L'irrémédiable s'est accompli au doux pays de la fille aînée de l'Eglise ; Nicloas Sarkozy, catholique, a laissé circoncire son petit-fils, de mère juive.
Cependant, à la différence de Jacques Chirac qui avait accepté l'invitation du grand rabbin de France à la circoncision de son petit-fils, le président de la république n'a pas assisté à l'odieuse mutilation criminelle.