - ou en tout cas de non-sujet- pour la "mère" (qui n'arrive pas à se concevoir mère à l'instant de la naissance de ce bébé dont elle n'avait aucune conscience jusqu'alors), mais ce statut n'est pas comparable avec celui qui apparaît dans le chef du "pervers". Le bébé est ici "objet", tout simplement parce qu'aucune relation n'a pu commencer à se construire avec les "mère" - qui en dehors de ça est quasiment toujours une mère normale (déjà mère et ayant une relation tout ce qu'il y a de plus normal avec ses autres enfants). Le problème est ici vraiment la non-construction d'une relation fantasmée "mère-enfant" : la "mère" n'a pas investi ce lien du fait de sa non prise de conscience (bien réelle celle-là) de sa grossesse. on est en deça de la relation, et même de l'objet.
En fait, le bébé n'est même pas "objet", il "n'est pas" du point de vue psychique de la mère (comme investir une relation de sujet avec quelque chose/quelqu'un qui n'est pas ? à moins d'être psychotique, je ne vois pas trop comment).

Citation :

tu sembles vouloir soutenir que les hommes AUSSI, voire plus que les femmes

Le fait est que les "mâles" sont généralement plus enclins à porter atteinte à leur progéniture que les "femelles", cela se vérifie tous les jours

Alice a écrit:

Citation :

La question lui avait été posée, lors d'une conférence, de savoir si le meurtre d'enfants par la mère relevait de la perversion

Comme si on pouvait tirer une règle générale pour les meurtres d'enfants... Il y a tant de situations différentes, et d'individus au psychisme différent impliqué dans ce type d'acte.
Ma réponse aurait été : parfois oui, parfois non. (mais la question est idiote... ou mal formulée)

Non, je l'ai simplement résumée.

Citation :

( avant qu'elle ne réponde je pensais déjà que non, pour des raisons de structure: la femme est, de par sa place vis à vis du père et de la mère, moins encline à croire à la "pleinitude" de la mère - j'essaye d'éviter le jargon).

Heu, la "mère" ici, c'est celle de la femme, ou c'est la femme elle-même qui est mère ?
En clair : elle est moins encline à croire en la plénitude de sa mère, ou en sa propre plénitude (vis-à-vis de son enfant) ?

Il s'agit de la plénitude de la mère pour la fille qui devient femme ou de la femme qui fut une fille

Citation :

Les cas de mères qui congèlent leur gamin figurait comme un type parmi d'autres de ces homicides, un cas exemplaire en ceci qu'il illustre particulièrement bien le statut d'objet de l'enfant dans cette situation

Je pense que le bébé congelé a effectivement une sorte de statut d'objet - ou en tout cas de non-sujet- pour la "mère" (qui n'arrive pas à se concevoir mère à l'instant de la naissance de ce bébé dont elle n'avait aucune conscience jusqu'alors), mais ce statut n'est pas comparable avec celui qui apparaît dans le chef du "pervers".Si tu parles de la mère qui ignore qu'elle est enceinte, sans doute... je ne serais pas si catégorique avec les mères qui voient dans leur enfant ce qui va les combler; mais le matériel clinique me manque pour me faire une idée Le bébé est ici "objet", tout simplement parce qu'aucune relation n'a pu commencer à se construire avec les "mère" - qui en dehors de ça est quasiment toujours une mère normale (déjà mère et ayant une relation tout ce qu'il y a de plus normal avec ses autres enfants). Le problème est ici vraiment la non-construction d'une relation fantasmée "mère-enfant" : la "mère" n'a pas investi ce lien du fait de sa non prise de conscience (bien réelle celle-là) de sa grossesse. on est en deça de la relation, et même de l'objet.
En fait, le bébé n'est même pas "objet", il "n'est pas" du point de vue psychique de la mère (comme investir une relation de sujet avec quelque chose/quelqu'un qui n'est pas ? à moins d'être psychotique, je ne vois pas trop comment).pas du tout, c'est ce que font tous les parents qui attendent un enfant... à moins que tu veuille dire "quelqu'un qui n'existe pas pour le sujet"(la mère en proie au déni de grossesse)

Citation :

tu sembles vouloir soutenir que les hommes AUSSI, voire plus que les femmes

Le fait est que les "mâles" sont généralement plus enclins à porter atteinte à leur progéniture que les "femelles", cela se vérifie tous les jours

Tu as des statistiques à ce sujet ? ... non, ne répond pas, je plaisante

Les produits d'abbaye semblent résister à la crise


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La production de fromage à l'abbaye d'Orval par les moines.
Les produits d'abbaye semblent ne pas être touchés par la crise économique. Les clients sont toujours friands de ces produits particuliers et se rendent volontiers dans les magasins d'abbaye, écrit l'hebdomadaire "Kerk en leven".

