POITOU CHARENTS

Rappel du premier message :

bon, là j'ouvre un fil, c'est trop drôle




Machine arrière toute. Ségolène Royal s'est rendu compte de l'effet contre-productif de ses déclarations selon lesquelles elle aurait "inspiré Obama et ses équipes l'auraient copiée". L'ancienne candidate à la présidentielle 2007 avait assuré dans un premier temps "assumer" par avance les critiques et les moqueries que cette sortie pourrait susciter. Devant l'avalanche de réactions - 200 rien que sur lepoint.fr - souvent négatives, suscitée par ses propos, elle cherche désormais à se justifier tant bien que mal.

Sur son blog, Désirs d'avenir, la présidente de Poitou-Charentes est revenue sur ses propos publiés sur lemonde.fr, le mardi 20 janvier. "Je viens de prendre connaissance des commentaires moqueurs sur les radios, ce matin, au sujet d'une de mes déclarations sur la campagne de Barack Obama, que j'aurais 'inspirée'", a-t-elle écrit dans un billet passé en ligne mercredi soir, et intitulé "Sur une petite phrase et sur l'essentiel". "Je comprends que cette phrase ait pu surprendre ceux qui, à distance, n'avaient ni le son ni l'image : 'Son ego est devenu totalement démesuré !', se sont-ils dits...". Ségolène Royal, qui s'est rendue à Washington pour suivre l'investiture de Barack Obama, soutient désormais qu'il s'agissait d'une réponse "humoristique" à "une question amicalement provocatrice d'un des journalistes".

"C'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama"

Ce que conteste le journaliste du Monde à l'origine de la question, qui affirme n'avoir "personnellement pas perçu la réponse de Ségolène Royal comme étant de l'humour". "Je peux évidemment m'être mépris, mais la précision sur le fait qu'elle 'assume' m'est apparue confirmer ma perception." Il indique également, sur lemonde.fr, que "c'est Ségolène Royal qui a, la première, abordé ce thème" des points communs entre les deux campagnes. "Je lui ai alors posé la question suivante : 'Donc, ce que vous dites, c'est que c'est vous qui avez inspiré la campagne de Barack Obama ?'"

"Par ailleurs", relativise le journaliste du Monde , "ces propos de Mme Royal tels qu'ils sont résumés dans l'article paru sur lemonde.fr montrent bien qu'elle ne faisait référence qu'à des éléments spécifiques dont l'équipe Obama se serait inspiré en venant chez Désirs d'avenir" (les idées de 'gagnant-gagnant', de 'citoyen-expert", ndlr).

Dans la foulée de Ségolène Royal, les équipes de Nicolas Sarkozy se sont empressées de considérer à leur tour avoir inspiré la campagne de Barack Obama, notamment pour Barack TV, "copier-coller" de Nicolas Sarkozy TV . Une précision apportée sur lepoint.fr par François de la Brosse, conseiller auprès de l'Élysée. Un thème sur lequel Ségolène Royal a complètement changé de ton : "Sur la campagne et l'utilisation d'Internet, c'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama, et peut-être même, ici ou là, à le copier ."

JACKLELOUP a écrit:

Cela vient d'Alexandre Dumas.
Ayant beaucoup de succès et plus le temps pour écrire de nombreux bouquins, il décida de faire appel à des personnes blanches de peau pour les écrire et les appela 'nègres'.
La raison est que lui est de teint métis, et qu'il en a beaucoup souffert.
C'est une sorte de pied de nez au racisme !

On raconte qu'Alexandre Dumas à ses débuts assurait un feuilleton quotidien pour un journal français. C'était un revenu sûr pour lui qu'il a voulu conserver même quand le succès a sonné à sa porte. Donc, il a confié le feuilleton à un "nègre" sans rien dire au rédacteur en chef du quotidien.

Jusqu'au jour où, catastrophe, il apprend la mort de son nègre. Il lui était impossible de prendre la relève du jour au lendemain, qu'allait dire le rédac'en chef ? Et il attendit, impuisssant et angoissé, l'édition du lendemain.

