POITOU CHARENTS

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Rappel du premier message :

bon, là j'ouvre un fil, c'est trop drôle

"C'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama", considère aujourd'hui la présidente de Poitou-Charentes après avoir affirmé avoir inspiré la campagne de Barack Obama
Obama "inspiré" par Royal : "un trait d'humour mal compris", assure la socialiste

Machine arrière toute. Ségolène Royal s'est rendu compte de l'effet contre-productif de ses déclarations selon lesquelles elle aurait "inspiré Obama et ses équipes l'auraient copiée". L'ancienne candidate à la présidentielle 2007 avait assuré dans un premier temps "assumer" par avance les critiques et les moqueries que cette sortie pourrait susciter. Devant l'avalanche de réactions - 200 rien que sur lepoint.fr - souvent négatives, suscitée par ses propos, elle cherche désormais à se justifier tant bien que mal.

Sur son blog, Désirs d'avenir, la présidente de Poitou-Charentes est revenue sur ses propos publiés sur lemonde.fr, le mardi 20 janvier. "Je viens de prendre connaissance des commentaires moqueurs sur les radios, ce matin, au sujet d'une de mes déclarations sur la campagne de Barack Obama, que j'aurais 'inspirée'", a-t-elle écrit dans un billet passé en ligne mercredi soir, et intitulé "Sur une petite phrase et sur l'essentiel". "Je comprends que cette phrase ait pu surprendre ceux qui, à distance, n'avaient ni le son ni l'image : 'Son ego est devenu totalement démesuré !', se sont-ils dits...". Ségolène Royal, qui s'est rendue à Washington pour suivre l'investiture de Barack Obama, soutient désormais qu'il s'agissait d'une réponse "humoristique" à "une question amicalement provocatrice d'un des journalistes".

"C'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama"

Ce que conteste le journaliste du Monde à l'origine de la question, qui affirme n'avoir "personnellement pas perçu la réponse de Ségolène Royal comme étant de l'humour". "Je peux évidemment m'être mépris, mais la précision sur le fait qu'elle 'assume' m'est apparue confirmer ma perception." Il indique également, sur lemonde.fr, que "c'est Ségolène Royal qui a, la première, abordé ce thème" des points communs entre les deux campagnes. "Je lui ai alors posé la question suivante : 'Donc, ce que vous dites, c'est que c'est vous qui avez inspiré la campagne de Barack Obama ?'"

"Par ailleurs", relativise le journaliste du Monde , "ces propos de Mme Royal tels qu'ils sont résumés dans l'article paru sur lemonde.fr montrent bien qu'elle ne faisait référence qu'à des éléments spécifiques dont l'équipe Obama se serait inspiré en venant chez Désirs d'avenir" (les idées de 'gagnant-gagnant', de 'citoyen-expert", ndlr).

Dans la foulée de Ségolène Royal, les équipes de Nicolas Sarkozy se sont empressées de considérer à leur tour avoir inspiré la campagne de Barack Obama, notamment pour Barack TV, "copier-coller" de Nicolas Sarkozy TV . Une précision apportée sur lepoint.fr par François de la Brosse, conseiller auprès de l'Élysée. Un thème sur lequel Ségolène Royal a complètement changé de ton : "Sur la campagne et l'utilisation d'Internet, c'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama, et peut-être même, ici ou là, à le copier ."

Nombre de messages : 54566 Date d'inscription : 27/10/2008

M'enfin, Gaïa, tu vas laisser Marieden prendre son bain à son aise, oui ? POITOU CHARENTS - Page 4 890803

(Et bonjour, hein ? )

Sujet: Re: POITOU CHARENTS 2/2/2009, 09:21

Ah vous êtes là ? Laughing

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Moi aussi! (ca m'interesse! Laughing

)

Sujet: 41- Chuuuttttt..... 2/2/2009, 10:19

Chuuutttt.... parlez plus bas, Marieden va vous entendre. Je suis caché derrière le rideau. albino

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mais je l'entends respirer POITOU CHARENTS - Page 4 872481

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Le porte-parole du gouvernement Luc Chatel a proposé de" "se cotiser pour offrir une boussole à Mme Royal" après les propos de l'ex-candidate du PS à la présidentielle en direction de l'extrême gauche et du mouvement social.