Selon Marc Fierens, responsable du magasin de l'abbaye d'Averbode (Brabant flamand), le succès des produits d'abbaye peut être attribué à leur qualité.

Le produit à succès de l'abbaye brabançonne est la confiture d'orange, préparée par les trappistes de Notre-Dame des Gardes, en France. "Les biscuits des Trappistes de Clairefontaine, le speculoos et l'onguent de Postel ont également du succès", poursuit Marc Fierens.

Au sein de la société Weynants, située à Zichem et distributeur de produits d'abbaye, on confirme les bonnes ventes des produits d'abbaye. "Les champignons de l'abbaye de Brialmont (province de Liège) se vendent bien, sous forme séchée en Wallonie et en petits pots en Flandre. Les fromages d'abbaye sont également demandés", explique-t-on. (belga)

01/02/09 22h02

JACKLELOUP a écrit:

Salut. Charly Il a l'air sérieux le monsieur.

Oui,Jack,c'est le dégustateur.
Attends qu'il ait goûté quelques bières,çà va changer.

Moi je lui trouvais un air dubitatif !

charlycharly1940 a écrit:

Les produits d'abbaye semblent résister à la crise
Le produit à succès de l'abbaye brabançonne est la confiture d'orange, préparée par les trappistes de Notre-Dame des Gardes, en France. "Les biscuits des Trappistes de Clairefontaine, le speculoos et l'onguent de Postel ont également du succès", poursuit Marc Fierens.

C'est peut-être lors de sa dernière retraite là-bas que Jean-Luc a enseigné aux braves moines à faire sa célébrissime confiture d'oranges à la vodka ?

167-

La question suivante a été posée dans un récent sondage auprès de la population belge:
"Y-a-t-il trop d'immigrants en Belgique?"

- 21% ont répondu : Oui


- 17% ont répondu: Non


- 62% ont répondu: عهد الأمن العالمي بواشنط

Le directeur de la police judiciaire fédérale a peur pour Bruxelles


Glenn Audenaert est préoccupé par l’avenir de Bruxelles et de son corps qui doit s’adapter au terrain. Les problèmes ? La radicalisation des jeunes musulmans de plus en plus nombreux à Bruxelles et le retard technologique de la police par rapport aux criminels.






Belgique - Faits divers 21:04 Voici ce que le directeur de la police judiciaire fédérale de Bruxelles (PJF) a exposé ce mardi dans son discours lors de la réception du Nouvel An :

Selon lui, ses services se sont adaptés avec succès aux nouveaux phénomènes tels qu'aux tiger-kidnappings, aux faits de violence perpétrés par des bandes urbaines ou encore à l'exploitation sexuelle des mineurs via Internet, mais beaucoup de défis restent à relever. "Les études montrent que Bruxelles est l'une des villes les plus mondialisées au monde, que pour sept jeunes sur dix en obligation scolaire, leur langue maternelle n'est ni le néerlandais ni le français et que la population bruxelloise, dont 30% sont des citoyens d'origine non européenne, a augmenté en 2008 de 20.000 personnes, soit la population d'une petite ville", a-t-il déclaré.

M. Audenaert a indiqué que la mondialisation n'avait pas que des effets positifs à Bruxelles. "La situation politique internationale en général et les questions autour du Moyen-Orient ont une influence évidente sur la radicalisation de la communauté musulmane de notre pays", a-t-il affirmé. Pour lui, le démantèlement à la fin de l'année 2008 d'une cellule terroriste liée au mouvement d'Al-Qaïda en Afghanistan, est un signe évident de cette situation. "Je suis donc très préoccupé par l'intégration des jeunes dans la capitale", a-t-il dit.

Par ailleurs, dans son discours, le directeur de la PJF de Bruxelles s'est inquiété du retard pris par ses services dans l'exploitation des nouvelles technologies. "Les nouvelles technologies mises sur le marché sont également utilisées par les criminels alors que la police manque de moyens technologiques pour lutter contre la criminalité" a-t-il dit.

Il a évoqué également des problèmes internes à ses services. "Beaucoup de nos enquêteurs ont atteint un certain âge et seront amenés dans les mois et années à venir à changer de service et s'orienter là où leur savoir-faire sera certainement appréciée et où la charge de travail sera plus faible. Cela se traduira par une importante perte d'expertise, d'autant que la relève n'est pas prête. Nous manquons de personnes pour les fonctions dirigeantes", a-t-il dit.

Enfin, le directeur de la police judiciaire fédérale de Bruxelles a indiqué qu'il observait au sein de la Police fédérale un retour à une tendance à la centralisation, qui, selon lui, est contraire à l'esprit des accords Octopus, qui ont scellé la réforme des services de police. "Les enjeux complexes et nouveaux auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui demandent de trouver des solutions novatrices. Les anciennes ont d'ailleurs montré leurs limites", a-t-il conclu.

