Quoi de neuf en Wallonie?

Rappel du premier message :

Neige et verglas, les TEC restent au bercail




Tous les bus des TEC de la province de Liège sont restés lundi matin dans les dépôts en raison de la neige et du verglas qui rendent très difficiles la circulation sur les routes, a-t-on appris lundi matin auprès des TEC Liège-Verviers.

Cette situation est assez exceptionnelle, souligne Carine Zanella, porte-parole des TEC Liège Verviers. C'est la première fois que tous les bus de la province ne peuvent sortir à l'aube en raison des conditions hivernales.

Au cours de cet hiver, les bus ont cependant déjà été rappelés en raison de la dangerosité des routes. Dimanche, les bus avaient été retirés du service à 09H30. (belga)

15/02/10 07h33

Préformateur: Di Rupo joue sur deux tableaux


Un gouvernement pour gérer les dossiers socio-économiques. Une majorité renforcée pour les questions institutionnelles. C'est la double démarche étudiée actuellement par le préformateur Elio Di Rupo qui a rencontré le Roi mardi.







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Belgique - Politique 8:33
Elio Di Rupo assistera à une partie des festivités en ce jour de Fête nationale. En même temps, il poursuivra ses consultations. Mais où en est sa mission ? Mardi, le préformateur a rencontré le Roi pour lui faire part de l'avancée de ses travaux. Dans un communiqué, il en a expliqué les grands traits. Il estime qu'un gouvernement à majorité simple, composé du PS et du cdH côté francophone, pourrait être mis sur pieds pour gérer toutes les questions socio-économiques. Une tâche ardue car, faut-il le rappeler, la Belgique doit trouver 25 milliards d'euros d'ici 2015.

Gros efforts pour retrouver l'équilibre
Le préformateur a présenté les choses de la manière suivante : "Le travail de relance de notre économie et de l'emploi doit être poursuivi. La sécurité sociale, qui est le pilier de notre bien-être, doit être renforcée. La crise financière de 2008 et la crise économique qui s'en est suivie ont provoqué une accélération dramatique des déficits des pouvoirs publics. Pour retrouver l'équilibre budgétaire, les différentes composantes de notre pays, c'est-à-dire l'Etat fédéral, les Régions, les Communautés, les communes et provinces, doivent trouver ensemble quelques 25 milliards euros d'ici 2015".

Double volet
Si le grand défi de ce futur excécutif est bien le socio-économique, une réforme approfondie de l'Etat est aussi au programme. Elio Di Rupo envisage donc une double démarche, ce qui implique concrètement de tenter de mettre en place une "dynamique de gouvernance institutionnelle" en parallèle à ce gouvernement de législature.

Pour ce volet, le préformateur relève qu'il semble possible de rassembler des formations politiques qui, ensemble, réuniraient les conditions qui vont au-delà d'une majorité des deux tiers et seraient prêtes à trouver des solutions pour les réformes institutionnelles et pour BHV. Elio Di Rupo relève que "la page des conflits communautaires, en particulier de BHV, doit être tournée". Il ajoute que "nos institutions doivent être adaptées pour accorder de nouveaux leviers socio-économiques aux Communautés et aux Régions, pour plus de bien-être pour les citoyens".

"La Belgique de demain se construit maintenant"
Elio Di Rupo "en appelle à nouveau au sens des responsabilités et au courage de tous les partis politiques concernés". "La structure de la Belgique de demain se construit maintenant. Chaque formation politique devra pour ce faire accepter des concessions, dans le cadre de compromis raisonnables et équilibrés", conclut-il.
Selon Elio Di Rupo, ce gouvernement pourrait être formé quand les discussions seront suffisamment avancées pour l'institutionnel et en particulier BHV.

Treize élus locaux sanctionnés par le gouvernement wallon


Le gouvernement wallon a, sur proposition du ministre des Pouvoirs locaux, Paul Furlan, sanctionné treize élus locaux pour n'avoir pas rentré, comme le prévoit un décret, de déclaration de mandat.











Belgique - Politique 7:31
Le décret wallon en la matière stipule que les élus communaux (bourgmestres, échevins, conseillers communaux ou de CPAS) et provinciaux, ainsi que les personnes non élues mais représentant les pouvoirs locaux dans des organes paracommunaux (intercommunales, régies, sociétés de logements sociaux, etc) doivent déclarer, une fois l'an, les mandats qu'ils détiennent à la commission ad hoc, avec les pièces justificatives.

La sanction, prise jeudi dernier, consiste en une déchéance des mandats et une inéligibilité durant six ans.