"Cela est assez déconcertant. Mme Royal a passé la campagne présidentielle a nous expliquer le bien-fondé de l'alliance avec M. Bayrou, avec le centre. Aujourd'hui, elle nous vante les mérites de M. Besancenot et de l'utra-gauche", a déclaré M. Chatel sur Radio J , réagissant aux propos de Mme Royal après le Forum social mondial à Belem au Brésil.

"Une chose m'a frappée à Belem: il n'y a pas de barrière infranchissable entre ces trois composantes que sont la gauche de gouvernement, les mouvements sociaux qui luttent sur le terrain et ce qu'on appelle en France l'extrême-gauche", écrit l'ex-candidate dans le Journal du dimanche . "On pourrait se cotiser pour acheter une boussole à Mme Royal. On savait qu'elle avait perdu le nord, mais de là à aller taquiner Sud, c'est un pas qu'elle franchi allègrement", a ajouté M. Chatel.

"M. Besancenot a des idées qui sont antérieures à son âge mais il est sympathique quand il passe à la télévision. Cela peut susciter de l'intérêt, surtout dans une crise comme aujourd'hui, auprès d'un certain nombre de vieux militants de gauche qui ne voient plus d'alternatives, de contre-propositions au sein du Parti socialiste", a ajouté M. Chatel sur la création du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot.

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Pourquoi Peillon prend ses distances avec Royal

Vincent Peillon, bras droit de Ségolène Royal, marque son autonomie par rapport à l’ex-candidate à la présidentielle. L'approche des élections européennes n'y est sans doute pas pour rien.

Que se passe-t-il entre Ségolène Royal et son bras droit, Vincent Peillon ? Lors du congrès de Reims, l’eurodéputé était un temps pressenti pour occuper la place de premier secrétaire bis, au nom de la motion Royal. Aujourd’hui, il semble prendre quelque peu ses distances avec l'ex-candidate socialiste à la présidentielle.

Les élections européennes de juin prochain ne sont pas étrangères à ce désamour momentané. L’eurodéputé sortant, que nous n'avons pu joindre, se verrait en effet bien mener la liste PS pour le Nord-Ouest. Une ambition mise à mal par la concurrence de Gilles Pargneaux, proche d'Aubry et premier fédéral du Nord. Hier, sur LCI, Peillon a donné des gages de bonne volonté à la première secrétaire, affirmant que «les européennes doivent être une étape sur le chemin qui doit nous conduire à retravailler ensemble sur le fond, sur les orientations dans la vie quotidienne du partie».
Les «beaux yeux» de Martine
Le 29 janvier, lors de la manifestation, Vincent Peillon a rejoint, avec David Assouline, Martine Aubry, histoire de poser pour la photo. «Je lui ai dit qu’elle a de beaux yeux !», nous lançait alors Vincent Peillon. Une boutade. Mais qui veut tout dire.

Lundi, toujours sur LCI, l’eurodéputé se désolidarisait des propos de Royal qui a affirmé dans le JDD qu’«il n'y a pas de barrière infranchissable entre (…) la gauche de gouvernement (…) et l'extrême-gauche». «Franchement, ce ne sont pas les amis de M. Besancenot qui vont permettre à l'Europe d'avancer dans le bon sens, ce sont les socio-démocrates, les socialistes», tranche Vincent Peillon…

Alors que François Rebsamen, un autre proche de Royal, ne s’est pas privé de critiquer le contre-plan de relance PS, Vincent Peillon est au contraire monté au créneau pour défendre un projet auquel «tous» les royalistes ont «été associés».
Gêne au sein même des amis de Royal

Puis il y a dernier livre de Ségolène Royal, «Femme debout». La socialiste y aligne aussi bien Sarkozy que Martine Aubry et d'autres éléphants. Résultat, une certaine gêne au sein même des amis de l’ex-candidate à la présidentielle, Peillon en tête. Un livre «extrêmement personnel», dit-il, tout comme Jean-Louis Bianco, ex-directeur de campagne. Peillon ajoute: «Ségolène Royal doit avoir sa profonde autonomie: son livre, ses voyages (à Washington et au Brésil, ndlr). Ce n'est pas non plus une chef de courant»…

Non, le chef de courant, c’est lui. Samedi, il lançait celui des royalistes, L’espoir à gauche… sans Ségolène Royal, partie au Brésil, pour le forum social. Un signe, peut-être anecdotique, met néanmoins la puce à l’oreille. Sur le site du courant, il faut bien regarder avant de trouver une photo de la socialiste, Royal semblant être ramenée au même rang que les autres membres. «Il y a un courant, dans lequel Ségolène a été, qui l'a soutenue, dans lequel elle reste, qui travaille avec elle, mais qui a maintenant son autonomie», a cadré samedi Peillon, on ne peut plus clairement. Tout en affirmant sa loyauté à Royal.

