TITANIC 1912 - 2012

Rappel du premier message :

Naufrage d'un paquebot au large de la Toscane, 3 morts

ET 75 DISPARUS

PORTO SANTO STEFANO, Italie (Reuters) -
Trois personnes au moins ont péri dans le naufrage d'un paquebot italien, le Costa Concordia, qui s'est échoué sur un banc de sable vendredi soir au large des côtes de la Toscane avec plus de 4.000 passagers et membres d'équipage à son bord, a annoncé la garde-côte italienne.
Appuyés par plusieurs navires et hélicoptères, les sauveteurs étaient samedi à la recherche d'autres victimes éventuelles car on est sans nouvelles d'une cinquantaine de personnes.
L'accident, qui s'est produit à l'heure du dîner, a fait des dizaines de blessés et a donné lieu à des scènes de panique. Certains passagers se sont jetés à l'eau.
Le navire de 114.500 tonnes s'est couché sur le flanc à quelques centaines de mètres du rivage, près de l'île de Giglio. La mer était calme au moment de l'accident et on ignore les causes exactes du naufrage.
"Nous avons une quarantaine d'hommes au travail et nous attendons l'arrivée de plusieurs équipes de plongeurs spécialisés qui vont fouiller tous les espaces intérieurs du paquebot", a dit un porte-parole des pompiers, Luca Cari. "Nous n'excluons pas qu'il y ait d'autres victimes."
Il est difficile d'établir un bilan exact car certains passagers qui se sont jetés à l'eau ont pu être recueillis par des habitants de la région et n'ont pas encore été identifiés, a expliqué Giuseppe Linardi, chef de la police de la ville de Grosseto.
Les 3.206 passagers, en majorité italiens, et les 1.023 membres d'équipage ont été évacués vers l'île de Giglio ou vers Porto Santo Stefano, sur la côte toscane, où ils ont été hébergés pendant la nuit dans des écoles, des maisons et des églises.
Le Costa Concordia, long de 290 mètres, s'est échoué vers 22h00 (21h00 GMT) vendredi soir.
"Nous étions à table pour le dîner quand on a entendu un grand bruit. Je pense que nous avons heurté un récif. C'était la panique, les tables retournées, les verres qui volaient de partout. Nous nous sommes précipités sur le pont et nous avons mis nos gilets de sauvetage", a raconté une passagère, Maria Parmegiano Alfonsi, sur la chaîne de télévision Sky Italia.
"La lumière s'est éteinte, tout le monde hurlait. On nous a dit de rester calmes, que ce n'était rien, juste un problème électrique", a dit un autre passager.
La compagnie Costa Crociere, basée à Gênes, a annoncé qu'elle coopérait pleinement avec les enquêteurs pour établir les causes du naufrage.
On ignore l'identité des victimes.
Avec Philip Pullella, James Mackenzie et Silvia Ognibene; Eric Faye, Benjamin Massot et Guy Kerivel pour le service français

ILS N'ONT MÊME PAS ÉTÉ FOUTUS DE MANOEUVRER LES PÉNICHES DE SECOURS...... Y'EN A MARRE DE CES LOW COSTS DE MINABLES ET POUR MINABLES, TU N'AS PAS LES MOYENS, TU CRÊVES OU TU RESTES CHEZ TOI, C'EST À MON AVIS NORMAL, IL NE FAUT PAS TOUT MÉLANGER !!!!



PAS SNOB MAIS PAS CON !!!

andre a écrit:

... Il est vrai que dans un naufrage très souvent le bateau coule ...

Et voilà ! Ca recommence !
"On" deflore l'histoire !


Mab -puisque c'est comme ça, je ne le re-regarderai pas-

Le commandant Francesco Schettino, 52 ans, avec ses faux airs de Aldo Maccione est le coupable tout désigné pour cette terrible affaire du Costa Concordia.Il est bien évident que tout de suite la compagnie a accusé son officier d’une « incroyable négligence » et d’une « totale incapacité à gérer les phases successives de cette situation d’urgence ». Et pourtant avec le temps faudra-t-il regarder regarder cette affaire certainement avec un autre point de vue. Si cet officier était si incapable pourquoi l’avoir recruté ? Le système de marine civile est d’avoir un équipage à moindre prix ce qui veut dire souvent des personnels qui ne parlent pas les mêmes langues, peu ou mal payés dont ne peut pas connaître dans des cas d’urgence les réactions. Là elles furent simples c’est sauve qui peu la vie au détriment des passagers. Le capitaine du reste n’a pas eu le choix et sa compagnie devant ses protestations ou ses mises en garde la compagnie persiste : “Nous faisons de la navigation touristique, il faut que les gens nous voient, nous devons nous faire de la publicité et saluer l’île”». Ça ce n’est pas raté, le monde entier maintenant a vu le Costa Concordia, et la compagnie qui l’affrète.