Peu de contrevenants
La procédure concernait de 7.000 à 9.000 personnes, dont la très grande majorité d'entre elles a rempli ces obligations légales, souligne Le Soir. Selon le quotidien, n'ont été sanctionnés au final que des mandataires démissionnaires n'ayant remis aucune déclaration durant six ans - ils sont inéligibles durant la même période - ou ceux qui, bien que siégeant, n'ont remis aucune information à la commission.
Parmi les sanctionnés figurent quatre PS, quatre MR, deux cdH et un FN. "Sans grandes responsabilités, ils officient dans les communes de Bassenge, Beauvechain, Estinnes, Flémalle, Habay, Houyet, La Calamine, Nivelles, Ottignies, Saint-Georges-sur-Meuse, Visé, Villers-la-Ville. S'y ajoute un conseiller provincial du Brabant wallon", précise Le Soir.

Dans deux bonnes semaines, Outremeuse va vivre à l’heure des festivités du 15 août. Cette année, elles seront placées sous le signe du 1.250ème anniversaire de Tchantchès.

Charly a écrit:

Dans deux bonnes semaines, Outremeuse va vivre à l’heure des festivités du 15 août. Cette année, elles seront placées sous le signe du 1.250ème anniversaire de Tchantchès.

Je suis déçu, je croyais qu'il s'était établi sur les rives de la Meuse 6.000 ans av. J-C.....

Il venait de Hur.

Ah voilà, le pourquoi de la confusion se précise....

Biloulou,

Le pèkèt est éternelle...... et a connu le Big Bang



C'est dans mes cordes...

Biloulou a écrit:

Ah voilà, le pourquoi de la confusion se précise....

Lawrence a écrit:

Biloulou,
Le pèkèt est éternelle...... et a connu le Big Bang
C'est dans mes cordes...

Oui, mais le péket trop vieux attrape des trous de ver...

D'abord les tziganes, ensuite les maghrébins.


Les tziganes chassés d’Audenarde arrivent en Wallonie


Le groupe de tziganes, qui s'est installé depuis dimanche à Audenarde, a quitté mercredi soir le terrain en direction de la Wallonie, a indiqué le bourgmestre faisant fonction.









Belgique - Faits divers mer 28 juil, 19:40
Un premier groupe de tziganes est parti mercredi soir, vers 18h30. Un quart d'heure plus tard, un second groupe apprêtait les onze dernières caravanes pour le départ. Les tziganes sont partis plus tard que prévu, désirant d'abord trouver un endroit où ils seront les bienvenus. "Ils roulent à présent en direction de la Wallonie. Ils se rendraient dans un camping payant", poursuit le bourgmestre.
Le groupe est composé de tziganes allemands et français. Il y avait également parmi eux un Belge. Aucun membre du groupe n'est resté sur le terrain d'Audenarde pour attendre les deux tziganes hospitalisés.

Fout leur la paix,aux tziganes!
Chaque année,les roms et autres gens du voyage viennent
faire le pélérinage à Banneux,ils sont beaucoup plus nombreux que çà,et il ne se passe rien de grave.
Celà fait 35 ans environ que mes copains et moi avions connu
un tzigane et il nous avait invité dans son campement dans les
prairies du site Marial.
Quel acceuil,jamais connu le même depuis.
Et chaque année,nous allons leur rendre visite,enfin,à ceux qui
sont toujours vivants.
Et chaque fois,c'est la fête.

Pélérinage 2009
Samedi à Banneux, ils étaient 4.000 gitans à manifester leur dévotion aux côtés des chrétiens
SPRIMONT Sur les hauteurs de la petite commune de Sprimont, Banneux se veut depuis 76 ans déjà, un lieu saint, de recueil, de ferveur parfois, de pèlerinage en tous temps; depuis que la jeune Mariette Beco verra apparaître la Vierge des pauvres à plusieurs reprises.
Et cette année particulièrement, la dévotion des fidèles aura franchi une étape symbolique; voici 60 ans exactement que les apparitions ici contées sont reconnues par l'Église. Ainsi, ils étaient plusieurs milliers à s'être déplacés pour célébrer la messe internationale, présidée par Mgr Aloys Jousten, Évêque de Liège... Mais ils n'étaient pas seuls.
Comme chaque année depuis 1996 en effet, un mariage peu commun se fait entre les fidèles. Dans le champ voisin, plusieurs centaines de gitans profitent de l'Assomption pour adorer la Vierge Marie à leur manière.
"En fait, ils ne sont pas catholiques" , explique Claude Ancion (MR), bourgmestre de Sprimont, "mais ils viennent manifester leur dévotion à la Madone" .
Des gitans, c'est ainsi qu'ils se définissent bien que le terme ne soit pas exact pour tous. "Nous venons d'Allemagne, d'Espagne, de France et beaucoup d'ex-Yougoslavie" . Majoritairement Kosovars, ils ont l'habitude de se retrouver ici pour trois raisons claires : "rendre hommage à Dieux, à la Madone... et se réunir en famille, passer du bon temps" .

