La Flandre et les autres

Rappel du premier message :

La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond



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Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF).
Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH)

Que va t il se passer a ton avis...y aura t il separation..?? cela vaut il la peine...
Il y a quelques années on m'avait reccomandé un eleveur flamand de bergers allemands, je partais donc pour la Flandre, et la, probléme....le bonhomme ne parle pas un mot de Français. je suis emmerdé, et le male proposé a la vente me plaisait, et plus encore.
J'appelle mon ami Jacques Houdooft a Kinshasa et lui explique le probléme, il me demande de lui passer le bonhomme, et aprés quelques secondes, mon gaillerd parle un français presque academique, je trouve que c'est vache.
C vrai que j'avais oublié de dire au bonhomme que j'etais pas Wallon.

"Une Flandre indépendante, l'objectif à atteindre"









Quelque 5.000 personnes se sont rassemblées samedi à Ypres, à l'ombre du monument des frères Van Raemdonk, pour l'Ijzerwake (Veillée de l'Yser), manifestation de la frange radicale du mouvement flamand, à laquelle participent traditionnellement des personnalités du Vlaams Belang.

Le président, Wim De Wit, a évoqué l'actualité politique marquée par les discussions institutionnelles. "Jamais encore autant de Flamands n'ont voté pour un parti parti radical, national-flamand. Une Flandre indépendante doit constituer plus que jamais l'objectif à atteindre", a-t-il déclaré.

Selon lui, une responsabilité écrasante pèse sur les épaules de Bart De Wever et des négociateurs flamands. M. De Wit a plaidé pour une révision en profondeur de la loi de financement. "Si ce n'est pas possible, il ne restera qu'une conclusion: arrêtez la comédie et scindez le machin. Point final", a-t-il déclaré.

L'orateur invité était le juriste et polémiste conservateur Matthias Storme, qui a insisté sur l'importance d'une Flandre indépendante dans une Europe unie. Tant que la Flandre n'est qu'une entité fédérée de la Belgique, elle n'existe pas aux yeux de l'Europe et ne peut défendre ses intérêts, a-t-il affirmé.

L'an passé, l'invité d'honneur, Frans Crols, président du conseil d'avis du magazine Trends, avait expliqué que l'abandon de Bruxelles permettrait de lever un des obstacles les plus importants à l'indépendance de la Flandre. Aucun plaidoyer de ce genre n'a été entendu samedi. "On ne trouvera pas chez nous beaucoup de monde qui partage cet avis", a souligné M. De Wit. (belga)

22/08/10 16h00

Comme le Kosovo,ils seront indépendants,mais ils seront mis hors de
l'Europe,sinon,celà va s'étendre à la Corse,au Pays Basque,etc...

Préformation: clash entre De Wever et Onkelinx


Une nouvelle réunion plénière est prévue ce lundi autour d’Elio Di Rupo. Au menu des négociations politiques: l’épineux dossier de BHV. La pause royale n’a visiblement pas apaisé les esprits. Les discussions de ce week-end ont été très tendues. La N-VA a déposé de nouvelles revendications. Et un clash a opposé Laurette Onkelinx à Bart De Wever.




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• "Le petit jeu de la N-VA"
  Belgique - Politique 9:11
  Les présidents de partis se réunissent à nouveau ce lundi autour du préformateur Elio Di Rupo. Il s’agit d’une nouvelle réunion plénière avec sur la table des négociations un dossier explosif : BHV. Trois lettres qui symbolisent l’opposition entre Flamands et francophones. Le plan d’Elio Di Rupo serait de scinder l’arrondissement électoral tout en permettant aux habitants des six communes à facilités de s’inscrire sur les listes électorales à Bruxelles.
  
  La N-VA veut régionaliser l'IPP
  Un sujet qui risque donc d’apporter son lot de crispation. D’autant plus que les discussions du week-end ne se sont pas déroulées dans une atmosphère sereine. Bien au contraire. La tension était maximale. La N-VA a déposé de nouvelles revendications. Après les soins de santé, l’emploi ou les allocations familiales, les nationalistes flamands remettent sur la table la régionalisation de la côte belge et l’impôt sur les personnes physiques, l’IPP.
  Lors d'un tour de table consacré à la révision de la loi de financement, Philippe Muyters (N-VA) a relancé l'idée d'une régionalisation de l'impôt des personnes physiques. "Pour nous, a-t-il dit, il serait bon de passer d'un système de subvention à un système clair et transparent permettant aux entités fédérées de percevoir les impôts. Ce qui, a-t-il complété, n'exclut pas qu'une certaine forme de solidarité continue entre les entités fédérées."
  Ce que refusent les francophones. Ces derniers l'ont répété à plusieurs reprises: il est hors de question de remettre en cause la solidarité entre les personnes. Cette nouvelle revendication flamande a d'ailleurs agacé le préformateur. Elio Di Rupo avait obtenu de Bart De Wever la garantie qu’il ne réclamerait pas ce nouveau transfert de compétences.
  