Et le lendemain le journal parut avec le feuilleton. Son nègre devait avoir remis ses textes avec quelques jours d'avance, se dit Dumas.

Mais le surlendemain aussi, et le jour d'après, et puis le jour suivant, et puis.... bref, le feuilleton a continué à paraître malgré le déces de son nègre d'auteur.

Tout comme Jam, Alexandre Dumas ne croyait pas au Père Noël, alors il a cherché l'explication à ce mystère. Ou miracle.

Et il a trouvé : c'est que son nègre écrivait si bien et avait tellement de travail qu'il avait engagé un sous-nègre...

Comme quoi...

Cf Message 13 -par Marieden le Sam 24 Jan - 0:06

Citation :

(...) En 2006, le député, alors porte-parole du PS, s’offre une montre à 29 000 euros à Milan. Quatre mois plus tard, une autre à 18 500 euros à Cannes. (...) «Nous avons tous une montre achetée à Julien Dray dans les années 80, dit l’un d’eux.(...) C’est un collectionneur qui fait tourner sa collection. Il revend en permanence.»«Au début des années 90, il est apparu dans Montres magazine, se rappelle un syndicaliste étudiant. Il présentait ses plus belles pièces. Elles valaient 40 000 francs (6 000 euros), soit pour lui un mois de salaire. Aujourd’hui, sa plus belle montre est à 30 000 euros : deux fois son salaire. On est passé à autre chose.»
En décembre 1999, il y avait eu l’affaire de la Patek Philippe. Une enquête préliminaire - encore une - pour l’achat, deux ans plus tôt, d’une montre «à complication» de 250 000 francs (38 000 euros). Dray avait réglé 100 000 par carte bancaire et le solde en liquide, alors que le plafond des paiement en espèces était passé à 50 000. (...)

Je me demande comment certains osent reprocher à un tel potentiel politique d'acheter des montres afin d'être à l'heure à ses rendez-vous avec l'Histoire !

Remarquez, avec cette enquête de Tracfin sur le râble, l'amateur de beffrois de poche qui n'a pas une seconde à perdre va finir par se retrouver dans "Minute".

Comme disait le Florentin de Jarnac pour mettre les pendules à l'heure il faut donner du temps au temps, et pour le mesurer il faut des montres ! CQFD.

Ola Zed,

Tu ne piges pas le sens de mon intervention,
je suis le premier à faire remarquer que "negre" n'est pas le bon terme mais "TEINTURIER".... réveilles toi, je ne parles pas le patois québecquois, désolé.....

¥_zed_¥ a écrit:

Lawrence a écrit:

Zed,

Pourrais tu me dire si un nègre blanc peut écrire pour un noir ?

¥_zed_¥ a écrit:

JACKLELOUP a écrit:

Cela vient d'Alexandre Dumas.
Ayant beaucoup de succès et plus le temps pour écrire de nombreux bouquins, il décida de faire appel à des personnes blanches de peau pour les écrire et les appela 'nègres'.
La raison est que lui est de teint métis, et qu'il en a beaucoup souffert.
C'est une sorte de pied de nez au racisme !

Merci Jack, j'y vois plus clair.

Donc si c'est une femme qui écrit mon livre, je peut dire que c'est ma pute?

Tu emplois le terme nègre comme signifiant esclave et c'est sur celà que je m'insurge (délicatement) et tu sembles penser que le terme nègre est acceptable pour moi.

Je me répète avec moins de patience. Nègre est inacceptable. Un blanc doit dire Black ou noire, par ce que nègre signifie esclave quand c'est pas un black qui le dit.

Bonsoir Lawrence !


... réveilles toi, je ne parles pas le patois québecquois, désolé.....

Calmons-nous, clamons-nous, comme disait Jaco :« Nous avons des cerveaux canadiens» ... et je crois que cela voulait dire «plus bêtes que les autres, un peu comme dans l'Afrique profonde. Donc, un peu de patience avec nous ... même si vous appartenez à l'élite.

Si, nous avons un patois ! il existe un certain argot chez vous, n'est-ce pas ? Les deux sont aussi pathétiques, pas vrai ?