Les velléités de Ségolène Royal à poursuivre la guerre des deux roses, la défaite de Reims lui restant visiblement au travers de la gorge, n’est plus du tout du goût de Peillon. Qui l’a fait savoir aux membres de L’espoir à gauche: «Sortons de nos bisbilles insupportables entre socialistes, portons le fer sur nos idées, soyons totalement solidaires entre nous». Déjà, le 22 janvier, sur RTL, l'eurodéputé annonçait la couleur: «Les guerres picrocholines au Parti socialiste sont plus que secondaires». «On a eu un congrès, il est fini», «la page est tournée». La gué-guerre socialiste, Peillon a déjà donné. Les européennes valent bien une paix. Armée.

Sujet: 45- Il y a de l'eau dans le gaz... 4/2/2009, 08:20

Tant que ce n'est pas l'eau du bain... POITOU CHARENTS - Page 4 Smiley15

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et voilà qu'elle ramène sa fraise Very Happy

PS : Royal accuse Sarkozy de "mentir"

Vidéo - Dimanche sur France 2, elle s'est dite "très étonnée" d'entendre le président affirmer à propos du site de Gandrange : "c'est pas très grave, il n'y a qu'un four qui ferme". "Mais un four, c'est le moteur même de l'usine", a-t-elle affirmé.

la vidéo ici

http://tf1.lci.fr/infos/france/politique/0,,4249601,00-royal-accuse-sarkozy-de-mentir-.html

Sujet: Re: POITOU CHARENTS 8/2/2009, 20:05

Il y aurait tellement de jeux de mots a faire avec four et moteur.

Disont que je ne cherche pas particulièrement les foudres de Saint-Pierre Razz

Sujet: 48- M'enfin ! 8/2/2009, 20:13

¥_zed_¥ a écrit:: Disont que je ne cherche pas particulièrement les foudres de Saint-Pierre

Il ne faut quand même pas en faire un monstre Zed... Mad

Enfin, il me semble. Smile

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Ségolène Royal a estimé mardi que la crise sociale dans les Antilles est "peut-être le signe avant-coureur de ce qui peut se passer" en métropole et a jugé que Nicolas Sarkozy aurait pu s'y rendre "plutôt qu'à Bagdad".

Ségolène Royal est catégorique. Le secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Yves Jégo "n'aurait pas dû quitter la Guadeloupe, ça a été très mal pris sur place, ça a suscité des tensions supplémentaires", a estimé, l'ex-candidate PS à la présidentielle. "Des négociations étaient en cours, certains points positifs étaient déjà acquis et on n'a pas compris sur place pourquoi il a repris l'avion en catimini", a-t-elle ajouté.
"Ce qui se passe aux Antilles, c'est peut-être le signe avant-coureur de ce qui peut se passer sur le territoire métropolitain et c'est pour ça qu'il faut que le gouvernement soit sérieux et que l'Etat soit présent sur place" a-t-elle déclaré. "S'il est capable de prendre l'avion, pourquoi ne le prend-il pas pour aller dans un département français, peut-être plutôt qu'à Bagdad ou peut-être juste après Bagdad", a souligné la présidente de la région Poitou-Charentes.
Des milliers de personnes ont manifesté lundi à la Guadeloupe lors d'une "journée île morte", dénonçant le retour à Paris de M. Jégo alors que l'île est en grève générale depuis le 20 janvier. Des défilés ont également paralysé Fort-de-France en Martinique, entrée dans la grève jeudi dernier.
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tiens Biloulou a changé son avatar Shocked

Sujet: Re: POITOU CHARENTS 10/2/2009, 12:53

marieden a écrit:: Ségolène Royal a estimé mardi que la crise sociale dans les Antilles est "peut-être le signe avant-coureur de ce qui peut se passer" en métropole et a jugé que Nicolas Sarkozy aurait pu s'y rendre "plutôt qu'à Bagdad".

