Douce France - Nouvelles

Citation :

J'en ai acheté tout
un lot il y a pas mal d'années mais c'était d'occasion...

Vi, je sais que la technologie était encore balbutiante dans les années quarante mais, aujourd'hui c'est super.
La chaleur tournante est incroyable pour la cuisson des viandes. Je ne pourrais plus m'en passer...

Alande-J'aime ma cuisine.

Oui, oui... Marieden et Jackleloup aussi, ils se sont laissés séduire par une offre quadruple play : chaleur tournante, infrarouges, convection et allo gégène.
Ultramoderne, dernière technologie, bref, ça marche presque aussi bien qu'un modèle traditionnel.
On n'arrête pas le progrès...

voui voui exact

La mère reconnaît avoir "volontairement étouffé" ses huit enfants


Le procureur de la République de Douai, Éric Vaillant, a confirmé, jeudi, lors d'une conférence de presse que Dominique Cottrez avait avoué avoir "volontairement étouffé" les huit bébés, ses enfants, exhumés depuis samedi à Villers-au-Tertre (Nord). "Madame Cottrez indique qu'il n'y a pas d'autre cadavre caché", a révélé Éric Vaillant, précisant toutefois que de nouvelles recherches seraient menées.

"Nous sommes en présence d'une affaire hors norme", a reconnu le procureur de la République. La femme, une aide-soignante âgée de 45 ans et mère de deux jeunes femmes d'une vingtaine d'années, a été mise en examen, jeudi matin, pour homicides volontaires sur mineurs.

"Pour le moment, le déni de grossesse n'est absolument pas avancé comme mobile possible par la mère", a précisé Éric Vaillant. "En effet, Mme Cottrez nous a déclaré qu'elle était parfaitement consciente d'être enceinte, à chaque grossesse", a-t-il ajouté. Dominique Cottrez aurait expliqué qu'elle ne "voulait plus d'autre enfant et ne voulait pas voir de médecin" pour employer un moyen de contraception, a précisé le procureur. "Elle a expliqué que son premier accouchement s'était très mal passé, notamment en raison de sa forte corpulence, et que par la suite elle ne voulait plus voir de médecin", a-t-il ajouté.

Le mari est libre

Le procureur a souligné toutefois qu'il ne s'agissait encore là que des déclarations de la mère et qu'elle était toujours présumée innocente. "Il reste un grand nombre d'expertises médicales et psychiatriques à mener, ainsi qu'un grand nombre d'investigations", a-t-il rappelé.
"Les autopsies des nouveau-nés ont été menées lundi et mercredi, et les seuls résultats communicables pour le moment sont que les corps des enfants ne présentent aucune trace de coups", a indiqué le procureur. Les dates précises des décès ne sont pas connues, selon Éric Vaillant. "Les naissances se sont échelonnées entre 1989 et 2006 ou 2007", a-t-il ajouté, précisant que la mère indique avoir étouffé les nouveau-nés immédiatement après avoir accouché. Les médecins légistes doivent donner des informations supplémentaires.
Le mari de Dominique Cottrez assure n'avoir rien su des grossesses et des homicides. Il n'a pas été mis en examen et se trouve donc libre.

Huit cadavres de bébés retrouvés dans un jardin

Encore heureux que les parents ne soient ni "Muzz" ni "Gypsi"...
Que n'aurions nous pas entendu !!!!

La garde à vue de droit commun jugée inconstitutionnelle

Par LEXPRESS.fr, publié le 30/07/2010 à 14:48

Le Conseil constitutionnel vient de rendre sa décision. Cela concerne la majorité des gardes à vue.

Le Conseil constitutionnel a décidé ce vendredi 30 juillet d'abroger à compter du 1er juillet 2011 tout le dispositif régissant les gardes à vue de droit commun, qui excluent les faits de terrorisme, trafic de stupéfiants et criminalité organisée. Un vrai succès pour les avocats et les magistrats qui avaient saisi la haute instance le 1er mars.

"La conciliation entre, d'une part, la prévention des atteintes à l'ordre public et la recherche des auteurs d'infraction et, d'autre part, l'exercice des libertés constitutionnellement garanties, ne peut plus être regardée comme équilibrée", écrivent les Sages dans leur décision.

Citation :

VIDEO. Paris : un car tombe dans la Seine, pas de victimes

Vers 20h30 jeudi, un car de tourisme autrichien est tombé dans la Seine à une centaine de métres du pont d'Iéna. Le bus était vide au moment de sa chute dans le fleuve, selon les policiers. Les 51 passagers, tous de nationalité autrichienne, se trouvaient dans un cabaret au moment de l'incident, tout comme les deux chauffeurs. L'un d'eux, sous le choc, a expliqué au «Parisien» ne pas comprendre ce qui a pu se passer : il se souvient avoir serré le frein à main avant de quitter le car.


