Quoi de neuf en Wallonie?

Rappel du premier message :

Neige et verglas, les TEC restent au bercail




Tous les bus des TEC de la province de Liège sont restés lundi matin dans les dépôts en raison de la neige et du verglas qui rendent très difficiles la circulation sur les routes, a-t-on appris lundi matin auprès des TEC Liège-Verviers.

Cette situation est assez exceptionnelle, souligne Carine Zanella, porte-parole des TEC Liège Verviers. C'est la première fois que tous les bus de la province ne peuvent sortir à l'aube en raison des conditions hivernales.

Au cours de cet hiver, les bus ont cependant déjà été rappelés en raison de la dangerosité des routes. Dimanche, les bus avaient été retirés du service à 09H30. (belga)

15/02/10 07h33

Il a promis de garder de la place pour Biloulou dans l'arche francophone si il faut évacuer Bruxelles.

JACKLELOUP a écrit:

Il a promis de garder de la place pour Biloulou dans l'arche francophone si il faut évacuer Bruxelles.

Et qui arrosera mes plantes, hein ?

JACKLELOUP a écrit:

Il a promis de garder de la place pour Biloulou dans l'arche francophone si il faut évacuer Bruxelles.

Qu'il prenne rendez-vous immédiatement:
http://maingain.be/spip.php?page=contact&var_mode=recalcul

Biloulou a écrit:

JACKLELOUP a écrit:

Il a promis de garder de la place pour Biloulou dans l'arche francophone si il faut évacuer Bruxelles.

Et qui arrosera mes plantes, hein ?

Jack si tu le paies bien...

Faut voir . Chez moi j'ai un jardin intérieur qui devient envahissant ,certaine plantes arrivent aux plafond . il faut 12 litre d'eau par jour . Donc Biloulou na rien a craindre j'ai la main verte.

JACKLELOUP a écrit:

Faut voir . Chez moi j'ai un jardin intérieur qui devient envahissant ,certaine plantes arrivent aux plafond . il faut 12 litre d'eau par jour . Donc Biloulou na rien a craindre j'ai la main verte.

La main verte!
Toi aussi y en a être alien?

VERVIERS TRIBUNAL CORRECTIONNEL
Un contrôle tourne à l'émeute

VERVIERS - Les émeutiers de la place Verte risquent jusqu'à 1 an de prison ferme pour s'être mêlé de trop près d'un contrôle qui ne les concernaient pas.
Nous sommes le samedi 20 septembre 2008. Une patrouille de police décide d'arrêter, dans le cadre d'un contrôle lié à la consommation de stupéfiants, un véhicule.

À son bord Mohamed, 21 ans de Verviers, une des cinq personnes citées devant le tribunal. « Au début, tout se passait bien jusqu'aux débordements », déclare-t-il sans mouiller les autres. Entre-temps, Younes, un Verviétois de 20 ans, est venu voir ce qu'il se passait. « Je me suis approché pour voir s'il n'avait besoin de rien. » Une réflexion qui fait bondir de son siège le juge Lebrun. « Lors d'un contrôle, les personnes n'ont besoin de rien. Seuls les policiers ont peut-être besoin d'aide. Il faut les laisser travailler. Vous n'êtes pas habilités à effectuer la surveillance des services de police ! » Car, il n'y a pas qu'un jeune qui s'en mêle. Il y en a plusieurs. Une vingtaine à tout le moins. Dont Jamal, Ali, Ismaël et Younes. Et les choses dérapent. Younes est menotté. Il frappe un policier à la cuisse avec son pied. Il les menace. « Si je te vois, je te tue... » Les quatre prévenus, dont deux grands frères, Ali et Jamal, tous deux 29 ans, ne sont pas en reste. Mohamed est devenu agressif à un point il n'hésite pas à dire à un policier « Si je te retrouve, je te tue. Ce n'est pas une menace mais une promesse. » Après les menaces et les actes de rébellion, ce sont les insultes qui pleuvent « sale flic », « enc... », « bande de fils de... », « Fils de..., on va tous vous crever », des expressions que la Substitut Peturkenne se fait un plaisir de rappeler aux divers prévenus qui clament pourtant leur innocence. « On a des torts, c'est vrai, reconnaît Jamal. Mais, personnellement, je ne veux plus être associé à mon ancienne image. Je suis installé. J'ai une maison, je gère un snack, j'ai une famille. » Du coup tout le monde demande la clémence du tribunal par le biais de la peine de travail alors que le parquet réclame un an pour Jamal et Ismaël, 8 mois pour Ali, 5 mois pour Younes et 3 mois pour Mohamed.

Jugement le 12 octobre.

