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Auteur | Message |
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Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 03:34 | |
| Mon cher Coco,ne mélangez pas tout .
En mer vous avez trouvé une énorme zone gazière en outre de très bonne qualité . Ca ne devrait poser aucun problème d'exploitation .
D'ailleurs la preuve qu'il y a beaucoup de gaz,c'est que les palestiniens de Gaza (qui ont une sérieuse poche de gaz eux aussi) ne peuvent ni l'exploiter,ni la faire exploiter .
Pour les schistes bitumineux à mon avis par contre,ils devraient avoir une autorisation sans trop de problèmes .... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 08:07 | |
| quelques messages sur le sujet qui intrigue tellement le sieur Ungern coco! Les schistes bitumineux : l'avenir du pétrole ? Partager Face à une forte volatilité du prix du baril et une diminution des découvertes de champs classiques de pétrole, les groupes pétroliers se tournent vers des sources non-conventionnelles. Aux côtés des sables pétrolifères et de l’offshore profond, les schistes bitumineux bien que relativement peu connus sont de plus en plus convoités. Les volumes de pétrole que l’on peut obtenir à partir de schistes bitumineux sont aujourd’hui estimés à environ 2500 milliards de barils, soit environ deux fois supérieurs aux sources conventionnelles. Une grande partie de ces ressources se trouve aux Etats-Unis. Les schistes bitumineux sont des roches sédimentaires qui contiennent de la matière organique : le « kérogène ». Il est transformé par traitement thermique, afin d’obtenir des hydrocarbures - donc du pétrole. Deux techniques de transformation, in-situ et ex-situ, sont utilisées en fonction de l’endroit où le traitement thermique est appliqué. Dans l’exploitation in-situ, la conversion se déroule directement dans le dépôt après injection d’air de combustion. L’exploitation ex-situ, qui représente la principale voie d’exploitation aujourd’hui, consiste au contraire en une extraction minière de la roche pour ensuite appliquer le traitement thermique dans des usines à la surface. Dans les deux cas, les hydrocarbures produits nécessitent un traitement supplémentaire de raffinage afin d’enlever des impuretés. L’exploitation de schistes bitumineux est donc un processus complexe. Deux défis majeurs sont à relever si l’on veut en favoriser le développement : diminuer des coûts de production qui sont élevés, et réduire les fortes émissions de gaz à effet de serre associées au traitement thermique. De plus, dans le cas de l’exploitation ex-situ, la consommation en eau et la pollution des sols sont à considérer. Les différents chocs pétroliers ont initié puis dynamisé ponctuellement l’exploitation des schistes bitumineux. Cependant, la hausse du prix du baril de 2004 à 2008 a relancé l’intérêt pour cette ressource non conventionnelle, mais l’industrie reste aujourd’hui encore jeune et peu mature. Parmi les projets lancés, un grand nombre a été abandonné. Aujourd’hui, trois principaux sites d’exploitation continuent de fonctionner au Brésil, en Estonie et en Chine. " L’industrie des schistes bitumineux est en train de se structurer. On assiste aujourd’hui à l’émergence de nouveaux projets, notamment aux Etats-Unis, en Chine et en Jordanie, avec des acteurs industriels qui cherchent activement des partenaires ", commente Christian Oeser, consultant au sein de l’activité Energie d’ALCIMED **. Les procédés de traitement thermique sont également en plein développement, afin de gagner en maturité :
- En effet, les sites d’exploitation à grande échelle existant
(Brésil, Estonie et Chine) s’appuient sur des procédés ex-situ développés spécifiquement pour tenir compte des caractéristiques propres aux roches locales. Or, la composition géologique et chimique des schistes bitumineux dépend notamment de la localisation géographique du dépôt et peut fortement varier d’un dépôt à l’autre. Les acteurs possédant des technologies comme Petrobras au Brésil visent à « exporter » leur technologie et à l’adapter à d’autres dépôts.
- En parallèle, de nouveaux procédés se développent avec des
acteurs ayant très souvent comme objectif principal de limiter les impacts sur l’environnement. Le développement du procédé « Rendall » en Australie en est un exemple.
