DU TERRORISME INTERNATIONAL

Rappel du premier message :

HASSAN DIAB, soupçonné d'être l'auteur de l'attentat de la rue Copernic qui avait fait quatre morts en 1980 près d'une synagogue parisienne, restera en prison au moins jusqu'à la semaine prochaine, sa première audition ayant été ajournée vendredi par un juge canadien.

M. Diab, un Libano-Canadien d'origine palestinienne de 54 ans, avait été arrêté jeudi dans la banlieue d'Ottawa à la demande de la justice française. Il comparaissait vendredi devant la Cour supérieure d'Ontario pour déterminer s'il demeurerait ou non incarcéré pendant la procédure d'extradition.

Le juge Michel Charbonneau a ajourné l'audience au jeudi 20 novembre à 10h30 (15H30 GMT). Il a également émis un interdit de publication, une procédure qui empêche de diffuser des informations sur le dossier à charge, ainsi que sur le déroulement des audiences.

L'avocat de M. Diab, Me René Duval a expliqué à la sortie du palais de justice d'Ottawa n'avoir pas eu le temps d'étudier le dossier volumineux qui, a-t-il affirmé, ne lui a été remis que quelques minutes avant l'audition.

Professeur de sociologie à l'université d'Ottawa, M. Diab est accusé de meurtres, de tentative de meurtres et de destruction volontaire de biens par un groupe organisé. Il risque la prison à perpétuité en France s'il est extradé, a précisé l'avocat.

M. Diab est soupçonné par la justice française d'avoir confectionné l'engin posé dans la sacoche d'une moto à quelques mètres de la synagogue de la rue Copernic à Paris, qui avait fait quatre morts et une vingtaine de blessés le 3 octobre 1980.

Après avoir été longtemps bloquée, la justice française est remontée en 2007 à M. Diab à la faveur d'un fichier fourni par l'Allemagne et comprenant les noms des membres du commando de la rue Copernic.

M. Diab, qui affirme être victime d'une homonymie, n'a pas dit un mot pendant sa comparution. Vêtu d'un blouson en polaire gris vert et arborant un bouc rasé de près, il a gardé les bras croisés pendant une bonne partie de l'audience qui a duré près de deux heures avec des interruptions de séance.

"Mon client est en état de choc", a déclaré son avocat. "Voici un honnête citoyen qui n'a rien à se reprocher, qui n'a aucun antécédent judiciaire dans l'univers et qui du jour au lendemain est arrêté comme un vulgaire bandit (...) et se retrouve avec des bagnards".

Me Duval a réaffirmé que M. Diab était victime d'une "erreur sur la personne" et il rappelé avoir dit à plusieurs reprises que celui-ci n'était pas à Paris au moment des faits.

Il a aussi affirmé son intention de combattre vigoureusement la demande d'extradition française, pour violation des droits de M. Diab et insuffisance de preuves.

La France a 45 jours après la date de l'arrestation pour présenter son dossier d'extradition. Après la conclusion de l'audience sur une éventuelle remise en liberté conditionnelle du suspect, une audience d'extradition doit avoir lieu au cours de laquelle la France devra convaincre le juge que les preuves présentées justifient une extradition".

Entre temps, le ministère canadien de la Justice devra prendre une décision relative au renvoi du suspect en déposant "un arrêté introductif d'instance". Mais à chaque étape du processus d'extradition, la personne visée peut faire appel. "Ca peut être long", note un spécialiste.

L'avocat a également reproché aux autorités françaises de n'avoir contacté ni son client ni lui, alors qu'il avait proposé une entrevue "si elle se déroulait selon les règles canadiennes". "Ils n'ont pas daigné nous passer un coup de fil, ils ont agi en catimini", a-t-il dit, avant d'ajouter: "je ne connais pas les principes de la police française. Mais je sais que les corps de police canadiens font généralement un effort pour rencontrer le principal intéressé".