Attention Jack,


Sujet: Re: Quoi de neuf en Wallonie? Hier à 19:13
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D'abord les tziganes, ensuite les maghrébins.

Et après ?

Cela finit toujours très mal ce genre de raisonnement, tu connais l'histoire........

Mon raisonnement est celui-ci:
D'abord,pour les tziganes,gitans,etc...,ils ne restent jamais longtemps au même endroit,et ne créent pas en général,de gros problèmes.
Il n'est pas difficile de les encadrer et dialoguer avec eux pour
établir un plan d'installation bien suivi.
On acceuille bien chez nous des gens beaucoup plus dangereux,et en plus on leur donne tout ce dont ils ont besoin.
Ensuite,pour les autres,il faut légiférer dans le sens où celui où celle qui transgresse la loi,serait définitivement expulsé et renvoyé dans son pays.
Il faut absolument des accords entre notre pays et les dirigeants des états d'où sont originaires les immigrés afin qu'en
cas de condamnation,leur pays les reprennent en charge et leur fasse subir leur peine chez eux,droits de l'homme ou pas.
Celui qui s'intègre,travaille et paye l'impôt est le bienvenu.
Surtout ,respecter les règles de la laïcité.
Amen

Ils croient avoir gagné mais après la formation du gouvernement les communes a facilité redeviendront flamandes.


Les écoles francophones de la périphérie ne seront pas contrôlées par les Flamands











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• Les écoles de la périphérie ne seront pas contrôlées ...
  

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Belgique - Société jeu 29 juil, 19:40
La décision est tombée: les autorités flamandes n'inspecteront pas les écoles francophones des communes flamandes à facilités de la Région bruxelloise. Le recours contre ce décret du parlement flamand a été entendu, comme nous l'explique Nadia Bouria: "La cour constitutionnelle a décidé de suspendre ce décret. Il n'y aura donc pas d'inspecteurs flamands dans les écoles francophones de la périphérie. C'est donc une victoire pour la Communauté francophone et pour les 700 parents d'élèves qui avaient introduit ce recours", a-t-elle expliqué dans le journal de 13h de RTL-TVI.

Le décret flamand suspendu
La Cour constitutionnelle a donc suspendu jeudi certaines dispositions du décret du 23 octobre 2009 de la Communauté flamande relatif à l'inspection pédagogique dans les écoles de la périphérie. La Cour commence par remarquer que contrairement à ce que disent les requérants, la loi spéciale de 1971 n'étend pas le champ d'application des décrets de la Communauté française en matière d'inspection de l'enseignement aux écoles et sections d'écoles de la périphérie.

Les écoles ont droit à une dérogation
Toutefois, ajoute la Cour, il y a lieu de tenir compte du caractère particulier de ces écoles dont un nombre considérable d'élèves s'inscrivent ensuite dans des écoles secondaires francophones. Et d'ajouter que, bien que ces écoles doivent en principe appliquer "les objectifs de développement et les objectifs finaux fixés par la Communauté flamande", un article du décret attaqué prévoit la possibilité de demander une dérogation.

La Flandre ne peut ni refuser cette dérogation...
Il convient d'observer à cet égard que la Communauté flamande a reconnu l'équivalence des certifications d'études et des diplômes de la Communauté française, note la Cour. Par conséquent, dit-elle, l'article qui prévoit la possibilité de demander une dérogation doit être interprété en ce sens que, si une école demande une telle dérogation aux objectifs de développement et aux objectifs finaux de la Communauté flamande et propose des objectifs de développement et/ou finaux de remplacement conforme aux socles de compétences fixés par la Communauté française, le gouvernement flamand ne peut refuser l'approuver cette dérogation.

... ni jouer sur les délais pour l'obtenir
La Cour ajoute enfin que les écoles doivent disposer du temps nécessaire avant l'entrée en vigueur du décret attaqué afin d'introduire la demande de dérogation. Elle insiste sur le fait qu'il serait incompatible avec le principe de loyauté fédérale que la Communauté flamande retire l'agrément d'une école francophone d'une commune de la périphérie qui aurait introduit une demande de dérogation tant que le gouvernement flamand n'a pas accepté cette demande. En l'absence de disposition transitoire permettant aux écoles francophones de la périphérie d'obtenir, dans le respect de la loyauté fédérale, la dérogation prévue et l'approbation de ses programmes d'études il convient de suspendre les dispositions du décret uniquement dans cette perspective, conclut la Cour.

Les pouvoirs publics encourageraient le racisme envers les nomades, selon le MRAX


Le Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (MRAX) et son pendant français, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), ont publié vendredi un communiqué commun pour dénoncer les attaques dont sont victimes les gens du voyage en Europe.