Stationné sur le parking du port de La Bourdonnais (VIIe), le car aurait dévalé le quai légèrement en pente à cet endroit. «Je l'ai vu plonger dans la Seine. Au début, j'ai cru à une vision d'optique. Et je me suis ensuite mis à courir dans sa direction », raconte un témoin. Et d'ajouter : «Lorsque je suis arrivé, on ne voyait déjà plus que le toit du car. Ça été très rapide.»
Heureusement, aucun bateau mouche n'était amarré à cet endroit. Le drame a été évité de peu. « Habituellement, un de nos bateaux reste sur cet emplacement », a expliqué un agent des Bateaux Parisiens.

Le chauffeur devait être belge !

Je ne sais pas où Bernard va chercher ses renseignements,
mais ce n'est pas "la langue de chez nous"
Je cite:"Au début, j'ai cru à une vision d'optique"
Pour être une vision,c'est une vision!!!
Donc,croire à une vision d'optique,c'est rêver,non?

Le chauffeur devait être belge !

Pourquoi?

plus rien ne tourne rond dans ce monde de dingues

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Mort d'un enfant battu : les parents écroués
La mère et le beau-père de l'enfant mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l'hôpital Necker, et qui portait des traces de mauvais traitements, ont été mis en examen samedi soir. Mort d'un enfant battu : les parents écroués



La mère et le beau-père de l'enfant mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l'hôpital Necker, et qui portait des traces de mauvais traitements, ont été mis en examen samedi soir. Mort d'un enfant battu : les parents écroués

pff quel dimanche ! non, ça ne tourne plus rond du tout

-------Un couple tué à l'arme blanche dans le Jura

La présidente de l'association des réfugiés laotiens du Jura et son époux ont été retrouvés samedi matin à leur domicile de Saint-Claude. Leur petite-fille de huit mois est indemne.



La présidente de l'association des réfugiés laotiens du Jura et son époux ont été retrouvés samedi matin à leur domicile de Saint-Claude. Leur petite-fille de huit mois est indemne.

Et la folle qui a tué ses 8 bébés à leur naissance !

ah mais là, l'avocat prépare déjà sa défense, "elle a fait un dénie de grossesseS"

avec ça ce sera comme celle qui a congelé ses bébés, elle s'en sort tranquille mimile !!!

Polémique: la vidéo d’une expulsion musclée diffusée sur internet


Une vidéo diffusée sur le site Dailymotion par l'association du Droit au Logement crée la polémique en France: on y voit des policiers procéder à l'évacuation de militants et de squatteurs avec une méthode très brutale.








Cette info en vidéo

• Evacuation très violente de squatters pour le droit au ...
  
• France: expulsion controversée
  

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• Monde - France lun 2 août, 21:38
  

La police française était mise en cause vendredi dernier pour des brutalités après la diffusion d'une vidéo par l'association Droit au logement (DAL), qui montre une expulsion violente de militants et de squatteurs en banlieue parisienne. La vidéo, consultée des centaines de milliers de fois sur le site Dailymotion, montre l'évacuation de militants et de squatteurs, couchés ou assis par terre, résistant à l'opération d'expulsion, agrippés les uns aux autres. Une femme enceinte est évacuée de manière particulièrement musclée.

Une femme et son bébé traînés par terre par les policiers
L'image la plus violente montre une femme, portant un bébé dans son dos, traînée par terre par les policiers. La DAL assure qu'une femme a reçu cinq jours d'incapacité totale de travail alors que la police affirme, elle, qu'il n'y a pas eu de blessés. Le porte-parole du DAL, Jean-Baptiste Eyraud, dénonce des "violences policières". "D'habitude, ça ne va pas jusque là; il y a une aggravation", dit-il.

Une évacuation dans "de relatives bonnes conditions"
Selon la police, l'évacuation "s'est faite selon la procédure légale et les règles d'usage", et "dans de relatives bonnes conditions". Elle affirme qu'il y a eu trois sommations aux personnes pour qu'elles partent.
Environ 150 personnes qui s'étaient installées au pied de cet immeuble à La Courneuve, dans la banlieue parisienne, avaient été évacuées le 21 juillet. Cent vingt-six personnes avaient ensuite été interpellées et conduites dans plusieurs commissariats, puis libérées au fil de la journée.

j'rigole, mais je n'aurais pas aimé être à leur place

Oui,mais c'est tout de même marrant.
Aller,retour,aller...
Ou bien retour,aller,retour.
C'était des immigrés?