A renvoyer purger leur peine dans leur pays.

Pour 2500 €, on engage un tueur en Wallonie





Denis Ducarme a mené une enquête très particulière. Le député libéral wallon s'est penché sur les tueurs à gage en Wallonie. On ne voit ça que dans les films américains, pensons-nous, et pourtant. Les tueurs à gage existent bien et pas très loin de chez nous. Selon la Dernière Heure, Denis Ducarme viendrait de réaliser une enquête pour le moins inquiétante sur le sujet.

"Il devient banal en Belgique de recourir aux services de tueurs à gages. Tout aussi inquiétant est le fait qu'il est même moins cher de faire tuer quelqu'un chez nous que de procéder à son enlèvement", explique le député à la DH.

Selon Denis Ducarme, pour 2.500 euros, on peut déjà faire abattre un ennemi. "Cela peut monter jusqu'à 10.000 euros en fonction de la qualité du service rendu, des risques encourus en fonction de la personne à abattre et du commanditaire..."

Denis Ducarme a fait part de son intention d'interpeller le ministre de l'Intérieur sur le sujet. (CB)

20/09/10 09h54


Ce n'est pas plus cher qu'un voyage à 2 pour les plages
du Mexique.
Bon!!! on s'occupe d'Ungern?

Charly a écrit:

Pour 2500 €, on engage un tueur en Wallonie

C'est une honte ! À ce prix-là on risque de tuer le métier !
Mais que font les syndicats ?

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Pour 2500 €, on engage un tueur en Wallonie

C'est une honte ! À ce prix-là on risque de tuer le métier !
Mais que font les syndicats ?

Faut lire tout.
C'est le prix de base pour un pauvre qui veut faire abattre
un autre pauvre.
Je suppose qu'il y a une liste-tarif pour toutes les situations.

Pour faire abattre André Cools,le PS a dû payer le max.
C'est normal,ils ont un gros compte au Luxembourg,et un autre
à Andorre.

Je ne crois pas que c'est déductible pour le fisc,et que la
sécu ne rembourse pas non plus

Un nationalisme wallon contre celui des Flamands ?


Publié le lundi 20 septembre 2010 à 06h00



Au cours des Fêtes de Wallonie, samedi à Namur, des drapeaux jaunes avec des coqs rouges -l'emblème de la région- ont été distribués. Photo AFP



Les francophones de Belgique envisagent de plus en plus ouvertement de prendre leur destin en main, voire d'afficher leur propre nationalisme face à celui des Flamands. Un pas supplémentaire vers une scission de la Belgique, alors que la crise politique qui divise le pays paraît toujours sans issue.





« La Wallonie doit oser jouer la carte d'un nationalisme wallon », a déclaré vendredi le bourgmestre de Charleroi, Jean-Jacques Viseur, membre du parti centriste francophone CDH. « La Flandre vogue vers une forme d'indépendance qu'elle atteindra tôt ou tard. L'expression de notre attachement à une Belgique qui ressemble de plus en plus à une coquille vide n'y fera rien », a-t-il ajouté.

Le lendemain, c'est le bourgmestre de Namur, Jacques Étienne, également CDH, qui jugeait qu'une scission de la Belgique ne serait « pas la fin du monde ». Évoquant « la plus grande disposition de nos concitoyens à regarder en face l'hypothèse d'une séparation », il a prévenu que « sans y être favorable, il faut y être préparé » . Des caciques du parti socialiste, principale formation politique de Wallonie, avaient avant eux déjà brisé le tabou.


Avancée ou recul aujourd'hui

Si les Flamands évoquent depuis longtemps la partition, ce discours est beaucoup plus nouveau venant des francophones, traditionnellement attachés à l'unité de la Belgique. Mais la tendance semble changer. Dans un récent sondage de la chaîne de télévision privée RTL, plus d'un Wallon sur trois (36 %) estimait qu'il est temps de préparer la scission du pays, et depuis plusieurs jours la presse francophone s'interroge sur un « plan B », un nouvel « État Wallonie-Bruxelles ».

La crise entre Wallons et Flamands dure depuis plus de trois ans. Cent jours après les législatives de juin, le pays se cherche toujours un gouvernement.

Les socialistes côté francophone et la N-VA côté flamand doivent dire aujourd'hui s'ils veulent encore continuer à négocier.
Si l'impasse se confirme, les Belges pourraient être rappelés aux urnes.
Dans ce contexte, les déclarations inhabituellement radicales des francophones visent aussi à mettre en garde la majorité néerlandophone du royaume contre des revendications autonomistes excessives. « Ce que les Flamands ne comprennent pas, c'est que la poussée de leur nationalisme a eu pour effet collatéral une poussée du nationalisme des francophones de Wallonie et Bruxelles qui aujourd'hui disent : "Et bien si c'est comme ça, nous pourrons nous en sortir tout seuls" », a affirmé hier sur la RTBF Olivier Maingain, le président d 'un parti en pointe dans la défense des francophones.