Le nombre croissant d’acteurs se positionnant sur des projets d’exploitation laisse augurer un développement important des schistes bitumineux, source de pétrole prometteuse en raison de ses ressources considérables. " On estime aujourd’hui que la production de pétrole à partir de schistes bitumineux devient économiquement viable si le prix de baril se situe autour de 80 dollars. Néanmoins, la maîtrise des impacts sur l’environnement et la réduction des coûts représentent des défis majeurs à relever", conclut Vanessa Godefroy, responsable de l’activité Energie d’ALCIMED. |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 08:17 | |
| Bonjour Coco ! Ne t'époumone pas, notre camarade Ungern ne croit qu'à ce qui lui apparaît en rêve... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 08:26 | |
| Les schistes bitumineux Le Lundi 7 février 2011 par Duclair environnement. Les schistes bitumineux (également appelés pyroschistes ou schistes kérobitumeux) sont des roches sédimentaires à grain fin, contenant des substances organiques, les kérogènes, en quantité suffisante pour fournir du pétrole et du gaz combustible. Leur nom prête à confusion, car en minéralogie ces roches ne sont pas des schistes.L’administration américaine pour l’information sur l’énergie (United States Energy Information Administration) estime les réserves mondiales de schiste bitumineux à 2 800 à 3 100 milliards de barils de pétrole (450 à 520×109 m3) potentiellement exploitables, dont 1 000 à 1 200 milliards de barils aux États-Unis. Cependant, les tentatives depuis plus d’un siècle pour exploiter ces réserves n’ont pour l’instant obtenu que des résultats limités. En effet, l’utilisation du kérogène en tant que substitut du pétrole brut nécessite un traitement plus long, ce qui en accroît le coût financier et environnemental1,2,3,4.Le kérogène présent dans les schistes bitumineux peut être converti en pétrole à travers le processus chimique de la pyrolyse. Si l’on chauffe le schiste bitumineux à une température suffisamment élevée (450 / 500 °C) dans une enceinte privée d’air, la vapeur engendrée pourra être distillée en huile de schiste – une forme de pétrole non conventionnel – et en gaz. Les schistes bitumineux peuvent aussi être brûlés directement comme un combustible de basse qualité pour la production d’énergie et le chauffage, et peuvent être utilisés comme matériau de base dans les industries chimiques et les matériaux de construction5.L’augmentation du prix du baril et la recherche d’indépendance par rapport aux fournisseurs extérieurs d’énergie a attiré l’attention sur le schiste bitumineux en tant que ressource énergétique. Cependant, son exploitation et sa transformation soulèvent un certain nombre de préoccupations environnementales telles que l’utilisation du sol, l’élimination des déchets, l’utilisation de l’eau, la gestion des eaux usées, les émissions de gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique.L’Estonie, le Brésil, la Chine, l’Allemagne, la Russie et Israël utilisent les schistes bitumineux de nos jours.Géologie[modifier]Les schistes bitumineux sont des roches riches en matière organique et appartenant au groupe des carburants sapropèles6.Lorsqu’on parle de schistes bitumineux, on ne sous entend pas une variété de roche spécifique. Il n’y a pas à proprement parlé de définition géologique propre, ni de formule chimique spécifique pour qualifier les schistes bitumineux. D’ailleurs l’emploi de la terminologie empruntée au métamorphisme de « schiste » n’est pas rigoureuse puisqu’il ne s’agit pas de schistes au sens métamorphique du terme. Il existe donc un grand nombre de variétés, que l’on peut distinguer du point de vue de leur composition chimique et minéralogique, des processus de sédimentations qui se sont déroulés à des époques variables, et du type de kérogène que l’on peut en extraire.7.Les schistes bitumineux diffèrent des roches bitumineuses (sables bitumineux et roches réservoirs pétrolifères), charbons humiques et schistes carbonés. Alors que les sables bitumineux proviennent de la biodégradation du pétrole, le kérogène contenu dans le schiste bitumineux n’a pas atteint une température et une pression suffisantes pour être transformé en pétrole1,8,9.Comme pour le pétrole ou le gaz, les analystes distinguent les « ressources » et les « réserves » de schiste bitumineux. Les « ressources » font référence à tous les gisements de schiste bitumineux, alors que les « réserves » représentent les gisements dont on est capable d’extraire le schiste bitumineux avec la technologie existante. Comme les techniques d’extraction se développent continuellement, on ne peut qu’estimer le