  Dispute entre Laurette et Bart
  La pause royale n’aura donc pas permis de calmer les esprits. Sous les yeux écarquillés des autres négociateurs, un clash a même opposé samedi soir le président de la N-VA et Laurette Onkelinx, la représentante du PS à la table des négociations. Selon La Libre Belgique, la Vice-première ministre est sortie de ses gongs lors d’une discussion sur Bruxelles. Excédée par les propos de Bart De Wever, elle a fini par lâcher qu’elle ne croyait plus à une issue positive pour les négociations et pour l’avenir du pays. "Alors, il faut vous préparer rapidement à la fin du pays !", lui a rétorqué le président de la N-VA. Ce à quoi Laurette Onkelinx a répondu : "Ne vous inquiétez pas, nous nous y préparons déjà. Et Bruxelles n’est pas à vendre." Même si elle parlait en son nom, certains observateurs estiment qu’elle dit tout haut ce que le PS pense tout bas. Wouter Van Besien de Groen! et Caroline Gennez, la chef de file du sp.a, sont eux intervenus pour signaler qu'ils n'étaient pas séparatistes.
  C’est donc dans ce climat tendu que les négociations reprennent ce lundi…Et on est encore loin d’un accord.
  

Préformation: le dossier de BHV toujours pas abordé


Les négociations institutionnelles n’ont toujours pas abordé le dossier de BHV. Le préformateur veut que soit d’abord réglée la question de la loi de financement, que veulent revoir les partis flamands. Une réunion technique a été consacrée au sujet lundi soir. Et une séance plénière en tirera les conclusions ce mardi.




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• Préformation: la loi de financement coince toujours
  
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• Belgique - Politique 8:13
  Même si chacun campe sur ses positions, un léger vent de sérénité souffle sur les négociations institutionnelles. Les francophones d’un côté et la N-VA de l’autre semblent malgré tout de tenter d’arrondir les angles. Après un week-end très agité, la tension est ainsi redescendue d’un tout petit cran dans les rangs des négociateurs politiques.
  Ce mardi, une nouvelle réunion plénière est prévue avec les sept présidents des partis pressentis pour soutenir une réforme de l’Etat. Ils examineront les résultats de la séance technico-politique de lundi soir sur la loi de financement. Lundi, Elio Di Rupo avait en effet décidé de creuser l’abcès sur cette question avant d’aborder d’autres thèmes, notamment la scission de l’arrondissement de BHV.
  
  Qui dira stop à De Wever ?
  Pour les francophones, la révision de la loi de financement, comme la demande de régionalisation, même partielle, de l'Impôt des Personnes Physiques (IPP) demandée par la N-VA, se situe clairement en dehors du périmètre fixé par le préformateur. Les partis francophones s'interrogent d’ailleurs sur la volonté de la N-VA de conclure un accord et se demandent aussi quand les autres partis flamands diront à Bart De Wever "si tu veux aller plus loin, vas-y tout seul", selon un proche de la négociation.
  Une autre source admettait qu'il semble que personne n'ose vraiment refuser de discuter d'un point avancé par la N-VA. En fait, ajoute-t-il, chacun estime que c'est à Bart De Wever de dire qu'il n'est pas d'accord.
  

Préformation: BVH entre enfin en piste !


Le plus épineux dossier de tous arrive enfin dans les mains des négociateurs.







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"Pourquoi Elio Di Ripo réussirait la ou Yves Letherme a échoué ? Tous ces cerveau politiques pédalent dans la semoule, et pour cause, des idéologies différentes tant au nord qu'au sud du pays." Lire les autres réactions
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• Négociations autour du préformateur à propos de la loi ...
  
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• Préformation: la loi de financement coince toujours
  
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• Belgique - Politique 19:26
  La réunion plénière du préformateur Elio Di Rupo avec les sept partis pressentis pour soutenir une réforme de l'Etat s'est terminée ce mardi vers 18h00. Selon certaines informations, les participants à la réunion sont arrivés à un accord de principe sur la loi de financement. Il s'agit d'un accord sur un processus avec la mise en place d'un groupe de sept experts qui plancheront sur une réforme de la loi de financement selon les balises reprises dans l'accord de principe, indiquait-on encore de bonnes sources. Une réunion thématique, rassemblant à la fois politiques et experts, est prévue ce mardi soir sur la problématique de Bruxelles-Hal-Vilvorde et de la Région bruxelloise. Cette thématique sera ensuite à l'ordre du jour de la nouvelle réunion plénière prévue mercredi.
  On a sauté l'obstacle, disait-on dans un de partis concernés par la négociation. Le fait qu'on ait décidé d'entamer la discussion du BHV et sur la Région bruxelloise indique que tout le monde se retrouve dans l'accord intervenu, notait une autre source. Une des sources soulignait que le débat de fond sur la loi de financement était reporté à plus tard mais qu'on a dès à présent cadenassé certains principes.
  