Et dans le même ordre d'idées :

76 -

Deux légères niouzes du raffiot qui faisait coucou au dessus d'un nid de rochers.


Une phrase glanée par des asociaux en réseau volée à l'amène conversation entre le capitaine Crétino et les autorités portuaires est devenue culte et partant un
bourdonnement médiatico-haute couture puisque la répartie fleurie prospère sur les
Fèces-de-bouc et autres Gazouilleurs ainsi que sur les maillots de peau hantés
et caleçons :
"Remonte à bord, bordel !" ou en italique dans le texte "Vado a bordo, cazzo !"


(Bien qu'il semble y avoir peu de monde au balcon)



Au passage pour faire plaisir au Commandant de bord l'excellent Biloulou voici une leçon de langue de Dante donnée al dente à la journaleuserie françoise :

Citation :

L’île de Giglio n’existe pas.
Ce qui est extraordinaire est que la plupart des journaux (par exemple Le Figaro) écrivent que cet accident de navigation aurait eu lieu à “l’île de Giglio”.
Le Figaro, y compris dans les TITRES de ses articles, parle de l’île de Giglio. N’y a-t-il plus de journalistes au Figaro? N’y a-t-il plus de correcteurs au Figaro?
Les journalistes français (et, ici, il ne s’agit pas de journalistes sportifs), pauvres journalistes dont le misérable turbin consiste tout au plus à recopier, sans oublier la moindre faute d’orthographe, des dépêches d’agences de presse, ne savent pas de quoi ils parlent.

En effet, “l’île de Giglio” n’existe tout simplement pas.

L’île en question ne s’appelle nullement: “Giglio”.
On peut dire “l’île de Lampedusa”, parce que l’île s’appelle : “Lampedusa”.
Mais on ne peut pas dire: “l’île de Giglio”.
L’île en question s’appelle : “Il Giglio”.
Un peu comme, en France, la ville de “Baule”, ou de “Rochelle”, n’existe pas.
Il existe une ville de La Baule et de La Rochelle.
On dit “le port du Havre”, pas “le port de Havre”.
On dit “le port du Havre”, parce que “de + le” = du.
Vu que l’île s’appelle “Il Giglio”, il faudrait que les journalistes l’appellent par son nom.
Il faudrait que les journalistes français écrivent, soit : “L’île du Giglio”, soit “L’île du Lys”.

Mais l’expression “l’île de Giglio” fait rigoler tout Italien qui connaisse encore la langue italienne, comme elle fait rigoler tout Français qui connaisse encore la langue française.
Et moi, qui connais les deux. Ce qui fait deux fois plus que les journalistes français, sportifs ou pas.
Dire et écrire “l’île de Giglio”, c’est se tracer au milieu du front de très grandes lettres, de gigantesques lettres qui, toutes ensemble, forment le mot : illettré.

http://www.lefigaro.fr/international/2012/01/16/01003-20120116ARTFIG00563-concordia-l-ile-de-giglio-vit-au-rythme-des-secours.php

Aux journalistes français, on a envie de dire :
“Qu’ils aillent apprendre leur métier… cazzo!”

http://leblogderobertpioche.wordpress.com/2012/01/19/naufrage-du-costa-concordia-vada-a-bordo-cazzo-les-journalistes-francais-devraient-apprendre-que-lile-de-giglio-nexiste-tout-simplement-pas/

Bordel que t'es bon Robert !

Zed a écrit:

(...) Zed en introspection

Attention, André rôde...

Oui, bon, ça va, je te crois sur parole...

81 -


Toujours pas de client pour le maillot de peau hanté qui fait chavirer les foules ?

Ah ces Italiens, ce qu'ils peuvent avoir comme penchant

Citation :

Le groupe italien Costa annonce qu’il va porter plainte pour escroquerie contre une femme enceinte au moment du naufrage du Concordia. Elle réclame un million d’euros de dédommagements pour avoir fait une fausse couche quelques jours plus tard.