Pour votre information, le français enseigné ici est le français internationnal, maintenant, il y en a qui résonne comme vos argotistes. :lunettes:

Je viens justement de voir le film Entre les murs de Laurent Cantet. Il faudrait voir ce qui se passe chez vous. Vous auriez des surprises !

Selon Wikipédia...

Un nègre ou teinturier^[1] est l'auteur anonyme d'un texte signé par une autre personne, souvent célèbre. L'emploi assuré de ce sens métaphorique du mot daterait du XIX^e siècle et implique une connotation négative liée à l'exploitation abusive du travail d'un collaborateur. Aujourd'hui, la connotation raciste s'est accentuée et le mot « nègre » est souvent utilisé avec des guillemets ou remplacé par la locution « nègre littéraire ».

20-

Bonsoir Armelle,

Merci pour ton intervention, teinturier est le sens propre du terme (hum, sans jeu de mot) et certainement à connotation non raciste....

Armelle a écrit:

Selon Wikipédia...

Un nègre ou teinturier^[1] est l'auteur anonyme d'un texte signé par une autre personne, souvent célèbre. L'emploi assuré de ce sens métaphorique du mot daterait du XIX^e siècle et implique une connotation négative liée à l'exploitation abusive du travail d'un collaborateur. Aujourd'hui, la connotation raciste s'est accentuée et le mot « nègre » est souvent utilisé avec des guillemets ou remplacé par la locution « nègre littéraire ».

Billet 19

Citation :

Aujourd'hui, la connotation raciste s'est accentuée et le mot « nègre » est souvent utilisé avec des guillemets ou remplacé par la locution « nègre littéraire

Si ce n'est pas une parmi tant d'autres preuves que notre société française actuelle a l'esprit vraiment très mal tourné ?! J'ai relevé sur une carte topographique de mon département un lieu-dit "Bois Nègre" ; je garde la carte précieusement : bientôt elle sera un "collector" lorsque le lieu-dit sera dit "Bois Teinturier" ou "Bois Littéraire". "Bois des Khôns" serait plus juste.

disons qu'elle n'a pas écrit son livre toute seule, elle y a participé, elle a "causé" dans le dictaphone ou enregistreur numérique acheté chez Auchan pour 49 euros, et le nègre litéraire ou le teinturier a fait le reste.

Est ce que tout le monde est content ??

bon, moi j'ai toujours mon rhuBe, le nez bouché, les oreilles bouchées, la tête comme une pastèque, mais ça ne va pas faire un livre

c'est tout comme moi, nous sommes de la France profonde

Aujourd'hui, la connotation raciste s'est accentuée et le mot « nègre » est souvent utilisé avec des guillemets ou remplacé par la locution « nègre littéraire ».

ben moi je l'avais mis en italique, alors ca va comme ca?

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Toubab = touriste ou plus justement, portefeuille a patte

Au Dahomey, on nous appelait des peles. Je ne m'en suis jamais offusquee. Faut arreter.

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Pour en revenir a Sa Granditude, ce serait bien tout de meme de mettre le nom de son aide sur la jaquette de son livre si elle en a un/une.

ah ben oui, vous avez raison, j'en suis toute confondue.

à mon avis elle paie les médias afin qu'ils parlent d'elle chaque jour

Ségolène Royal veut créer une association pour peser sur le PS
Samedi, à l'occasion de la première réunion du courant, les "royalistes" vont réfléchir à la meilleure manière de faire entendre leur "singularité", explique un député PS proche de Ségolène Royal. Pour le moment, l'idée de créer un parti est écartée. Reste une alternative : fonder une fondation ou une association. Les "royalistes" penchent pour la deuxième solution. "Une association nous aidera à récolter des fonds pour louer un local et embaucher un ou deux permanents", explique un lieutenant de Royal.