Une exposition rendant hommage aux 1636 juifs déportés de Malines vers Auschwitz par le XXè convoi, qui passe inaperçue, face au Palais Royal.

La presse n'en a quasi pas parlé, il n'y a pas eu d'inauguration officielle, et aucun panneau explicatif n'accompagne l'exposition, pour expliquer aux passants à qui appartiennent ces visages...
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Le camp d’Auschwitz-Birkenau a été libéré le 27 janvier 1945.
Afin de commémorer cette date Le Musée Juif de la Déportation et de la Résistance, l’asbl Caserne Dossin. Mémorial, Musée et Centre de Documentation sur la Shoah et les Droits de l’Homme présentent l’installation Transport XX Malines-Auschwitz du 27 janvier au 15 mars 2009 le long du Parc Royal juste en face du Palais Royal de Bruxelles. Il s’agit de la reconstitution du 20ème convoi parti de Malines vers Auschwitz-Birkenau. Le 19 avril 1943, 1.636 détenus du camp de Malines embarquent à bord du convoi XX qui part vers Auschwitz-Birkenau. Il s’agit du seul convoi de déportés juifs qui ait été attaqué dans le but d’en libérer les détenus. Et ce, grâce à trois jeunes résistants bruxellois. Au final, un déporté sur sept parviendra à s’échapper de ce train.
Cette irruption des victimes au coeur de l'Etat belge qui fut complice de leurs bourreaux, aurait pu faire évènement, réveiller les consciences, servir de transmission de la mémoire et de l'histoire. Mais à part La Libre, la presse belge francophone s'en fout.

Sur place, les explications manquent et les passants non avertis regardent avec perplexité. Tel n'est pas le cas des familles des victimes. Parmi elles, Bella Swiatlowski, qui a réalisé ces photos.

Le XXème convoi est un convoi particulier. Il s’agit d’un train exceptionnellement long et composé, pour la première fois, de wagons à bestiaux. Lors des transports précédents, des wagons de troisième classe avaient été utilisés dont il était éventuellement possible de s’évader par les fenêtres. A partir du XXème convoi, les portes sont hermétiquement closes.
Le XXème convoi quitte la Caserne Dossin vers 23 heures et est escorté par un détachement de gardes de la Schupo, venu spécialement d’Allemagne. Armés d’un revolver, d’une lampe -tempête et d’un papier rouge, trois jeunes étudiants de l’Athénée d’Uccle stoppent le train sur la ligne Malines-Louvain, entre Boortmeerbeek et Haecht. 17 personnes osent s’ en échapper. Le train reprend ensuite sa route et des dizaines de détenus vont encore parvenir à s’échapper d’autres wagons grâce à des outils sortis en cachette de la caserne. Au total, 232 personnes s’évadent de ce transport – 26 évadés trouvent la mort et 119 déportés réussissent à s’enfuir.

La date de l’action contre le XXème convoi, le 19 avril 1943, est particulièrement symbolique. Ce même jour en effet débute l’insurrection du ghetto de Varsovie.L’impressionnante installation Transport XX présentant 1200 portraits de déportés sera officiellement inaugurée le 27 janvier 2009 par la Caserne Dossin et le Musée Belvue afin de commémorer la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau.
L’attaque du Transport XXEn 1940, à peu près 70.000 juifs habitent en Belgique. 36% d’eux ont été déportés par la Caserne Dossin à Malines et 5.034 par Drancy, près de Paris. Depuis l’été 1942 jusqu’à l’automne 1944, 28 convois ont quitté Malines. Ils ont emmené 24.916 juifs, mais aussi 351 gitans, vers l’ Europe de l’est. Leur destination était avant tout Auschwitz.

La date de l’action contre le XXème convoi, le 19 avril 1943, est particulièrement symbolique. Ce même jour en effet débute l’insurrection du ghetto de Varsovie.L’impressionnante installation Transport XX présentant 1200 portraits de déportés sera officiellement inaugurée le 27 janvier 2009 par la Caserne Dossin et le Musée Belvue afin de commémorer la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau.
L’attaque du Transport XXEn 1940, à peu près 70.000 juifs habitent en Belgique. 36% d’eux ont été déportés par la Caserne Dossin à Malines et 5.034 par Drancy, près de Paris. Depuis l’été 1942 jusqu’à l’automne 1944, 28 convois ont quitté Malines. Ils ont emmené 24.916 juifs, mais aussi 351 gitans, vers l’ Europe de l’est. Leur destination était avant tout Auschwitz.

