Biloulou est un homme riche !

Rappel du premier message :

http://bizinformation.com/fr/www.librespropos.1fr1.net

Grace à nous, LP est évalué à 663.414,49 € ! (cf. le site ici)

Il pourrait nous remercier en redistribuant un peu !!!!

La femellitude est cette part inhérente au sexe d'en face par laquelle il n'est pas tabou de consommer sa mère.

Le hic est que cette agape exige une maturité qui n'est pas commune à toutes les bourses prêtes à se délier pour écouler leur richesse ostentatoire.

Dans « âme-soeur », il y a ce mot qui rendent les buchers très inflammables.

*Et qui va l'écouler , la fausse monnaie * David .

Moi ! David , mais pour ça nous faudra des gi's pour torturer le vieux bilou le pendre ensuite , allez prendre ce qu'y'a dans le coffre . Chui sur que Bilou à le double des clés , Saint pierre n'est toujours là c'est qu'à noèl qu'il vient recharger Bilou parole david c'est vrai , t'a oublié pearl harbour , le 9/11 les falklands ...
Le pape par la gràce de saint pierre a su convértir le juif gorbatchev au christianisme Picsou . Il a d'autres choses à faire saint pierre .
Quand est ce qu'on passe à l'action David , gentil Bilou meme pas Picsou !
Un chuoia p*etre

Zora.

Qu'est ce que l'argent de Biloulou peut faire causer....


Mab, bavarde

Citation :

Qu'est ce que l'argent de Biloulou peut faire causer....

L'envie mène le monde...

Et avec de l'argent je pourrais me payer la femellitude dont vient de m'enseigner le sens mon cher ami Hugo . Alors on y va David ou tu restes là hypnosé par Mab .

Zora.

Pétard a écrit:

ou de la femellitude exacerbée de l'otte Hugo!

Parce qu'en plus tu n'aimes pas la femellitude ?
Macho !


Mab

* David je sais que Mab t'offres tes aises , quand meme toi tu veux pas connaitre la femellitude à Hugo , c'est philo ces machins meilleurs que des divértissements , enfin dans la vie reelle Dave . Réveille toi t'es hypnotisé crois moi le truc à l'hypnose c'est comme l'acide tu te rends compte rien .*

*Libérez le canard Princesse*
Zora.

« la femellitude exacerbée de l'otte Hugo! » pétarade Pétard.

Exacerbée, exacerbée... bof ! à peine un paragraphe du roman d'Onan.

(J'aurais pu évoquer Occam, mais j'ai appris de Quantat, au détour d'un mur de gare, que l'individu était armé d'un rasoir. Mes joues glabres en ont rougi ; n'écoutant que ma pleutrerie, j'ai changé de voie.)

La femellitude n'irrite pas, elle invite. À se retrouver. Lové. On n'enlève l'accent et l'essence du message nous enflamme.

Emportée, cela aurait mieux convenu qu'exacerbée. (Est-ce que je « lirais » trop André ?)

Je suis riche.
Je suis riche du bonheur de m'imaginer tout ce que vous allez faire de mon argent... imaginaire !

Biloulou a écrit:

Je suis riche.
Je suis riche du bonheur de m'imaginer tout ce que vous allez faire de mon argent... imaginaire !

C'est de la monnaie de singe?

« C'est de la monnaie de singe? »

Je m'insurge, Saint Pierre, un étrange a volé mon avatar pour ajouter des maux à son message ! Il est du type paresseux, m'est avis, profitant de la sueur des autres pour se faire du capital intellectuel... Plus capitaliste que ça, tu déposes ton bilan devant le C.A. des Orfèvres (les premiers banquiers du temps que l'âge de la civilisation était qualifié de « moyen »).

Justement, Celtibère, ta « richesse » laisse à imaginer. Qu'attendais-tu de plus efficace de ta réussite ?

Pour ma part, ce que j'attends de ta richesse, c'est sa reddition (au sens juridique du terme, lâche-moi patience avec l'étymologie, pour une fois ; je sais pertinemment que tu ne sais pas « rendre », faut te le voler).

Citation :

...Emportée...

Ah!...

Oui, je vois.

Comme le skieur sur la pente de skis!

QS: Mais qui n'a aucune idée déyousqu'il s'en va avec la paire...

HugoLotte a écrit:

Pour ma part, ce que j'attends de ta richesse, c'est sa reddition (au sens juridique du terme, lâche-moi patience avec l'étymologie, pour une fois ; je sais pertinemment que tu ne sais pas « rendre », faut te le voler).

Je prends tout LP à témoin, c'est un scandale d'entendre ce vieux satrape parler de la sorte !

*Je prends tout L.P à témoin * BILOU.

Moi y'm'fait perdre la tete la fille qui représente André , tu peux te le garder ton argent , je témoignerais pour toi à une condition .

Bien entendu, Zora !

