Pour la gloire d'Israël.

Dans la série animalère de Lawrence et avec une pensée évidente pour lui...

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AFP - Le safari israélien de Ramat Gan près de Tel-Aviv
est devenu le principal exportateur d'hippopotames dans
le monde, a indiqué lundi le quotidien Maariv, à la veille de
l'envoi par bateau de deux de ces animaux en Ukraine.

Les hippopotames israéliens font un malheur à l'exportation
(AFP, le 02 novembre 2009 - 12H13 )

Le safari israélien de Ramat Gan près de Tel-Aviv est devenu le principal exportateur d'hippopotames dans le monde, a indiqué lundi le quotidien Maariv, à la veille de l'envoi par bateau de deux de ces animaux en Ukraine.

En quelques mois, douze de ces mammifères africains ont été vendus notamment au Vietnam, en Russie, au Kazakhstan et en Turquie, a précisé une responsable du safari au quotidien, en affirmant que de nombreux zoos dans le monde se sont portés acquéreurs d'hippopotames.

Selon elle, le safari de Ramat Gan, qui abrite actuellement 38 hippopotames, le chiffre le plus élevé au monde, doit son succès à son savoir-faire en matière d'anesthésie et de transport de ces animaux par mer ou air.

Les hippopotames doivent être endormis la nuit lorsqu'ils quittent leur point d'eau où ils s'ébattent la plupart du temps. Le sédatif utilisé est injecté à l'aide d'une fléchette. Les employés doivent ensuite veiller à que l'animal choisi s'endorme avant d'utiliser un bulldozer pour le transporter et le placer dans une cage.

Le grand danger est que l'hippopotame parvienne, malgré le sédatif, à retourner dans le point d'eau et s'y noie en dormant.

"Les hippopotames se reproduisent relativement vite. La grossesse est de huit mois, la période la plus courte pour les gros animaux et le fait que leurs conditions de vie dans notre safari soient à peu près identiques à leur milieu naturel permet un fort taux de reproduction", a ajouté la responsable

Citation :

Les hippopotames israéliens font un malheur à l'exportation

A-t-on demandé à l'excellent Sigis si les bestioles étaient intactes ou circoncises ?

Privé de son bonnet de bain vaginal de poche, le bulbe glandu hippopotamien est très fragilisé face aux risques d'infection auxquels il est exposé "à cru" lors des séjours prolongés de son propriétaire dans des eaux de baignade qui s'avèrent de véritables bouillons de culture.

9 000 dunams supplémentaires de réserves naturelles
[Mardi 03/11/2009 22:43]




Cette semaine, 9 000 dunams supplémentaires d’Israël ont reçu le statut de réserves naturelles. Le ministre de l’Intérieur a ainsi déclaré les réserves de la mer des coraux à Eilat et des dunes de Palma’him dans le centre du pays, et agrandi la surface intégrée dans les réserves de « Bereikhat Timsa’h » et de « Na’hal Betset ». Ces derniers ajouts concluent une année fructueuse pour l’Autorité des parcs et réserves naturels, qui a obtenu cette année la reconnaissance de 19 nouveaux parcs et réserves.
Eli Amiti, le directeur général de l’Autorité des parcs et réserves naturels a déclaré : « Nous sommes toujours émus lorsque ces longs processus de reconnaissance des réserves aboutissent. C’est en effet la meilleure façon de protéger ces endroits pour les générations avenir. Cela permet à l’Autorité de gérer le terrain sur le plan des recherches scientifiques et de la protection de la nature. Nous pouvons également arranger des chemins pour les promeneurs et faire respecter la loi de protection des réserves naturelles. »
La réserve naturelle des dunes de Palma’him : 6 209 dunams



La réserve se trouve sur le littoral de la Méditerranée, au sud du Nahal Shorek. Elle comprend des dunes, dont une partie sont encore vives. Entre les dunes se trouvent des nappes phréatiques qui permettent la présence d’une flore riche, comprenant l’armoise (Artemisia monosperma), la retam (Retama raetam), des cannes à sucre, etc. De nombreux oiseaux peuvent y être observés, ainsi que des renards, des sangliers, des chacals, etc.
La réserve naturelle du récif de corail : 1 293 dunams