à Paris-plage il n'y a pas que du sable et des transats, il y a aussi des animations, entre autres, pour les petits :
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A Paris Plages, les smoothies pour petits



28/07/2010 07:42
Sur les quais de Seine, on ne se dore pas seulement la pilule... A l'atelier smoothies, les enfants découvrent les vertus des fruits et légumes._________________________________________

j'voudrais pas dire, mais j'dis quand même : "Mon'Anana" ????
c'est pas parce que nous sommes en vacances que l'anana a perdu son "S" ? si ?? faudrait voir à voir là, c'est bien de s'occuper des petits encore faut il mieux bien le faire

Et pour rectifier l'erreur, ça va nous coûter combien ?

oui, juste pour 2 petits tirets

figurez vous qu'à ma banque, (BNP Paribas) mes carnets de chèques n'étaient pas vraiment à mon nom.

il manquait deux lettres, (Comme disait zezette dans le père noël est une ordure "ça dépend, ça dépasse") mon patronyme était soit disant trop long pour le logiciel !!!

donc quand le facteur m'apportait le recommandé, il me disait : "si je veux, je ne vous donne pas l'enveloppe parce que ce n'est pas vraiment votre nom"

ça a duré 2 bonnes années

maintenant tout est en ordre

La Courneuve: rassemblement pour "dénoncer les violences policières"










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Monde - France ven 6 août, 21:26
Environ 300 personnes se sont rassemblées vendredi soir devant la mairie de la Courneuve pour "dénoncer les violences policières", une semaine après l'évacuation par la police d'occupants de la barre Balzac, dans la cité des 4.000.
Plusieurs personnes évacuées étaient présentes ainsi que des représentants associatifs et le rappeur Youssoupha.
"Nous avons subi par deux fois une forme de violence de la part de la police, lors de l'expulsion d'abord puis le 21 juillet lorsque la police a employé la force pour évacuer des femmes assises pacifiquement devant la barre", a dénoncé Aboubakar Touré, représentant des familles expulsées, interrogé par un journaliste de l'AFP.
"Lors de cette intervention, les policiers ont arrêté dans un premier temps le porte-parole du DaL (Droit au Logement) puis moi-même afin que nous ne soyons pas présents lors de la suite de l'opération", a ajouté M. Touré.
Pour Eros Sana, qui se présente comme "un simple citoyen revendiquant ses droits pour lui-même et les autres", les images diffusées sur Dailymotion sont choquantes car "on y voit des femmes, assises, pacifiques, avec leurs enfants, faire ce que toute personne de ce pays a le droit de faire, à savoir demander un traitement d'égalité, et on leur envoie la police, dont la mission première est de les protéger normalement".
"Ce que l'on a du mal à saisir, c'est que malgré le buzz sur internet, les médias français n'ont quasiment pas parlé de ce qui s'est passé, les images ont été diffusées quasiment exclusivement par les médias étrangers", dénonce une jeune femme qui a souhaité gardé l'anonymat.
"Est-ce que le préfet, qui a donné son aval à une telle opération, et le ministre de l'intérieur, son supérieur hiérarchique qui a été condamné pour des propos racistes, peuvent continuer à exercer leur mission après cela? Dans une démocratie, ils devraient démissionner" a conclu Eros Sana.
Le 21 juillet la police est intervenue devant la barre Balzac, dans la cité des 4.000 à la Courneuve, pour évacuer des occupants qui s'y étaient installés. Les images de l'intervention, montrant entre autres une femme traînée au sol alors qu'elle a son bébé dans le dos, ont été visionnées plus de 600.000 fois sur le site Dailymotion.

Polygamie: l'épicier nantais Lies Hebbadj toujours en garde à vue pour viols et violences

[img(96px,60px):301b]http://www.rtlinfo.be/pictures/afp/2010_08_08/100x63/photo_1281245665557_1_0[2].jpg[/img:301b]







Monde - France 8:43
Lies Hebbadj, un épicier nantais déjà mis en examen et dont une compagne avait contesté en avril dernier une contravention pour port du niqab au volant, était dimanche matin toujours en garde à vue, pour viols et violences, après une deuxième nuit à la PJ de Nantes.
La garde à vue entamée vendredi soir a été prolongée samedi soir de 24H00 maximum. "Mon client est toujours en garde à vue", a indiqué dimanche matin à l'AFP l'avocate du prévenu Me Cécile de Oliveira.
Les nouvelles investigations contre M. Hebbadj ont pour origine "des accusations de viols et de violences portées à son encontre le 5 août 2010 par l'une de ses anciennes compagnes" pour des faits compris entre 2003 et 2007, selon le procureur de la République de Nantes Xavier Ronsin.
L'avocate de M. Hebbadj a dénoncé samedi les "moyens extraordinaires policiers et judiciaires" déployés contre son client.
La plainte a été déposée par une ancienne compagne répudiée par Lies Hebbadj, qui avait déjà porté contre lui des accusations de maltraitance sur un blog et contre qui M. Hebbadj avait porté plainte en avril pour diffamation.
La jeune femme a elle-même été mise en examen aux côtés d'autres compagnes de M. Hebbadj et de lui même pour fraude aux prestations sociales. C'est après son audition par le juge la semaine dernière dans cette affaire la concernant que le parquet a décidé d'ouvrir une enquête pour viols et violences à l'encontre de M. Hebbadj, précise-t-on de source judiciaire.
Lies Hebbadj s'était fait connaître le 23 avril lorsque lui-même et l'une de ses compagnes avaient contesté publiquement un procès verbal pour port du niqab au volant.
Le jour même de la conférence de presse, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, avait préconisé que le commerçant soit déchu de sa nationalité française, mettant en avant des soupçons de polygamie et de fraudes aux aides sociales.