volume de kérogène extractible5,13. Bien que l’on trouve du schiste bitumineux dans de nombreux pays, seuls 33 pays possèdent des gisements économiquement valorisables14,15. Parmi les gisements connus, potentiellement classifiés comme réserves, on trouve celui de Green River dans l’Ouest des États-Unis, les gisements du Tertiaire du Queensland en Australie, ceux de Suède et d’Estonie, celui de El-Lajjun en Jordanie, ainsi que des gisements en France, en Allemagne, au Brésil, en Chine, en Mongolie du Sud, au Maroc et enRussie. On attend de ces gisements des rendements de 40 litres par tonne de schiste, en utilisant la méthode de titrage de Fischer (Fischer Assay).Une étude de 2005 a estimé les ressources mondiales de schistes bitumineux à 411 gigatonnes, suffisamment pour produire 2 800 à 3 300 milliards de barils (520 km3) d’huile de schiste1,2,3,4. Ceci dépasse les réserves prouvées de pétrole, estimées à 1 342 milliards de barils en janvier 200916. On trouve les plus grands gisements du monde aux États-Unis dans la formation de Green River qui couvre une partie duColorado, de l’Utah et du Wyoming. Environ 70 % de ces ressources se trouvent sur des terres appartenant au gouvernement américain ou gérées par lui17. Les gisements américains représentent 62 % des gisements mondiaux. USA, Brésil et Russie comptent à eux trois 86 % des réserves mondiales de schiste bitumineux14. Ces chiffres sont provisoires et dépendent de l’exploration et de l’analyse de nouveaux gisements encore en attente1,5. Le professeur Alan R. Carroll de l’Université du Wisconsin considère que les gisements lacustres de schiste bitumineux du Permien supérieur en Chine du Nord-Ouest, absents des précédentes évaluations mondiales de pétrole de schiste, sont comparables en taille à ceux de Green River.Industrie[modifier]Consommation et applications[modifier]Dès 2008, l’industrie utilise le schiste bitumineux au Brésil, en Chine, en Estonie et, dans une moindre mesure, en Allemagne, en Israël et en Russie. Des pays ont commencé à évaluer leurs réserves ou à construire des usines expérimentales alors que d’autres sortaient de ce secteur industriel1.Le schiste bitumineux est utilisé pour la production de pétrole au Brésil, en Chine et en Estonie ; pour la production d’énergie en Chine, Estonie, Israël et Allemagne ; pour la production de ciment en Estonie, Allemagne et Chine ; et dans l’industrie chimique en Chine, Estonie et Russie1,22,27. En 2009, 80 % du schiste bitumineux utilisé à travers le monde est extrait en Estonie28.Par le passé, la Roumanie et la Russie avaient construit des centrales énergétiques alimentées par du schiste bitumineux, mais elles ont depuis été fermées ou converties en centrales au gaz par exemple. La Jordanie et l’Égypte planifient de construire des centrales alimentées par du schiste bitumineux alors que le Canada et la Turquie prévoient de le brûler conjointement à du charbon pour fabriquer de l’électricité1,14,29. Il n’y a qu’en Estonie que cette matière première sert de carburant principal à la production d’électricité. Par exemple, la centrale de Narva a procuré 95 % de la production d’électricité en 200530.Extraction et transformation[modifier]Processus d’extraction de l’huile de schisteLa plupart des exploitations de schistes bitumineux comprennent l’extraction puis l’envoi de la matière première. Celle-ci est soit directement brûlée pour produire de l’électricité, soit transformée. Les méthodes les plus communes d’extractions minières à ciel ouvert sont l’open pit mining et le strip mining. Elles consistent à ôter tous les matériaux recouvrant le schiste bitumineux afin de l’exposer à l’air libre mais ne sont applicables que lorsque le gisement est proche de la surface. L’exploitation minière souterraine emploie généralement la méthode dite « par chambres et piliers » qui consiste à creuser des galeries qui se croisent perpendiculairement, suffisamment proches pour pouvoir extraire une portion du gisement et ne laisser que des « piliers » qui seront abandonnés tels quels ou détruits31. L’extraction des composants du schiste bitumineux a généralement lieu à l’air libre (ex-situ) même si plusieurs technologies nouvelles parviennent à le faire sous terre (in-situ). Dans les deux cas, le processus chimique de pyrolyse convertit le kérogène contenu dans le schiste bitumineux en huile de schiste (pétrole non conventionnel) et gaz. Les processus de transformation impliquent généralement de chauffer en l’absence d’oxygène et à une température suffisamment élevée (environ 450 à 500°C) pour que le kérogène se décompose en gaz, pétrole et résidus solides13. Si le processus de décomposition commence