  12 principes adoptés sur la loi de financement
  
  Ceux-ci sont au nombre de 12. Il a notamment été convenu que les entités fédérées disposeront d'une plus grande autonomie fiscale et une plus grande marge pour leurs revenus propres après la prochaine réforme de l'Etat, qu'il faudra éviter toute concurrence déloyale, que la progressivité de l'impôt sera maintenue et que la réforme de la loi de financement ne pourra appauvrir structurellement une des entités. L'accord de principe prévoit encore que le financement de l'Etat fédéral pour ses tâches propres doit être assuré et qu'il faut instaurer une responsabilité des entités. On tiendra également compte de la spécificité de Bruxelles. En ce qui concerne les Communautés, il a été convenu que leur financement devra tenir compte des paramètres objectifs. La solidarité entre les entités sera maintenue mais on veillera à supprimer certains effets pervers. Enfin, la réforme devra être durable et assurer la stabilité de toutes les entités, elle devra veiller à maintenir l'équilibre financier de la maison Belgique et enfin avant la mise en place de tout nouveau modèle, il faudra examiner ses répercussions et les effets pervers sur les diverses entités.
  
  Des signaux positifs
  Selon la N-VA, on aurait constaté lundi une "sorte de vague consensus sur des principes généraux". Le parti ajoutait toutefois que dès qu'on essayait d'entrer dans les détails, il restait beaucoup de questions. Dans le courant de l'après-midi ce mardi, une source indiquait qu'on se dirigerait vers un accord sur un cadre. Après un week-end très agité, la tension est ainsi redescendue d’un tout petit cran dans les rangs des négociateurs politiques.
  
  Qui dira stop à De Wever ?
  Pour les francophones, la révision de la loi de financement, comme la demande de régionalisation, même partielle, de l'Impôt des Personnes Physiques (IPP) demandée par la N-VA, se situe clairement en dehors du périmètre fixé par le préformateur. Les partis francophones s'interrogent d’ailleurs sur la volonté de la N-VA de conclure un accord et se demandent aussi quand les autres partis flamands diront à Bart De Wever "si tu veux aller plus loin, vas-y tout seul", selon un proche de la négociation.
  Une autre source admettait qu'il semble que personne n'ose vraiment refuser de discuter d'un point avancé par la N-VA. En fait, ajoute-t-il, chacun estime que c'est à Bart De Wever de dire qu'il n'est pas d'accord.
  

Accord sur la loi de financement, place (enfin) à BHV

Un obstacle a été franchi mardi dans les négociations: les sept partis autour de la table ont trouvé un accord à propos de la révision de la loi de financement. Un accord de principe seulement: il définit les grandes lignes et devra être traduit concrètement par des experts. Mais francophones et néerlandophones se disent satisfaits. Place désormais au dossier suivant: BHV, abordé dès mardi soir.



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"Alors Bart est-il decider a laisser parler les habitant de BHV ? Pourrait-il voter pour donner leur avis ? Attacher a la flandre , Attacher a la wallonie, ou rester independent ... L'avenir appartient au peuple et non a la politique" de Geisha Lire les autres réactions

12 principes adoptés sur la loi de financement

Il a notamment été convenu que les entités fédérées disposeront d'une plus grande autonomie fiscale et une plus grande marge pour leurs revenus propres après la prochaine réforme de l'Etat, qu'il faudra éviter toute concurrence déloyale, que la progressivité de l'impôt sera maintenue et que la réforme de la loi de financement ne pourra appauvrir structurellement une des entités. L'accord de principe prévoit encore que le financement de l'Etat fédéral pour ses tâches propres doit être assuré. On tiendra également compte de la spécificité de Bruxelles. En ce qui concerne les Communautés, il a été convenu que leur financement devra tenir compte des paramètres objectifs. La solidarité entre les entités sera maintenue mais on veillera à supprimer certains effets pervers. Enfin, la réforme devra être durable et assurer la stabilité de toutes les entités, elle devra veiller à maintenir l'équilibre financier de la maison Belgique.

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• Belgique - Politique 9:54
  

C’est une première épine hors du pied d’Elio Di Rupo: les sept partis réunis mardi autour du préformateur se sont mis d’accord sur la révision de la loi de financement. Il s’agit d’un accord sur un processus avec la mise en place d'un groupe de sept experts qui plancheront sur une réforme de la loi selon les balises reprises dans l'accord de principe. Même s’il ne s’agit que d’un accord de principe, c’est une étape importante dans les négociations institutionnelles. D’autant plus que l’ambiance était plutôt au pessimisme mardi matin dans les rangs des négociateurs.

Tout le monde heureux
Comme le désiraient les partis flamands, la loi de financement sera donc bel et bien révisée. Ils ont obtenu la promesse d’une plus grande autonomie financière des entités fédérées. Les partis francophones, eux, sont également satisfaits et…rassurés : la réforme ne pourra pas ni entraîner une concurrence déloyale entre entités ni appauvrir structurellement une entité. Et le financement de l’Etat fédéral sera également assuré. "C’est un accord vraiment équilibré, tout le monde s’y retrouve", analysaient mardi soir plusieurs partis, selon le journal Le Soir.