Le Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (MRAX) et son pendant français, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), ont publié vendredi un communiqué commun pour dénoncer les attaques dont sont victimes les gens du voyage en Europe.

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Belgique - Société 18:32 Dans leur communiqué, le MRAX et le MRAP expliquent que "les attaques dont les gens du voyage sont victimes pour le moment sont trop graves pour rester sans une réponse ferme et unitaire. Augmentation de l'ostracisme, des amalgames, des mesures répressives, et plus globalement renforcement des attitudes populistes à l'égard de ces minorités,etc autant de ressemblances avec les années 40". Les deux associations antiracistes dénoncent "l'attitude irresponsable des pouvoirs publics" qui encouragent dans la population "des attitudes de peur et de rejet raciste" envers les gens du voyage au lieu de "chercher à faire reconnaître leur pleine citoyenneté". En Belgique, il est urgent "d'instaurer par la loi l'obligation d'organiser dans toutes les communes le séjour des gens du voyage" en fonction de critères fixés en partenariat avec les autorités, les organisations représentatives des gens du voyage et le monde associatif. En France également, "la situation des gens du voyage appelle des réponses publiques concertées et volontaristes", insiste le communiqué.

24h de Spa: victoire de la Porsche de Dumas


Le Français Romain Dumas signe l'exploit de remporter les 24h de Spa après avoir remporté les 24h du Mans sur Audi. Il était assossié aux Allemands Jörg Bergmeister et Wolf Henzler, ainsi qu'à l'Autrichien Martin Ragginger.


[img:1e2b]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_08_01/325x203/Porsche[1].jpg[/img:1e2b]





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• Doublé Porsche aux 24h de Spa
  

Auto/Moto - Les dépêches 16:34
La Porsche 997 RSR pilotée par le Français Romain Dumas associé aux Allemands Jörg Bergmeister et Wolf Hentzler et à l'Autrichien Martin Ragginger a remporté les 24 Heures de Spa 2010 devant une autre Porsche 997 confiée à l'équipage Raymond Narac-Patrick Long-Patrick Pilet-Richard Lietz (Fra-USA-Fra-Aut), ce dimanche après-midi sur le circuit de Spa-Francorchamps.

La BMW M3 des Allemands Dirk Werner-Dirk Müller-Dirk Adorf a perdu la victoire à 35 minutes de l'arrivée. Alors qu'elle semblait assurée de la victoire, la voiture allemande a été victime d'un problème de direction qui, après une légère sortie de piste, l'a contrainte à repasser par le stand. Elle termine en 3ème position devant l'autre M3 pilotée par Jörg Müller-Pedro Lamy-Uwe Alzen et la Ferrari 430 de Michael Waltrip-Robert Kaufmann-Nicola Cadei-Marco Cioci (USA-USA-Ita-Ita).

Eric Van De Poele, recordman de victoires aux 24 Heures de Spa avec 5 succès (1987, 1998, 2005, 2006, 2008), a été contraint à l'abandon dimanche matin lorsque sa Ferrari est entrée en collision avec l'Audi d'Anthony Kumpen, vainqueur en 2009, qui a aussi dû abandonner.

Pas de 6eme victoire pour nous .

Eric Van De Poele, recordman de victoires aux 24 Heures de Spa avec 5 succès (1987, 1998, 2005, 2006, 2008), a été contraint à l'abandon dimanche matin lorsque sa Ferrari est entrée en collision avec l'Audi d'Anthony Kumpen, vainqueur en 2009, qui a aussi dû abandonner.

En cause une Porche qui a projeté l'Audi sur la ferrari.

La Région wallonne lui interdit de rénover, vendre ou louer sa maison


Un propriétaire est complètement bloqué car sa maison est située sur un périmètre de réservation. Cela veut dire que, depuis plus de 30 ans, la Région wallonne a gelé sa maison, ce qui lui interdit de la rénover, de la louer ou de la vendre.








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• Un riverain se bat pour sa maison située en zone de "réservation". ...
  

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Belgique - Société 18:42
Après avoir patienté pendant 30 ans, le propriétaire d’une maison d’Hamme-Mille a assigné la Région wallonne en justice. En effet, des mesures l’empêchent de rénover, de vendre ou de louer son habitation parce qu’elle est située sur un périmètre de réservation. Alors que Thierry Mansvelt s'insurge contre cette situation rocambolesque, les ministres wallons des Travaux publics et de l’Aménagement du territoire, eux, se renvoient la balle…

L’achèvement de la N25 est le nœud du problème

L’origine de ses problèmes se trouve en réalité dans l’achèvement de la N25 qui traverse le Brabant wallon en direction de Louvain. En effet, il faut encore aménager 6 km de route à travers la campagne afin de boucler la liaison avec l’autoroute E40. Le hic, c’est que la maison de Thierry Mansvelt se trouve en plein tracé. Et puisque la maison se trouve en périmètre de réservation, elle ne peut pas subir de rénovation extérieure.


