Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
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L'Américain Reid Bryson, considéré comme le père de la climatologie, s'oppose à la théorie communément imposée qui voudrait que l'homme soit responsable du réchauffement climatique :
"Bien sûr que la terre se réchauffe. Nous sortons d'un âge de petite glaciation depuis environ 300 ans. Mais nous ne produisons pas de CO2 en grande quantité depuis 300 ans. La terre se réchauffe depuis longtemps.
Oui l'homme pollue l'atmosphère et rejette du CO2, mais les effets sont infimes. Ce sont les volcans qui ont amorcé le début du réchauffement climatique. Aujourd'hui, c'est comme si on étudiait les effets d'une charge d'un éléphant en se limitant à la petite mouche posée sur sa tête. Notre focalisation [sur les activités humaines] est totalement absurde.
[La théorie du réchauffement climatique dû à l'homme] n'est pas de la science. Parce qu'il n'y a pas de véritable preuve scientifique qui la soutient."
Guy Sorman écrit dans un récent billet : "ce qui menace la planète , me dit Gary Becker , Prix Nobel d'économie et prof à l'université de Chicago , ce n'est pas le réchauffement climatique mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver ; celles-ci seraient plus dangereuses que le réchauffement en question. Il lui paraît que le risque est réel de voir la croissance mondiale brisée par la passion écologique qui s'empare des politiciens en quête d'une bonne cause."
Les Canadiens seront-ils à la pointe du combat contre l'imbécilité écolo-millénariste ? Toujours est-il qu'ils multiplient les projets pour démonter le mythe du réchauffement à cause humaine. Une association de spécialistes universitaires du Canada, la Friends of Science Association, a été fondée pour informer les citoyens lucides.
Parmi ses conseillers scientifiques, on compte le Dr. Sallie Baliunas, chercheur au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics de Cambridge, Massachusetts, le Dr. Chris de Freitas, professeur associé de géographie et sciences environementales à l'Université d'Auckland, le Dr. Madhav Khandekar, métérologue, du département des l'environnement du Canada et le Dr. Tim Patterson, professeur de géologie et de paléoclimatologie à l'Université Carleton.
LaFriends of ScienceAssociation a produit un petit film documentaire intitulé "la catastrophe climatique annulée, ce que l'on ne vous dit pas sur les changements climatiques" :
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Biloulou
Nombre de messages : 54566 Date d'inscription : 27/10/2008
Réchauffement climatique : Poutine et Trump affichent le même scepticisme (Par Guillaume Descours , AFP, AP, Reuters Agences Publié le 31/03/2017 à 17:15)
Les deux présidents s'attaquent à la lutte contre le changement climatique. Vladimir Poutine a notamment remis en cause la responsabilité de l'homme tandis que Donald Trump a déclaré vouloir relancer l'industrie du charbon.
L'accord de Paris sur le climat semble déjà loin. Alors qu'ils avaient ratifié le texte après la COP21, la Russie et les États-Unis, par la voix de leurs présidents, ont remis en cause cette semaine la lutte contre le réchauffement climatique. Vladimir Poutine a reconsidéré jeudi la responsabilité de l'homme dans le changement climatique lors d'un Forum sur l'Arctique à Arkhangelsk (Russie). «Le réchauffement, il a commencé dans les années 1930. À l'époque, il n'y avait pas encore de tels facteurs anthropologiques comme les émissions [de gaz à effet de serre] mais le réchauffement avait déjà commencé», a-t-il affirmé.
Selon le président russe, il est «impossible» d'empêcher le réchauffement climatique qui pourrait être lié selon lui «à des cycles globaux sur Terre». «La question est de s'y adapter», a estimé Vladimir Poutine. Une opinion en contradiction flagrante avec l'avis de la communauté scientifique, pour laquelle l'influence de l'activité humaine sur le réchauffement de la planète ne fait plus de doute.
Mercredi, alors qu'il était en visite sur l'Archipel François-Joseph en Russie, Vladimir Poutine a surenchéri en expliquant que la fonte des glaces facilitait la navigation dans cette région, ainsi que son «exploitation à des fins économiques», et l'extraction des ressources naturelles. Un discours dissonant avec les déclarations et les engagements de décembre 2015. En effet, la Russie avait promis de réduire de 25 à 30% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030.