N-VA : "Pas dans la bonne direction"
Dans les partis flamands on disait mardi soir qu'on espérait pouvoir progresser rapidement dans la traduction de l'accord de principe. La N-VA pour sa part qualifiait l'accord intervenu de "pas dans la bonne direction", même si, ajoutait-on, il reste beaucoup de travail pour sa mise en œuvre. A la N-VA on insistait sur quelques points que le parti nationaliste flamand considère comme particulièrement positifs et notamment le fait que l'accord prévoit une réforme approfondie de la loi de financement.

Ca coince toujours sur BHV
Par contre, l’épineux dossier de la scission de Bruxelles-Halle-Vilvorde coince toujours. La réunion thématique regroupant à la fois des politiques et des techniciens sur la problématique BHV et sur la Région bruxelloise s'est terminée mardi soir vers 23h. Selon les informations recueillies après la réunion, on ne serait pas encore arrivé à un accord. Les travaux se poursuivront ce mercredi dès 10h.
Par ailleurs, le préformateur a déjà prévu une réunion plénière ce mercredi. Celle-ci serait convoquée à 14h. En début de soirée, après l'accord de principe intervenu sur la réforme de la loi de financement, on disait déjà que cette plénière porterait sur le dossier BHV et sur Bruxelles. Parallèlement, un groupe de travail se réunira encore sur la Justice.

Préformation: selon Didier Reynders, "sans le MR, on dit oui à tout"


Sans le MR aux négociations, les francophones ne sont pas bien défendus, a affirmé en substance, le président des libéraux Didier Reynders, dans les colonnes du journal Le Soir ce jeudi.


[img:6170]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_08_27/325x203/reynders2[1].jpg[/img:6170]
Agenda du jour

Selon le porte-parole d'Elio Di Rupo, le préformateur aura des contacts bilatéraux ce vendredi matin avec les partis flamands. Il a reconfirmé qu'il y aura ensuite une nouvelle réunion plénière.

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• Préformation: blocage total malgré la souplesse francophone ...
  
• [color:6170=#000000]1
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Alors que l'heure est au [color:6170=#000000]blocage dans les négociations</FONT> (BHV et le sort de Bruxelles cristallisent les tensions nord-sud), Didier Reynders est rempli d'amertume. Le président du MR critique sévèrement ce jeudi les négociations institutionnelles en cours. Le libéral a notamment une nouvelle fois reproché aux autres formations francophones de maintenir son parti à l'écart des discussions en vue de la formation d'un gouvernement fédéral.

Ecarté de la table
"Nous étions prêts - nous l'avons répété au Roi, à l'informateur, au préformateur. C'est un choix du préformateur. L'explication, c'est qu'on a peut-être envie d'abandonner un certain nombre de positions qui étaient communes [aux francophones] et qui ne le seront plus" a notamment dit le président du MR au cours d'un entretien de fin de vacances. "Un francophone sur quatre a voté pour nous et Elio Di Rupo choisit de nous exclure. Nous, on n'a jamais eu cette attitude-là", a-t-il ajouté.
Didier Reynders a également critiqué l'attitude Joëlle Milquet, la présidente du cdH. Selon lui, la légende de "Madame Non" est bien réelle et responsable de l'ascension fulgurante de la N-VA aux dernières élections ainsi que de l'échec de 2007.

Pas de projet francophone
Le président du MR a par ailleurs reproché aux formations francophones autour de la table des négociations de n'avoir laissé à aucun moment, "apparaître un projet ou une vision francophone de la réforme de l'Etat".
"On a des tas de demandes des partis flamands, et c'est tout à fait normal, mais pourquoi n'y a-t-il jamais l'expression d'une position francophone? Elle consiste juste à mettre des balises. Je me demande s'il n'y a pas une patrie à faire aimer aux francophones. S'il n'y a pas, dans l'Etat belge, un avenir à présenter aux francophones qui ne soit pas simplement le solde de ce qui restera quand on aura accepté les demandes flamandes. Les francophones ne doivent pas avoir peur de prendre leur destin en mains", a-t-il commenté par ailleurs.

Critique envers la couverture médiatique
Enfin, Didier Reynders dénonce le comportement actuel des médias qui acceptent le "secret" qui entourent les négociations en cours, alors que le sort de notre pays est en jeu.

Préformation: le week-end s'annonce crucial


Les négociateurs se sont quittés vendredi soir après quatre heures de discussions sur BHV et Bruxelles. Aucun accord n'a été trouvé. Le blocage reste total. Le noeud du problème est notamment le refinancement de Bruxelles. La N-VA et le CD&V demandent qu'il soit limité dans le temps. Ce que refusent les partis francophones. Une nouvelle réunion est prévue ce samedi après-midi.




