Joan Chen, ma muse

Eddie, en plein verger, a écrit:

Kékun s'est-il déjà préoccupé de savoir à quelle variété appartenait cette diabolique pomme serpentine ?

J'aurais bien vu une Pink Lady ?


Mab

Les transports en commun comme ça, moi je dis oui ! ... et je suis même prêt à laisser le 4*4 BM

C'est Misono !

C'est encore Misono !

C'est toujours Misono !

Pour Tomouni le doute n'est plus permis : " Jésus était japonais ! "

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Citation :

Pour Tomouni le doute n'est plus permis : " Jésus était japonais ! "

Il serait temps qu'un gone lui fasse goûter son Jésus de Lyon pour qu'elle admette que Jésus est gaulois.

On remarquera que, si le visage de Joan Chen est éminemment changeant, d'autres détails de son anatomie restent très stables - enfin, selon la position...

Biloulou a écrit:

On remarquera que, si le visage de Joan Chen est éminemment changeant, d'autres détails de son anatomie restent très stables - enfin, selon la position...

... oui, c'est l'éternel féminin ...

Celtibère ! André cite Goethe !

Il devrait venir en « métaphysique » faire rebondir les débats aplatis par des sectaires de la compréhension unique.

L'image valant mille mots, leur ajoutant les innombrables synonymes (pour ceux qui sont tangentiels au discours), on aurait de quoi s'amuser pendant des lustres, et même quelques lampadaires.

Cet André, quel « dragon » cracheur de flammes ! (Des flammes jaunes uniquement. Il doit être daltonien.)

Citation :

Cet André, quel « dragon » cracheur de flammes !

... Tiens, tiens, Monsieur Hugolotte me rappelle bigrement un vieil ami québécois avec qui, jadis et depuis l'extrême orient, j'avais coutume de converser agréablement ...

... me trompe-je ????

« ... Tiens, tiens, Monsieur Hugolotte me rappelle bigrement un vieil ami québécois avec qui, jadis et depuis l'extrême orient, j'avais coutume de converser agréablement ...

... me trompe-je ???? »

Renouvèle ce plaisir selon ton envi, mon ami virtuel.

Je n'ai pas appris à t'oublier.

(De l'Extrême-Orient, précises-tu ? Non. C'était plus loin que ça, Dragon. Tu étais encore « prisonnier » de l'Afrique, à ton dam, mais tu rêvais de l'Asie, me confias-tu. Il appert donc que ton rêve s'est réalisé. J'en suis content. J'aime le succès, quand même n'est-il pas le mien. Rappèle-toi du baobab où je te voyais déployer tes ailes agréablement cyniques, ton regard tourné vers l'Orient, ta Terre Promise. Et t'y voilà, semble-t-il ? L'idée m'est agréable. Fais un homme de toi, mon ami. Je veux dire: ne change pas. Je t'aime comme je t'ai connu, en espérance de. Car j'en suis là encore. Nous sommes frères de projet.)

Cher Hugo ... ça me fait bien plaisir, après tout ce temps, de te retrouver !

Nous avions déjà, en ce temps là, nos détracteurs et nos détractrices ... dont le sinistre Biloulou car de sinistre mémoire ... il rôde encore même s'il n'est plus très vert autrement que de rage parfois (à mon endroit) ... Ses ennuis de vessies et d'autres bulbes et vésicules l'aigrissent ... sa prostate le chatouille, cette fripouille ...

Notre amie Marie nous manque ... J'aimais me retrouver au bord des lagons avec elle ...

Tu as raison, désormais Dragon n'est plus au Congo ... Sa pointe noire n'y fait plus que d'épisodiques et sporadiques apparitions alimentaires ... finalement les baobabs me manquent aussi ... nous y palabrions à l'envi en tubabs fiers de nos conquêtes ...

« Cher Hugo ... ça me fait bien plaisir, après tout ce temps, de te retrouver ! »

Je ne dirai rien, publiquement, de mon plaisir égal, des malfaisants se feraient des scénarios impossibles.

« Nous avions déjà, en ce temps là, nos détracteurs et nos détractrices ... dont le sinistre Biloulou car de sinistre mémoire ... »

Oublie Biloulou, Dragon. Si tu ne saisis pas cet énergumène au troisième degré, tu ne sais pas qui il est. Devrais-je me confesser d'avoir toujours eu un faible pour lui ? Je ne peux que te dire, en ma conscience actuelle, que je n'ai pas eu tort. Quoi qu'en pense tout un chacun, dont toi, Biloulou m'est précieux. À sa façon maladroite d'être aimé, car timide est-il, jusqu'à la paranoïa, j'ai gagné à le connaitre mieux, ce triste individu. Il m'est précieux, mon Celtibère. Surtout qu'il me fit connaitre Mariza. Vois comme il est triste, cet individu !