Cette réserve protège le riche récif de corail d’Eilat, qui s’étend sur une longueur de 1 200 mètres, l’un des plus septentrionaux du globe, le seul d’Israël. Le récif est composé d’une falaise de coraux d’une profondeur de 3 à 4 m et d’un banc de sable où sont ancrés deux rochers géants (surnommés Moshé et Yéhoshoua). Plus loin, se trouve une seconde falaise de coraux verticale d’une profondeur de 35 mètres à certains endroits. Dans cette jungle riche de 270 espèces de coraux, quelque 2500 espèces marines (dont certaines sont indigènes) évoluent et se reproduisent : tortues de mer, oursins, crustacés, crabes, éponges, seiches, pieuvres, poissons tropicaux… Mais ce paradis ne peut être conservé que dans des conditions environnementales de stabilité et de propreté. Les travaux sur les plages environnantes et le tourisme insuffisamment contrôlé peuvent détruire les coraux. Cette réserve s’ajoute au 200 parcs et réserves maritimes déclarés dans le monde dans les régions où se trouvent des récifs de coraux.
La réserve du bassin de Timsah : 178 dunams




La réserve se trouve à proximité du Nahal Taninim (rivière des crocodiles) sur le littoral. Elle est constituée de marais qui au début du siècle s’étendaient sur de grandes surfaces. Elle offre une riche biosphère aquatique pour une grande variété d’animaux et de plantes, dont certaines ont déjà commencé à disparaître. On peut y trouver des poissons tels que le Capoeta damascina, le Tilapia zilli, le Sarotherodon galilaeus et l’ Aphanius mento et des crabes…
La réserve de Nahal Betset s’est vue ajouter 1 225 dunams.




par Yael Ancri

Netanyahou s’adresse aux nations
[Dimanche 15/11/2009 21:18]

De nombreux diplomates sont rassemblés à l’hôtel Metzoudat David, à Jérusalem. Des personnalités du monde politique international ont pris la parole, dont l’ex président américain, Bill Clinton, qui s’est imaginé tout haut ce qui serait advenu si Rabin n’avait pas été assassiné.
Le Premier ministre a rejoint le forum diplomatique et s’est adressé aux nations.
Suite aux nombreuses informations allant dans le sens d’une proclamation unilatérale d’indépendance nationale par le chef de l’AP, qui semblent indiquer que les différents Etats, y compris ceux du monde libre, et a fortiori l’ONU, sont prêts à encourager et reconnaître une telle initiative, le Premier ministre a prévenu que toute démarche de l’AP qui ne ferait pas l’objet d’un accord ou d’un compromis servirait de base et de légitimation à des démarches analogues du côté israélien.
« Rien ne pourra remplacer les pourparlers entre Israël et l’AP. Toute démarche unilatérale ne ferait que porter un coup fatal au cadre des accords établis entre nous et pourrait entraîner des actes unilatéraux également de notre part. La voie de la paix passe par la recherche de solutions aux problèmes autour de la table des négociations », a-t-il déclaré.
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a également mis en garde contre les efforts de l’Iran pour obtenir l’arme nucléaire et contre l’attitude de ce dernier qui consiste à menacer toute possibilité de paix et de stabilité au Moyen-Orient:
« La puissance de l’Iran sera considérablement plus forte si jamais ils ont l’arme atomique, les modérés seront affaiblis et les fanatiques renforcés. D’autres Etats moyen orientaux se joindront à la course à l’armement nucléaire. Le régime iranien qui a adopté pour devise d’effacer Israël de la carte s’engagera sans répit à torpiller tout progrès vers la paix entre Israël et ses voisins, qu’il s’agisse de l’AP, de la Syrie ou de toute autre entité. »
Il est revenu sur les aspects néfastes du rapport Goldstone: « Le rapport Goldtone est une menace qui pèse sur l’ensemble de notre région. Israël a non seulement réagi au fait de n’avoir reçu aucun soutien ni légitimation internationale, mais pour avoir de surcroit été accusé de crimes de guerres. Si les organisations terroristes comprennent que leurs crimes sont acceptés quand ils bombardent des populations civiles tout en se cachant elles-mêmes derrières des boucliers humains, il doit être clair pour vous qu’ils réemploieront cette méthode sans relâche. ».
par Yéochoua Sultan