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• Javaux: "ça progresse
  
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• Belgique - Politique 7:17
  Le week-end s'annonce crucial pour Elio Di Rupo. Le préformateur doit trouver une solution avant sa visite chez le roi Albert II lundi. A l'heure actuelle, les négociations sont toujours dans l'impasse. Vendredi soir, la réunion plénière des présidents des sept partis s'est terminée vers 22h45. Il n'y a toujours pas d'accord mais une nouvelle réunion est prévue ce samedi après-midi. Il y aurait diverses propositions sur la table sur lesquelles chacun aura le temps de réfléchir avant la nouvelle réunion, a fait observer un négociateur.
  Les présidents des sept partis pressentis pour soutenir une réforme de l'Etat (N-VA, PS, CD&V, sp.a, cdH, Ecolo et Groen! ) étaient réunis depuis 19h45 au cabinet de la Vice-première ministre Joëlle Milquet. Le préformateur Elio Di Rupo avait convoqué cette réunion après une série de contacts bilatéraux qu'il a eus jeudi soir et vendredi matin à la suite du blocage intervenu sur les dossiers de la scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde et le sort de Bruxelles. Les propositions soumises à la réflexion des négociateurs ne seraient guère nouvelles. On tourne en rond, disait un des négociateurs.
  
  Canevas de Di Rupo
  Selon une autre source, le préformateur Elio Di Rupo a présenté en fin de réunion une liste des points d'achoppement et a proposé un canevas de solutions équilibrées. Il devrait y avoir divers contacts bilatéraux avant une nouvelle réunion plénière ce samedi à 16h.
  Selon plusieurs sources, l'ambiance était meilleure que jeudi. Mais, ajoutait-on, il reste beaucoup de points à régler allant de la nomination des bourgmestres au délai pour le refinancement de la Région bruxelloise.
  
  La N-VA veut un refinancement limité pour Bruxelles
  Sur ce dernier point, les partis flamands proposeraient un refinancement limité dans le temps. Le refinancement serait ensuite intégré dans la loi de financement lors de la révision de celle-ci. Les francophones seraient réticents face à cette formule.
  

Pèlerinage de l'Yser: le ton semble à l'apaisement


Le pèlerinage de l'Yser s'est tenu ce dimanche matin à Dixmude dans un contexte politique très tendu. Contrairement à ce que l'on redoutait, le ton était toutefois plutôt à l'apaisement. Même si les nationalistes flamands en ont profité pour rappeler leurs revendications.


[img:d1e8]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_08_29/325x203/yser2[1].jpg[/img:d1e8]

Une tradition annuelle

Comme chaque année depuis 1920, au pied de la Tour de l’Yser à Dixmude, les Flamands rendent hommage aux soldats du Nord du pays tués lors de la bataille de l’Yser, durant la première guerre mondiale, "sous les ordres incompris des officiers francophones". C’est l’occasion le plus souvent de faire également passer les messages politiques revendicatifs du Mouvement Flamand. Pourtant, officiellement, "Paix, liberté et tolérance" sont les maîtres-mots de cette manifestation.

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• Dernières nouvelles en direct du pélerinage de l'Yser ...
  
• Pélerinage de l'Yser sur fond de crise politique et communautaire ...
  
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  Belgique - Politique 14:37 "Nous ne nous satisferons pas de peccadilles et nous ne sommes pas prêts à acheter un chat dans un sac", a averti ce dimanche le président du Comité du pèlerinage de l'Yser, Paul De Belder, à l'occasion de la 83e édition de cette manifestation du mouvement flamand. Selon lui, la balle se trouve maintenant dans le camp des partis francophones, qui se disent si attachés à la survie de la Belgique fédérale.
  Le Comité du pèlerinage ne veut pas entendre parler d'un refinancement de Bruxelles sans une révision effective de la loi de financement et sans scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. "Si les francophones ne veulent pas changer d'attitude, il sera alors grand temps de mettre en oeuvre la fameuse révolution copernicienne et l'on ne parlera plus que de ce que les Flamands et les francophones veulent encore faire ensemble", a souligné M. De Belder.
  
  Le discours de Jan Peumans (N-VA) assez lisse
  Tous les regards étaient tournés vers le président du parlement flamand, Jan Peumans (N-VA) qui s'exprimait devant les militants flamands -une première dans l'histoire du Pèlerinage. Il s'en est toutefois tenu au message inscrit sur la Tour de l'Yser: paix, tolérance, liberté. Son discours était assez sobre. A première vue, le nationaliste falmand n'a pas voulu jeter de l'huile sur le feu communautaire.
  Dans le contexte actuel d'impasse dans les négociations, la "moindre sortie pourrait être considérée comme une provocation", a commenté Salima Belabbas en direct dans le Journal de 13h sur RTL-TVi. Même si cet éminent membre de la N-VA est finalement resté assez lisse dans ses propos, il a tout de même rappelé les revendications flamandes. "En Flandre, il y a un consensus qu'une réforme profonde de l'Etat est une condition sine qua non pour sortir le pays de l'enlisement. Si nous le voulons encore."
  
  De Wever pas présent
  Un millier de personnes participaient au pèlerinage, parmi lesquelles quelques politiques: Dany Pieters (N-VA), président du Sénat ainsi que les CD&V Ludwig Caluwé et Michel Doomst. Le président de la N-VA, Bart De Wever, qui participe actuellement aux négociations, n'était pas présent.
  

