Du côté de la Belgitude...

Te Deum du 21 juillet: "Il y aura un grand châtiment" pour les infidèles

Le discours d'un imam au Te Deum du 21 juillet à Saint-Josse fait des remous, car il aurait cité des sourates du Coran qui parlent du "peuple des infidèles", rapporte le journaliste indépendant Mehmet Koksal sur son site internet.

L'imam choisi pour ses talents oratoires
La présence de l'imam au Te Deum du 21 juillet avait été sollicitée par le collège communal de Saint-Josse, qui souhaitait rendre la cérémonie plus multiconfessionnelle et représentative de la diversité de la commune.

L'extrait choisi par l'imam turc Sükrü Uymaz lors de cette cérémonie a cependant créé une grosse polémique au sein du public catholique fréquentant la paroisse de Saint-Josse, en majorité des catholiques d'orient (Arménie notamment).

"Il y aura un grand châtiment" pour les infidèles
Il aurait récité un extrait de la sourate Al-Baqara (La vache) où on retrouve le passage suivant: "Certes le peuple des infidèles ne croit pas, cela leur est égal, que tu les avertisses ou non: ils ne croiront jamais. Dieu a scellé leurs coeurs et leurs oreilles; et un voile épais leur couvre la vue; et pour eux il y aura un grand châtiment".

L'imam Uymaz a été choisi pour ses talents oratoires par la Diyanet (réseau de mosquées liées à la direction des affaires religieuses turques). (belga/th)


29/07/09 11h16

Il me semble légitime de se demander à quel titre M. Sükrü Uymaz officiait dans une cérémonie chrétienne avec ses talents oratoires apparemment si connus.
Enfin, s'il a exhorté les infidèles à se convertir au christianisme, ça dénote peut-être une salutaire prise de conscience ?

Va-t-il donner l'exemple ?

Il me semble légitime de se demander à quel titre M. Sükrü Uymaz officiait dans une cérémonie chrétienne avec ses talents oratoires apparemment si connus.
Crois-tu que les autorités ont réellement le choix?

Le fugitif de la prison de Bruges écrivait à Nizar Trabelsi: faut-il craindre une évasion ?


La surveillance est maximale autour de Nizar Trabelsi à la prison de Lantin. Le terroriste échange des lettres avec Ashraf Sekkaki, qui s'est évadé de la prison de Bruges par hélicoptère. Les autorités craignent l'évasion de Trabelsi.


[img:64b1]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2009_07_31/325x203/trabelsi[1].jpg[/img:64b1]









Belgique - Faits divers 10:22 Ashraf Sekkaki, ce détenu dangereux qui s'est évadé de la prison de Bruges le 23 juillet, était en contact avec Nizar Trabelsi, actuellement détenu à Lantin. Le journal Le Soir a reçu un courrier de la part du terroriste évoquant ces échanges entre les deux détenus. L'évadé de Bruges confiait notamment à Trabelsi qu'il souhaitait "le revoir le plus rapidement possible".
Nizar Trabelsi, condamné à 10 ans de prison ferme par la cour d'appel de Bruxelles, le 9 juin 2004, pour un projet d'attentat contre la base américaine de Kleine-Brogel, en Belgique, a séjourné, par le passé, dans le quartier de haute sécurité de Bruges où il avait rencontré Ashraf Sekkaki. Le terroriste risque d'être extradé vers les Etats-Unis.
"Ashraf a souhaité me parler. J'ai parlé avec lui, il m'a expliqué ses problèmes, et surtout tout ce qu'il a subi de maltraitance", écrit Nizar Trabelsi dans son courrier adressé au Soir. Une fois transféré à Lantin, Trabelsi a continué à recevoir des lettres de Sekkaki. Ce dernier disait notamment s'inquiéter pour son correspondant et souhaitait le voir le plus rapidement possible. Il cite également un verset coranique parlant de mise à l'épreuve et de l'éclaircie à venir.
Depuis l'évasion de Sekkaki, Nizar Trabelsi dit connaître des conditions de détention plus strictes avec notamment une mise en isolement. "Après son évasion de la prison de Bruges, écrit Trabelsi, tout à coup, je me trouve dans une cellule nue, dans une cellule cachot. Vivre jour et nuit sans respirer de l'air, c'est grave et insupportable."
La direction de la prison conteste le renforcement de son statut d'isolement mais confirme l'échange de courrier entre les deux prisonniers.