La maison a besoin d’être rénovée

Or, les murs du salon de Thierry se lézardent et l’humidité s’infiltre. Bref, le logement a grandement besoin d’être restauré : "Tout ce qui est intérieur, tout ce qui ne touche pas au volume peut être fait. Mais comment voulez-vous faire quelque chose de confortable si l’extérieur n’est pas en ordre et si l’humidité s’infiltre par le toit?", s’interroge-t-il.


Une question d’argent ?

Si la Région wallonne octroie l’autorisation de rénover le toit, elle devra payer plus cher quand elle expropriera le bien. Les ministres wallons des Travaux publics et de l’Aménagement du territoire se renvoient la balle, et Thierry en a assez, explique le journaliste Dominique Henrotte pour RTL-TVi. "J’ai attendu 30 ans. Ce que je dis simplement maintenant, c’est qu’ils décident ! Ou ils exproprient, ou bien ils libèrent, mais dans les deux cas des indemnités devront tomber", assure-t-il.
Hier, Thierry Mansvelt a assigné la Région wallonne en justice : il réclame la levée du périmètre de réservation et 348.000€ de dommages et intérêts. Cependant, la plainte ne sera examinée qu’en juin 2011.

Préformation: Ecolo évoque des divergences "abyssales"


Alors qu'Elio Di Rupo poursuit ses contacts bilatéraux, Ecolo révèle, dans une lettre envoyée à ses militants et sympathisants, que les points de désaccord entre les négociateurs sont nombreux, non seulement sur le communautaire, mais sur d'autres volets également. Par ailleurs, les co-présidents d'Ecolo précisent que les négociations à proprement parler n'ont pas encore débuté.








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• Ecolo relève des divergences abyssales entre le Nord et ...
  

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Belgique - Politique jeu 5 août, 19:57
Comme Elio Di Rupo l'avait annoncé vendredi dernier, les négociations ont marqué une pause cette semaine pour permettre à certains négociateurs et aux collaborateurs de prendre quelques jours de repos en famille ou avec des proches. M. Di Rupo a également profité de l'occasion pour partir quelques jours dans sa famille en Italie tout en continuant à travailler grâce à ce qu'il a lui même qualifié de "merveilles des nouvelles technologies".
Il est rentré mercredi en Belgique et a annoncé qu'il poursuivra les contacts bilatéraux ce jeudi. Il mettra également de l'ordre dans les informations recueillies ces dernières semaines sur de nombreuses thématiques. Certaines de celles-ci ont parfois donné lieu à des échanges déjà très approfondis, a rappelé son porte-parole.

Ecolo: "Aucune négociation n'a encore débuté"
Dans une lettre envoyée jeudi aux militants et sympathisants d'Ecolo, les co-présidents des verts francophones font le point sur les discussions. Ils déclarent que jusqu'à présent, chacun a pu s'exprimer librement et sans tabou sur une série de thématiques institutionnelles, y compris BHV, mais qu'aucune négociation n'a encore débuté. Ils relèvent que les divergences sont parfois abyssales et qu'elles ne sont pas seulement communautaires.

Un "non-paper" pour faire le point
Selon les coprésidents, le préformateur "va à présent prendre quelques jours pour préparer un 'non paper', un document qui tentera de définir un cadre qui identifierait des points de convergence suffisants à l'entrée dans une réelle phase de négociation institutionnelle". "Les contacts entre les formations participant à cette dynamique institutionnelle reprendront sur cette base. Nous espérons que les négociateurs pourront alors avancer vers un point d'équilibre", disent-ils encore.

Désaccord sur les propos de Jacqueline Galant
Les divergences entre nord et sud sont encore apparues clairement mercredi dans les réactions provoquées par la volonté affirmée par le député MR Jaquelines Galant de déposer une proposition de loi destinée à durcir les conditions d'octroi de la nationalité belge. Mme Galant expliquait notamment que l'idée lui est venue en apprenant que parmi les matières que la N-VA veut régionaliser, il y a notamment la politique migratoire. Elle interprète l'attitude de la N-VA comme une "réaction à la politique laxiste menée jusqu'ici", qu'elle dénonce par ailleurs également.