Pakistan: 13 talibans tués dans un raid d'hélicoptères dans le nord-ouest










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Monde - International 15:43
Un raid d'hélicoptères de l'armée pakistanaise contre des repaires de talibans dans la région tribale du nord-ouest du Pakistan dimanche a fait 13 morts parmi les combattants islamistes, a annoncé par téléphone à l'AFP un responsable local.
L'attaque a permis de détruire trois caches et deux maisons appartenant à des commandants talibans de la région d'Orakzai, a précisé par téléphone ce responsable, Asmatullah Khan.
Les cibles étaient situées à Ferozkhel, un village situé aux abords de Kalyal, principale ville de la région d'Orakzai a ajouté ce responsable.
"Au moins 13 militants ont été tués au cours de l'attaque" a-t-il souligné.
Un responsable militaire, qui a requis l'anonymat, a confirmé l'attaque et son bilan.
Les maisons détruites des deux commandants talibans servaient également de centre d'entraînement aux talibans, a indiqué ce responsable militaire.
Sous la pression des Etats-Unis, le Pakistan a, l'année dernière, accru de manière significative ses opérations contre les talibans dans le nord-ouest du pays et dans la ceinture tribale où les Etats-Unis situent le quartier général d'Al-Qaïda et qu'ils considèrent comme étant la région la plus dangereuse du monde.
Cette région tribale, au relief escarpé, est devenue le bastion de centaines d'extrémistes qui ont fui l'Afghanistan voisin après l'invasion par une coalition menée par les Etats-Unis en 2001.
Selon Washington, les talibans utilisent les régions tribales semi-autonomes pakistanaises pour préparer leurs attaques en Afghanistan, où stationnent plus de 120.000 militaires de l'Otan qui combattent les insurgés islamistes aux côtés de l'armée afghane.

Une vidéo montre le mari de Malika El Aroud s'entraîner aux armes de guerre


Des extraits vidéo ont été diffusés ce lundi au tribunal correctionnel de Bruxelles lors du procès de neuf personnes soupçonnées de terrorisme. Des images qui montrent notamment le mari de Malika El Aroud manipuler des armes de guerre.








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• Une vidéo a été diffusée lors du procès de Malika ...[url=https://librespropos.1fr1.net/javascript: window.print();] [/url]
  

Belgique - Faits divers 21:18
Lors du procès de neuf personnes soupçonnées de terrorisme, le tribunal correctionnel de Bruxelles a diffusé ce lundi des images qui interpellent. Dans une vidéo, qui est l’une des pièces à conviction, on voit l’actuel mari de Malika El Aroud, qui est absent au procès, s’entraîner au maniement des armes. Il manipule notamment un lance-roquettes. Il s’agit d’images qu’il a lui-même envoyées à sa femme lors d’échanges msn sur internet.
"Ma cliente m’a dit : "Il y a longtemps que je n’avais plus vu mon mari. C’est une attention, on me l’a montré." Cela ne m’a pas impressionnée du tout pour ce qui concerne ce problème-là. Mais pour le reste, on se rend compte quand même que c’est quelque chose de sérieux", estime maître Fernande Motte de Raedt, son avocate.

Images à la gloire du jihad
Sur les autres extraits vidéo dévoilés lors de l’audience, on trouve des documents sur le parcours de Ben Laden, des images de maniement d’armes, de fabrication de bombe et des témoignages de jeunes gens prêts à se transformer en bombe humaine. Il ne s’agit que d’images à la gloire du jihad, la guerre sainte, toujours sur fond de chants islamistes. Ces vidéos ont été saisies par les enquêteurs sur les ordinateurs des prévenus.
"C’est extrêmement bref, ça a l’air totalement archaïque et en opposition par rapport à ce que l’on a vu dans le premier reportage de France 2, avec une organisation qui n’a manifestement rien à voir avec ceux que l’on juge ici et qui est d’une hiérarchie et d’une protection absolue", souligne Denis Bosquet, avocat de la défense.

Femme de combattant ou chef d'un réseau terroriste ?
Al Qaida est certes bien protégée, mais ses idées circulent sur internet, notamment sur le site administré par Malika El Aroud. Ce site est fréquenté assidûment par de nombreux prévenus qui sont souvent séduits sur le net par les thèses salafistes. "Elle est poursuivie au même titre que lui. Ce qui est assez stupide à mon avis pour le réquisitoire. Les deux cas ne sont pas semblables", avance Fernande Motte de Raedt.
Malika El Aroud est-elle une simple femme de combattant ou chef d’un réseau terroriste ? Dès mardi, le procureur fédéral commencera son réquisitoire.