* Mérci Bilou !*

bodieu y m fait perdre la tete la fille à André , je lui offre 2 chamelles et 13 chèvres pour l'Avoir comme zépouse . Ok , passe le mot Bilou et je témoignerais pour toi tout en renonçant aux désseins picsouèques de David .

Bodieu bodieu je vais pas dormir avant d'avoir conclu cette affaire /*

« Je prends tout LP à témoin, c'est un scandale d'entendre ce vieux satrape parler de la sorte ! »

J'ai souvenance de m'être déjà insurger auprès de Saint Pierre, j'aurais l'air de quoi de récidiver dans la même journée ? On me croirait revendicateur. Un esti de chialeux comme on dit si bien de ce côté-ci de la Grande Mare.

Je fais donc boire ce calice que tu me présentes, et jusqu'à la lie (dont tu sembles faire partie, noté-je en passant, l'air mine de rien, sans penser à mal, sauf que tu sautes dessus, la mine !).

Que je sois traité de satrape par le premier quidam venu, voilà qui sourit à mon égo, sortez vos dictionnaires, lecteurs, c'est flatteur. Mais de VIEUX satrape, de la part d'un ainé à mes ans accumulés, j'y vois une vengeance à retardement, comme d'une déconvenu, pour une pas parler d'un lapsus - j'éviterai de le faire, ça va alerter Quantat qui va encore nous encombrer de son Lacan que je n'ai jamais été capable de lire, lui, oui, ce qui explique pourquoi il fréquente autant les murs de gare, il se soulage, le cher homme.

Ceci dit, et consigné, car j'assume, Biloulou, faut que je te parle. Je le ferais, mais vu l'heure qu'il fait, ajoutant six heures de décalage à mon heure normale d'Outre-Atlantique, la seule heure qui compte pour moi, car elle destine mon rendez-vous avec Morphée, tu es en train de ronfler. (Si tu prétends que jamais ronfles-tu, je n'en serai pas tellement surpris, je m'interroge encore sur ta qualité d'être humain. Tu es peut-être une imposture, une idée qui court, un symbole, un relent mystique, tout est possible, je ne sais pas encore conclure, ça viendra, je suis tenace dans mes projets, appèle-moi Lieutenant Colombo)

Mon cher (j'écris ça et je retiens de peine et de misère un sourire de commissures accommodantes) Biloulou, je ne suis pas tant si vieux qu'il faille éveiller l'attention de notre lectorat sur la pertinence de considérer avec un grain de sel (ou de poivre vert) mes dires avec un respect dédié à la maladie mentale, me pardonnant à l'avance de délirer, quoi, vu l'âge canonique que tu me prêterais sans autre intérêt que de me malmener plus que la Vie sait le faire déjà. Comprends-tu ?

Moi, en tout cas, j'essaie de me comprendre. Le plexus solaire étreint, et ce n'est pas avec amour.

Ce charabia, dont je me savais capable, on ne se refait pas, on se prolonge, pour signifie mon indignation.

Celle-là publiée, je suis conscient que ça ne changera rien, mais rien de rien. Que nada !

C'est bien moi, ça, de m'énerver pour des pinottes (arachides dans le Reste de la Francophonie). Et c'est de ta faute !

C'était la seule consolation qui me restait. De me sauver la face, à la mode asiatique.

(In petto bilouleam : tu vas me payer ça, forban toi-même !)

P.S. amis lecteurs, sachez que ce triste individu me traita de « forban » en messagerie privée. Eh oui, il osa ! En soi, le mot apparait presque drôle, mais pour qui pratique l'étymologie, la sapience de l'élémentarisme, après tout, la Vie elle-même est supportée par des « élémentaires », ce n'est pas rien, la Vie, c'est la somme de nos vies à tout un chacun, donc étymologiquement parlant, le forban est un BANNI. Voyez-vous, lecteurs ahuris ! Vous comprenez mieux, dorénavant, la portée de son cri guerrier, émis avec une telle désinvolture. Il veut ma peau, mais sans avoir à bouffer ses pépins, c'est-à-dire mon âme. Ce Moloch a l'estomac sensible.

Avouez, vous aussi le mépriseriez, n'est-ce pas? Moi, j'essaie encore. Avec application, du fin fond de mon éducation reçue quand j'étais rose, blond et joufflu et pas encore chevelu, appartenant tout à fait à ma mère, un peu surprise de me voir dans ses bras (je n'étais pas le premier de sa couvée, voyez-vous, elle ressentait comme... du déjà tenu, comptant déjà les couches à changer, soupirant, mais aimante encore ; pauvre maman, je ne fis pas exprès de naitre, vous pensez bien, je le fis par inadvertance. Car on nait fatalement).

C'est aussi par inadvertance que j'ai rencontré... chose-là, appelé Biloulou, ma chasse à courre visait une belle femelle, promesse de caresses inoubliables, mais le Destin en décida autrement, j'ai rencontré Biloulou. Je débandai ipso facto.