Ségolène Royal est catégorique. Le secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Yves Jégo "n'aurait pas dû quitter la Guadeloupe, ça a été très mal pris sur place, ça a suscité des tensions supplémentaires", a estimé, l'ex-candidate PS à la présidentielle. "Des négociations étaient en cours, certains points positifs étaient déjà acquis et on n'a pas compris sur place pourquoi il a repris l'avion en catimini", a-t-elle ajouté.
"Ce qui se passe aux Antilles, c'est peut-être le signe avant-coureur de ce qui peut se passer sur le territoire métropolitain et c'est pour ça qu'il faut que le gouvernement soit sérieux et que l'Etat soit présent sur place" a-t-elle déclaré. "S'il est capable de prendre l'avion, pourquoi ne le prend-il pas pour aller dans un département français, peut-être plutôt qu'à Bagdad ou peut-être juste après Bagdad", a souligné la présidente de la région Poitou-Charentes.
Des milliers de personnes ont manifesté lundi à la Guadeloupe lors d'une "journée île morte", dénonçant le retour à Paris de M. Jégo alors que l'île est en grève générale depuis le 20 janvier. Des défilés ont également paralysé Fort-de-France en Martinique, entrée dans la grève jeudi dernier.
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tiens Biloulou a changé son avatar

Ouais c'est juste pour un mois, c'est une promesse qu'il a fait a sa soeur.

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qui ne comprends pas le voyage du Président en Irack...................puisqu'il faut tout lui expliquer !! POITOU CHARENTS - Page 4 456111

AFP - mardi 10 février 2009, 14h05
En Irak, Sarkozy donne son feu vert aux entreprises françaises pour investir

Le président français Nicolas Sarkozy a donné mardi à Bagdad son feu vert aux entreprises françaises pour qu'elles investissent en Irak, lors d'une visite suprise, la première d'un chef de l'Etat français dans ce pays.

"Ma venue ici, c'est pour dire aux entreprises françaises: +c'est le moment, venez investir+", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse commune avec le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki.
M. Sarkozy a annnoncé qu'une large délégation d'entreprises françaises, conduite par le Premier ministre français François Fillon et le chef de la diplomatie Bernard Kouchner, viendrait en Irak "d'ici l'été".
Jusqu'à présent, pour des raisons de sécurité et par crainte des enlèvements, les compagnies françaises n'avaient pas le droit de venir en Irak, mais la sécurité s'est nettement améliorée depuis un an.
Le président français a par ailleurs annoncé la construction prochaine d'une nouvelle ambassade de France à Bagdad et de deux consultats, l'un à Erbil (Kurdistan), l'autre dans la ville portuaire de Bassorah (sud), véritable poumon économique du pays, "afin d'aider ces entreprises qui viendront investir".
Parmi les domaines envisagés, le président français a cité la défense, le secteur pétrolier avec Total et l'eau. "Nous sommes à l'écoute des demandes que nous feront les Irakiens", a-t-il dit.
Qualifiée d'"historique" tant par M. Sarkozy que par son homologue irakien Jalal Talabani, cette visite est également la première d'un président européen depuis l'invasion conduite par les Etats-Unis, qui a renversé Saddam Hussein en 2003.
"Je suis venu avec Bernard Kouchner pour dire au peuple irakien la solidarité de la France", a affirmé le président français à la presse en présence de M. Talabani.
"C'est maintenant qu'il faut aider l'Irak, c'est maintenant qu'il faut s'engager", a-t-il ajouté, soulignant que sa venue à Bagdad était "la concrétisation de l'engagement de la France à vos côtés".
"La France croit à l'unité de l'Irak. Le monde a besoin d'un Irak uni, démocratique, souverain et fort. Notre appui sera constant et sans ingérence", a-t-il assuré. "La France souhaite votre réinsertion dans la région et dans le monde".
M. Sarkozy s'est aussi engagé à une collaboration "sans limites" de la France à la reconstruction de l'Irak.
"Je suis venu marquer la volonté de la France de participer au développement économique de l'Irak, à la réhabilitation des infrastructures", a-t-il déclaré. "Notre collaboration n'a pas de limites".
"Nous souhaitons collaborer sur le plan économique, en matière d'énergie, de reconstruction", a-t-il précisé.
"Nous pouvons vous aider à former vos élites (...), nous pouvons vous aider s'agissant des forces de police et de sécurité, nous pouvons collaborer, former et équiper aussi l'armée irakienne", a-t-il poursuivi.
"Et nous pouvons également vous aider sur le plan diplomatique", a-t-il encore dit. "Notre appui sera constant et sans ingérence".
La France s'était résolument opposée à l'invasion de l'Irak en 2003, ce qui avait tendu ses relations avec les Etats-Unis.
Après l'Irak, Nicolas Sarkozy devait s'envoler pour Oman, Bahreïn et Koweït, pour une tournée visant à renforcer la position de la France dans ces trois pays du Golfe.
Cette visite est la troisième en Irak pour Bernard Kouchner en tant que ministre des Affaires étrangères, qui s'y était déjà rendu en août 2007 et juin 2008.