Si la lutte contre le réchauffement climatique ne semble plus être une priorité pour la Russie, de l'autre côté du Pacifique, les États-Unis et son président Donald Trump, ne sont pas en reste. Le républicain a promis de prendre position «d'ici fin mai» sur l'accord de Paris qu'il a vivement critiqué pendant la campagne présidentielle. Il avait promis de se retirer de cet accord et de cesser tout paiement «des contribuables américains» aux programmes de l'ONU sur le changement climatique.
Pékin rappelle à l'ordre Washington Alors que sous Barack Obama, les États-Unis avaient joué un rôle de leader, Donald Trump veut lui un renouveau de l'industrie du charbon. Mardi, il a signé un décret au siège de l'Agence de protection de l'environnement pour supprimer ou alléger des contraintes du plan énergie propre de son prédécesseur. Une décision qui a provoqué la polémique. Sur Twitter, Ted Deutch, élu du comté de Palm Beach a ironisé déclarant: «J'espère que @POTUS (Donald Trump) a investi dans une assurance contre les inondations, car quand Mar-a-Lago sera sous l'eau, il n'aura que lui-même à blâmer».
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Panique chez les climatocrédules !
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Le concept de température moyenne à la surface de la terre n’a pas de sens (AgoraVox - par Olivier MONTULET - lundi 3 avril 2017)
Le concept de température moyenne à la surface de la terre n'a pas de sens.
- En thermodynamique une température moyenne n'existe pas car la température n'est jamais homogène dans un milieu et les zones de température sont toujours instables même en milieu clos.
- Si une moyenne de température sur une période en un point donné a du sens, une moyenne de température globale (non localisée) à un moment donné n'a aucun sens.
- Il est impossible d'avoir une uniformité de prise de mesure de température à la surface de la terre.
- la répartition des prises de mesure à la surface du globe n'est pas homogène et ne constitue pas un réseau au maillage cohérent.
- La température varie selon l'altitude. A quel hauteur est-il cohérent de prendre une température significative ? Prendre la température à hauteur du corps à un sens pour les humains (le confort thermique) en un lieu donné et en un temps donné. Mais où prendre une mesure ponctuelle de température pour que celle-ci soit représentative de la t° de l’atmosphère ?
- A supposer que comparer des moyennes de température aurait un sens, la mesure systématique des températures de façon scientifique a débuté au milieu du XIXe siècle et ce dans quelques pays européens. Comment peut-on comparer de façon globale et réaliste des prises de températures au court des siècles et millénaires à fortiori des années et même pour le siècle et demi dernier ?
- Quelle est la validité de la comparaison de températures prises de façon directe (par thermomètre) et de façon indirectes (histoire des récoltes, histoire des épidémies, carottage de sédiments, de glaces, etc.) ? Cela d'autant que les mesures indirectes sont très imprécises pour définir la température mais aussi le moment ?
- Comment, par mesure indirecte, peut-on, extrapoler une température globale alors que nous ne connaissons pas précisément la localisation sur le globe des dépôts aux moments où ils ont eu lieu et dont la localisation à varié tout au long de la succession des dépôts ?
- Comment évaluer une température locale de façon indirecte alors que nous ne connaissons pas les conditions locales et historiques des dépôts ?
- Les mesures satellitaires, elles aussi ne sont pas exemptes de biais. Le rayonnement terrestre est-il réellement significatif de la température de l’atmosphère, au sur plus, globale ? La présence de nuages, de poussières de couches d'épaisseurs, de densités et de compositions variables (très instables) influence ces prises de mesures. La température n'est qu'une variable parmi de nombreuses autres (dont le type de surface terrestre au droit de la prise de mesure) impactant le rayonnement (quelque soit sa longueur d'onde).
- Les mesures satellitaires sont extrêmement récentes et donc sont, non seulement pour des raisons d'incompatibilité entre les prises de mesures de ces satellites mais aussi parce que les mesures satellitaires, sont insignifiantes car le caractère récent de la prise de température satellitaire ne permet pas de faire des comparaisons significatives d'évolution de celles-ci dans le temps.
- Nous n'avons aucun recul pour voir si les modèles établis d'évolution des températures (extrêmement complexes tant il y a des variables que nous ne connaissons et ne maitrisons même pas toutes) sont suffisamment prédictifs pour être fiables dans leurs prévisions mais, a fortiori, pour correspondre à l'évolution constatée ou supposée du passé.