à des températures relativement basses (300°C), il s’effectue plus rapidement et plus complètement à plus haute température32.Le processus in-situ permet de chauffer le schiste bitumineux sous terre. Ce type de technologie peu potentiellement extraire plus de pétrole d’une surface donnée que les processus ex-situ puisqu’il peut accéder à des niveaux plus profonds33. De nombreuses sociétés ont des méthodes déposées pour l’autoclavage in-situ. Cependant, la plupart de ces méthodes sont encore en phase expérimentale. On peut distinguer les processus « réellement in-situ » (True in-situ process – TIS) et les processus de « modification in-situ » (MIS). Le processus TIS n’implique pas l’extraction du schiste bitumineux. En revanche, le processus MIS implique d’extraire une partie de la matière première et de la remonter à la surface afin qu’elle subisse le processus d’autoclavage et permette de créer la perméabilité qui fera monter le gaz dans des cheminées de gravats. Les explosifs permettront de transformer les dépôts de schiste bitumineux en gravats34.Des centaines de brevets pour l’autoclavage du schiste bitumineux existent35 ; cependant, seule une douzaine a déjà été testée. En 2006, seuls quatre technologies sont utilisées de manière commerciale : processus Kiviter, processus Galoter, Fushun et Petrosix36.Applications et produits[modifier]L’industrie utilise l’huile de schiste comme carburant dans les centrales thermiques, en le brûlant comme du charbon afin d’entraîner les turbines à vapeur ; certaines de ces centrales emploient la chaleur produite pour le chauffage urbain. D’importantes centrales électriques fonctionnant au schiste bitumineux sont en service en Estonie. Le pays à une capacité de 2 967 mégawatts, d’autres, comme la Chine, possèdent une puissance de 12 MW, Israël 12,5 MW et l’Allemagne 9,9 MW14,37.En plus de son utilisation en tant que carburant, le schiste bitumineux peut également être utilisé dans la fabrication de fibres carbones, charbons activés adsorbants, noir de carbone,phénols, résines, colles, produits de tannage, mastic, bitume routier, ciment, briques, blocs de construction ou de décoration, additifs, fertilisants, laine de roche isolante, verre et produits pharmaceutiques. Mais ces usages demeurent faibles ou encore à l’étape expérimentale1,5. L’extraction de certains schistes bitumineux produit également des sous-produits comme le soufre, l’ammoniaque, l’alumine, la soude, l’uranium et la nahcolite (hydrogénocarbonate de sodium). Entre 1946 et 1952, un schiste à dictyonema (fossile appartenant à la classe des graptolites) d’origine marine servit à la production d’uranium à Sillamäe en Estonie. Et entre 1950 et 1989, la Suède utilisa le schiste d’alun dans le même but5. Le gaz de schiste bitumineux peut également devenir un substitut au gaz naturel, mais à ce jour, cet usage n’est pas économiquement viable38,39.L’huile de schiste dérivée des schistes bitumineux ne peut pas se substituer directement aux applications du pétrole brut. En effet, elle peut contenir des concentrations plus élevées d’alcènes, d’oxygène et de nitrogène que le pétrole brut3. Elle peut également contenir des niveaux plus élevés de sulfure ou d’arsenic. En comparaison avec le WTI (West Texas Intermediate), norme de référence du pétrole brut sur le marché à terme, le schiste bitumineux de Green River contient 0 à 4,9 % de sulfure (0,76 % en moyenne) alors le WTI n’en contient que 0,42 % au maximum40. Les schistes bitumineux de Jordanie peuvent contenir jusqu’à 9,5 % de sulfure41. La teneur en arsenic, par exemple, est un problème dans l’huile de schiste issue de la formation de Green River. Cette concentration élevée nécessite un traitement important de l’huile (hydro-désulfurisation) avant son utilisation comme matière première dans les raffineries pétrolières11. Le processus d’autoclavage hors-sol produit une huile de schiste ayant une densité API plus faible que le processus in-situ. L’huile de schiste est plus adaptée à la production de distillats moyens tels que le kérosène, le jet fuel et le diesel. La demande pour ce type de distillats, et plus particulièrement les diesels, a rapidement augmenté durant les années 1990 et 20003,42. Cependant, un processus de raffinage approprié, équivalent à de l’hydrocracking, peut transformer l’huile de schiste en essence légère3.Économie[modifier]