Invité

pour plus d'emplois, trop difficile à comprendre ??

pour l'instant, dans les Antilles ils ont décidé de ne plus bosser du tout, enfin disons que les syndicats ont décidé pour le peuple

Invité

à Paris elle est entretenue par Pierre Bergé, et puis elle trouve une solution pour que ses voyages soient gratuits : elle demande l'outre mer au PS Very Happy

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Les partisans de l'ancienne candidate à la présidentielle s'interrogent sur leur place à la direction du parti socialiste.

«Les poires à gauche.» Au Parti socialiste, on n'a pas attendu longtemps pour détourner L'Espoir à gauche, le nom du courant que Vincent Peillon vient de créer autour de Ségolène Royal. Le jeu de mots fait beaucoup rire, et pas seulement rue de Solferino. Même les partisans de l'ex-candidate s'en amusent. C'est que depuis le congrès de Reims, ils ont le sentiment de s'être gentiment fait avoir par les spécialistes de la tactique interne socialiste. Mais, si elle a perdu le poste de premier secrétaire dont elle rêvait dans la perspective de 2012, Ségolène Royal ne regrette rien. Sauf peut-être une erreur, avoir accepté que le jospiniste Daniel Vaillant préside la commission de récolement, chargée de vérifier les votes.
Comment réagir ? Que ce soit Ségolène Royal ou les membres de son équipe politique, tout le monde cherche l'attitude à adopter pour peser sur les décisions du parti à la hauteur de leur score lors du vote des motions. Depuis l'épilogue du congrès, Ségolène Royal et Martine Aubry ne se sont pas reparlé. Toutes deux savent qu'il le faudra bien un jour ou l'autre. Leurs équipes aussi. Depuis plusieurs jours, la direction de Martine Aubry laisse entendre que les royalistes pourraient trouver leur place rue de Solferino en créant de nouveaux postes de secrétaires nationaux. Par jeu ou par provocation, Ségolène Royal elle-même a évoqué l'idée d'intégrer la direction aux affaires internationales… à la place de Jean-Christophe Cambadélis. Plus récemment, elle a brigué l'outre-mer.
Ces rumeurs d'ouverture de la direction d'Aubry aux royalistes agacent ces derniers, qui redoutent des tentatives de vente à la découpe de leur mouvement. Mardi, lors du dernier bureau national du parti, Vincent Peillon et Manuel Valls ont mis les choses au clair. «Nous avons proposé une rencontre officielle pour savoir dans quel cadre travailler. Nous ne pourrons rejoindre la direction que s'il y a un geste fort pour Royal ou pour Peillon », a assuré le député maire d'Évry. Une proposition sur laquelle Martine Aubry, Claude Bartolone ou Jean-Christophe Cambadélis se sont penchés en petit comité. Ils réfléchissent à l'idée de confier ponctuellement des missions à Ségolène Royal.

«Au petit bonheur la chance»

En attendant, royalistes et aubrystes vivent chacun leur vie de leur côté. Comme la semaine dernière à Belém, au Brésil, lors du Forum social mondial, où Ségolène Royal et la délégation officielle du PS se sont à peine croisées trois jours durant. Au bout du compte, c'est l'ex-candidate qui a réussi à exploiter l'événement en décrochant une photo avec le président brésilien Lula. Alors que Martine Aubry s'efforce de coordonner la parole des socialistes, Ségolène Royal continue à s'exprimer comme bon lui semble. «Elle a choisi de parler sur des sujets qui lui permettent de prendre de la hauteur sur des enjeux de société et de prendre position sur des questions de fond», explique, dans son équipe, le maire de Laval, Guillaume Garot.
C'est ainsi que, pour plaider la cause des femmes et soulever la question de leur engagement en politique, elle a pris la défense de Rachida Dati dans la polémique sur son retour précoce à la Chancellerie après son accouchement.