Toutes les méthodes de prises de mesures sont sujettes à des modèles méthodologiques de leur prise mais aussi d'interprétation. Ces modèles ne sont pas les mêmes (forcément) selon les prises de mesures. Tous les modèles sont basés sur des aprioris, des connaissances partielles des phénomènes entrant en jeu, des biais de toutes sortes. Les modèles intègrent souvent des disciplines différentes avec leurs propres biais. Comparer des mesures au sein d'une même discipline et d'un même modèle peut être significatif. Comparer des mesures de modèles différents au sein d'une discipline peut être intéressant pour affiner ces modèles et conforter des intuitions. Intégrer dans un même modèle les résultats de modèles spécifiques de disciplines différentes (a fortiori quand ils décrivent des périodes différentes) ne fait que démultiplier les biais de chaque modèles et y ajouter les propre biais du modèle intégrateur. L’imprécision est totale.
Ici, je n'ai décrit que quelques problèmes méthodologiques. Ajouté à cela les immenses problèmes épistémologiques (non résolus ni même pris en comptes par les climatologues en particulier au sein du GIEC) auxquels est confrontée la discipline climatique fait qu'à ce jour cette discipline est au mieux une préscience en devenir au pire une-pseudoscience.
Un de ces nombreux biais épistémologique s'exprime quand les climatologues avancent qu'il y a consensus sur les causes et effets anthropiques et sur les conséquences du réchauffement climatique (et a fortiori sur ce qu'il faudrait entreprendre). En effet, le consensus (qui n'existe d'ailleurs que du fait de la censure effective -autre biais épistémologique- des contradicteurs de ces modèles) est toujours politique et en aucun cas n'est scientifique. Un scientifique peut avoir raison tout seul en étant isolé. En sciences, c'est le doute qui doit toujours l'emporter car la vérité est méconnaissable, seule l'erreur est connaissable. La sciences évolue par réfutations d'erreurs et va d'erreur en erreur. Jamais du vrai vers des vérités certaines et définitives. Seules les idéologies totalitaires ont des certitudes.
Un des problèmes majeur est qu'il y ait au départ de cette discipline un préjugé (bien plus qu'une hypothèse) qui s'apparente à une "révélation" qui ne peut qu'être confirmée par les modèles, c'est que l'homme (nuisible) détruit la planète et, non seulement, à la capacité -la puissance- de contrarier significativement les forces de la nature et de la vie, mais aussi le fait et pourrait corriger son méfait.
Cette discipline, outre ces biais méthodologiques, épistémologiques et idéologiques, est confrontée aux questions de sa proximité et de sa connivence avec la politique. Ce qui constitue aussi un biais extrêmement grave, celui de la question de son indépendance.
Certes les praticiens de cette discipline (plus que ceux qui l'instrumentalisent à des fins politico-idéologiques voire économiques) sont sans doute de bonne foi. Mais, en l'état de la chose, par leurs affirmations, se comportent comme des pseudo-scientifiques, des scientistes, pire, des gourous promouvant une idéologie.
En sciences, c'est le doute qui doit toujours l'emporter car la vérité est méconnaissable, seule l'erreur est connaissable. La sciences évolue par réfutations d'erreurs et va d'erreur en erreur. Jamais du vrai vers des vérités certaines et définitives. Seules les idéologies totalitaires ont des certitudes.
Montulet est manifestement lecteur de Karl Popper ... dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture (il est d'ailleurs le meilleur critique de la psychanalyse que j'aie jamais lu)
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Le concept de température moyenne à la surface de la terre n’a pas de sens (AgoraVox - par Olivier MONTULET - lundi 3 avril 2017)
(...)
Ici, je n'ai décrit que quelques problèmes méthodologiques. Ajouté à cela les immenses problèmes épistémologiques (non résolus ni même pris en comptes par les climatologues en particulier au sein du GIEC) auxquels est confrontée la discipline climatique fait qu'à ce jour cette discipline est au mieux une préscience en devenir au pire une-pseudoscience. (...)
No capito ! Somebody pourrait-il m'espliquer, please ?