« Les Flamands sont en train de revenir en arrière car ils voient que les francophones n'ont plus peur de la séparation et que cette séparation ne serait pas si avantageuse économiquement pour eux », avance également le ministre socialiste de l'Énergie, Paul Magnette.

Les francophones prêcheraient ainsi le nationalisme en espérant conserver l'unité. Comme l'admet Jacques Étienne, le bourgmestre de Namur, « admettre la possibilité d'un divorce peut sauver un mariage ».

Les primes de certains fonctionnaires frauduleuses?



Plus de 16.000 agents communaux wallons ont reçu une lettre de la Direction générale des contributions à la suite d'un rapport de suspicions de fraudes dressé par l'inspection de l'ONSS concernant le payement des primes de fin d'année sous forme de chèques-repas par certaines administrations wallonnes, peut-on lire jeudi dans La Dernière Heure. L'information était également mentionnée sur La Première durant la nuit de mercredi à jeudi.

Il y a plusieurs mois, l'inspection de l'ONSS dressait un rapport selon lequel un certain nombre d'administrations publiques wallonnes ne payaient pas la prime de fin d'année de leur personnel sous forme d'argent, mais en chèques-repas sur lesquels elles ne versaient ni cotisation sociale ni impôt.

La Direction générale des contributions vient aujourd'hui d'adresser un avis rectificatif d'enrôlement et près de 16.000 agents communaux wallons ont été invités à s'acquitter des sommes dues.

Le bourgmestre de Charleroi Jean-Jacques Viseur dénonce la démarche des contributions, alors qu'aucune décision de justice n'est encore tombée sur la culpabilité des communes et CPAS concernés, et invite les agents concernés à introduire un recours dès réception du courrier.

"Je refuse que l'administration fiscale prenne les gens en otage dans un dossier où aucun tribunal n'a encore statué. Nous sommes prêts à signer une convention pour que la ville prenne en charge les sommes dues si nous sommes reconnus fautifs dans ce dossier", a réagi le bourgmestre.

Avec un effet rétroactif sur six ans, les sommes demandées oscilleraient entre 500 euros et 1.000 euros par agent. (belga)

23/09/10 08h40
Et ce sont ces mêmes fonctionnaires qui te taxent.
Un indépendant n'oserait même pas tenter le coup.

Avant les francophones pouvaient crever


Cinq thèmes prioritaires pour la recherche francophone


Belgique - Politique 8:50


Les gouvernements wallon et de la Communauté française ont défini avant les vacances les cinq thèmes prioritaires de leur politique intégrée en matière de recherche, rapporte jeudi La Libre. La note est soumise pour le moment à la concertation des acteurs du secteur et devrait être adoptée à la fin de l'année.
Le développement durable fera l'objet d'une attention particulière, entre autres la question du renouvellement des ressources et la perte de la biodiversité. Le ministre de la Recherche, Jean-Marc Nollet, s'est fixé un objectif: l'ouverture d'un centre d'excellence dans ce domaine en Wallonie, à l'image de celui qui a été crée à Liège dans le secteur de la biologie. L'énergie figure également parmi les thèmes retenus, et plus particulièrement les questions du flux et du réseau, les technologies dans différents domaines (TIC, nouveaux matériaux, etc.), la santé (facteurs biologiques, facteurs environnementaux, facteurs culturels et habitudes de vie) et l'allongement de la durée de vie ainsi que la qualité de celle-ci. (LEE)

Bonjour Lawrence . Ils ont beaucoup promis ,ont donné très peu maintenant donneront ils?

JACKLELOUP a écrit:

Bonjour Lawrence . Ils ont beaucoup promis ,ont donné très peu maintenant donneront ils?

238 -

Accusés de trop recevoir des gais lurons de la Flandre les Wallons nient.

Un resto 100% fumeur à Tournai


La combine: être une "association de fumeurs" offrant un service de restauration à ses membres.