Mais, comme souvent, ses prises de position agacent les socialistes. Son dernier livre, Femme debout, a quelque peu crispé la direction du parti, qui n'arrive toujours pas à la saisir. «Difficile de savoir, avec Ségolène, si cela relève d'une stratégie personnelle ou si elle avance au petit bonheur la chance », confie un proche d'Aubry. L'ex-candidate se sent libre. Au point de prendre un petit déjeuner avec Dominique de Villepin et d'échanger des vœux très chaleureux avec Jacques Chirac. Quant à François Bayrou, elle n'a plus aucun contact avec lui depuis la présidentielle, elle qui plaide pour une alliance avec le MoDem.
Ségolène Royal se moque des atermoiements qu'elle provoque au PS. C'est ainsi qu'elle fonctionne. Au coup d'éclat. Et, de toute façon, elle fait une croix sur l'idée d'obtenir un jour le respect de la direction du parti. «Mon procès en cruchitude continue au sein du PS. Que voulez-vous, ça les amuse », confie-t-elle.
Pour tenir jusqu'en 2012, il lui faut relever un triple défi : réussir à exister dans le PS et en dehors du PS, s'opposer à Martine Aubry sans jouer contre le parti, jouer collectif sans se laisser marginaliser. Une gageure. Depuis sa défaite à Reims, Ségolène Royal avance sur une ligne de crête étroite. Elle se voudrait chef de file de la gauche, elle se retrouve minoritaire au sein du parti qui l'a présentée à l'élection présidentielle de 2007. Certes, elle n'a perdu que de 102 voix face à Martine Aubry. Mais elle a perdu. Et pas seulement le poste de première secrétaire. Ce sont aussi tous les moyens logistiques du parti qui se sont envolés. Même avoir une attachée de presse à temps plein devient compliqué. Elle dispose du soutien financier de Pierre Bergé. Mais cela l'expose à la polémique, qu'elle soit entretenue par l'UMP ou par ses adversaires socialistes.
Pendant que Royal se cherche, Aubry avance pour remettre le parti au travail. En prenant soin de ne jamais se laisser entraîner à rejouer les joutes du congrès de Reims. «Nous ne souhaitons avoir aucun débat avec Ségolène devant l'opinion publique», explique un proche de la première secrétaire. La stratégie de la maire de Lille est simple : si elle réussit à redresser le PS, elle deviendra ipso facto la candidate légitime du parti en 2012. Dans l'entourage de l'ex-candidate, on fait remarquer qu'au bout d'un mois et demi de direction, si Martine Aubry avait réussi, « ça se saurait déjà, ça se verrait déjà ». Ségolène Royal elle-même s'interroge : «Mais où est passé le PS, dans cette période que nous traversons où absolument toutes les idées de gauche sont de retour sur la table ?»
Pour obtenir l'investiture du parti en 2012, Royal a tout intérêt à ce qu'Aubry échoue. C'est pourquoi elle a choisi de ne laisser aucun répit à sa rivale, même si officiellement elle assure le contraire. Dans son équipe, on a longuement réfléchi à la meilleure façon d'y parvenir, sans abîmer le parti. «C'est compliqué. Je ne sais pas comment on va s'y prendre », soupirait Aurélie Filippetti début janvier. C'était avant la présentation du contre-plan de relance des socialistes, quand les royalistes se demandaient comment réagir à ce premier acte fort de la maire de Lille. Lors de la réunion du mardi matin de l'équipe politique de Ségolène Royal, certains, comme Delphine Batho, ont proposé de bâtir leur propre plan de relance. «On ne va quand même pas faire un contre-plan de relance au contre-plan de relance», a rétorqué Aurélie Filippetti. L'argument l'a emporté, ce qui n'empêche pas les royalistes de critiquer, encore aujourd'hui, le plan Aubry.
Deux lignes traversent le courant. D'un côté, les partisans de la confrontation avec la direction, comme François Rebsamen ou Malek Boutih, et de l'autre, les tenants de l'apaisement, comme Vincent Peillon ou Patrick Mennucci. « La question n'est pas de savoir si nous devons être mous ou durs, la question, c'est de savoir ce qu'on apporte au PS. Si on n'apporte rien, Aubry ne prendra rien », plaide Mennucci.