Elle resserrera aussi les rangs de troupes qui ont tendance, ces dernières semaines, à être tiraillées par des intérêts divergents : certains, comme Patrick Mennucci et Vincent Peillon, se montrent conciliants avec la direction incarnée par Martine Aubry afin de préserver leurs chances d'être investis aux élections européennes... Les statuts de l'association, dont le nom reste à trouver, devraient être déposés d'ici à la fin du mois de février.

aujourd'hui elle est là : (elle fait un stage !!!)



Quelque chose a changé au Forum social mondial. La manifestation altermondialiste, qui se refusait lors de ses premières éditions à admettre en son sein des chefs d'État, a été littéralement prise d'assaut, jeudi soir, par cinq présidents latino-américains.

Devant une salle surchauffée de 8 000 personnes dans la périphérie de Belém, la capitale de l'Amazonie brésilienne, Luiz Inacio Lula da Silva est le premier à souligner ce changement d'époque : «Il y a dix ans, aucun président n'aurait envisagé de se rendre devant vous, il aurait été hué par la foule», a-t-il lancé. «Ce soir, c'est différent, aucun de nous n'a été choisi par l'élite, nous sommes l'émanation des mouvements sociaux, des syndicats et des revendications indigènes», a-t-il poursuivi. Et de rappeler l'origine de chacun des participants de la soirée. L'économiste de gauche Rafael Correa s'est imposé en Équateur, un pays qui privilégiait les banquiers d'affaires au gouvernement ; l'ancien évêque de la théologie de la libération Fernando Lugo a mis fin à soixante-dix ans de pouvoir des conservateurs au Paraguay ; l'ex-militaire putschiste Hugo Chavez a impulsé sa révolution bolivarienne au Venezuela ; l'Indien Evo Morales est rentré dans l'histoire comme premier chef d'État indigène de Bolivie, et enfin, un ouvrier métallurgiste s'est hissé à la présidence dans un Brésil marqué par les inégalités sociales.

Sur scène, les cinq chefs d'État ont rivalisé d'attaques contre le modèle économique libéral et sa responsabilité dans la crise économique qui frappe le monde entier depuis la fin 2008. Chaque déclaration était saluée par une salve d'applaudissements et de longues mélopées, issues des instruments traditionnels des centaines d'indigènes d'Amazonie présents dans la salle.

C'est la première fois que les chefs d'État de la région boycottent ostensiblement le Forum économique mondial, de Davos.

En 2003, Lula, fraîchement élu, avait jugé nécessaire de montrer patte blanche dans la station suisse. Six ans plus tard, le ton a changé : «J'en ai marre d'aller à New York, à Londres, de voir de jeunes banquiers m'expliquer comment je dois gérer mon pays, alors qu'ils n'ont jamais mis les pieds au Brésil, et savent à peine où se trouve l'Amérique latine», a-t-il affirmé.

Différences idéologiques

Le président brésilien a préféré oublier les différences idéologiques entre les cinq gouvernements. Dans l'après-midi, il a pourtant été exclu d'une première rencontre entre les quatre autres chefs d'État. Lula, malgré la politique sociale qu'il a mise sur pied au Brésil, n'est pas considéré par les altermondialistes comme un président de la «rupture» comme Hugo Chavez, Evo Morales, Fernando Lugo et Rafael Correa. À l'origine de cette manifestation, le président vénézuélien a voulu montrer que, même au Brésil, il disposait d'un énorme prestige auprès des mouvements sociaux latino-américains. Dans une atmosphère de Woodstock bolivarien, dans une salle où Che Guevara était sur la moitié des tee-shirts, Hugo Chavez a appelé les participants du forum à «passer à l'offensive» pour en finir avec le capitalisme.

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PS : même sans Royal, le courant passe entre les "ségolénistes"

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C'est un courant comme il en existe depuis tout temps au PS. Rocard, Jospin, Fabius ont eu le leur. Désormais, les royalistes vont aussi avoir une structure qui les accompagne", annonce un "ségoléniste". Samedi a eu lieu à Paris la première réunion de "l'Espoir à gauche" , courant des partisans socialistes de Ségolène Royal, organisé autour du député européen Vincent Peillon. Un proche de ce dernier explique au point.fr : "Il nous manque un lieu de concertation, de coordination. Nous devons définir une position commune. Par exemple pour les européennes." Le récent cafouillage entre deux leaders du courant royaliste, le député européen Vincent Peillon et le maire de Dijon François Rebsamen, est une illustration de cette nécessité. Le premier affirmait avoir été consulté par la direction du parti au sujet du contre-plan de relance de l'économie présenté la semaine dernière par Martine Aubry. Le second s'insurgeait du contraire. Un membre du cercle royaliste affirme : "Ce cafouillage est le résultat d'un léger malentendu, rien de grave." Un courant structuré devrait éviter les "erreurs" de communication.