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| NYMEX Cours du light-sweet crude en US dollars, de 2005 à mars 2008 (non ajusté de l’inflation) | 2005 à nov. 2008 | L’industrie du pétrole s’est développée au début du xxe siècle. Depuis, les différentes tentatives d’exploitation des gisements de schistes bitumineux n’ont réussi que lorsque les coûts de production de l’huile de schiste dans certaines régions devenaient inférieurs aux prix du brut ou de ses substituts43. Selon une étude de la RAND corporation, le coût de production d’un baril de pétrole dans un complexe américain d’autoclavage (comprenant une mine, une usine d’autoclavage, une usine de transformation, des services de supports et de recyclage du schiste utilisé) est évalué entre 70 et 95 USD (entre 400 et 600 USD le m3, à dollar constant 2005). Cette estimation prend en compte des niveaux variables de qualité de kérogène et d’efficacité d’extraction. Afin que l’opération soit rentable, le prix du pétrole brut doit rester au-dessus de ces niveaux. L’étude examine également la possibilité de réduction des coûts après mise en place du complexe. Elle suppose que cette entité de production verrait ses coûts diminuer de 30 à 70 % après la production de 500 millions de barils (79 × 106 m3). Si l’on estime une augmentation de la production de 25 000 barils par jour chaque année après le démarrage de la production commerciale, RAND prévoit une diminution du coût du baril entre 35 et48 USD en 12 ans. Après le palier du milliard de baril (160 × 106 m3), le coût devrait encore diminuer entre 30 et 40 USDle baril ($190–250/m3)44,31. Certains analystes comparent l’industrie du schiste bitumineux à celle des sables bitumineux de l’Athabasca (qui a produit plus d’un million de barils de pétrole par jour en 2007), estimant que « l’installation de première génération est la plus difficile, techniquement et économiquement »45,46.Royal Dutch Shell a annoncé que sa technologie d’extraction in-situ au Colorado deviendrait compétitive à un prix du baril supérieur à 30 USD (190 USD le m3), alors que d’autres technologies à plein rendement sont rentables au-dessous de 20 USD (130 USD le m3)34,47,48.Pour améliorer l’efficacité lors de l’autoclavage de l’huile de schiste, les chercheurs ont proposé et testé plusieurs processus de co-pyrolyse49,50,51,52,53. En 1972, une publication du journal « Pétrole Informations » comparait défavorablement la production de pétrole basée sur le schiste avec la liquéfaction du charbon. L’article décrit la liquéfaction du charbon comme étant moins chère, générant plus de pétrole et créant moins d’impact sur l’environnement que l’extraction à partir de schiste bitumineux. Il cite un ratio de conversion de 650 litres de pétrole pour une tonne de charbon, contre 150 litres d’huile de schiste par tonne de schiste bitumineux20.Une mesure indispensable à la viabilité du schiste bitumineux en tant que source d’énergie est le ratio entre l’énergie produite par le schiste et l’énergie utilisée par son extraction et sa transformation, un ratio connu sous le nom de « Retour énergétique sur énergie investie » (Energy Returned on Energy Invested, EROEI). Une étude de 1984 estimait que le ratio de diverses mines de schistes bitumineux variait entre 0,7 et 13,354 même si certains projets d’extraction font valoir un ratio entre 3 et 10. Royal Dutch Shell a signalé un ratio de 3 à 4 sur son projet in-situ Mahogany Research Project47,55,56. L’eau nécessaire au processus d’autoclavage du schiste bitumineux implique une autre considération économique : celle de poser un problème dans les régions où la pénurie d’eau se fait sentir.Pollution[modifier]Impact environnemental de l’exploitation industrielle[modifier]L’extraction du schiste bitumineux a des effets sur l’environnement. Ces effets sont plus prononcés avec les méthodes d’extraction en surface qu’avec les méthodes souterraines. Ils sont de différentes sortes : drainage minier acide (oxydation due à l’exposition à l’air et à l’eau d’affleurements de minéraux), déversement de métaux dans les eaux de surface et les eaux souterraines, augmentation de l’érosion, émissions de gaz sulfurés et pollution de l’air par les particules produites lors des phases de transformation, transport et les activités annexes23,57. On estime que la transformation in-situ utilise environ un dixième de cette quantité d’eau67. Ces préoccupations sont encore plus sensibles dans les régions arides, comme l’Ouest des États-Unis ou le désert du Neguev en Israël, où il existe des plans pour étendre l’extraction de schiste bitumineux malgré la pénurie d’eau 68. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 08:42 | |