L'objectif des régionales

Si Ségolène Royal a décidé de continuer à vivre sa vie à la périphérie du parti, ses partisans doivent peser rue de Solférino. «Ils ont besoin d'une assurance tous risques, persifle un membre de la direction. Ils n'ont aucune envie de la suivre sur une descente, si elle doit descendre.» Or, dans les sondages, Aubry devance désormais Royal. Si cette dernière veut conserver ses chances de se présenter en 2012, elle doit pouvoir s'appuyer sur des forces structurées qui pourront négocier le mode de désignation du candidat. Mais, pour l'instant, les royalistes se cherchent encore. «C'est important de nous définir. Nous ne sommes pas un courant minoritaire, nous sommes la première force du PS», a plaidé Manuel Valls lors de la première réunion de L'Espoir à gauche fin janvier. «Nous sommes le plus grand courant du PS, mais nous sommes minoritaires», a répliqué Patrick Mennucci. S'ils parviennent à intégrer la direction, la question ne se posera plus.
Malgré sa défaite à Reims, la course pour l'investiture reste plus ouverte que jamais pour Ségolène Royal. Elle bénéficie d'un calendrier personnel plutôt favorable. L'année prochaine, elle se représentera à la présidence de la Région Poitou-Charentes. Et même à droite, on ne se fait guère d'illusions sur la possibilité de la battre. «Son horizon, c'est 2010 et les élections régionales, confirme François Rebsamen. Ce sera pour elle l'occasion d'un rebond politique. Elle a là une opportunité de calendrier que les autres n'ont pas.»

Invité

ça promet !!!! il va être face à elle Very Happy

François Hollande, candidat en 2012

POITOU CHARENTS - Page 4 Coeur-

Le Seuil s'apprête à publier un livre d'entretiens de François Hollande avec Pierre Favier, ancien chef du service politique de l'AFP. Dans ce livre, l'ancien premier secrétaire du PS explique qu'il a quitté la direction du parti «pour entrer dans la liste des candidats à l'élection présidentielle de 2012». Il analyse les échecs de la gauche plurielle et préconise la création d'une fédération des partis de gauche, indispensable, selon lui, à «une candidature commune en 2012». Le manuscrit est quasiment bouclé, mais Hollande attend le moment opportun pour sa parution.

Invité

Elle preparait son coup! Elle etait calme ces derniers jours.

Invité

en ce qui la concerne on sait très bien qu'elle se prépare pour 2012, mais à c'est son EX-mari qui se présente aussi, ça va être folklo Very Happy

on ne peut pas dire qu'il y aura crépage de chignon parce en ce qui le concerne, lui, y a plus grand chose à tirer Embarassed

Invité

non non, chaque jour, elle fait parler d'elle, je pense qu'elle doit payer pour passer à la télé ou dans les journaux.

des petites phrases assassines comme : "Sarkozy vendrait des frigidaires à des esquimaux"

Sujet: Re: POITOU CHARENTS 14/2/2009, 10:39

Elle sait qu'on lui fait de la pub ici ? (faudrait la faire payer) !!! Very Happy

Invité

C'est au cas ou elle nous lirait. Embarassed

Invité

L'association Désirs d'avenir assure vendredi que son "financement a été parfaitement régulier"alors que le ministre du budget Eric Woerth avait demandé des éclaircissements.

- Il y a trois semaines, le ministre du Budget Eric Woerth avait suggéré à Ségolène Royal "d'éclaircir" ses liens financiers avec l'homme d'affaires Pierre Bergé, qui revendique l'aide matérielle qu'il apporte à l'ancienne candidate PS à la présidentielle. "Je n'en sais pas assez. Pierre Bergé a ses amitiés, c'est un homme estimable. Il peut aider qui il le souhaite mais ça pose la question du rapport entre l'argent et la politique finalement", avait-il déclaré.

La présidente de la région Poitou-Charentes l'a entendu. L'association Désirs d'avenir (DA) qui la soutient a assuré vendredi que son "financement était parfaitement régulier" et que Ségolène Royal était la "cible" d'une "campagne insidieuse". Le conseil d'administration de cette association lancée par l'ex-candidate PS affirme dans un communiqué : "A l'évidence, Ségolène Royal est la cible de cette campagne insidieuse lancée, sans aucune raison, comme un pauvre contre-feu à la montée du mécontentement contre Nicolas Sarkozy". Qualifiant ces "insinuations" d'"inacceptables", l'association présidée par Me Jean-Pierre Mignard juge qu'elles visent à "porter atteinte" à son "honneur" et sa "considération".

