Napoléon, la France & l'Empire

Que fut la France son son règne ? De lui, des historiens écrivirent qu'il fut "l'un des plus étonnants phénomènes de l'Histoire", "l'Homme du destin", "l'Empereur d'Occident", "Napoléon le Grand, dieu de la Guerre". D'autres, plus critiques, l'on présenté comme un "avorton", un "brigand", un "ogre corse" nourri de "chair française".

Bref, pour les uns, il ne devrait son pouvoir qu'aux baïonnettes et n'aurait songé qu'à modeler la société et les institutions françaises sur un modèle militaire. Pour d'autres, il fut "le plus civil des généraux", le Sauveur que la France des notables attendait pour stabiliser la Révolution. Et c'est vrai qu'à son corps défendant parfois il fut un "jacobin botté" confortant le legs révolutionnaire : avec l'égalité, cette passion française, la disparition du régime seigneurial, avec la possession des biens nationaux, la liberté d'entreprendre.

Même controverses quand il s'agit de considérer l'œuvre de Napoléon en Europe : oppresseur pour les uns, qui citent en exemple l'Espagne, un éveilleur pour les autres, pédagogue de la nécessaire unité des Allemands ou des Italiens. Prêchant la vertu des nationalités, il aurait été, au-delà, le promoteur d'une Europe unie qui, sans cela, ne serait rien face aux Géants de demain, la Russie qui le fascinait, l'Amérique où il rêvait de finir ses jours...

Alors, qui faut-il croire ? Vérité réfléchie par un seul miroir ou bien dans les mille et un morceaux de la vitre éclatée que nous présentent historiens et contemporains ? Tous soulignent cependant, qu'à des degrés divers, l'Empire est toujours là, parmi nous.

A chacun d'être juge, qui répondra ainsi à l'affirmation de Bonaparte : "On ne gouverne les peuples que par leurs opinions."

Une amie avait coutume de me demander de lui faire "un Napoléon" à chacune de nos rencontres ... il aut dire qu'avec elle, il s'agissait plutôt du soir à Austerlitz plutôt qu'un crépuscule à Waterloo !

Même comparé à Napoléon III, il est petit .

La France à la fin du XVIIIeme siècle était une puissance continentale majeure. La Révolution fut un épisode important sur le sol européen. Rien d'étonnant à ce qu'un homme comme Napoléon marqua les esprits de l'époque.
Ce qui me surprend, c'est la moyenne d'age, moins de trente ans !
Cela nous change des vieux débris actuels...

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Citation :

Cela nous change des vieux débris actuels...

Quelle taille ont-ils les débris d'un vieux de 44 balais ?

Toujours de bonnes tailles et aptes aux ouvrages, d'après ces dames...

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alande a écrit:

Toujours de bonnes tailles et aptes aux ouvrages, d'après ces dames...

Puisque vous vous dites de taille, voilà qui est encourageant pour enfin se décider à contribuer au renouvellement des générations en remettant ces dames cent fois sur l'ouvrage, ne pensez-vous pas ?

Que nenni, mon ami !
Je n'ai jamais cru que l'avenir d'une femme passait forcement par celui d'un homme. Ce serait la rabaisser...
Un mal des siècles que la femme doit s'affranchir.
Je la préfère pute que mariée...

La femme est l'avenir de l'homme et l'homme n'est l'avenir de rien.

Cette phrase est bien joli, certes !
Mais très machiste...

Vingt ans et plus se sont écoulés depuis que Mme Vigé-Lebrun peignait ce portrait de la superbe Mme de Talleyrand.

Celle-ci était malheureuse en ménage, et Napoléon ne cessait pas de la poursuivre de sa haine.

Il exigea que Talleyrand se fusse séparé d'elle. Bien entendu, l'évêque, qui a déjà commis une faute en se mariant, refuse d'aggraver son cas en divorçant. Alors, Napoléon traite Mme de Talleyrand de "catin" et de "putain". Puis il insulte Talleyrand en face, en lui criant : "Vous êtes de la merde dans un bas de soie !".

Mais Talleyrand, qui a tant concouru au succès du 18 Brumaire, est sur le point de diriger la manœuvre qui jettera Napoléon a bas de sa monture.