Satisfaction à Tsahal: Kipat Barzel progresse
[Mardi 17/11/2009 16:36]



Le danger des missiles, qui menacent la sécurité d’Israël, pourra-t-il bientôt être écarté grâce aux performances du système de défense anti-aérien Kipat Barzel (dôme de fer)? C’est bien ce qu’espèrent les responsables de la sécurité qui se disent très satisfaits des progrès enregistrés par ce projet permettant de protéger la population des tirs de roquettes de longue et moyenne portée.
D’ici quelques semaines, il est question de tester sérieusement ce nouveau programme. D’après les estimations de son producteur, la société d’armement Rafael, du ministère de la Défense et de Tsahal, il y aurait de fortes chances pour que la première batterie soit déjà livrée à l’armée de l’Air au milieu de l’année 2010.
Un haut responsable militaire aurait confié au quotidien Haaretz que Rafael avait effectué un excellent travail en fabriquant le système Kipat Barzel. Il a précisé que l’armée avait imposé à la société des délais très courts, vu l’urgence de la situation qui exigeait le déploiement quasi-immédiat d’une batterie de missiles antimissiles, surtout face à la bande de Gaza. Mais malgré les difficultés, la compagnie israélienne s’est montrée à la hauteur, en prenant même un peu d’avance.
Kipat Barzel doit pouvoir intercepter des roquettes lancées à une distance allant de quatre à plus de soixante-dix kilomètres. Ce système de défense devrait répondre aux menaces de roquettes Kassam, de Katiouchas ou de Graad et de missiles Fajr de fabrication iranienne qui sont entre les mains du Hezbollah et qui ont peut-être été livrés également au Hamas dans la bande de Gaza.
Le projet a été entériné après de longues démarches. Mais depuis qu’il a été adopté, des efforts importants ont été déployés, tant chez Rafael qu’à Tsahal, afin que le développement de cette arme défensive puisse se faire le plus rapidement possible.
Jusqu’à présent, 860 millions de shekels ont été investis dans ce projet. Par la suite, il est évident qu’il en faudra davantage pour que ce système soit utilisé à plus grande échelle.
par Claire Dana-Picard
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Un traitement du cancer plus précieux que l’or !
[Mercredi 18/11/2009 16:37]





L’institut de technologie du Technion à Haïfa a inauguré un laboratoire proposant un traitement du cancer tout à fait novateur, utilisant des particules d’or et des rayons lasers.
Ce traitement n’est pas agressif, n’entraîne aucun effet secondaire et n’attaque que les cellules cancéreuses, épargnant les cellules saines voisines.
Le laboratoire lui-même se trouve au Centre interdisciplinaire pour les sciences naturelles et l’ingénierie Laurie I. Lokey, construit en 2006 avec le soutien non négligeable – 30 millions de dollars – du philanthrope Laurie Lokey.
Ce projet à la pointe de la recherche scientifique a éveillé l’intérêt de la communauté médicale sur le plan tant local qu’international, gagnant ainsi plusieurs prix permettant l’intensification de la recherche. L’Union européenne a octroyé deux million d’euros et la Fondation israélienne des sciences un million de dollars à ce projet novateur.
Dans la lutte contre le cancer, l’argent est en effet le nerf de la guerre : d’après un communiqué publié par le centre dirigé par le Professeur Aaron Ciechanover, lauréat du prix Nobel, des millions de dollars ont été investis pour équiper le nouveau laboratoire inauguré la semaine dernière.
Dans le laboratoire multidisciplinaire sont effectuées des recherches dans les domaines de la physique, l’optique, la biologie, l’ingénierie et la nanotechnologie biomédicale. Le laboratoire est actuellement engagé dans plusieurs projets novateurs, tous liés aux diagnostics avancés et aux traitements médicaux.
« Nous illuminons la tumeur grâce à une fibre optique laser miniature endoscopique », explique le Dr Dvir Yelin, un chercheur du centre. Et d’ajouter : « Le laser a deux avantages. Premièrement, il est constitué de très courtes pulsions, de millions de milliardièmes de secondes pouvant briser la cellule sans chaleur. Et deuxièmement, le laser a une longueur d’onde correspondant précisément à la fréquence sonore des nanoparticules, ce qui permet d’augmenter fortement l’efficacité du laser. »
Dans ces conditions, le laser opère à une distance de quelques nanomètres (un millionième de millimètre) de la nanoparticule et crée une illumination laser suffisamment intense pour démanteler, par ionisation, la matière se trouvant dans la cellule. Celle-ci meurt sans porter atteinte aux cellules saines voisines.
Le traitement est lié à un nouveau diagnostic récemment développé par un groupe de recherche dirigé par Hossam Haick, également du Technion, dans lequel le médecin fait usage d’un test de respiration utilisant une batterie de capteurs basés sur des nanoparticules d’or. Ce test permet de distinguer la respiration d’une personne atteinte d’un cancer du poumon d’un individu sain dans une atmosphère fortement humide. L’équipe espère développer un test non agressif et bon marché permettant de diagnostiquer le cancer du poumon, basé sur cette étude, qui a fait la une des journaux scientifiques dans le monde après avoir été publiée en août dernier dans le magazine Nature Nanotechnology.
(Cf. : Les scientifiques israéliens écrivent de nombreux articles)
par Yael Ancri