Le bonheur n'est-il pas dans la pré-science ?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
En sciences, c'est le doute qui doit toujours l'emporter car la vérité est méconnaissable, seule l'erreur est connaissable. La sciences évolue par réfutations d'erreurs et va d'erreur en erreur. Jamais du vrai vers des vérités certaines et définitives. Seules les idéologies totalitaires ont des certitudes.
Montulet est manifestement lecteur de Karl Popper ... dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture (il est d'ailleurs le meilleur critique de la psychanalyse que j'aie jamais lu)
La citation que tu mets en exergue permet de mieux saisir le caractère totalitaire et despotique de la doctrine écologiste, pas seulement quand celle-ci devient politique, mais surtout d'une façon bien plus insidieuse et dangereuse, quand elle s'insère dans la vie quotidienne.
(Popper ? Il faudra quand même un jour reconnaître les bienfaits des épinards !)
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Le concept de température moyenne à la surface de la terre n’a pas de sens (AgoraVox - par Olivier MONTULET - lundi 3 avril 2017)
(...)
Ici, je n'ai décrit que quelques problèmes méthodologiques. Ajouté à cela les immenses problèmes épistémologiques (non résolus ni même pris en comptes par les climatologues en particulier au sein du GIEC) auxquels est confrontée la discipline climatique fait qu'à ce jour cette discipline est au mieux une préscience en devenir au pire une-pseudoscience. (...)
No capito ! Somebody pourrait-il m'espliquer, please ? Le bonheur n'est-il pas dans la pré-science ?
Heu... la réponse donnée par Quantat aura mille fois plus de science et de saveur que par moi. Je passe.
(J'espère qu'il travaille demain, comme ça il aura beaucoup de temps à nous consacrer !)
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
En sciences, c'est le doute qui doit toujours l'emporter car la vérité est méconnaissable, seule l'erreur est connaissable. La sciences évolue par réfutations d'erreurs et va d'erreur en erreur. Jamais du vrai vers des vérités certaines et définitives. Seules les idéologies totalitaires ont des certitudes.
Montulet est manifestement lecteur de Karl Popper ... dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture (il est d'ailleurs le meilleur critique de la psychanalyse que j'aie jamais lu)
La citation que tu mets en exergue permet de mieux saisir le caractère totalitaire et despotique de la doctrine écologiste, pas seulement quand celle-ci devient politique, mais surtout d'une façon bien plus insidieuse et dangereuse, quand elle s'insère dans la vie quotidienne.
(Popper ? Il faudra quand même un jour reconnaître les bienfaits des épinards !)
Il n'y a pas de doute là dessus : l'écologisme est une doctrine totalitaire ... le fait qu'elle s'immisce dans nos assiettes et dans nos lits n'est que le symptôme de ce totalitarisme
Mara-des-bois
Nombre de messages : 2572 Date d'inscription : 11/06/2015
Dedicace speciale à Kalawasa, depuis le site des "Moutons Rebelles" : Clic - 20 œuvres de street art qui dénoncent les vérités qui choquent - Clic
Ou
Bien sur, y a toujours possibilité de remplacer "verités" par "fortes presomptions qu'on prendra dans la tronche dans pas longtemps". Enfin perso, j'aime l'art et le cochon...
Mab, tendancieuse
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Le street-art est vraiment de l'art , contrairement à certaines créations de "génies" actuels (je pense notamment à la représentation d'un tas de merde dont le nom du "créateur" m'échappe...)
Ce qui m'énerve, c'est qu'il faudrait un tout petit peu de bon sens pour que nature, animaux et humains vivent en harmonie.... Ce qui me rassure, c'est que la nature peut s'en foutre des humains (mais ce n'est pas réciproque)
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Biloulou et moi étions les 2 seuls climato sceptiques de LP
Je continuerai envers et contre tou(s)t à défendre cette théorie qui nous dit que le réchauffement climatique n'est qu'une phase périodique de la vie de la terre,c'est un cycle que nous ne pouvons changer. Les scientifiques prévoient même une mini glaciation aux alentours de 2030.
On nous bassine et on nous fait croire que c'est le consommateur qui est responsable. Ce n'est qu'une manœuvre pour nous taxer davantage. Il s'agit d'un marché juteux presque inestimable.
je suis d'accord qu'il faut trier ses ordures et polluer le moins possible. Je le fais et à chaque plein de diesel j'ajoute un additif au carburant qui élimine 80% des particules fines à l'échappement. ça coûte bonbon,mais c'est un devoir que je m'impose.