8 ans de prison minimum requis contre Malika El Aroud


Le procureur a requis huit ans de prison contre l'une "des plus influentes jihadistes sur internet".








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• 8 ans requis contre Malika
  

Belgique - Faits divers 19:03
Le procureur fédéral a requis, mardi devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, une "peine qui ne peut être inférieure à huit ans" de prison contre Malika El Aroud, qu'il considère comme une des trois dirigeantes d'une filière d'envoi de combattants dans des camps d'Al Qaïda au Waziristan, à la frontière pakistano-afghane.
La peine maximale pour participation à un groupe à visée terroriste est de 10 ans de prison. Malika El Aroud, qui est la veuve d'un des deux assassins du commandant Massoud tué en Afghanistan le 9 septembre 2001, est "l'icône des jihadistes" et est "une des plus influentes jihadistes sur internet", a relevé le procureur fédéral Jean-Marc Trigaux.

Actrice du conditionnement des terroristes
Il a souligné que Malika El Aroud a contribué, via sa propagande, au conditionnement de personnes qui se sont déclarées prêtes à mourir au Jihad. Elle a également joué un rôle clé dans leur acheminement clandestin et à leur regroupement dans des camps situés au Waziristan.
M. Trigaux a notamment relevé la "responsabilité écrasante" de Malika El Aroud dans la mort, vraisemblablement en décembre 2009, d'un jeune Français de 20 ans qu'elle avait incité à partir dans ces camps d'Al Qaïda. Pour le procureur fédéral, la cause défendue par Malika El Aroud est bien "Al Qaïda et le Jihad global" et non, comme elle le prétend, la défense du peuple afghan. Le procureur fédéral requerra contre les autres prévenus mercredi.

On tombe de plusieurs niveaux dans l'horreur.

Des chirurgiens installent des bombes en guise d'implants dans les poitrines de "femmes-martyres!"

(en anglais)

Sylvette a écrit:

On tombe de plusieurs niveaux dans l'horreur.

Des chirurgiens installent des bombes en guise d'implants dans les poitrines de "femmes-martyres!"

Avec les mecs ,c'est bien pire encore !

Procès de la filière afghane: une menace plane, la sécurité encore renforcée


Une possible tentative d'évasion et/ou de libération des prévenus qui comparaissent actuellement devant le tribunal correctionnel de Bruxelles pourrai(en)t se dérouler. Malika El Aroud et Hicham Beyayo font partie des sept prévenus. Les mesures de sécurité seront dès lors encore renforcées.












Belgique - Faits divers 17:00
Une possible tentative d'évasion et/ou de libération des prévenus qui comparaissent actuellement devant le tribunal correctionnel de Bruxelles pourrai(en)t se dérouler. Ces informations provenant du parquet fédéral sont parvenues au Centre de Crise, a annoncé ce dimanche ce dernier dans un communiqué.
Le procès des membres présumés d'une cellule du réseau Al-Qaïda, accusés d'avoir organisé le recrutement de volontaires pour le jihad et d'avoir préparé des attentats, s'est ouvert le 8 mars dernier. Sept prévenus comparaissent, dont Malika El Aroud et Hicham Beyayo.

Utilisation possible de violences, voire d'armes
Les informations transmises au Centre de Crise, qui dépend du SPF Intérieur, font état de l'utilisation possible de violences, voire d'armes. En conséquence, les mesures de sécurité, déjà visibles depuis le début du procès, seront encore renforcées dans et aux abords du Palais de Justice de Bruxelles.
Cette décision est intervenue à la suite d'une évaluation de la menace réalisée par l'Organe de Coordination et d'Analyse de la Menace (OCAM). Il apparaît en effet "qu'il y a des éléments de gravité et de probabilité importants", selon le communiqué.
"L'objectif est de garantir le déroulement normal de tous les procès et de la vie judiciaire, ainsi que de garantir la sécurité de tout le monde. Les mesures sont prévues pendant toute la semaine jusqu'à la fin des audiences. Vu le caractère judiciaire des informations, aucune autre communication ne sera réalisée à ce sujet", conclut le Centre de Crise.