Désolé, moi, je l'aime, le Celtibère - je ne sais toujours pas pourquoi, j'obéis pour une fois à mes instincts. C'est juste de moi à moi, ça ne te concerne pas, mon ami. Tu peux m'en dire tout le mal que tu connais. Je ne le lui répéterai pas. Mais je n'avalerai pas, je me contenterai de recevoir ton ressentiment, puisque c'est le tien, et en cela recevable.

« il rôde encore même s'il n'est plus très vert autrement que de rage parfois (à mon endroit) ... Ses ennuis de vessies et d'autres bulbes et vésicules l'aigrissent ... sa prostate le chatouille, cette fripouille ... »

Dragon ! Dragon ! Si Biloulou t'haïssait, il te l'aurait déjà fait savoir. Quoi, mon ami, tu n'aimes pas la critique en ton endroit ? Sois plus fort que l'adversité. Continue ta route. Le peu que j'en ai appris, j'ai essayé, à la hauteur de ma maladresse, de le faire mien. Continue, si tu veux, de m'apprendre mieux qui je pourrais oser être. J'aime ce qui me dépasse, car j'ai eu une éducation dévolue aux autres et non à moi. Ce que j'ai aimai de notre courte, et combien agréable, correspondance, c'est que tu me convias à me dépasser, cette enfance vouée à l'urgence des autres plutôt qu'à la mienne, à ce que je sais assumer puisque c'est moi. Tu m'as beaucoup appris, peut-être à ton insu, à ce niveau. C'est pourquoi je n'ai pas su t'oublier. J'avais de la reconnaissance pour ta générosité.

J'ai patienté ton retour probable, quoiqu'incertain, parce que je te voulais libre. Et quand tu partis, j'ai compris que c'était au nom de ta liberté. Je pense que Tahitienne comprit aussi la même évidence. Nous t'aimons libre, Dragon, jusque de nous.

Ton départ de ma messagerie me fut chagrin, mais je te préférais libre qu'attaché. La Vie se poursuivit, se souvenant juste un peu de toi pour m'inspirer mieux dans mes projets. C'est tout. Je n'avais aucune rancune, juste un beau souvenir. Je te préférais heureux qu'attaché.

Si tu savais, mon ami, ce que j'ai perdu en venant dans le Monde forumesque de beautés humaines et rares envolées, dont tu fis partie, tu considérerais ton silence épistolaire comme d'une autre invitation à retourner à mes essentiels pour les réaliser mieux. Ce que je fis. Car j'aime avancer, pour ne pas être un enraciné (rappel à Zed). Le mouvement, c'est d'avancé.

« Notre amie Marie nous manque ... J'aimais me retrouver au bord des lagons avec elle ... »

Moi pas, Dragon. Je voudrais trop la cajoler. J'ai un autre avenir à assumer que d'aimer une femme, si j'assumais cet avenir-là, qui est mien, je pense que je pourrais apprendre enfin à aimer. Pas aimer l'amour, c'est contraire à ma dialectique, mais d'aimer une femme. Faute d'une femme, est-ce bête, moi qui ne soit pas homosexuel, j'ai appris mieux à aimer des Dragon, des Biloulou et des Pétards. Et surtout mon regretté Lagardère, que vous ne connaissez pas, vous mes lecteurs. Un être exceptionnel. Et l'exception est souvent éphémère. Ainsi le fut l'avatar Lagardère, connu dans mon tout premier forum. Je bâtis ma vie sur des émotions importantes, elles me guident. Voilà, je vous ai parlé de mes émotions fondatrices. Deux femmes en font partie, et je les nommerai pas. Par une sorte de courtoisie un peu gênée.

Toi, André, tu penses ce que tu veux de Biloulou et je l'accepte d'emblée sans arrière-pensée, tu le vécus différemment de moi, car tu es différent de moi, ce qui était ton charme premier. Accepte en retour mon amitié pour ce garnement. Nous n'avons pas à nous corroborer, toi et moi, pas plus maintenant qu'hier, juste à nous découvrir mieux, pour le plaisir de découvrir ce qui nous dépassait. J'aime apprendre.

Apprends-moi. Je t'aimerai pour ce cadeau. Tais-toi, j'attendrai. J'ai déjà attendu ton retour, tout en vivant ma vie. Je saurai le faire encore. Pour toi et pour quiconque compta dans ma vie. Pas plus compliqué que ça.

« Tu as raison, désormais Dragon n'est plus au Congo ... Sa pointe noire n'y fait plus que d'épisodiques et sporadiques apparitions alimentaires ... finalement les baobabs me manquent aussi ... nous y palabrions à l'envi en tubabs fiers de nos conquêtes ... »

Le Baobab m'a manqué aussi. Mais bon, la Vie continue. Cet arbre tropical, concocté par mon imaginaire créatif, mais honnête, dans un certain contexte visait à t'offrir une union intellectuelle.