Ségolène Royal "règle un loyer"

Pour DA, M. Woerth "insinue" que l'association "ne respecterait pas la loi sur le financement des partis politiques du 11 mars 1988" et "que Pierre Bergé financerait notre association en s'écartant des prescriptions de la loi". Désirs d'avenir "a renoncé au régime de défiscalisation de la loi de 1988" selon laquelle seules les personnes physiques "peuvent faire un don d'un montant maximum de 7.500 euros", car "l'émission de milliers de reçus surtout - jusqu'à 15.000 - était devenue une tâche lourde et trop accaparante pour nos moyens".

L'association "n'a jamais reçu de don supérieur à 7.500 euros ni de don de personne morale durant toute la période où l'association était soumise à la loi de mars 1988. Son financement a été parfaitement régulier". Elle "règle un loyer pour les lieux qu'elle occupe dans le local de l'association de notre ami Pierre Bergé", affirme Désirs d'avenir, dont les "comptes sont approuvés par un expert comptable et certifiés par un commissaire aux comptes". Elle "n'a donc en aucune façon reçu de dons" de M. Bergé "en violation de la loi".

Invité

La présidente de Poitou-Charentes Ségolène Royal critique la "gestion calamiteuse" du conflit social en Guadeloupe par le gouvernement. Et réclame de la considération pour l'Outre-mer.

Ségolène Royal, soulignant mercredi que le "sang vient de couler en Guadeloupe", a déclaré que c'était "le résultat de l'inertie, du manque de considération de l'Etat pour l'Outre-mer", après le décès par balle d'un syndicaliste guadeloupéen.

"Le sang vient de couler en Guadeloupe et on sait que c'est le résultat de l'inertie et du manque de considération de l'Etat pour l'Outre-mer", a affirmé sur France-info l'ex-candidate PS a la présidentielle.

"Il y a eu cinq semaines de manifestations dans le calme, il y a un besoin de dignité. En face de cela, il y une gestion calamiteuse de cette crise. Le pouvoir est resté totalement sourd aux attentes et aux appels de détresse", selon elle.

La présidente de Poitou-Charentes dénonce "l'incompétence, l'inertie, l'absence même de parole du chef de l'Etat sur un conflit social qui dure depuis cinq semaines, où un habitant sur dix est descendu dans la rue". est ce que ça veut dire que 9 habitants sur 10 ne sont pas d'acord avec cette grève ???

"S'il y avait une telle mobilisation sur un territoire métropolitain, le chef de l'Etat se serait déjà exprimé, le chef du gouvernement aussi".

"Ce qui se dit en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane et à La Réunion, c'est qu'aucun territoire métropolitain n'aurait été traité de cette façon, aucun territoire n'aurait été laissé à l'abandon", lance-t-elle. "C'est à se demander si cette stratégie de pourrissement et d'abandon est volontaire de la part du pouvoir", s'interroge-t-elle.

Mme Royal demande "aux plus hautes autorités de l'Etat d'assumer enfin leur responsabilité, faute de quoi elles prendraient toute la responsabilité de la montée de la violence".
Selon elle, "ce qui se passe aujourd'hui dans les départements d'outre-mer peut être parfaitement précurseur de ce qui risque de se passer sur le territoire national, s'il y a encore ce sentiment très profond d'injustice et si des réponses concrètes ne sont pas apportées à la question de vie chère et des bas salaires".

Invité

Mme Royal demande "aux plus hautes autorités de l'Etat d'assumer enfin leur responsabilité, faute de quoi elles prendraient toute la responsabilité de la montée de la violence".
Selon elle, "ce qui se passe aujourd'hui dans les départements d'outre-mer peut être parfaitement précurseur de ce qui risque de se passer sur le territoire national, s'il y a encore ce sentiment très profond d'injustice et si des réponses concrètes ne sont pas apportées à la question de vie chère et des bas salaires".

ce n'est pas un appel a la violence, ca?

Sujet: 60- Si ça ne l'est pas... 19/2/2009, 08:28

De Sylvette (que je salue) sunny

en "59"

"ce n'est pas un appel a la violence, ca?"

Si ça ne l'est pas c'est tout comme ! Crying or Very sad

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