Malika El Aroud acquittée ?


C'est en tout cas ce que demande la défense de Malika El Aroud, qui estime que l'existence du groupe terroriste au centre du procès n'a jamais été prouvée.








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• Plaidoiries de la défense au procès Malika et consorts. ...
  
• Le point sur le procès de Malika et consorts à Bruxelles. ...
  

Belgique - Faits divers 12:38
L'avocate de Malika El Aroud, une militante islamiste contre qui le parquet a réclamé une peine de 8 ans de prison, a plaidé lundi pour l'acquittement de sa cliente, estimant que l'existence d'un groupe terroriste dont elle aurait été une dirigeante n'avait pas été prouvée.
Malika El Aroud, âgée de 50 ans, est jugée depuis le 8 mars, avec huit autres prévenus dont deux par contumace, pour "appartenance à un groupe terroriste", devant le tribunal correctionnel de Bruxelles. L'audience s'est déroulée dans un palais de justice placé sous surveillance policière exceptionnelle, avec notamment des membres des unités spéciales cagoulés et fortement armés patrouillant dans les couloirs.

Plaque tournante ?
Malika El Aroud aurait en particulier, selon le parquet fédéral, recruté de jeunes musulmans pour les camps d'entraînement d'Al-Qaïda au Pakistan et contribué à financer leur voyage, selon le procureur fédéral. "Le groupe n'est pas un groupe terroriste. Aucun des prévenus n'a envisagé de commettre un attentat", a répliqué lundi Me Fernande Motte de Raedt dans sa plaidoirie. "Malika n'a recruté personne" et n'a "apporté aucune aide logistique" à un "groupe terroriste qui n'existe pas", a-t-elle ajouté.
L'avocate a présenté celle que le procureur a appelée "l'icône des djihadistes" comme une femme se laissant parfois aller à la colère face à ce qu'elle considère comme des injustices commises en Afghanistan, mais aussi comme quelqu'un ayant condamné les attentats du 11 septembre.

"Le Djihad, un devoir"
"Malika estime que le djihad défensif est un devoir pour les musulmans", a expliqué l'avocate mais qu'il ne vaut que s'il est mené "sur le front (afghan)", a-t-elle plaidé, en faisant un parallèle avec les volontaires de la Guerre d'Espagne. "Le djihad défensif est-il condamnable ? S'agit-il de terrorisme ?", a insisté l'avocate pour qui Malika El Aroud ne fait que "proclamer son point de vue au nom de la liberté d'expression".
Le procès se poursuivait avec la défense d'Hicham Beyayo, l'un des volontaires partis s'entraîner dans les camps d'Al-Qaïda. Comme les autres accusés, il a assuré lors d'une audience précédente être rentré "déçu" d'Afghanistan et n'avoir pour projet que de reprendre une vie normale.

Procès Malika El Aroud: la salle évacuée pour une odeur de gaz



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Belgique - Faits divers 13:05 La salle où se tient le procès de neuf personnes poursuivies pour appartenance à un groupe à visées terroristes a été évacuée mardi vers midi dix après qu'une odeur de gaz a été détectée dans le couloir adjacent. Me Alain Vergauwen, qui venait d'entamer sa plaidoirie pour Hicham Beyayo, a été interrompu et l'audience suspendue. Il devrait reprendre à la réouverture de l'audience, vers 13h30, comme l'a indiqué le président Pierre Hendrickx.

Abdelkader Belliraj a entamé une grève de la faim




Monde - International 7:43 Abdelkader Belliraj, le Belgo-Marocain jugé en appel au Maroc pour terrorisme, a entamé avec d'autres prévenus, une grève de la faim. Ils protestent contre le fait que la cour n'a pris en compte leurs objections, indique mardi De Morgen.
La santé des grévistes de la faim se dégrade rapidement. "La Belgique aussi porte une lourde responsabilité", a déclaré Abderrahim Lahlali, conseil de Belliraj. Quand Al-Abadla Ma'a El Ainine du Parti islamiste de la Justice et du Développement a comparu devant le juge, il était si affaibli qu'il a laissé tomber le micro de ses mains. L'incident a entraîné l'évacuation de la salle d'audience. Au cours de l'audience de lundi, plusieurs prévenus se sont évanouis. Au total, une vingtaine de prévenus ont entamé la semaine dernière une grève de la faim pour protester contre le refus du président de prendre en considération les objections de la défense, notamment en ce qui concerne des documents juridiques non traduits. La semaine dernière, la plupart des avocats s'étaient retirés pour la même raison. (DWM)