De mes expériences existentielles ai-je appris que je pouvais, moi un mâle, aimer un mâle sans un lit de démonstration physique, car l'intellect est loin de la chair, que je réserve dans mon désir pour les femmes. Cette chair-là appèle mon gout et ma dégustation, signes d'une patience de désirer. Hélas, pour l'instant, c'est plus théorique que pratique. La vraie Vie est lointaine de nos rêveries, n'est-ce pas ?

Bref !

Tout ce blabla pour te dire que je suis content de te retrouver, non pour moi d'abord, mais de te savoir heureux en toi-même. (Quant à cette monstruosité qu'est Biloulou, prends ça cool, ami, Mariza le préoccupe plus que tu saurais le faire, même photo à l'appui. Et je le comprends. Tes photos les plus érotiques n'arrivent pas aux genoux de Mariza. Penserais-tu que le Celtibère m'aurait manipulé jusqu'à l'os ? Pantoute ! C'est moi qui l'ai manipulé, le triste individu, obtenant de lui deux précieux DVD que je n'eus pas à acheter en magasin, cela m'aurait obligé de sortir de ma thébaïde, vois-tu. Qui a manipulé l'autre, crois-tu ?

En terminant, cher Dragon, oublie ce Biloulou comme étant ton adversaire dédié, voulant ta peau et même pas tannée ; s'il trouve à redire parfois de tes frasques, il ne te hait point. Peut-être espère-t-il, comme moi, de voir André dire ses mots au lieu de montrer ces images qui parlent pour lui Mais peut-être comprends-je mieux que celui ce que tu signifies par ces photos.

À voir.

Salut, Dragon. C'est le fun. En tabarnak.

Et bien cher Hugo, revenons à l'origine de ce fil ... à Joan, alias "Mama" dans "Heaven and earth" (entre ciel et terre) ... regarde bien et tu m'y trouveras ... quelque part dans la moiteur de Saïgon ... à côté d'une Joan ... presque identique ...

Aurais-tu un lien vers ces photos ?

Je ne suis pas très fortiche en recherche Google, et je ne le fus pas mieux ce coup-ci.

269 -

Hello Cher Albanix bonsoir,

Je ne vous savais pas si enthousiaste pour les frangins Bogdanov.
Mais bon, dans l'immensité de l'Univers tout est possible.

EddieCochran a écrit:

269 -

Hello Cher Albanix bonsoir,

Je ne vous savais pas si enthousiaste pour les frangins Bogdanov.
Mais bon, dans l'immensité de l'Univers tout est possible.

Bof, il faut bien un peu de brutes dans ce monde de tendresse.

andre a écrit:

(...) Nous avions déjà, en ce temps là, nos détracteurs et nos détractrices ... dont le sinistre Biloulou car de sinistre mémoire ... il rôde encore même s'il n'est plus très vert autrement que de rage parfois (à mon endroit) ... Ses ennuis de vessies et d'autres bulbes et vésicules l'aigrissent ... sa prostate le chatouille, cette fripouille ... (...)

HugoLotte a écrit:

(...) Oublie Biloulou, Dragon. Si tu ne saisis pas cet énergumène au troisième degré, tu ne sais pas qui il est. Devrais-je me confesser d'avoir toujours eu un faible pour lui ? Je ne peux que te dire, en ma conscience actuelle, que je n'ai pas eu tort. Quoi qu'en pense tout un chacun, dont toi, Biloulou m'est précieux. À sa façon maladroite d'être aimé, car timide est-il, jusqu'à la paranoïa, j'ai gagné à le connaitre mieux, ce triste individu. Il m'est précieux, mon Celtibère. Surtout qu'il me fit connaitre Mariza. Vois comme il est triste, cet individu !

Désolé, moi, je l'aime, le Celtibère - je ne sais toujours pas pourquoi, j'obéis pour une fois à mes instincts. C'est juste de moi à moi, ça ne te concerne pas, mon ami. Tu peux m'en dire tout le mal que tu connais. Je ne le lui répéterai pas. Mais je n'avalerai pas, je me contenterai de recevoir ton ressentiment, puisque c'est le tien, et en cela recevable.

« il rôde encore même s'il n'est plus très vert autrement que de rage parfois (à mon endroit) ... Ses ennuis de vessies et d'autres bulbes et vésicules l'aigrissent ... sa prostate le chatouille, cette fripouille ... »

Dragon ! Dragon ! Si Biloulou t'haïssait, il te l'aurait déjà fait savoir. (...)

Bonjour Hugo !

Ne te méprends pas, il y a longtemps déjà qu'il existe un accord tacite entre ExCathedra et moi, accord qui ne peut exister qu'entre gens qui se comprennent et s'apprécient.
Mais volà, il lui arrive, pour m'enquiquiner et montrer ainsi qu'il pense à moi, de répandre de la savonnée (c'est du belche) autour de lui, en oubliant qu'il doit marcher dedans pour s'en sortir...

C'est son drame, en rapport à LP.

... Si Bilou se met à causer "belche", comment veux-tu, cher Hugo, que je m'y retrouve !