Rappel du premier message :
Je viens d'apprendre le décès de Mademoiselle Lerat, la professeur qui m'enseigna à rythme forcé la richesse de la langue de Miss Mab lors de mon arrivée en France alors que je n'étais qu' un très jeune adolescent d'une douzaine d'années : je tiens à lui rendre hommage et à saluer son engagement.
Deux fois par semaine, j'avais coutume d'aller chez elle et je la retrouvais avec une émotion toujours grandissante. A cette époque, cette presque quadragénaire avait des cuisses et des seins qui aiguisaient mes hormones déjà sautillantes. Elle s'était peu à peu prise d'affection pour moi et c'est même avec elle que j'eus ma première éjaculation sur l'une de ses cuisses dénudées par un bel après-midi de printemps. Je m'en souviens comme si c'était hier tant la sensation fut merveilleuse et brutale d'intensité. Ce jour là et n'y tenant plus, je lui ai pollué sa peau laiteuse jusqu'à la lisière de son pubis avec la première extériorisation de ma semence. Elle fut très gênée et me prit tendrement dans ses bras en m'autorisant à lui caresser les seins qu'elle m'offrit pour me récompenser de mes rapides progrès en français.
Quels moments intenses !