CD&V, Open VLD et N-VA veulent réformer la "snel-Belgwet"
Les propos de Mme Galant ont été dénoncés par le PS, le cdH et Ecolo. Par contre, du côté flamand, le CD&V fait remarquer qu'il existe un projet de loi visant à renforcer les règles prévues par la loi sur la nationalité. Ce texte reflète la volonté du CD&V mais aussi de l'Open Vld et de la N-VA de réformer ce qu'ils appellent de "snel-Belgwet" (loi qui permet d'acquerir rapidement la nationalité belge). L'appellation seule en dit long sur ce qu'ils en pensent. Il s'agit d'une loi de 2001 qui a assoupli les conditions d'acquisition de la nationalité. Le CD&V était alors dans l'opposition.

Un remake de 2007?
Quant au "non paper" attendu par Ecolo, il doit éveiller pas mal de souvenirs chez les négociateurs de 2007. L'expression fut alors utilisée notamment par la présidente du cdH, Joëlle Milquet, à propos d'un document élaboré lorsque Herman Van Rompuy était "explorateur royal" et dont le statut est resté obscur.

“En Ardennes, on parle flamand à cause des caravanes !”



(08/08/2010)


Cette semaine, Tom Coninx, présentateur vedette du sport à la VRT
BRUXELLES Suite de notre série Sous le regard de la Flandre qui permet à des personnalités du Nord du pays de nous dévoiler, chaque dimanche, leur vision de la Wallonie, de Bruxelles, mais aussi des francophones.
Cette semaine, Tom Coninx, présentateur vedette du sport à la VRT : Studio 1, les vendredi et samedi en télé, et Sporza radio, le dimanche soir sur Radio 1.
Vos premiers souvenirs de Wallonie remontent-ils à longtemps ?
“Évidemment ! Étant né à Saint-Trond, qui n’est pas loin de la partie Sud du pays, j’ai une part wallonne en moi. Surtout que je connais Liège et Bruxelles, grâce à mon père, Alain, lui aussi journaliste, mais dans le domaine culinaire.”
Connaissez-vous bien Bruxelles ?
“Vers 16-17 ans, j’ai eu une véritable passion pour cette ville. Pour moi, c’était le seul endroit où il était possible de vivre, quand on était belge. Je veux dire internationalement, mais aussi en ce qui concerne les sorties…”
Cette ville vous attire-t-elle encore ?
“On ne sait pas assez que Bruxelles est la troisième capitale la plus verte. Personnellement, je vis à Uccle : c’est un bonheur de s’y promener, d’y rouler à vélo… Comme autre commune avec les mêmes qualités, il y a aussi Schaerbeek. Il est dommage que tant de Flamands, mais aussi de Wallons, ne connaissent pas mieux Bruxelles.”
Pourquoi selon vous ?
“Tout simplement parce qu’ils n’ont pas envie d’y aller. Et pourtant, il y a énormément de choses à faire à Bruxelles.”
En ce qui concerne les Flamands, est-ce dû à la barrière des langues ?
“Pas pour moi, en tout cas ! Je vis dans une atmosphère cosmopolite et j’ai l’habitude de parler la langue des autres. Je dirais même que c’est un devoir. Surtout, quand on sait que 70 à 80 % des habitants de Bruxelles parlent, soit français, soit anglais.”
Pourtant beaucoup de Flamands se plaignent de ce que la capitale ne soit pas plus bilingue…
“Dans un certain sens, je peux comprendre que le fait d’apprendre le flamand n’est pas une priorité pour les jeunes.”
Comprenez-vous aussi qu’en Ardennes, semble-t-il, on parle plus flamand qu’à Bruxelles ?
“(Il rit) C’est sans doute à cause de toutes les caravanes… Voilà pourquoi, selon moi, on parle plus flamand.”
Quelles villes wallonnes appréciez-vous ?
“Namur est une ville agréable à vivre. Les Fêtes de Wallonie qui s’y déroulent sont un très beau rendez-vous folklorique. C’est magnifique d’être à Namur, lorsque ces fêtes se déroulent. Mais il y a aussi les environs de Rochefort, Ciney… qui sont de très belles régions. Sans oublier Spa, pour la Formule 1, ou les bords de l’Amblève. Je n’oublie pas non plus Le tombeau du géant.”
Et Charleroi ?
“Je m’y rends dans le cadre de mon métier, pour le foot, mais aussi pour y prendre l’avion.”
Et Mons, la ville dont Elio Di Rupo est bourgmestre ?
“On y trouve de superbes musées.”
Vous qui habitez Bruxelles, trouvez-vous que c’est une ville à problèmes ?
“J’y vis depuis 15-16 ans. On y rencontre les problèmes de la vie de tous les jours. Cependant, il est vrai que certains groupes devraient être mieux combattus. C’est parce qu’on ne le fait pas suffisamment que les gens ont peur. Mais Bruxelles n’est pas plus dangereuse que d’autres grandes villes…”
Personnellement, vous est-il déjà arrivé d’avoir peur, à Bruxelles ?
“Franchement, non ! Même s’il y a des endroits qui ne sont pas vraiment sûrs. Et si j’ai parfois eu peur, cela a duré quelques instants seulement.”
Comment améliorer la sécurité, selon vous ?
“Il faudrait punir plus sévèrement ceux qui ne veulent pas respecter la loi. Je suis aussi favorable à la tolérance zéro.”