| Israël bientôt 2ème plus gros producteur de pétrole au monde ? Rédigé par JSS le Apr 1st, 2011 and filed under Israël, Israël-Territoires Disputés. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article Avec la deuxième plus grande réserve au monde, certains croient que c’est fort possible. Le plus amusant dans cette histoire et cette vieille blague juive qui n’a, aujourd’hui, plus aucun sens. « Permettez-moi de vous dire quelque chose que nous, les Israéliens, avons contre Moïse. Il nous a fait marcher dans le désert pendant 40 ans afin de nous amener dans le seul endroit de tout le Moyen-Orient où il n’y a pas une goutte de pétrole ! »Cette blague a été rendue célèbre par Golda Meir, ancien premier ministre d’Israël, et depuis de nombreuses années, sa pertinence l’a rendue particulièrement populaire. Elle tient une grande part de vérité. Le manque de pétrole et de gaz naturel est considéré comme l’une des principales raisons de l’isolement d’Israël… Mais c’est aussi ce qui fait qu’Israël est un leader scientifique, technologique, et énergétique ! Mais avec les récentes découvertes du puits de pétrole de Tamar et des réserves de gaz naturel au large du Leviathan dans les eaux israéliennes, l’État Juif a un avenir radieux en tant que pays indépendant de l’énergie. Alors pourquoi s’arrêter là ? Certains croient qu’Israël pourrait devenir l’un des principaux producteurs mondiaux de pétrole. Israël, un leader de l’OPEP ? Devant l’Iran et l’Irak ? Tel est le plan de Harold Vinegar et de ses collègues. Le docteur Vinegar est le chef scientifique de la compagnie pétrolière hollandaise Royal Shell. Et c’est lui qui est aujourd’hui le directeur scientifique de l’Israël Energy Initiatives (IEI). Et c’est toujours lui qui estime que les réserves d’Israël en pétrole pourraient être plus qu’énormes ! L’IEI travaille sur un projet ambitieux d’extraction de pétrole et de gaz naturel à partir de schistes bitumineux, dans une zone de 238 kilomètres carrés au large du bassin Shfela, au sud-ouest de Jérusalem. Comme le prix du pétrole augmente à vu d’oeil, les schistes bitumineux ont attiré l’attention en tant que source d’énergie, et comme un moyen utile d’assurer l’indépendance énergétique nationale. Toutefois, l’extraction du schiste bitumineux soulève un certain nombre de préoccupations environnementales parce qu’elle nécessite une très grosse utilisation d’eau et rejète dans l’air énormément de gaz à effet de serre. Le bassin de Shfela La Chine a une industrie pétrolière bien établie à base schiste et le Brésil, l’Allemagne et la Russie utilisent autant que faire ce peut les schistes bitumineux. Les revendications de l’IEI sont simples : « nos techniques seront plus propres que celles utilisées actuellement parce que le pétrole sera séparée de la roche de schiste à 300 mètres sous le sol. Cela nous permet de grandement réduire la quantité d’eau consommée ». Selon le Dr Vinegar, Israël a le deuxième plus grand gisement de schistes bitumineux au monde, en dehors des États-Unis. « Nous estimons qu’il y a l’équivalent de 250 milliards de barils de pétrole. Pour mettre cela dans le contexte, il existe des réserves prouvées de 260 milliards de barils de pétrole en Arabie saoudite. »Une fois opérationnel, l’IEI estime que le coût de la production d’huile de schiste se situe entre 34 et 40 dollars le baril. Il serait ainsi comparable au prix actuel de 30-40 dollars le baril pour les champs pétrolifères en eau profonde et moins cher que le pétrole tiré du désert ou du brut canadien de l’Arctique. Les attentes de Tamar et Leviathan ont déjà donné à Israël une attitude très positive. Si les prévisions de l’IEI deviennent réalité, Israël deviendra l’un des pays les plus riches du monde… Et, dés lors, il n’est aucun doute que, de manière très étrange, tous les problèmes diplomatiques disparaitront ! Tiens tiens…Jonathan-Simon Sellem – JSSNews |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 11:27 | |
| - Ungern a écrit:
- Il y a pas plus de système à traiter les schistes bitumineux "propre et rentable" que de beurre en branche .
Sin il y en avait un,la bourse s'effondre . Tu voudrais pas que la bourse s'effondre ? Surtout pour des voleurs de terres ....
- Ungern a écrit:
- Biloulou,tu touches ici non pas des problèmes techniques soumis aux aléas de la science ,mais des problèmes macroéconomiques .
Si tu sais retirer sans complication environementale (accessoire) ,et à un prix raisonable (point fondamental) du pétrole de schistes bitumineux, l'image du monde change du tout au tout . A mon avis,ça va se savoir .... Je t'ai expliqué ici pourquoi ce n'est aps possible . J'ai expliqué précédement les problèmes techniques qui seront rencontrés . T'as une idée des solutions ? Moi j'en ai aucune ....
- Ungern a écrit:
- Non,non,crois pas çà ...
Quand le magicien sort un lapin de son chapeau... Il l'avait mis "avant" .... Sinon le prix du lapin à Rungis devrait s'effondrer ....