Bientôt un centre du judaïsme séfarade ?



[Vendredi 20/11/2009 11:06]




par Claire Dana-Picard

Lawrence a écrit:

BRAVO JACK,
QUELLE BRAVITUDE POUT TON ÂGE.........

Bonjour Lawrence !

Excuse-moi si je suis un peu hors circuit, mais à part tenter de ridiculiser notre ami Jackleoup quel est l'intérêt de ton intervention ?
Écraser Jackleloup pour tenter de te rehausser à une position plus honorable ?

L’arme secrète d’Israël peut soigner le Proche-Orient

Les Américains pensent à la guerre ou à la religion quand ils pensent à Israël. Mais Israël est aussi une extraordinaire histoire de succès technologiques.
Un sondage datant de mai dernier a compté les sociétés non américaines dans le Nasdaq ; trois sociétés coréennes, cinq entreprises irlandaises, cinq du Royaume-Uni et six du Japon. Soixante-quatre pour Israël.
En 2008 Israël a attiré plus de deux fois le capital-risque par citoyen que celui des États-Unis. Il a attiré 30 fois plus de liquidités que l’Europe continentale et 350 fois plus que l’Inde.
Il existe quelques explications assez communément ethniques pour justifier le miracle technologique israélien. Les Juifs sont censés être intelligents. Les Juifs de l’étranger financent les entreprises israéliennes indépendamment de leur situation. Et ainsi de suite…
Mais ces explications ne suffisent pas comme Dan Senor et Saul Singer le relèvent dans « Start Up Nation. » (Senor est mon collègue au Council on Foreign Relations). Le record israélien de l’innovation a moins à voir avec l’ethnie et plus avec la politique. L’armée israélienne a également joué un rôle surprenant dans le processus.
L’histoire débute dans l’ancien Israël, ses soupçons portant sur le capitalisme et son affection contre-productive pour les coopératives et communautés agricoles. Voici une décennie et demi, le gouvernement israélien a créé un fond de technologie surnommé Yozma. L’objectif d’Yozma était de permettre au capital-risque de se joindre à la création de projets israéliens. Le signal fort que la création Yozma a envoyé a modifié l’attitude israélienne à l’égard des affaires de façon spectaculaire. Un décideur, paraphrasant la remarque de John Lennon sur Elvis a décrit ainsi le changement. «Avant Yozma, il n’y avait rien. »
L’éducation et les femmes
Mais d’autres forces ont contribué à ce succès. Le niveau élevé d’éducation des hommes et des femmes indique aux nouvelles entreprises qu’elles trouveront la bonne personne à embaucher. Pendant son mandat comme ministre des Finances au début de cette décennie, Benjamin Netanyahu fit comme Margaret Thatcher en réduisant les impôts et l’emploi dans la fonction publique, privatisant la compagnie aérienne nationale El Al et le Bezeq l’entreprise publique de télécommunications. Netanyahu supprima progressivement les obligations à haut rendement du gouvernement forçant ainsi des capitaux privés à trouver d’autres emplacements pour investir. Les réformes financières se sont faites sur un marché relativement transparent.
Les auteurs ont identifié plusieurs autres facteurs moins intuitifs. L’un est la tolérance israélienne à l’échec – une faillite n’est pas la fin d’une carrière. Un autre est l’immigration. Certes, les immigrants de l’ex-Union soviétique avaient des diplômes mais ce qui importait le plus était la personnalité de l’immigrant, celle favorisant la prise de risque était sélectionnée et, par conséquent, également le candidat à la « start-up». Le gouvernement a également aidé à ce que les portes universitaires et celles des entreprises soient ouvertes aux immigrants.
Les soldats en affaires