AFP

Publié le 17/02 à 19h13

Costa “ va porter plainte auprès des autorités et prendra des actions similaires en réponse à toute autre escroquerie de ce type ou tentative de profiter de la tragédie du Concordia ”, a indiqué Costa dans un communiqué, parlant de “ coup monté ”.

La compagnie a dit avoir pu vérifier que ni la femme en question ni son mari “ ne figuraient sur la liste des passagers ” du navire qui a heurté un rocher et s’est échoué, il y a un peu plus d’un mois.

A trois reprises, l’émission de télévision “ Striscia la Notizia ” avait évoqué le cas de cette femme italienne, appelée Cristina M., qui disait avoir perdu son bébé à cause du stress subi pendant l’évacuation chaotique du Concordia, alors qu’elle était enceinte de quatre mois.

La jeune femme et son mari décrits par Costa comme des “ rescapés autoproclamés ” ont aussi donné de multiples interviews à la télévision et avaient annoncé vouloir porter plainte contre Costa pour demander un million d’euros de dédommagement.

Selon Costa, “ Striscia la Notizia ” a enquêté sur cette affaire et a découvert que l’histoire avait “ été montée de toutes pièces. Le couple utilisait une fausse identité et aucun des deux ne se trouvait à bord du Concordia le jour du naufrage ”.

Le 13 janvier, le Costa Concordia transportait 4.229 personnes, dont 3.200 touristes de 60 nationalités différentes et un millier de membres d’équipage, lorsqu’il a heurté un rocher tout près de la petite île du Giglio, située dans un archipel toscan protégé. Le naufrage a fait 17 morts et 15 disparus.

Citation :

Navire suspect zigzaguant dans la Baltique: le capitaine était ivre

Le cargo a été repéré parce qu’il zigzaguait dans la Baltique. La marine danoise l’a donc intercepté dans la nuit de jeudi à vendredi. Son capitaine était ivre.

En plus détaillé

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Le faux couple du "Costa Concordia" démasqué
(actu-match | Clémentine Rebillat, mardi 21 février 2012)



Ce faux couple réclamait un million d'euros au groupe Costa. | Photo Mediaset5/Stricia la Notizia

Le groupe italien Costa a annoncé qu’il allait porter plainte pour escroquerie contre une femme qui réclamait un million d’euros de dommages et intérêts pour une fausse-couche survenue peu après le naufrage du «Concordia». La supercherie a finalement été découverte par l’émission italienne «Striscia la Notizia».

Elle avait réussi à duper les médias et à émouvoir le public. Son histoire était presque parfaite. Elle disait avoir fait une fausse-couche à cause du stress subi après le naufrage du Concordia et réclamait un million d’euros de dommages et intérêts. A trois reprises, aux côtés d'un homme présenté comme son mari, elle avait participé à l’émission télévision italienne «Striscia la Notizia» et donnait des interviews partout dans le pays. Ils étaient devenus un emblème… Mais problème, Cristina n’a jamais été enceinte. Pire, elle n’était même pas bord du bateau au moment du drame. Selon un communiqué de Costa, «Striscia la Notizia» a enquêté sur cette affaire et a découvert que l’affaire avait «été montée de toute pièce».

Pourtant, l’histoire de la jeune femme était parfaitement rodée et très précise. «Nous avons réussi à trouver des gilets de sauvetage, nous nous sommes mis en file sur le pont, il y avait des personnes qui hurlaient, qui glissaient. Il y avait des chaloupes réservées uniquement à l’équipage alors mon compagnon a dit que j’étais enceinte et ils nous ont fait monter à bord d’un canot. Ce fut une descente déterminante pour la perte de mon enfant, vraiment terrifiant. Le surlendemain, j’ai eu des pertes de sang et il m’a dit de me rendre immédiatement à l’hôpital. Par la suite nous avons contacté notre avocat qui nous a dit que nous devions obtenir des indemnisations supérieures en raison de ce qu’avait provoqué le naufrage. Il demande un million d’euros à la compagnie», avait-elle déclaré à la télévision.

De nombreuses erreurs
Une supercherie apparemment organisée par l’avocat du «couple», Giacinto Canzona, un spécialiste des drames et très habile lorsqu’il s’agit d'émouvoir l’opinion publique. Connu en Italie pour être le «défenseur des histoires étranges mais vraies», il aurait embauché les deux jeunes trentenaires pour jouer les victimes à la télévision et leur aurait offert 200 euros en compensation, rapporte le site italien Blitzquotidiano.it. Gabriele Bezzoli, le faux mari de la victime, serait en réalité modèle et étudiant. Margaret Ballarotta, qui est apparue en tant que Cristina serait, elle, un mannequin.