Bonjour Ungern ! Tes réflexions répétées sur les chapeaux, les lapins et les bourses sont très intéressantes, comme en général tout ce que tu écris. Intéressantes mais incomplètes, et c'est dommage que tu les limites systématiquement aux seuls points qui pourraient corroborer tes convictions. Ce n'est pas très scientifique, ça. Tss... tsss... Par exemple : les réserves "traditionnelles" de pétrole n'ont jamais été ausi abondantes, contrairement à ce qu'on nous raconte, et on en trouve des nouvelles quasiment chaque jour. On serait par moments tentés de dire que c'est l'énergie renouvellable par excellence... Pourquoi ces découvertes quasi quotidiennes n'ont jamais bouleversé la bourse ? Pour deux raisons : - Ce n'est pas le niveau des réserves disponibles qui gouverne les cours mais les quantités pompées et mises sur le marché par les pays producteurs
- L'exploitation de la plupart de nouvelles réserves sera plus onéreuse vu les procédés d'extraction qui devront être utilisés. Les sables et schistes bitumineux font partie de cette catégorie.
Hai capito ? | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 16:50 | |
| - Biloulou a écrit:
- [Pourquoi ces découvertes quasi quotidiennes n'ont jamais bouleversé la bourse ? Pour deux raisons :
- Ce n'est pas le niveau des réserves disponibles qui gouverne les cours mais les quantités pompées et mises sur le marché par les pays producteurs
- L'exploitation de la plupart de nouvelles réserves sera plus onéreuse vu les procédés d'extraction qui devront être utilisés. Les sables et schistes bitumineux font partie de cette catégorie.
Hai capito ? Tu as tout à fait raison Du moins en partie :
a) le prix du pétrole est volatil pour plusieurs raisons et la première est la spéculation. la deuxième les capacités de raffinage. b) globalement le prix du pétrole tend à la hausse constante (courbe "long terme") malgré une courbe en dents de scie (courbe "court terme") uniquement parce que le prix de l'extraction du pétrole augmente et que la rente pétrolière facile diminue . C'est l'anticipation de la "crise" . c) effectivement les schistes bitumineux sont une masse colossale de pétrole ,mais nous sommes à 1000 lieues de ce que Coco essaye de dire après avoir lu les "Castors Juniors": 1° ca sera de toutes façons coûteux . 2° ca ne sera rentable que si le pétrole reste constament au delà de 120 $ le barril . 3° à partir du moment où un procédé "propre" est découvert,le marché du pétrole va s'en trouver profondément bouleversé et c'est comme si vous faisiez aujourd'hui des plans pour "après la guerre nucléaire" . Qu'est ce qui restera après la Guerre Nucléaire? C'est exactment la même chose avec les schistes bitumineux . Vous investissez très lourd aujourd'hui et vous risquez de vous casser la gueule demain .
En Belgique ,on est assis sur une mer de charbon en Wallonie . Pas de chance : les filons sont assez minces (de qq cm a qq m et la, plupart du temps moins de 1 m),ils sont profonds (en dessous de 800 m en général) . Alors,oui,il y a moyen d'obtenir du gaz de charbon très facilement . Pour ce qui est du facile,c'est pas compliqué ... Pour ce qui est de l'après.... Ca c'est autre chose ....
Il siffit d'injecter dans les anciennes galleries de mine,de l'air à gros débit et sous pression pour mettre à feu les veines de charbon quelles que soient leurs épaisseurs,donc il devient possib le d'utiliser des veines de qq cm d'épaisseur ... Au retour on récupère les gaz chauds (1 energie) et les gaz non brules (2° energie) et les gaz incomplètement brules (CO) . C'est Btroadway ... Investissement 3 francs 6 sous ....
Par contre il y a la suite ...
Parce que le charbon qui brule,et bien il est plus là .. et il va y avoir ders trous... et audessus tout est bâti ... et on ne sait pratiquement pas arrêter un feu profond (lui couper l'oxygène ne va faire que diminuer son exothermie,parcontre il va augmenter la quantité de gaz explosifs ...
Bref on a intéret à habiter "très loin" ...
C'est exactement la mm chose avec le pétrole et le gaz de schiste ,mais avec d'autres problèmes .... | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 17:00 | |
| Une citation spéciale pour Coco :
"L'illusion est la seule réalité du monde !". B.Mussolini . | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 17:06 | |
| - Ungern a écrit:
- Tu as tout à fait raison
Du moins en partie (...)
Comme la partie intéressante est, par définition, celle où j'ai raison, je suis désolé que tu aies gaspillé tant d'énergie à rédiger le brillant exposé ci-dessus... (Maintenant, ne tire pas des plans sur la comète quant à imaginer quand et comment les Israéliens vont exploiter leurs gisements gigantesques... tu risques d'être étonné ! ) | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 19:20 | |
| Le noeud de la question avec Pythés, c'est que les plus malins savaient qu'il avait effectivement découvert de l'ambre , et en quantités phénoménales . Et que ça allait foutre toute l'économie "par terre" ....