"Les écoliers de maternelle flamands sont traités de manière inégale"

Les écoles maternelles flamandes vont déposer plainte, à la veille de la rentrée, auprès du Centre pour l'égalité des chances. La plainte porte sur la subsidiation inégale "sur base de critères flous et injustes", écrit De Zondag.

Le Werkgroep Kleuterscholen Vlaanderen, qui représente les 3.000 écoles maternelles flamandes, lance un pavé dans la mare. Un sondage auprès de ses membres montre que un écolier sur trois n'est pas subsidié. "Une école maternelle va recevoir 434 euros par enfant par année scolaire, l'autre 1.136 euros", explique Guido Sauwens, du Werkgroep Kleuterscholen Vlaanderen.

La subsidiation dépend de différents facteurs, comme le niveau d'instruction de la mère. Le Werkgroep se plaint aussi des classes surpeuplées. "Certaines classes accueillent plus de trente enfants." (NAJ)

Bonjour Ombre
Depuis que l'enseignement dépend des régions,c'est un peu
à la tête du client.
De plus,le système de subsidiations donne lieu à des fraudes
du type "FF>>=Faisant Fonction",c'est-à-dire d'élèves fictifs
sur les listes.
C'est une explication,entre autres.

Vous avez deja vu un "planter" dans un rouleau de fil de peche de 1000 m.????
C'est ce qui se passe en Belgique, vous allez arriver a demeler tout ça..??
Bien du plaisir a vous....
Vous me direz (justement) que je ferais mieux de balayer devant ma porte.

TSUR a écrit:

Vous avez deja vu un "planter" dans un rouleau de fil de peche de 1000 m.????
C'est ce qui se passe en Belgique, vous allez arriver a demeler tout ça..??
Bien du plaisir a vous....
Vous me direz (justement) que je ferais mieux de balayer devant ma porte.

Non,pas du tout,c'est une question pertinente.
La réponse est:"Personne ne sait"

Préformateur: De Wever veut un engagement écrit et se dit toujours prêt au compromis


Belgique - Politique lun 30 août, 20:22


Le président de la N-VA Bart De Wever a affirmé lundi soir devant les caméras de la télévision publique flamande VRT être toujours prêt à conclure un compromis sur la réforme de l'Etat. Mais il veut auparavant s'assurer qu'une "culture de responsabilité financière" existe auprès de chaque entité. Et cela ne peut se faire, selon lui, que via des accords forts sur papier.
Ces quelques propos de l'homme fort flamand faisaient suite au silence respecté toute la journée par son parti. Il a ainsi répété qu'il n'était pas prêt à signer "un chèque en blanc" pour Bruxelles, sans garanties fermes selon lesquelles la loi de financement serait bel et bien redessinée. "Si l'on nous demande de faire preuve de confiance, ce n'est pas trop en demander", a-t-il commenté. Interrogé à propos de la participation des partenaires sociaux aux négociations et de l'avertissement lancé par M. Di Rupo, M. De Wever a dit espérer que l'on assisterait pas à une série de recours à des menaces au chaos. Il a lui-même averti que des réformes financières sont hautement nécessaires, faute de quoi d'énormes augmentations d'impôts seraient nécessaires pour réaliser les 25 milliards d'économies annoncées. Le président de la N-VA a encore admis que la formule de concertation à 7 partis avait atteint ses limites. Il préférerait s'attaquer aux dernières difficultés "avec le plus fort", a-t-il dit, faisant allusion au PS. (KNS)

"Je ne suis pas responsable du chaos", dit Bart De Wever


77 jours après les élections, les négociations politiques sont dans l’impasse. "Je ne suis pas responsable du chaos", affirme Bart De Wever, qui exige de nouvelles méthodes de négociations : le président de la N-VA veut désormais que tout se négocie entre lui et Elio Di Rupo, en face à face.








"Sortons de l'impasse !"

Les partenaires sociaux ont été reçus par le préformateur Elio Di Rupo. Le groupe des dix a exprimé "le souhait d'une solution pour sortir de l'impasse" dans laquelle se trouve actuellement la négociation en vue de la formation du prochain gouvernement. Les interlocuteurs sociaux ont affiché leur disposition à contribuer, "en temps opportun", à la recherche de cette solution.

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  Belgique - Politique 10:37
  Cet après-midi, le préformateur Elio Di Rupo a évoqué un risque de chaos politique. En effet, les négociations sont à nouveau dans l’impasse: le préformateur avait fait une proposition acceptée par 5 des 7 partis mais rejettée par la N-VA et le CD&V. En réponse à cette déclaration, Bart De Wever, le président des nationalistes flamands, s’est dédouané de toute responsabilité : "Je ne suis pas responsable du chaos", a-t-il affirmé tout en exigeant de nouvelles méthodes de négociation : tout devrait désormais passer par des entretiens en tête à tête entre lui et Elio Di Rupo. Les 5 autres partis, eux, seraient informés plus tard, du contenu de ces rendez-vous tenus en très petit comité.
  