Pourtant, l’arme secrète de l’innovation israélienne est l’armée israélienne. Le projet israélien ne demande pas simplement aux soldats de sexe masculin un mandat de trois ans et de deux années pour les femmes, de plus, ils servent durant une grande partie de leur vie adulte, revenant chaque année. Cela pourrait être vu comme un élément perturbateur de carrière. Mais les unités d’élite de des Forces de Défense Israéliennes finissent par fonctionner comme un sélectionneur efficace de noyaux technologiques, fait que Michael Porter de l’Université de Harvard identifie comme si favorable à l’innovation.
L’avantage d’être associé à une unité d’élite israélienne – les deux plus célèbres sont la Talpiot et la 8200 – est comparable à l’avantage donné par le fait d’aller à Harvard Business School, en mieux, dit l’israélien Tal Keinan.
Keinan est un investisseur israélien et un diplômé de 2001 de Harvard Business School, donc il est en mesure de traduire en termes américains ce que le réseau israélien représente. Il fait remarquer que les retrouvailles à Harvard Business School arrivent seulement à quelques années d’intervalle et se retrouvent des personnes qui ont partagé des tableaux de calcul uniquement, pas des tentes ou des fusils. Keinan dit du lien créé par l’armée israélienne : «Imaginez une réunion chaque année et qui dure de deux à quatre semaines. » Les Israéliens en sont d’autant plus près et plus susceptibles de s’entraider sur des projets.
Les compétences démocratiques
Au-delà de l’avantage de la mise en réseau jouent aussi une hiérarchie plus lisse et les habitudes démocratiques de l’armée israélienne. Les défis de la guerre urbaine ont forcé les militaires israéliens à décliner la chaîne de l’autorité. Ces compétences que même les officiers subalternes ont acquises leur permettent de trouver un emploi civil auprès de personnes qui elles-mêmes ont servi et donc savent comment lire un CV militaire.
Un exemple de la dynamique de la haute technologie militaire est apparue lorsque le président de PayPal Inc, Scott Thompson, était à la recherche de logiciels pour détecter les fraudes ; les innovateurs américains croient qu’ils maîtrisent mieux que quiconque leurs produits.
Offrant une faveur à un investisseur, Thompson a rencontré Shvat Shaked, le co-fondateur de la société israélienne Fraud Sciences. Au grand étonnement de Thompson, Fraud Sciences a été en mesure de prédire la probabilité de l’augmentation de la fraude pour l’ensemble de PayPal que d’autres avaient mis au point. En traçant les terroristes avec la 8200, Shaked et son compatriote vétéran de la 8200 Saar Wilf avaient découvert une caractéristique particulière chez les malfaiteurs – ils essaient de cacher leurs traces. Les innocents, en revanche, ne le font pas. Ils avaient utilisé ces connaissances pour écrire les logiciels les plus compétitifs.
L’opportunité pour les Musulmans
Les investisseurs nourrissent le projet selon lequel les pays à majorité musulmane auront bientôt leur propre Yozma, le nouveau Fonds mondial pour la technologie et d’innovation vanté par le président Obama.
Mais la réussite israélienne suggère que les fonds publics, tout en étant importants, ne sont pas la principale raison de l’innovation high-tech. « La plupart des pays du Moyen-Orient, dit Senor, ne sont pas en retard par manque d’argent. »
Senor suggère que le renforcement de la réserve de talents, en accueillant des femmes dans les effectifs, la faveur du droit à la discussion et du droit de vote des individus au sein de l’armée ou à l’extérieur, la mise en valeur de l’immigration et l’élection d’un gouvernement qui encourage toutes les expériences sont les valeurs qui comptent le plus.
Le deuxième message vaut ici pour les entreprises américaines qui ont tendance à évaluer les vétérans candidats moins favorablement que leurs homologues israéliennes. Les temps passés au combat par nos anciens soldats pourraient se traduire par une capacité à faire la différence dans certaines de nos start-up.
Gilles Raphel