Mobilisation policière impressionnante pour évacuer les sans-papiers de la place Saint-Lazare


Près de 500 sans-papiers ont été délogés vendredi matin à Saint-Josse-ten-Noode. Deux hélicoptères de la police ont dû déposer une équipe d'intervention spéciale sur le toit du bâtiment, où s'étaient réfugiées 80 personnes.











Belgique - Faits divers 11:13


Les 472 sans-papiers qui occupent depuis le 16 mai un bâtiment Fortis situé place Saint-Lazare à Saint-Josse-ten-Noode ont été évacués ce vendredi matin. L'opération a commencé à 6 heures et 80 personnes ont été arrêtées administrativement, a indiqué le fonctionnaire communal Jean-Michel Sorel.

80 sans-papiers sur le toit
Au cours de cette opération, 80 personnes se sont réfugiées sur le toit du bâtiment. Quelque vitres ont volé en éclats et des cartons ainsi que d'autres objets ont été jetés par les fenêtres. Deux hélicoptères de la police ont déposé une équipe d'intervention spéciale sur le toit du bâtiment. Toutes les personnes qui se trouvaient alors sur le toit ont été arrêtées administrativement.
Les autres sans-papiers ont quitté le bâtiment sans manifester d'opposition.
Les sans-papiers, par petits groupes et accompagnés de policiers, ont pu récupérer leurs affaires laissées dans le bâtiment.

Uniquement vêtu d'un caleçon, un inspecteur de police épiait des fillettes à Dilbeek


L'automobiliste en caleçon appréhendé jeudi après-midi à Dilbeek alors qu'il épiait les fillettes du quartier est un inspecteur de police de la zone de Bruxelles-Ouest. Cet inspecteur avait déjà été impliqué dans des incidents similaires mais une procédure de licenciement avait échoué devant le Conseil d'Etat.












Belgique - Faits divers jeu 30 juil, 19:05
Un inspecteur de police de Dilbeek a remarqué jeudi après-midi le comportement suspect d'un quadragénaire. Il circulait en effet au volant de sa voiture, vêtu en tout et pour tout d'un caleçon, et épiait des fillettes du quartier. L'automobiliste a pris la fuite lorsque l'inspecteur de police a voulu l'appréhender. La course-poursuite s'est achevée un peu plus loin lorsque le quadragénaire est entré en collision avec un autre véhicule de police appelé en renfort. Personne n'a été blessé et le quadragénaire a pu être appréhendé et conduit au commissariat de Dilbeek pour être interrogé.
Il s'est avéré alors qu'il s'agissait également d'un policier. L'homme est en effet inspecteur principal à la zone Bruxelles-Ouest (Berchem-Sainte-Agathe/Jette/Ganshoren/Molenbeek-Sait-Jean/Koekelberg), où il travaille au service logistique. Par ailleurs, le véhicule dans lequel il circulait alors qu'il épiait les fillettes était également un véhicule banalisé de la zone de police Bruxelles-Ouest.
Selon le porte-parole de la zone Bruxelles-Ouest, le commissaire Johan Berckmans, ce n'est pas la première fois que cet inspecteur est concerné par des incidents. "Il a déjà eu des problèmes auparavant pour des faits similaires", a indiqué le commissaire. "Le collège de police a également déjà essayé de le licencier mais ce licenciement a été suspendu par le Conseil d'Etat. Depuis l'homme a été affecté au service logistique et ne peut plus entrer en contact avec le public. Toutes ses compétentes de police lui ont été retirées afin qu'il n'ait plus qu'une compétence administrative".
Le chef de corps de la zone de police Bruxelles-Ouest proposera vendredi au collège de police d'ouvrir une nouvelle procédure disciplinaire à l'encontre de cet homme, afin qu'il puisse être suspendu préventivement, a encore ajouté le commissaire Berckmans.

QUELLE IDÉE D'ÉPILER LES FILLES EN CALECON, IL DEVAIT DÉGAINER TRÈS VITE.....