Les partisans de Ségolène Royal, qui était elle-même absente pour cause de forum altermondialiste au Brésil, affirment qu'ils ont par ailleurs "décidé de continuer à travailler ensemble" sur "la rénovation du parti" et "la ligne politique", résume Vincent Peillon. La différence entre ce nouveau courant, qui va devenir une association (comme de nombreux autres courants au PS) et "Désirs d'avenir" , la structure qui a porté Ségolène Royal durant la présidentielle ? "Désirs d'avenir rassemble les partisans de Ségolène Royal qui sont avec elle pour bien d'autres raisons que le fait qu'elle soit socialiste. Espoir à gauche rassemble des cadres, des élus, des membres du Bureau national (parlement du parti). Vincent Peillon en est de facto l'animateur parce que Ségolène Royal n'est pas membre du Bureau national", explique au point.fr le député PS de l'Ardèche Pascal Terrasse. Vincent Peillon va plus loin : "Ségolène Royal doit avoir sa profonde autonomie : son livre *, ses voyages. Ce n'est pas non plus une chef de courant."

En outre, les blessures du congrès de Reims et les conditions contestées de l'élection de Martine Aubry au poste de première secrétaire restent vives. Jeudi soir encore, dans une interview réalisée pour l'émission télévisée À vous de juger sur France 2 , la présidente de Poitou-Charentes a aussi déploré "le sectarisme et l'ostracisme" dont la maire de Lille a fait preuve en refusant que ses amis intègrent la nouvelle direction du parti. Alors que les dirigeants du PS temporisent, précisant que la situation peut encore évoluer, un royaliste tranche : "C'est un jeu de faux-cul depuis le début. Martine Aubry, Benoît Hamon (porte-parole du PS) ou encore le maire de Paris Bertrand Delanoë ne peuvent pas supporter l'idée de travailler avec Ségolène Royal. C'est une question de personnes, pas d'idées." Il ne suffit donc pas de promettre "une ouverture aux royalistes". "Au PS, c'est comme en amour, il faut des preuves", conclut, sérieusement, un proche de Ségolène Royal.

La guerre des deux rosses

Tres interessant votre 29)

Merci

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Jack

Je ne suis pas certaine de qui vous parlez en 31 mais ce pourrait-il que vous fassiez fausse route?

Citation :

(Cf mess. 31) La guerre des deux rosses

(Excellent, bravo !)

Chevaux de retour de la politique franchouillarde et partisane seraient-elles deux personnes causant soucis, malintentionnées, se plaisant à tourmenter, qui persiflent et qui au prix d'une ironie mordante ont le mépris des convenances démocratiques ?

Reste à savoir qui de Gelée Royale et de Tine Brie-de-Maux est Lancastre ou York pour l'instant et surtout laquelle s'affichera Tudor à l'arrivée ?

¥_zed_¥ a écrit:

Vous devez avoir les doigts rouges a écrire autant de textes, je sais bien que, et nous en sommes tous conscients, que l'information doit circuler, mais SVP, ménagé un peu vos pauvres doigts.

ça vous pose des problèmes ?? franchement, vous n'ètes pas obligé de lire si le sujet ne vous intéresse pas

Moi cela m'intéresse Marieden je vous lis ! n'écoutez pas ces mégalos ! Pardonnez leur ils ne savent pas ce qu'ils disent !

Pis de toute façon ca se passe chez nous !

M'enfin, Gaïa, tu vas laisser Marieden prendre son bain à son aise, oui ?

(Et bonjour, hein ? )