On l' a donc déclaré menteur ou fou ... C'est "selon" .
La leçon de cette histoire est que toute découverte d'une ressource (qui existe par ailleurs déjà) dans un milieu fermé,n'est pas une bénédiction ,mais une malédiction ,même si "superficiellement" ça a l'air d'être Byzance ...
L'exemple le plus clair a été l'arrivée sur le marché européen de l'or de l'Empire Espagnol et Portugais : une masse d'or arrive,sans utilisation possible de cet or,il s'en suit une catastrophe économique .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyth%C3%A9as
Je résume pour Coco:
Si toi y en a à avoir de l'or . Toi y en aà avoir beaucoup d'argent. Mais si quelqu'un y en a a venir avec un camion d'or, Toi y'en a avoir toujours autant d'or. Mais ton or y en a à valoir beaucoup moins d'argent .
Toi y en a à comprendre ?
Dernière édition par Ungern le 12/5/2011, 20:21, édité 2 fois | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 19:43 | |
| - Ungern a écrit:
- (...) On l' a donc déclaré menteur ou fou ... C'est "selon" . ...)
C'est ce quelqu'un sur ce forum, je ne sais plus qui, fait avec Coco. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne soit pas menteur ni fou, mais pas pour les raisons que tu invoques. Et pourtant tu ne nies pas l'existence de l'ambre de Pythés ni de l'or des Ibères... (Tu es vraiment humilié que ce pactole tombe sur Israël, hein ? ) | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 20:16 | |
| Je suis quelqu'un de logique et de "terre à terre" .
Avec la logique on va infiniment plus loin qu'avec les connaissances brutes mal digérées apprises ici ou là .
Avec de la logique,on peut se permettre d'être autodidacte, et pas "autrement" ...
Revenons à ces problèmes de schistes bitumineux :
Coco dit que le moyen israélien n'est pas cher . Si il n'est pas cher,c'est qu'il est simple . Si il est simple,on peut déjà se demander comment personne n'y avait pensé avant,c'est un bon début,mais c'est une voie de raisonement "stérile" . Partons du principe qu'il est facile et que personne n'y avait pensé avant .....
Mais si il est facile,il est facilement copiable ,et vu les sommes en jeu ,la récompense pour tout renseignement sera énorme . Même le secret des miroirs de Murano a été connu ainsi; pourtant les artisans ne pouvaient quitter leur île et seuls les verriers pouvaient y accoster ...
Que va-t-il se passer si le procédé est facile et pas cher ? Ben .... tout le monde va le faire . Donc on se retrouvera dans une situation toute autre et totalement imprévisible : il y aura pléthore de pétrole et donc effondrement des coûts ,et donc de la rentabilité .
Maintenant,pensons à autre chose : le premier concurrent des schistes bitumineux sousterrain,c'est les schistes bitumineux de surface . Si on sait l'extraire à grande profondeur,on sait aussi et encore moins cher l'extraire en surface . Donc on modifie plus complètement encore le marché du pétrole et des schistes bitumineux .
A partrir de ce moment,ce qui compte,c'est celui qui sait en faire parvenir aux centres de consommations à moindre cout . Et le moindre cout ,c'est forcément après "les puits réels" les schistes de surface .
Or Israël n'a pas de schistes de surface,et ces concurrents locaux sont noyés dans le pétrole facile et pas cher extrayable par puits ... Rappelons qu'en Arabie saoudite,le rayon de pompage d'une tête de puit est de 500 m ... alors qu'en Pensylvanie,pour un pétrole de qualité équivalente,le rayon de pompage d'une tête de puit est de 15 m ....
La concurrence sera rude ....
Les falafels de Coco sont compromis .... | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 20:45 | |
| - Ungern a écrit:
- (...) La concurrence sera rude ....
L'OPEP a toujours su veiller au grain. (Tu râles, hein ? ) - Ungern qui ne se doute de rien, a écrit:
- Les falafels de Coco sont compromis ....
Il lui restera son vin... et quel vin ! | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 21:12 | |
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| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Israël et la Méthode Coué 12/5/2011, 21:35 | |
| - Ungern a écrit:
- Le vin du Golan annexé ?
Je ne pense pas. S'il y avait eu du bon vin au Golan, les Israéliens l'aurait conquis beaucoup plus tôt, ils n'auraient pas attendu que les Syriens le leur apportent sur un plateau.... | |
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