Le XXème convoi était escorté par un détachement de gardes de la Schupo, venu spécialement d’Allemagne. Ce détachement comprenait un officier et 40 hommes. Malgré leur présence, Maistriau réussit à ouvrir un wagon. 5 personnes osèrent s’en échapper. Après que le train eût repris sa route, des détenus ouvrirent certaines portes au moyen d’outils sortis en cachette de la caserne. 232 personnes, au total, s’évadèrent de ce transport – 87 déportés, rattrapés firent partie d’un transport ultérieur – 26 évadés trouvèrent la mort et 119 déportés réussirent à s’enfuir.
Le plus jeune des fugitifs, Simon Gronowski, n’avait que 11 ans; Régine Krochmal, une infirmière de 17 ans, scia les barres de bois de l’ouverture avec un couteau et s’est enfuie du wagon des malades. Tous deux ont survécu à la guerre.
Parmi les 1.400 déportés qui sont restés dans le train, il y avait 262 enfants. Le train est arrivé à Auschwitz le 22 avril 1943. 521 numéros seulement furent attribués suite à la sélection, 150 seulement survécurent à la guerre. Les autres 883 déportés ont disparu sans laisser de trace. Les déportés qui n’avaient pas pu s’échapper, causèrent beaucoup de problèmes à l’administration SS à Auschwitz : le 29 avril 1943,elle adressa un télégramme à E. Ehlers, SS-Obersturmbannführer et chef du Sipo-SD en Belgique concernant ces problèmes à l’arrivée des déportés au camp d’Auschwitz : des rumeurs à propos de la ‘Endlösung’ avaient provoqué de la résistance et de la révolte dans les rangs des déportés. Après le XXème convoi, la garde fut renforcée avec des sentinelles de Bruxelles; celles-ci accompagnaient les trains jusqu’à la frontière Allemande. La date de l’action contre le XXème convoi revêt une signification complémentaire: à des milliers de kilomètres de là, c’est ce jour-là que débuta l’insurrection du ghetto de Varsovie.

De 1942 à 1944, 28 convois menèrent 25.257 captifs de Malines à Auschwitz, en Pologne. Deux tiers d’entre eux furent gazés aussitôt arrivés. Lors de la libération des camps, il n’y eut que 1.207 survivants.

(...) ADI - 09-02-09

172-

16 000 mariages suspects


L'an dernier, l'Office des étrangers a été sollicité pour enquêter sur 15.997 mariages suspects, contre 13.517 en 2007, soit une augmentation de près de 18 pc.










Belgique - Société lun 9 fév, 10:57
"6.608 concernaient des mariages prévus en Belgique, contre 7.537 en 2007. "Ce qui a véritablement explosé, ce sont les demandes d'enquête sur les mariages conclus à l'étranger dont les époux demandent ensuite la retranscription ici en Belgique", selon un porte-parole de l'Office des étrangers.
Parmi les villes qui sollicitent le plus l'office des étrangers pour enquêter sur des mariages suspects, se retrouve en tête Anvers, suivi de Bruxelles et de Charleroi, Gand et Liège, peut-on lire dans la Dernière Heure.

Un cavalier tué par an



(11/02/2009)
Les automobilistes connaissent mal les règles
BRUXELLES Selon les statistiques d'accidents en possession du secrétaire d'État à la Mobilité, Etienne Schouppe (CD&V), les cavaliers, malgré leur nombre restreint, paient un tribut relativement lourd à la route.
Ainsi, chaque année, ce sont pas moins de 24 cavaliers qui sont blessés sur nos routes dans des accidents avec d'autres usagers de la route durant la période 1999-2004. En 2005 et 2006, ce nombre est tombé à 15 avec une proportion d'un tiers de blessés graves. Chaque année, c'est un cavalier qui perd la vie des suites de ses blessures.
Le problème, selon le secrétaire d'État à la Mobilité, est la méconnaissance des règles de priorité par les automobilistes. En effet, même si c'est écrit noir sur blanc dans le code de la route, peu de gens savent que chevaux et cavaliers ont la priorité dans la circulation. Le code prévoit en outre que le conducteur d'un véhicule doit s'arrêter si le cheval montre des signes d'anxiété.
Pas question donc de klaxonner à l'approche de chevaux qui encombrent le chemin ou de passer à vive allure à côté des animaux.
Pour tenter de mieux faire cohabiter les cavaliers et les autres usagers de la route, Etienne Schouppe a demandé à l'IBSR d'envisager une campagne de sensibilisation au bon comportement en présence de chevaux sur la voie publique.




M. Ka.
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C'est vrai que les automobilistes cons qui klaxonnent ou poussent un coup d'accélérateur dès qu'ils croisent des chevaux, il y en a !