Premier avion solaire

Commémoration à Sdé Boker en souvenir de Ben Gourion
[Lundi 23/11/2009 13:27]




Il y a 36 ans disparaissait l’une des figures les plus marquantes du sionisme, David Ben Gourion, qui a été nommé à la tête du premier gouvernement d’Israël, juste après la création de l’État. A l’occasion de cet anniversaire, une cérémonie officielle a eu lieu dans la matinée au Kibboutz Sdé Boker, dans le Néguev, où Ben Gourion a fini ses jours dans un cadre paisible.
Parmi les personnalités présentes à cette commémoration, se trouvaient le président de l’État, Shimon Pérès, et le Premier ministre Binyamin Netanyahou, qui ont tenu à rendre hommage à l’ancien leader.
Shimon Pérès a tenu à évoquer, dans son allocution, l’attitude de certains soldats, de l’unité Kfir, qui ont déployé récemment des banderoles pour proclamer qu’ils refuseraient d’évacuer des localités juives. Pérès, qui a dénoncé ce comportement, a souligné que « Ben Gourion ne voulait pas de dissensions au sein du peuple ». Il a ajouté que s’il acceptait bien évidemment la formation de partis politiques, dans un contexte démocratique, Ben Gourion souhaitait avoir « une seule armée, sans divisions, soumise à l’autorité du gouvernement, téméraire et respectant des valeurs ».
Autre question que Pérès a bien sûr tenu à évoquer, profitant de cette tribune : la question palestinienne . Le président a exhorté le Premier ministre à mettre un terme au conflit même s’il faut pour cela accepter des « concessions douloureuses ». Concernant l’Iran, Shimon Pérès s’est montré plus lucide, soulignant qu’il fallait tenir compte des menaces du régime des Ayatollahs qui appelait à la destruction d’Israël.
Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a lui aussi évoqué les problèmes récents au sein de l’armée. Il a rappelé que Ben Gourion avait prôné l’idée d’une armée attachée au gouvernement, Il a ajouté qu’il comptait lutter contre tout mouvement incitant au refus d’obéir aux ordres.
par Claire Dana-Picard

Leader arabe dans le sens de "Nation Arabe", bien entendu, ce qui est évident au vu des pays arabes qui ont déclaré la guerre à Israël.
Ben Gourion n'a pas seulement été courageux mais aussi prévoyant : il a érigé une armée puissante et exemplaire.

Bravo !

DANS LE SENS QUE TU VEUX BILOULOU, IL FALLAIT DIRE LA VÉRITÉ....


BRAVO ....

Biloulou a écrit:

Leader arabe dans le sens de "Nation Arabe", bien entendu, ce qui est évident au vu des pays arabes qui ont déclaré la guerre à Israël.
Ben Gourion n'a pas seulement été courageux mais aussi prévoyant : il a érigé une armée puissante et exemplaire.

Bravo !

Lawrence a écrit:

DANS LE SENS QUE TU VEUX BILOULOU, IL FALLAIT DIRE LA VÉRITÉ....

Que je veux ? Roooh...
Dans le bon sens tout court : "Nation Arabe" est une notion vide de sens réel et juridique, dès lors c'est un conte des mille et une nuits de parler de vol, que ce soit en taille 18, en gras, en couleur ou en majuscules. Ou même tout ça ensemble.

Vil flatteur, va !

De la technologie israélienne dans les F-35 américains?