Mara-des-bois
Nombre de messages : 2572 Date d'inscription : 11/06/2015
je suis d'accord qu'il faut trier ses ordures et polluer le moins possible. Je le fais et à chaque plein de diesel j'ajoute un additif au carburant qui élimine 80% des particules fines à l'échappement. ça coûte bonbon,mais c'est un devoir que je m'impose.
Mais c'est affreux, Chary, tu n'es pas un vrai climatosceptique
Mab
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
je suis d'accord qu'il faut trier ses ordures et polluer le moins possible. Je le fais et à chaque plein de diesel j'ajoute un additif au carburant qui élimine 80% des particules fines à l'échappement. ça coûte bonbon,mais c'est un devoir que je m'impose.
Mais c'est affreux, Chary, tu n'es pas un vrai climatosceptique
Mab
ouais même qu'au contrôle technique de ma Peugeot partner diesel vieille de 10 ans ils m'ont dit qu'elle pollue moins qu'une voiture à essence. donc c'est possible et il faut accepter que mon carburant coûte plus cher que l'essence super 98
Younes bis
Nombre de messages : 2362 Date d'inscription : 18/12/2015
je suis d'accord qu'il faut trier ses ordures et polluer le moins possible. Je le fais et à chaque plein de diesel j'ajoute un additif au carburant qui élimine 80% des particules fines à l'échappement. ça coûte bonbon,mais c'est un devoir que je m'impose.
Cela fait une moyenne avec les chauffeurs routiers qui mettent un dispositif électronique pour contourner le couteux additif :
Citation :
Cependant, la technologie est coûteuse (environ 1000€ par an et par camion) et n'incite pas les sociétés de transports routiers à l'utiliser. D'autant qu'elle réduit les performances des camions. Dès lors que le réservoir est vide, ils se mettent en défaut. En janvier 2017, la chaîne de télévision allemande ZDF a assuré que 20% des poids-lourds provenant d'Europe de l'Est et qui circulent en Allemagne étaient équipés d'un logiciel de triche pour contourner la bride. Une enquête de France Inter, révélée le 13 mai, indique que ces modules vendus une centaine d'euros seraient également largement utilisés en France, sans préciser de chiffres pour autant.
Biloulou et moi étions les 2 seuls climato sceptiques de LP
Objection Votre Honneur : j'en fais partie également, à condition de bien définir ce qu'est un climato-sceptique Il est fort possible que le climat soit en train de changer, mais c'était déjà le cas des milliers de fois, naturellement... Si l'homme est en cause, c'est éventuellement à cause de le déforestation excessive, mais pas du rejet de CO² ! La célèbre taxe carbone dont le montage tarabiscoté a été concocté par des débiles profonds a permis aux mafias de détourner des dizaines de milliards €
Marieden
Nombre de messages : 5695 Age : 23 Date d'inscription : 03/12/2014
Biloulou et moi étions les 2 seuls climato sceptiques de LP
Objection Votre Honneur : j'en fais partie également, à condition de bien définir ce qu'est un climato-sceptique Il est fort possible que le climat soit en train de changer, mais c'était déjà le cas des milliers de fois, naturellement... Si l'homme est en cause, c'est éventuellement à cause de le déforestation excessive, mais pas du rejet de CO² ! La célèbre taxe carbone dont le montage tarabiscoté a été concocté par des débiles profonds a permis aux mafias de détourner des dizaines de milliards €
objection vos honneurs, j'en suis également
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Milutin Milanković (1879 – 1958) calcule précisément l’insolation au sommet de l’atmosphère en fonction de la position de la Terre par rapport au Soleil. Milutin Milanković, comme James Croll 70 ans avant lui, fit l’hypothèse que ces oscillations climatiques avaient une origine astronomique. Milutin Milanković qui bénéficiait des solutions d’une meilleure précision apportée aux équations régissant le mouvement des planètes, calcula l’insolation d’été au sommet de l’atmosphère pour différentes latitudes en prenant en compte les variations : - de l’excentricité de l’orbite de la Terre autour du soleil, - de la précession des équinoxes - de l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre (obliquité). Il travailla seul pendant près de 30 ans sur cette question, élaborant une théorie complète du climat depuis le calcul des paramètres orbitaux terrestres jusqu’à la détermination des températures en passant par l’insolation. Il