L'Emirat du Caucase revendique les attentats de Moscou






Au moins 37 personnes ont été tuées dans un double attentat lundi matin dans le métro de Moscou, le plus meurtrier de ce type depuis 2004, attribué par les autorités russes à deux femmes kamikazes liées à des groupes rebelles du Caucase.



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Monde - Europe 18:08
Le chef du groupe rebelle islamiste l'Emirat du Caucase, Dokou Oumarov, a revendiqué les attentats suicide de Moscou qui ont fait 39 morts lundi, a rapporté mercredi le centre américain de surveillance de sites islamistes (SITE).

Double attentat suicide au Daguestan





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L'infographie



La Russie, encore sous le choc du double attentat suicide de lundi dans le métro de ...






Monde - Europe 15:58
La Russie, encore sous le choc du double attentat suicide de lundi dans le métro de Moscou, a été frappée mercredi par une nouvelle attaque qui a fait douze morts au Daguestan, république instable du Caucase en proie à une guérilla d'inspiration islamiste. Alors que la capitale s'apprêtait à enterrer les premières victimes des attentats de lundi, deux explosions ont retenti devant le commissariat de la ville de Kizliar, au Daguestan, tuant douze personnes dont neuf policiers.

La Russie ne permettra pas aux "terroristes" de semer la panique












Monde - Europe 15:30
La Russie ne permettra pas aux "terroristes" de semer la panique dans le pays, a affirmé mercredi le président russe, Dmitri Medvedev, après une série d'attentats à Moscou et au Daguestan qui ont fait 51 morts.
"L'objectif des terroristes est de déstabiliser le pays, détruire la société civile, répandre la peur et la panique dans la population. Cela, nous ne le permettrons pas", a déclaré M. Medvedev, selon des images retransmises par la télévision russe.
Le chef de l'Etat a par ailleurs estimé que les attentats qui ont fait 39 morts lundi dans le métro de Moscou et 12 autres mercredi au Daguestan, république instable du Caucase russe, étaient liés.
"Tout cela sont des maillons d'une même chaîne. Tout cela est la manifestation d'une activité terroriste qu'on a constatée ces derniers temps dans le Caucase", a-t-il ajouté.
Peu de temps auparavant, le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, a lui aussi jugé possible qu'il y ait un lien entre ces attentats.
"Je n'exclus pas que la même bande ait été à l'oeuvre", a-t-il dit sans autres détails à propos des attentats au Daguestan, selon des images retransmises par la télévision russe.
Plus tôt dans la journée, M. Medvedev a signé un décret ordonnant au gouvernement de M. Poutine de prendre d'ici quatre mois de nouvelles mesures en faveur de la sécurité des usagers du métro et d'autres moyens de transports en Russie.
Selon un communiqué du Kremlin, les autorités ont jusqu'au 31 mars 2011 pour installer des équipements spéciaux aux endroits où les infrastructures de transport sont les plus vulnérables. Aucune précision n'a été fournie sur ce "système complexe pour la sécurité des usagers des transports".
De son côté, le directeur du métropolitain de Moscou, Dmitri Gaïev, a déclaré à la radio Echo de Moscou que des détecteurs de substances toxiques et de gaz commenceraient à être installés début avril pour la première fois dans le métro de la capitale.
En outre, le renforcement des mesures de sécurité décidé après les attentats lundi dans le métro de Moscou seront maintenues "au minimum jusqu'à la mi-mai", a-t-il ajouté.
Lundi, deux femmes kamikazes ont déclenché leur ceinture d'explosifs dans deux stations du métro de la capitale, à une quarantaine de minutes d'intervalle.