• 8
  réagir
  Votre région - Hainaut 7:32
  Début novembre ouvrira à Tournai un "smoking restaurant", où l'on pourra fumer et manger au même endroit, révèlent vendredi les journaux du groupe Sud Presse. Pour ne pas tomber dans l'illégalité, le patron a décidé d'exploiter une faille dans la loi belge interdisant de fumer dans les restaurant en créant non pas un restaurant mais "une association de fumeurs qui recevra ses adhérents. Par ailleurs, le club fournira à ses membres un service de restauration".
  En effet, la loi anti-tabac s'applique aux établissements ouverts au public et pas aux clubs privés. Et pour pénétrer dans ce nouvel établissement, les membres devront d'abord s'acquitter d'une cotisation de 3 euros. Dernière subtilité légale, le club n'emploiera aucun salarié. "Pas question de faire subir la fumée à des employés... Nous ne travaillerons qu'entre associés", explique le patron, qui précise encore qu'un système de ventilation et d'extracteur d'air est prévu pour que "l'atmosphère soit agréable".
  

241 -

Citation :

Un resto 100% fumeur à Tournai

C'est sûr que c'est un coup fumant qui fera un tabac ! Faut pas mégoter, ça créera des jobs pas que sur le papier.

(Voici comment à Tournai des gens de bon aloi contournaient la Loi. Cette association privée n'est qu'un simple écran de fumée qu'un tribunal de juges fumaces pourrait réduire en cendres pour abus de droit.)

En France le coq règne sur un tas de fumier

En Walonnie il régnerat sur un tas de fumeurs cancéreux.

Poursuite de la grève chez AB Inbev à Jupille





Le mouvement de grève entamé mercredi se poursuit jeudi sur le site liégeois d'AB Inbev, à Jupille, a-t-on appris jeudi matin de source syndicale. Les travailleurs protestent contre le licenciement d'un ouvrier, qu'ils qualifient d'abusif. Dans la journée de mercredi, des contacts ont eu lieu entre syndicats et direction. Des propositions ont été formulées de part et d'autre dans le but de trouver une solution permettant de débloquer la situation mais aucune n'a abouti.

Les travailleurs ont donc décidé de poursuivre le mouvement, qui pourrait s'étendre à d'autres sites du groupe. Les syndicats se réunissent en effet jeudi matin en intersièges, avec les représentants des travailleurs des autres sites belges du groupe. Le point sera évoqué.

Le mouvement trouve son origine dans le licenciement d'un ouvrier "pour raison disciplinaire", selon la direction. Selon elle, il n'a pas respecté des mesures de sécurité, mettant ainsi sa sécurité mais aussi celle des autres en danger. Pour les syndicats, la sanction de licenciement est disproportionnée. Du côté de la direction, c'est le mouvement de grève qu'on qualifie de "démesuré". (belga)

30/09/10 08h07

Jupiler les hommes savent pourquoi

245 -

La Wallonie libre, ils en rêvent et mêlent le geste à la parole :


(Pauvre Joëlle... )

Eddie a écrit:

La Wallonie libre, ils en rêvent et mêlent le geste à la parole :

Excellent
La version integrant François Pirette est encore plus poilante.


Mab

Faudrat costruire des prisons?


Un kilo de marijuana saisi lors des premiers contrôles "antidrogue" en Wallonie


Belgique - Faits divers 4:32


Les premiers contrôles de détection de drogue au volant à l'aide de tests salivaires ont été réalisés pour la première fois en Wallonie durant la nuit de samedi à dimanche sur l'arrondissement judiciaire de Dinant. Les résultats définitifs de l'opération ne seront connus que dimanche en milieu de journée mais la police a déjà annoncé avoir contrôlé positivement au moins trois personnes (deux au cannabis et une à l'héroïne) et saisi un kilo de marijuana.
Les premiers tests de salive avaient été réalisés à Wervik (Flandre occidentale) dans la nuit de jeudi à vendredi. Quatre conducteurs avaient été contrôlés positif. L'opération menée à Dinant était la première du côté wallon. Les nouveaux tests salivaires de détection de drogues sont entrés en service le 1er octobre. Ils peuvent être effectués plus rapidement que les anciens tests et ne nécessitent pas de mesures d'hygiène particulières. Ils entraînent aussi moins de risques de fournir des résultats erronés. En cas de test positif, la police effectue un prélèvement de salive et le fait analyser par un laboratoire. Les conducteurs sous l'influence de drogues encourent une amende de 1.100 à 11 000 euros et une déchéance du droit de conduire allant de 8 jours à 5 ans. En cas de récidive dans les trois ans, le contrevenant s'expose à une peine d'emprisonnement allant d'un mois à deux ans. (NEV)

EN EFFET, APRÈS UN SÉJOUR PROLONGÉ EN BELGITUDE NOUS CONSTATONS UN MANQUE DE PRISONS DANS LE SUD MAIS PLUS PARTICULIÈREMENT ENCORE UN MANQUE D'ASILES DANS LE NORD !!!!!