Tout passerait par des têtes-à-têtes

Bart De Wever veut des méthodes de négociations plus directes. Il estime que du temps est perdu lorsqu’il s’agit de réunir l’avis de tout le monde : "Je pense qu’il est nécessaire (si on veut sauver le pays, si on veut devenir Premier ministre) de lâcher sa propre communauté et de faire des propositions qui sont peut-être dures et difficiles, mais qui sont nécessaires. C’est ça qu’il faut faire. Tant que nous devons attendre tous les autres partis et avoir l’avis de tout le monde, c’est très difficile", a expliqué Bart De Wever.


La N-VA veut des garanties

La N-VA bloque, mais veut rester autour de la table, à la condition que la confiance entre les négociateurs soit restaurée, précise la journaliste Frédéric Cauderlier pour RTL-TVi. "Pour la N-VA, la responsabilité financière reste un élément crucial dans les négociations. Et je ne peux que constater que sur ce domaine, on a que des promesses vagues et on nous demande de signer un chèque blanc pour Bruxelles. Cela ne va pas", poursuit Bart De Wever.


"Un changement copernicien"

Elio Di Rupo arrivera-t-il à concilier l’inconciliable ? Du côté des nationalistes flamands, il est en tout cas clair que les positions ne seront pas assouplies : "Il nous faut un changement copernicien. C’est ça que la N-VA veut organiser et c’est ça que les électeurs flamands ont voulu. Peut-être que l’on ne comprend pas comment les Flamands ont voté le 13 juin", se demande le président des nationalistes.

Le Brabant flamand lance une campagne de promotion de leçons de néerlandais


Belgique - Société 14:41


La province du Brabant flamand a lancé, mardi à Dilbeek, une nouvelle campagne à grande échelle pour promouvoir des leçons de néerlandais. Par la voie d'affiches et de dépliants, tout est mis en oeuvre pour faire la publicité des cours de néerlandais pour la quatorzième année.
Alors que, l'année dernière, la campagne publicitaire visait en premier lieu les Belges francophones dans la périphérie flamande, l'attention porte actuellement surtout sur les étrangers et les cadres universitaires des entreprises internationales ou de l'Union européenne. L'idée qui sous tend la campagne est que la raison pour laquelle les personnes parlant d'autres langues ne parlent pas le néerlandais est la hantise de l'échec et la peur d'être moqué. Le site internet de la "Huis van het Nederlands" (maison du néerlandais) - www.infol.be - et le numéro de téléphone gratuit 0800 12300 figurent en bonne place dans la campagne publicitaire. "Le point de départ de notre politique linguistique est que le Brabant flamand fait intégralement partie de la Flandre où le néerlandais est la langue véhiculaire", a expliqué la députée Elke Zelderloo (CD§V). Inciter les gens à apprendre le néerlandais n'est pas seulement important pour le caractère flamand de la région mais aussi cela présente toutes sortes d'avantages dans la société. Cela permet à ceux qui parlent d'autres langues de prendre part à la vie en communauté flamande, cela facilite les contacts avec les autorités locales et améliore les chances sur le marché de l'emploi , a dit en substance Mme Zelderloo. (MUA)

Votez pour Moi: Bart De Wever chante Camélia Jordana


Tranche de rire sur Bel RTL avec Lamy et Leborgne et la plume de Xavier Diskeuve.




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• Votez pour Moi: Bart De Wever chante Camélia Jordana
  Insolite - Belgique 10:38
  Les humoristes de Votez pour Moi, Lamy, Leborgne et Xavier Diskeuve, s’en sont pris une fois de plus au président de la N-VA, Bart De Wever. Voulant en savoir plus sur les négociations, ils lui ont demandé quel était le contenu de la discussion qu'il a tenue hier avec le préformateur, Elio Di Rupo : "Eh bien je lui avais préparé une petite chanson !", a répondu Bart De Wever, parodié. Et d’entamer la chanson "Non, non, non", de Camélia Jordana : "Combien de fois faut-il vous le dire avec style ? Je ne veux plus voir tous ces Wallons ! Non, non, non, non, moi je ne veux pas vous plaire ! Non, non, non non, moi je ne veux pas me taire ! Non, non, non non, moi je ne veux pas vous aider ! Non, non, non, non, pas de solidarité !".
  Pour visionner cet extrait, pointez le curseur à 02:00. Mais on vous conseille vivement d’écouter l’extrait dans son intégralité, sans quoi, vous rateriez Didier Reynders qui parle de lui à la 3e personne en s’imaginant bourgmestre de Liège et Joëlle Milquet qui emmène au cinéma les 192 enfants qui n’ont toujours pas d’école avec Marie-Dominique Simonet...
  

Préformateur: la réunion de la dernière chance

Si Bart De Wever reste inflexible sur la méthode de travail comme sur le fond, il y a fort à parier que la mission du préformateur soit vouée à l’échec. Les deux hommes doivent se revoir ce jeudi : pour beaucoup, il s’agit de la réunion de la dernière chance.