Procès terrorisme: Jean Tréfois est extrêmement serviable et généreux




Belgique - Faits divers 15:46
L'avocat de Jean Tréfois, un des neuf prévenus poursuivis pour appartenance à un groupe à visées terroristes devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, l'a décrit comme un homme serviable et généreux, prêt à aller conduire des amis à Sète pour rendre service.
Jean Tréfois est poursuivi pour être allé chercher à Paris, avoir hébergé et conduit à l'aéroport de Zaventem, Hamza El Alami, un jeune Français de 20 ans parti au Waziristan (frontière pakistano-afghane) et vraisemblablement mort en décembre 2009. Jean Tréfois a été élevé dans le souci de l'autre.
Son père, enseignant, s'est investi dans un projet de construction d'école au Sénégal. "Il n'était pas rare qu'il emmène sa famille au Sénégal pour participer à la construction de ces écoles, chez eux, on fait souvent passer l'autre avant soi", a souligné Me Laurent Kennes, l'avocat du prévenu.
Quand Hamza El Alami lui a demandé de venir le chercher à Paris pour qu'il puisse prendre à Bruxelles un avion pour Le Caire, Jean Tréfois a accepté de bon coeur, même si c'était le lendemain de son mariage. "Il l'aurait fait aussi si Hamza était allé en Islande! ", a assuré Me Kennes, ajoutant qu'il ne serait pas juste d'être condamné pour sa gentillesse. L'avocat a donc demandé que son client soit acquitté.

Une ado de 17 ans serait l'une des kamikazes du métro de Moscou


Les enquêteurs russes ont identifié l'une des deux femmes kamikazes qui ont provoqué la mort de 39 personnes lundi dans le métro de Moscou. Il s’agit d’une adolescente de 17 ans qui serait la veuve d'un rebelle du Caucase, rapporte le quotidien russe Kommersant.







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• Attentats suicide à Moscou : la vie happée sur les quais ...
  

Monde - International 10:07
Le journal russe Kommersant publie une photo d’un couple, montrant une jeune fille voilée et entièrement vêtue de noir, au visage encore poupon, enlacée par un jeune homme, Oumalat Magomedov, tous deux tenant un pistolet. Cette jeune fille a été identifiée comme étant l’une des deux kamikazes des attentats de Moscou de lundi dernier : elle est âgée de 17 ans.


Son mari était un proche de Dokou Oumarov

Oumalat Magomedov, alias "Al-Bara" et considéré par les rebelles comme l'"Emir du Daguestan", était un proche du leader rebelle Dokou Oumarov, qui se fait appeler "Emir du Caucase" et qui a revendiqué les deux attentats de Moscou dans une vidéo publiée mercredi. Magomedov a été abattu le 31 décembre à Khassaviourt, dans l'ouest du Daguestan, lors d'un échange de tirs avec la police, alors que celle-ci voulait arrêter la voiture dans laquelle il se trouvait pour procéder à un contrôle.

La seconde kamikaze pourrait venir de Tchétchénie

Kommersant indique par ailleurs que l'identité de la deuxième femme kamikaze n'a pas encore été formellement établie, mais qu'il pourrait s'agir d'une femme originaire de Tchétchénie, Markha Oustarkhanova.

La famille et les avocats du Cheikh Bassam Ayachi demandent un procès en Belgique




Monde - Europe 18:30 La famille et les avocats du Cheikh Bassam Ayachi, détenu en Italie depuis novembre 2008, demandent qu'il soit jugé en Belgique plutôt qu'en Italie.
"Quand on voit l'acte d'accusation italien, il est difficile de ne pas avoir des mots insultants, c'est au minimum ridicule", a déclaré Me Christophe Marchand, avocat du Cheikh. Bassam Ayachi a été arrêté en novembre 2008 en compagnie de Raphaël Gendron alors qu'ils revenaient de Syrie. Les deux hommes transportaient dans leur voiture des sans-papiers. "Mon père a un grand coeur et, quand ces gens lui ont décrit leur situation difficile, il n'a pu faire autrement que de les aider, en s'exposant lui-même à des problèmes", a expliqué le fils de Bassam Ayachi. Détenus depuis, les deux hommes attendent leur procès, dont la date n'a pas encore été fixée. "Ce qu'on leur reproche, c'est un pot-pourri d'éléments de différents dossiers où le nom de Bassam Ayachi apparaît et qui forment un tout cohérent en apparence", ont affirmé Me Christophe Marchand et Me Sébastien Courtoy. Renseignements pris auprès du procureur fédéral, le Cheikh n'est inculpé de rien en rapport avec du terrorisme, affirment les avocats. Egalement accusés d'avoir préparé un attentat contre l'aéroport Charles-de-Gaulle, à Paris, les deux hommes ont été interrogés par un procureur français, qui ne leur a même pas posé de question sur un éventuel attentat, mais plutôt sur la partie française de la filière d'envoi de combattants vers le Waziristan (frontière pakistano-afghane). (SLE)

Encore une injustice sexiste !