"Il faudra bien que Di Rupo sorte du bois"

Comme prévu, le préformateur Elio Di Rupo a poursuivi ces derniers jours ses contacts bilatéraux approfondis. Il les continue lundi et mardi. Une plénière avec sept partis est prévue mercredi et les jours suivants, a rappelé lundi le porte-parole de M. Di Rupo.



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• Le binôme De Wever - Di Rupo séduit de plus en plus les ...

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Belgique - Politique 16:56
La plus grande discrétion reste de mise dans l'entourage du préformateur tout comme dans les partis préssentis pour soutenir une réforme de l'Etat (N-VA, PS, CD&V, cdH, sp.a, Ecolo et Groen!). On sent cependant poindre une certaine nervosité chez certains en ce début de semaine qualifiée de cruciale par d'aucuns. Selon De Standaard, le délicat dossier du bouclage du ring d'Anvers s'est invité à la table de la négociation fédérale. Le choix entre la construction de quatre tunnels ou d'un pont (Lange Wapper) pour assurer ce bouclage et désengorger la ville divise la majorité flamand et oppose surtout la N-VA et le sp.a.

Inconvénient d'une même majorité au fédéral et à la Région
Interrogé à ce propos, le porte parole du préformateur s'est contenté de dire qu'Elio Di Rupo est au courant de ce dossier. Il s'est refusé à tout autre commentaire. Certains observateurs font remarquer que c'est un des inconvénients possibles des "majorités miroirs" (regroupant les partis au pouvoir dans les entités fédérées). "Avec ce type de majorité il existe un risque d'exportation vers le fédéral des différends opposant les partis au niveau régional. Par contre, il peut permetre une meilleure collaboration quand tout va bien", commentait un proche de la négociation.

Le dossier flamand du ring d'Anvers
Du côté flamand, on craint surtout que si les études réalisées actuellement mènent à opter pour la construction du pont, le sp.a ne claque la porte du gouvernement flamand, ce qui mettrait à mal le montage "miroir", même si la présidente des socialistes flamands, Caroline Gennez, a fait savoir lundi que pour elle le dossier était uniquement flamand. Au printemps, le gouvernement flamand avait déjà connu des tensions autour de ce dossier et on avait alors évoqué la possibilité que l'Open Vld remplace le sp.a. Pour calmer les esprits, le gouvernement flamand a pris une "double décision" à savoir tester la possibilité de construire quatre tunnels et si cette formule ne s'avère pas possible construire un pont. Toutefois, le sp.a avec le bourgmestre d'Anvers Patrick Janssens en tête, ne veut pas de la construction du pont, dont l'idée a été rejetée par un référendum en octobre dernier.

"Il faudra bien que Di Rupo sorte du bois"
Par ailleurs, pour la réunion plénière annoncée pour mercredi, plusieurs partis dont Ecolo attendent un document, qualifié par les verts de "non paper". "Il faudra bien que Di Rupo sorte du bois et oblige De Wever à faire de même" commentait un proche de la négociation. A l'occasion de ses 70 ans, l'ancien premier ministre CD&V Jean-Luc Dehaene a dit qu'à son avis les deux vainqueurs des élections du 13 juin (N-VA et PS) devaient d'abord se mettre d'accord entre eux avant d'engager une négociation avec les autres partenaires potentiels. Interrogé, l'ancien ministre sp.a Willy Claes a marqué son accord avec cette vision.

(Copié/collé nettoyé et remis en page par Saint Pierre et sa grande patience)

L'oncle de la princesse Mathilde bientôt à la N-VA ? Ecoutez son interview

Le comte Henri d'Udekem d'Acoz, l'oncle de la princesse Mathilde, envisage très sérieusement de s'affilier à la N-VA, rapportent ce vendredi les journaux du groupe Sud Presse et Het Laatste Nieuws. Il a déclaré que s’il était pour la monarchie, il n’en restait pas moins un conservateur flamingant.