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Belgique - Politique 7:40

Elio Di Rupo travaille encore en coulisses pour restaurer la confiance. Après avoir rencontré les différents présidents de partis, il doit revoir Bart De Wever ce jeudi. D’après les diverses analyses de la situation, cette réunion ressemblerait bien à celle de la dernière chance. Selon le porte-parole du préformateur, Elio Di Rupo "est toujours à la recherche d’un compromis équilibré". Cependant, aujourd’hui, la réforme est paralysée, et la méthode voulue par Bart De Wever recalée par Elio Di Rupo, explique Antonio Solimando pour Bel RTL.

Si cela devait coincer, direction le Palais royal

Si les deux hommes campent sur leurs positions, il n’y aurait pas d’autre solution que de retourner chez le Roi. 80 jours après les élections, on aurait alors perdu une semaine de plus, précise le journaliste. Mais si cela devait être le cas, Elio Di Rupo assure qu’il poursuivrait ses réunions bilatérales.

Jack,on retournera voter,et là,ce sera la groote victory de N-VA.
Proficiaat

Préformation: dernières infos sur le tête à tête entre Di Rupo et De Wever

Un tête à tête est prévu cet après-midi entre les deux grands vainqueurs des élections. Si Bart De Wever reste inflexible sur la méthode de travail comme sur le fond, il y a fort à parier que la mission du préformateur soit vouée à l’échec.



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Les deux hommes forts des négociations institutionnelles doivent se revoir ce jeudi : pour beaucoup, il s’agit de la réunion de la dernière chance. Elio Di Rupo devrait faire une nouvelle proposition à Bart De Wever concernant le dossier BHV et aussi à propos du refinancement de Bruxelles. Le président de la N-VA devra lui se positionner. Va-t-il accepter cette proposition ou la refuser ? Si le nationaliste flamand choisit la deuxième solution, il y a de fortes chances pour qu'Elio Di Rupo retourne chez le Roi pour lui remettre sa démission.

Dernière chance ?
Pour l'heure, on n'en est pas encore là. Les deux hommes négocieront une bonne partie de l'après-midi. Parler de réunion de la dernière chance est peut-être prématuré, même si cela y ressemble très fort.

On chuchote aussi que pour relancer les négociations, Elio Di Rupo aurait tenté de reséduire le CD&V. Il a rencontré Kris Peeters. deux hypothèses sont avancées par rapport à cette entrevue. Soit le président socialiste aurait essayé de contourner le président du parti flamand, soit c'est Kris Peeters lui-même qui aurait souhaité rencontrer Elio Di Rupo.

Recherche du "compromis équilibré"
Selon le porte-parole du préformateur, Elio Di Rupo "est toujours à la recherche d’un compromis équilibré". Cependant, aujourd’hui, la réforme est paralysée, et la méthode voulue par Bart De Wever recalée par Elio Di Rupo, explique Antonio Solimando pour Bel RTL.

Elio Di Rupo désespéré "veut garder espoir"

Notre journaliste Loïc Parmentier a rencontré Elio Di Rupo après son tête à tête avec Bart De Wever. Le préformateur semblait désespéré. Il a pourtant insisté sur le fait que jusqu'au bout, il tentera de trouver un accord, et qu'il ne se rendra pas chez le Roi jeudi soir.

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Elio Di Rupo avait rendez-vous avec Bart De Wever, jeudi. Une rencontre entre les deux hommes où le président du parti socialiste a, semble-t-il, proposé de nouvelles avancées sur BHV et sur le refinancement de Bruxelles à son interlocuteur. Pour beaucoup, il s'agissait de la réunion de la dernière chance pour que les négociations aboutissent.

"J'espère..."
Mais Elio Di Rupo n'est pas apparu très optimiste. Sans parler d'échec, il a expliqué à demi-mot que les discussions n'ont pas réellement avancé. "Je vais essayer de formuler de nouvelles propositions pour tenter de trouver un accord. J'espère que la raison va l'emporter et que l'on finira par trouver une solution", a-t-il expliqué sans grande conviction à la sortie de son tête à tête avec Bart De Wever.

"J'ai déjà tout donné"
"Jusqu'à la dernière seconde, je ferai le maximum de ce qui est humainement possible. Mais je ne suis qu'un être humain, donc je ne peux pas aller au-delà de ce que je peux donner. J'ai tout donné, je continuerai à donner un peu plus, et je cherche toujours des solutions avec mes interlocuteurs pour voir s'il est possible de mettre d'accord les sept formations politiques", a conclu le préformateur.
Si l'heure n'est pas à l'optimisme, Elio Di Rupo a néanmoins assuré qu'il ne se rendrait pas chez le Roi jeudi soir pour présenter sa démission.

(Nettoyé et remis en page par les bons soins de Saint Pierre et Sa grande patience...)

TSUR a écrit:

Vous allez degouter le Roi, pis il finira par demissioner

Abdiquer!!!

Charly a écrit:

TSUR a écrit:

Vous allez degouter le Roi, pis il finira par demissioner

Abdiquer!!!

Abdallah toi meme.!!!