Le mec a un pistolet mitrailleur .
La nénette un pistolet automatique seulement !

Ungern a écrit:

Encore une injustice sexiste !

Le mec a un pistolet mitrailleur .
La nénette un pistolet automatique seulement !

Heu!!

C'est pas un PM, un Tokarev, probablement un tt33

Oui mais c'est comme le Berretta,il sait tirer par rafales de 3 ...

Malika El Aroud "choquée par ce qui est dit à son encontre"


Malika El Aroud, présente au dernier jour du procès qui la voit comparaître avec huit autres personnes pour participation aux activités d'un groupe terroriste, a lu vendredi aux juges des passages d'une lettre qu'elle a écrite en prison. Chaque prévenu a eu l'occasion de s'exprimer une dernière fois.











Belgique - Faits divers 17:07
Malika El Aroud, qui avait demandé la permission de ne plus assister aux audiences après la plaidoirie de son avocate lundi, a dû "beaucoup prendre sur elle pour revenir" vendredi. Mais "après avoir découvert son dossier lors du procès" et avoir "été souvent choquée par ce qui a été dit à son encontre", elle est venue lire une missive dense. Le texte a cependant été écrémé après concertation d'urgence avec son avocate, pour en expurger les références à Hicham Beyayo.

Contre le terrorisme mais pour le Jihad
Elle a expliqué s'être "jetée dans la gueule du loup" et n'avoir plus eu de répit depuis son retour en Belgique. Ses propos ont régulièrement été déformés par les médias, assure-t-elle. "Mais j'y réponds dans mon prochain livre, que je suis en train d'écrire."
Le site minbar-sos était une fenêtre où exprimer sa colère. "J'avais le choix entre me taire et résister, j'ai décidé de parler", poursuit Malika El Aroud, qui se dit "contre le terrorisme sous toutes ses formes, mais pour le jihad". Elle a rejeté les soupçons de tentative d'évasion. "Je veux sortir en toute liberté pour aller embrasser ma fille."

Beyayo veut "reprendre une vie normale"
Hicham Beyayo a quant à lui exprimé le souhait de "reprendre une vie normale, sereine, qui s'était arrêtée il y a deux ans et demi" quand il avait décidé de suivre Moez Garsallaoui. "Je suis Belge, même si ça ne saute pas aux yeux. Je voudrais vraiment refermer la parenthèse. Je fais confiance à la Justice et j'espère que ce sera réciproque", a-t-il conclu.
Saïd Arissi a pour sa part tenu à s'excuser auprès de sa famille, du procureur fédéral et des enquêteurs. "Mon avocat m'a dit que je n'avais rien fait, à part foutre le bordel", a-t-il reconnu. "Dieu nous a placé les yeux à l'avant, c'est pour qu'on regarde devant nous. J'ai passé trois ans de ma vie ailleurs: j'ai fêté mes 27 ans en Syrie, mes 28 ans au Waziristan et mes 29 ans en prison. J'espère vraiment que le jour de mes 30 ans, le 22 juin, je serai dans ma famille", a-t-il expliqué.

Jugement rendu le 10 mai
Adulaziz Bastin s'est lui aussi excusé d'avoir pu faire croire "aux enquêteurs que je les menais en bateau". "Tout ce que je souhaite, c'est pouvoir reprendre ma famille, mon fils et mes études en main", a-t-il commenté. Son frère, Mohamed, s'est borné à répéter qu'il était innocent.
Quant à Jean Tréfois, il a à nouveau juré qu'il n'était "absolument pas au courant de la destination finale d'Hamza El Alami", parti au Waziristan et mort là-bas.
Le jugement sera rendu le 10 mai.