avait en tête que l’insolation d’été des hautes latitudes de l’hémisphère nord était un paramètre critique pour expliquer la succession des cycles glaciaires-interglaciaires. Des étés frais favorisent la persistance des neiges hivernales. L’albedo élevé qui en découle accentue encore le refroidissement et donc l’accumulation de neige au cours des cycles saisonniers suivants. Comme James Croll, Milutin Milanković se heurta au scepticisme de ses contemporains notamment des géographes en place comme Albrecht Penck. Sa théorie était perçue par ses pairs comme une spéculation sans fondements réels ; un seul de ceux-ci, Alfred Wegener, lui aussi auteur d’une thèse hardie rejetée par ses contemporains : la dérive des continents, s’intéressait à ses travaux. Alfred Wegener prit en compte certains des résultats de Milutin Milanković et entretint avec lui une correspondance scientifique suivie sur son hypothèse astronomique. La thèse de Milutin Milanković fut rejetée pour deux raisons principales : D’une part les variations de flux solaire envisagées étaient très faibles (quelques %) et hors de proportion avec l’ampleur des changements thermiques observés. Mais surtout la faiblesse principale de cette théorie tenait à une simplification trop grossière de la réalité : Milutin Milanković ne prenait pas en compte la redistribution de l’énergie par les circulations atmosphériques et océaniques. Et de ce fait, l’évolution climatique de l’hémisphère sud devait être opposée à celle de l’hémisphère nord puisque les insolations d’été des deux hémisphères devaient être inversées ; l’une, au sud serait minimale lorsque l’autre au nord était maximale. Or les observations géologiques disponibles à l’époque contredisaient ces conclusions. Il fallut attendre les années 1970 pour que les améliorations apportées aux reconstitutions paléoclimatiques d’une part, et les progrès des calculs orbitaux d’autre part, puissent permettre des analyses plus fines des corrélations existantes entre ces paramètres de nature très différentes et remettre au goût du jour la théorie de Milutin Milanković. Ces analyses furent menées par plusieurs groupes de paléoclimatologistes. L’une des difficultés qu’ils devaient surmonter était de caractériser quantitativement les glaciations. Pour cela ils utilisèrent un paramètre représentant le volume de la glace déduit de la mesure du rapport isotopique 18O/16O dans le calcaire des coquilles de foraminifères benthiques qu’ils extrayaient de leurs carottes de sédiment. On peut considérer que l’article qui fut décisif pour reconsidérer la thèse de Milutin Milanković fut celui signé par Hays, Imbrie et Shackleton publié dans le journal «Science», en 1976. Ces auteurs apportèrent définitivement des preuves de la validité de la théorie de Milutin Milanković par des données chiffrées. Au cours des derniers 1024 000 ans, ils retrouvèrent la totalité des périodicités prédites par la théorie astronomique, celles de 100 000 ans liée aux variations de l’excentricité de l’orbite terrestre, celles de 41 000 ans liées à l’inclinaison et celles du doublet 23 000 – 19 000 ans caractéristique de la précession. Le succès était total. Les paléoclimatologues en conclurent que les variations de l’insolation initiées par les mouvements de la Terre sur l’écliptique agissaient comme un stimulateur du système climatique en lui imposant son tempo, amplifié ensuite par un enchaînement de boucles d’actions-rétroactions, dans lesquelles entrait en jeu la biosphère, pour expliquer l’amplitude de ces oscillations glaciaires-interglaciaires. Milutin Milanković avait enfin raison mais il était mort depuis 20 ans !
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
ExxonMobil aurait occulté des informations sur le changement climatique Les Echos 23/08/2017 La société pétrolière est accusée d'avoir trompé ses actionnaires et les citoyens en entretenant le doute sur le réchauffement de la planète.
La société pétrolière était-elle au courant que le réchauffement climatique était réel et causé par des activités humaines? C'est ce qu'affirme une étude parue dans « » qui analyse 187 documents produits par le pétrolier américain entre 1977 et 2014. Les auteurs, Geoffey Supran et Naomi Oreskes de l'université de Harvard, expliquent s'être lancés dans cette analyse après le démenti opposé par le pétrolier à des articles de presse...