JACKLELOUP a écrit:

Uniquement vêtu d'un caleçon, un inspecteur de police épiait des fillettes à Dilbeek


L'automobiliste en caleçon appréhendé jeudi après-midi à Dilbeek alors qu'il épiait les fillettes du quartier est un inspecteur de police de la zone de Bruxelles-Ouest. Cet inspecteur avait déjà été impliqué dans des incidents similaires mais une procédure de licenciement avait échoué devant le Conseil d'Etat.
















Belgique - Faits divers jeu 30 juil, 19:05
Un inspecteur de police de Dilbeek a remarqué jeudi après-midi le comportement suspect d'un quadragénaire. Il circulait en effet au volant de sa voiture, vêtu en tout et pour tout d'un caleçon, et épiait des fillettes du quartier. L'automobiliste a pris la fuite lorsque l'inspecteur de police a voulu l'appréhender. La course-poursuite s'est achevée un peu plus loin lorsque le quadragénaire est entré en collision avec un autre véhicule de police appelé en renfort. Personne n'a été blessé et le quadragénaire a pu être appréhendé et conduit au commissariat de Dilbeek pour être interrogé.
Il s'est avéré alors qu'il s'agissait également d'un policier. L'homme est en effet inspecteur principal à la zone Bruxelles-Ouest (Berchem-Sainte-Agathe/Jette/Ganshoren/Molenbeek-Sait-Jean/Koekelberg), où il travaille au service logistique. Par ailleurs, le véhicule dans lequel il circulait alors qu'il épiait les fillettes était également un véhicule banalisé de la zone de police Bruxelles-Ouest.
Selon le porte-parole de la zone Bruxelles-Ouest, le commissaire Johan Berckmans, ce n'est pas la première fois que cet inspecteur est concerné par des incidents. "Il a déjà eu des problèmes auparavant pour des faits similaires", a indiqué le commissaire. "Le collège de police a également déjà essayé de le licencier mais ce licenciement a été suspendu par le Conseil d'Etat. Depuis l'homme a été affecté au service logistique et ne peut plus entrer en contact avec le public. Toutes ses compétentes de police lui ont été retirées afin qu'il n'ait plus qu'une compétence administrative".
Le chef de corps de la zone de police Bruxelles-Ouest proposera vendredi au collège de police d'ouvrir une nouvelle procédure disciplinaire à l'encontre de cet homme, afin qu'il puisse être suspendu préventivement, a encore ajouté le commissaire Berckmans.

Citation :

"Grippe A: les Belges préparent leurs cimetières"



La Wallonie a demandé aux maires d'être prêts à faire face à une mortalité anormale...

Au lendemain du premier décès imputé à la grippe A en Belgique, un responsable du centre de crise de la Wallonie explique: «Sans aucun alarmisme, il est de notre devoir de prévoir le pire», c'est-à-dire une explosion éventuelle de cas mortels de grippe A, «tout en espérant que ce scénario ne se produise pas».

Le centre régional de crise a donc écrit aux maires pour leur rappeler les termes d'un décret déjà existant, qui concerne «l'affectation des places de cimetière», a-t-il indiqué. «Nous avons demandé aux communes de prévoir des tombes déjà creusées, pour éviter les problèmes que pose parfois le gel en hiver. Nous leur avons aussi demandé de veiller à la réaffectation des concessions parvenues à expiration», a-t-il encore dit.


De 1.000 à 4.000 morts en Belgique?

Les autorités wallonnes et fédérales belges se défendent toutefois de tomber dans le catastrophisme. La circulaire de la région wallonne ne fait qu'appliquer les recommandations d'une «cellule d'évaluation» du centre de crise fédéral, a souligné le porte-parole de ce dernier, Peter Mertens. Il s'agit de «sensibiliser les maires comme on nous l'a demandé», a renchéri le responsable du centre de crise wallon.

Dans une interview vendredi au quotidien «La Libre Belgique», le docteur Daniel Reynders, coordinateur stratégique de la cellule influenza mise en place par le gouvernement, estime que la grippe A ferait de 1.000 à 4.000 morts en Belgique, si elle frappait 10% à 30% des 10,5 millions de Belges.

http://www.20minutes.fr/article/340495/Monde-Grippe-A-les-Belges-preparent-leurs-cimetieres.php