Moscou: la seconde kamikaze est une jeune enseignante


Les deux kamikazes qui ont commis le double attentat de Moscou qui a fait 40 morts, ont été reconnues. Il s'agit d'une ado de 17 ans, récemment identifiée, et d'une jeune enseignante en informatique de 28 ans.



Djanet Abdourakhmanova, la première kamikaze identifiée









Monde - International 21:24 Le 29 mars, un double attentat dans le métro de Moscou faisait 40 morts. Très vite, une jeune ado de 17 ans a été identifiée comme étant l’une des deux kamikazes. Aujourd’hui, les parents d’une jeune enseignante en informatique disent avoir reconnu leur fille sur les photos identifiant la seconde kamikaze. Mariam vivait chez ses parents dans le village de Balakhani et enseignait depuis 2006 l'informatique dans une école au Daguestan. Le père affirme n'avoir jamais remarqué chez elle d'opinion extrémiste ni de comportement inhabituel.


Enseignante en informatique, elle avait 28 ans

Une jeune enseignante en informatique du Daguestan, république instable du Caucase russe, a été identifiée par ses parents sur une photo la présentant comme la deuxième kamikaze des attentats de Moscou. "Ma femme et moi avons tout de suite reconnu notre fille Mariam", a déclaré le père, Rassoul Magomedov, selon des propos rapportés par le site internet du journal Novaïa Gazeta, ajoutant ne pas pouvoir croire que sa fille ait été une terroriste. M. Magomedov s'est entretenu avec une journaliste de Novaïa Gazeta après que des amis lui ont envoyé une photo de sa fille de 28 ans, présentée comme la deuxième kamizake des attentats suicide.


Une ado de 17 ans, kamikaze confirmée

Vendredi, le comité d'enquête du parquet russe a confirmé qu'une adolescente du Daguestan, Djanet Abdourakhmanova, née en 1992, était l'auteur de l'explosion déclenchée dans la station de métro "Park Koultoury" (lisez l’article complet). Rassoul Magomedov a raconté que son épouse avait vu leur fille Mariam pour la dernière fois le 28 mars, la veille des attentats de Moscou.

Les parents de la kamikaze belge sont dépités : "On ne sait rien"


Muriel Degauque, une Belge originaire de Charleroi, est la première femme européenne à avoir perpétré un attentat suicide, en 2005. Depuis lors, ses parents ne parviennent pas à obtenir le certificat de décès de leur fille. En exclusivité, ils ont confié leur désespoir à Nadia Bouria et Sébastien Dubois, pour RTL-TVI.








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• Terrorisme: les parents de M. Degauque attendent toujours ...
  

Belgique - Faits divers 19:51
Jean et Liliane Degauque fuient la presse depuis des années. Leur histoire est lourde: après avoir perdu leur fils lors d'un accident de la route en 1989, ils ont été projetés sur la scène publique à cause de l'attentat suicide de leur fille Muriel, en novembre 2005 en Irak.
Souffrant physiquement, les parents de la première kamikaze belge (et européenne) n'ont toujours pas reçu le certificat de décès de leur fille. Et ne peuvent donc régler la succession, ni entamer un travail de deuil. Un imbroglio administratif et judiciaire qui les plonge une seconde fois dans un profond désarroi. Ils ont accepté de rencontrer Nadia Bouria et Sébastien Dubois.

"On ne sait même pas où elle est enterrée"
"Rien du tout. Aucun papier. On ne sait même pas exactement où elle est enterrée. C'est très dur, après tout ce qu'on a subi", explique Jean Degauque, encore très ému par les événements. De son côté, le Ministère des Affaires étrangères affirme avoir tout tenté pour récupérer lesdits papiers. En vain, selon Patrick Debroeck, porte-parole du Ministère des Affaires étrangères. "En général, il n'y a pas de réponse. Parfois, une réponse indiquant que la réponse suivra, mais elle n'est jamais venue".
Un avocat est intervenu dans l'affaire, avec plus ou moins de succès. Le parquet fédéral assure pourtant qu'une copie conforme d'un document stipulant la mort de Muriel Degauque – présenté lors du procès de la filière belge – pourrait être fourni sur simple demande.