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"Les Flamands veulent changer les règles du jeu. Nous pas; ils sont donc demandeurs. Donc on en reste là. Sauf s'ils veulent partir. Nous serions alors les grand gagnants" de Democrate Lire les autres réactions

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Partisan de l’ancien cartel CD&V-NVA, le comte Henri d'Udekem d'Acoz, l'oncle de la princesse Mathilde, avait opté pour le CD&V lors de la scission du cartel. Cette année, il envisage toutefois sérieusement de s’affilier au parti de la N-VA pour sa position à droite très marquée. Ce qui l'a séduit ? La position franchement à droite du parti et donc son côté encore plus conservateur. D’après le comte, la N-VA n’est pas un parti plus flamingant que ne l’est le CD&V : "Ils prônent tous les deux le confédéralisme," a-t-il confié à notre journaliste Adel Lassouli, ajoutant que ce ne sont pas les aspects "régionalisation" et "séparation" revendiqués par la N-VA qui l’ont séduit."Je suis monarchiste et je le reste"
Par contre, Henri d’Udekem d’Acoz a affirmé ne pas être d’accord avec les propos séparatistes de Bart de Wever: "Je suis pour le confédéralisme et il faut conserver la Belgique". Il a dit rester un fanatique monarchiste en ajoutant qu’il est "à 100% pour le roi. "
Le comte envisage donc sérieusement un passage à la N-VA mais affirme ne pas vouloir créer de polémique. "Je n’ai jamais dit que je le ferais, j’ai bien dit que j’envisageais de le faire," a-t-il insisté. Si la N-VA fait passer le séparatisme avant le confédéralisme, le comte d’Udekem d’Acoz n’envisagera aucune démarche de transfert de parti.

Bart de Wever se réjouit
Quant à Bart De Wever, il se réjouit de cette éventuelle adhésion. "Le comte est bienvenu chez nous. Parmi les quelque 1,2 millions d'électeurs de la N-VA, il ne sera sans doute pas le seul à avoir des sympathies pour la maison royale", a-t-il affirmé.

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Elio Di Rupo a marqué un point en néerlandais


Lorsqu’Elio Di Rupo a livré son discours à la sortie de son rendez-vous avec le Roi, il l’a entamé en néerlandais. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ce geste envers les Flamands, qui apprécient cet effort.








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• Mission de préformation: le préformateur aurait fait ...
  

Belgique - Politique 20:43


En écoutant les premiers mots en néerlandais du discours d’Elio Di Rupo, certains ont souri. Cependant, même si le préformateur ne maîtrise pas la langue, son effort a été très apprécié par les flamands, d’après les éditorialistes du nord du pays. "Oui son accent n’est pas tout à fait correct, disons, mais le néerlandais qu’il parle n’est pas mauvais, il parle assez bien. Il est prudent avec les choses qu’il dit", explique le journaliste VTM Barend Leyts, au micro d’Amélie Schildt.

20 minutes de speech en néerlandais

Elio Di Rupo a parlé pendant une vingtaine de minutes en néerlandais avant de faire basculer son texte en français : "Ce n’est pas la première fois, parce qu’il a fait la même chose lors de ses deux grandes conférences de presse. Il a lu tout son texte en néerlandais et il faut reconnaître qu’il a fait un véritable effort pour quelqu’un qui ne parle la langue", indique Luc Van der Kelen, éditorialiste Het Laatste Nieuws.


Il resterait crédible

Elio Di Rupo aurait marqué un bon point côté flamand et resterait crédible comme Premier ministre malgré ses lacunes : "C’est absolument tout à fait obligatoire qu’un Premier ministre puisse s’adresser aux gens dans leur langue dans toutes les communautés du pays. Il a compris cela et il a fait cet effort", poursuit Luc Van der Kelen.

Maingain: "Di Rupo agit d'une manière indigne d'un homme d'Etat


Belgique - Politique



La manière actuelle d'agir du préformateur Elio Di Rupo n'est pas celle d'un homme prétendant assumer les plus hautes fonctions à la tête d'un gouvernement, critique jeudi le président des FDF Olivier Maingain dans les colonnes de La Libre.
M. Maingain pointe du doigt "le fait que le préformateur soit allé chez le chef de l'Etat pour obtenir qu'il avalise les exigences de la N-VA". Pour le président du parti amarante, "les partis francophones associés aux négociations opèrent des replis successifs sur une ligne de défense de plus en plus instable".
Voyant ces partis francophones "obnubilés par l'obtention de compensations financières", M. Maingain les juge "prêts à vendre le respect des droits fondamentaux des citoyens contre la promesse de montants qui ne seront même pas à la hauteur des espoirs du gouvernement bruxellois".
Evoquant le maintien du MR à l'écart des négociations, il dit constater que lors de crises institutionnelles profondes, "les grands hommes d'Etat consultent toutes les forces démocratiques".
Olivier Maingain, soucieux de placer la N-VA devant ses responsabilités via l'élaboration d'un "plan B" entre francophones, propose dès lors de "marquer un temps d'arrêt" afin que les francophones définissent ensemble une ligne claire à opposer au parti de Bart De Wever.