L'avocat Giacinto Canzona. Photo: Mediaset5/Stricia la Notizia

De nombreuses incohérences ont mis la puce à l’oreille des producteurs de l’émission «Striscia la Notizia». Les images d’abord diffusés par l’avocat du couple ne correspondaient en effet pas aux visages des deux prétendues victimes. Sur une première photo, l’homme présenté était en fait le cousin de l’avocat du couple, un certain Simon, remplacé ensuite par un autre homme et la femme était l’une de ses amies. Pour se défendre, l’avocat a affirmé s’être simplement trompé de photo. Plus tard, il changera de version, prétextant que «la réelle Cristina ne se sentait pas bien». Mais ce n’est pas tout. La fausse victime, interrogée à deux reprises par téléphone à la télévision, est apparue à chaque fois avec un accent différent: une fois romain, une fois lombard. Choqué par cette affaire, le groupe Costa a annoncé dans un communiqué qu’il intenterait «des actions similaires en réponse à toute autre escroquerie de ce type ou tentative de profiter de la tragédie du "Concordia".

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Tiens, à propos, mais ça n'a rien à voir... mais il y a longtemps qu'on a pas vu André...

88 -

Biloulou inquiet du sort de ses ouailles a écrit:

Tiens, à propos, mais ça n'a rien à voir... mais il y a longtemps qu'on a pas vu André...

Selon toute vraisemblance, et les témoignages concordent, il se la coule douce.

Citation :

Belfast inaugure un musée consacré au Titanic

(Reuters)

Belfast inaugurera samedi un musée consacré au Titanic, édifié sur le site des chantiers navals Harland and Wolff où il fut construit il y a un siècle, entre 1909 et 1912.

Le "Titanic Belfast", un impressionnant bâtiment inspiré de la coque du paquebot mythique et recouvert de 3.000 panneaux d'aluminium, est l'un des projets destinés à promouvoir le tourisme en Irlande du Nord. ...



"C'est notre Tour Eiffel, notre Guggenheim, et il est temps de changer totalement le regard du monde entier sur notre ville", explique Claire Bradshaw, porte-parole de ce projet qui a coûté une centaine de millions de livres (115 millions d'euros).

Le bâtiment de six niveaux comporte neuf galeries relatant l'histoire du navire et le contexte de l'époque, le Belfast des années 1900.

Les commerces se sont mis au diapason de l'événement. Un "whisky Titanic" a fait son apparition dans les pubs et les magasins proposent des chips à l'effigie du célèbre navire qui fit naufrage dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 après avoir heurté un iceberg au large de Terre-Neuve, lors de son voyage inaugural entre Southampton et New York.

Un musée Titanic à Belfast, où le paquebot fut construit - La voix du Nord
Cent ans après le naufrage du Titanic, un musée interactif, "Titanic Belfast", se prépare à ouvrir ses portes à l'endroit même où le paquebot a été construit au début du XXe siècle. Les visiteurs pourront revivre toute l'histoire, de la conception du navire aux enquêtes après l'accident, grâce à des reconstitutions incluant des odeurs et des températures. Durée: 58 s.

Mots-clés : afp web itv images gb ulster culture histoire tourisme

Video de afpvideos

PASCONCOSTA

Costa organise des croisières pour les voyeurs !!!!
Photos prises hier par des amis anciens naufragés....

OUPS UN OUBLI !!!!

Quoi ? Sur les côtes de Marbella aussi ?

Zed a écrit:

Suffirait simplement de gonfler les cales d'hélium et ensuite avec un cric par l'arrière tirer tout doucement.

Nettoyer les dégats.

Mais bon, ça sentira peut-être tout le temps le poisson

un cric à l'arrière !
à mon avis faudra plus d'un cric

sinon une fois qu'il sera vidé de son eau, ça devrait le redresser un peu
le problème pour le vider c'est qu'il faut déjà boucher les trous et s'ils sont en appui sur le fond, là il va falloir un paquet de crics pour le soulever (et je voudrai pas être le soudeur qui se faufile dessous

sinon une autre solution c'est vider la mer tout autour du site avec une digue