[Mercredi 25/11/2009 17:13]


</A>Les Etats-Unis pourraient réviser leur opposition à l’introduction de technologie israélienne dans leurs futurs chasseurs-bombardiers F-35. Selon l’Agence « Reuters », l’Industrie aéronautique américaine avait proposé à l’Armée de l’Air israélienne d’acheter un certain nombre d’appareils, mais jusqu’à présent, les autorités américaines ont refusé les demandes israéliennes d’effectuer des modifications dans les systèmes informatiques et électroniques des avions en fonction des besoins spécifiques de Tsahal.

par Shraga Blum

L’Histoire l’avait oublié: l’un des plus grands collabos était juif

Il se faisait appeler Jospeh Joanovici. Immigré roumain, arrivé à Paris dans les années 20, mort en 65, ce self-made man fut l’un des hommes les plus riches durant la période de l’Occupation. Pourtant, il était juif. Son destin exceptionnel, tombé dans les oubliettes de l’Histoire, est retracé à travers la série de bandes dessinées "Il était une fois en France".

Sa force : en mordant dans un morceau de métal, il est capable d'en déterminer l'alliage. Très vite, avant guerre, il monte son entreprise, sur le dos de son oncle, qui le recueille, avant de se faire manger la laine sur le dos. "Jospeh" - son vrai nom est Mordhar - est un ogre. Il a faim de pouvoir, d'argent, de réussite, et n'a pas de temps à perdre. Il veut s'enrichir.

Mais Joseph est né au mauvais moment. A peine son entreprise est-elle en train de devenir incontournable que la Seconde Guerre Mondiale éclate. Que faire ? Fuir, comme les autres juifs ? Ou faire front, pour préserver ce qui est acquis ? Joanivici choisit la deuxième option. Et c'est elle qui fera de lui un monstre. Sur le modèle des chefs maffieux, il n'a aucune espèce d'états d'âme. Tout lui convient, dès le moment que ça lui rapporte. A commencer par le commerce avec les nazis, avant guerre, à qui il vend de quoi faire des canons, contournant l'embargo qui frappe la France.

Fort de ces premiers contrats avec les Allemands, Joanovici va jouer à fond la carte de la collaboration sous l'Occupation. N'est-il pas l'industriel qui a fourni le Reich bien avant la guerre ? Incontournable, il agit comme le chef d'entreprise qu'il ne cessera jamais d'être. Quitte à composer avec la pègre parisienne. Quitte à passer, encadré par deux SS, devant tous les juifs menacés par les rafles, pour obtenir un certificat d'aryanité. Reniant sa religion et ses racines, ce milliardaire pragmatique est un personnage ambigu. Au moment où il se met au service de l'occupant, il sauve tous les ouvriers juifs de son usine. Et plus tard, lorsqu'il croise une fille portant l'étoile de David dans le métro, il lui donne une adresse qui pourra peut-être la sauver.

La force de cette bande dessinée imaginée par Fabien Nury sur la base de faits réels, est de ne jamais basculer dans le camp du portrait à charge ou à décharge. Joanovici y apparaît dans toutes ses contradictions. Tantôt maffieux, tantôt généreux, il oscille, au gré des événements, en fonction de ce qui peut assurer sa survie. Pragmatique jusqu'au bout des ongles, il déclare à son assistante, en 1944, au vu de la tournure prise par la guerre : "Je vais investir... dans la résistance".

Lawrence a écrit:

L’Histoire l’avait oublié: l’un des plus grands collabos était juif

Bonjour Lawrence !

Jean-Baptiste Doumeng a dû être son émule distingué....
Mais... quel rapport entre ton texte, particulièrement les passages soulignés, en gras, en couleur, en majuscules, avec Israël ?

La gloire d'un Roumain oublié de l'histoire ?
(Obession, quand tu nous tiens... )

Pas du tout très cher Biloulou,

L'info est importante et doit être diffusée...
Peut être aurais je du ouvrir un lien spécial Juifs & collabos ?

Biloulou a écrit:

La gloire d'un Roumain oublié de l'histoire ?
(Obession, quand tu nous tiens... )

Lawrence a écrit:

Pas du tout très cher Biloulou,
L'info est importante et doit être diffusée...
Peut être aurais je du ouvrir un lien spécial Juifs & collabos ?

Si tu veux... mais ça aurait été encore plus révélateur d'une obsession maladive et d'un antisémitisme latent (c'est un euphémisme).
Enfin, chacun son avis, mais il me semble que...

(Pourquoi pas un fil sur la collaboration pendant la guerre... ou sur les Roumains ? )