Ils Nous ont Quittés

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Décès de la poétesse Wislawa Szymborska, Nobel de littérature

(Reuters)

La poétesse polonaise Wislawa Szymborska, prix Nobel de littérature en 1996, est morte mercredi des suites d'un cancer de la gorge à l'âge de 88 ans. Surnommée "le Mozart de la poésie", elle s'est éteinte dans son sommeil, a précisé à l'agence de presse polonaise PAP son assistant, Michal Rusinek.

Wislawa Szymborska, peu encline aux honneurs, avait accédé à la célébrité en devenant en 1996 prix Nobel de littérature, une récompense que trois Polonais seulement avaient obtenue avant elle. ...



Feu Vaclav Havel, dramaturge et dissident tchèque devenu président après la révolution de velours, parlait d'elle comme d'une "femme plaisante, sympathique et modeste".

Wislawa Szymborska, qui était également critique littéraire et traductrice de poésie française, a publié plusieurs volumes de poésie après la levée de la censure stalinienne, en 1957.

Elle avait en revanche désavoué ses oeuvres antérieures, qu'elle jugeait trop empreinte de stalinisme.

Son oeuvre était marquée par le recours à la fable, à l'anecdote et à la métaphore -un de ses poèmes compare Josef Staline à l'abominable homme des neiges. Elle maniait aussi l'ironie et l'humour noir.

A un journaliste lui demandant pourquoi elle n'avait finalement publié que moins de 350 poèmes, elle avait eu cette réponse: "J'ai une poubelle chez moi."

Pour tous ceux qui sont passionnés de cricket et je sais qu'ils sont nombreux sur LP :

Christopher Dennis Alexander Martin-Jenkins, journaliste sportif spécialisé dans le cricket, commentateur sportif à la BBC Radio et ancien président du Marylebone Cricket Club vient de nous quitter à 67 ans.

Né à Peterborough dans le Cambridgeshire, Martin-Jenkins est vite devenu le capitaine de l'équipe de cricket de son école et sa grande déception fut de ne pas être sélectionné pour représenter l'Université de Cambridge.

Martin-Jenkins est déjà éditeur adjoint du magazine "The Cricketer" quand il rejoint la BBC en 1970 et l'équipe de Test Match Special (TMS) en 1972. En 1973, il prend la succession de Brian Johnston comme correspondant de la BBC pour le cricket et conserve le poste jusqu'en 1981, quand il revient au Cricketer comme éditeur en chef. En 1984, il reprend son poste à la BBC tout en conservant celui au Cricketer. Il est correspondant cricket pour The Telegraph de 1990 à 1999, avant de passer au Times où il demeure jusqu'à sa retraite en 20081. L'année suivante, il est élevé à la dignité de membre de l'Ordre de l'Empire britannique.

andre a écrit:

Pour tous ceux qui sont passionnés de cricket et je sais qu'ils sont nombreux sur LP :

Christopher Dennis Alexander Martin-Jenkins, journaliste sportif spécialisé dans le cricket, commentateur sportif à la BBC Radio et ancien président du Marylebone Cricket Club vient de nous quitter à 67 ans.

Né à Peterborough dans le Cambridgeshire, Martin-Jenkins est vite devenu le capitaine de l'équipe de cricket de son école et sa grande déception fut de ne pas être sélectionné pour représenter l'Université de Cambridge.

Martin-Jenkins est déjà éditeur adjoint du magazine "The Cricketer" quand il rejoint la BBC en 1970 et l'équipe de Test Match Special (TMS) en 1972. En 1973, il prend la succession de Brian Johnston comme correspondant de la BBC pour le cricket et conserve le poste jusqu'en 1981, quand il revient au Cricketer comme éditeur en chef. En 1984, il reprend son poste à la BBC tout en conservant celui au Cricketer. Il est correspondant cricket pour The Telegraph de 1990 à 1999, avant de passer au Times où il demeure jusqu'à sa retraite en 20081. L'année suivante, il est élevé à la dignité de membre de l'Ordre de l'Empire britannique.

J'ai bien des vêtements Cricket & Co,mais à part çà ,boffff

Décès de la chanteuse américaine Patti Page à l'âge de 85 ans
(AFP et LePoint.fr - Publié le 03/01/2013 à 09:39)



La chanteuse américaine Patti Page, dont Line Renaud avait repris en français l'un des titres
les plus célèbres, "Le chien dans la vitrine", est morte mardi à l'âge de 85 ans en Californie,
a annoncé mercredi son porte-parole.


La chanteuse américaine Patti Page, dont Line Renaud avait repris en français l'un des titres les plus célèbres, "Le chien dans la vitrine", est morte mardi à l'âge de 85 ans en Californie, a annoncé mercredi son porte-parole.

"Elle est décédée hier soir", a déclaré Michael Glynn à l'AFP, précisant qu'elle vivait depuis quelques mois dans une maison de retraite d'Encinitas, au nord de San Diego.

La chanteuse, malade depuis plus de deux ans, est probablement décédée d'une crise cardiaque, selon le porte-parole, même si la cause officielle de la mort n'est pas encore connue.

Patti Page, qui a vendu plus de 100 millions de disques dans sa carrière, avait 50 albums à son actif.

L'un de ses titres les plus célèbres, "How much is that Doggie in the Window", numéro un des ventes aux Etats-Unis en 1952, avait été repris par Line Renaud sous le titre "Le chien dans la vitrine", dans un adaptation de Loulou Gasté.

Patti Page devait recevoir un trophée pour l'ensemble de sa carrière lors de la cérémonie des Grammy Awards en février prochain, à l'instar du musicien indien Ravi Shankar, décédé le mois dernier et qui vivait lui aussi à Encinitas.



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Tout le passé d'André qui s'en va...

Dimanche 27 janvier, ça fera 30 ans que Louis de Funès est mort
(Midi Libre, par Henry-Jean Servat - 26/01/2013, 14 h 35 | Mis à jour le 26/01/2013, 14 h 41)



Louis de Funès, inoubliable et indépassable talent comique. (© D.R)


Véritable artiste, Louis de Funès créa, à lui seul, des archétypes. Et il installa sur la pellicule une authentique comédie humaine. Retour sur le parcours de l’acteur comique le plus drôle de France.

C’était, à l’écran, une vile et vieille teigne, méchante comme une peau de hareng et hargneuse comme une brosse en fer qui faisait néanmoins crouler de rire des salles entières de spectateurs qu’il parvenait comme personne à plier en deux. Le déroulé de la carrière du dénommé Louis de Funès de Galarza, originaire d’Espagne mais né à Courbevoie en 1914, ne manque ni de saveur ni de piquant.

Celui qui allait devenir l’acteur comique le plus drôle de France a commencé par bourlinguer en un nombre incalculable de films pour lesquels il courait le cacheton comme un malade. Dans ces pâles œuvrettes, allant de Dans l’eau qui fait des bulles à Taxi, roulotte et corrida, il est tout, sauf égal à lui-même car, d’une apparition à l’autre, il n’est jamais pareil et toujours déguisé.

Culot et génie

Affublé de multiples chapeaux, perruques, postiches, moustaches et barbes, il se montrait méconnaissable mais bel et bien là, traversant une scène ou une séquence à la vitesse du feu follet.

Deux scènes mémorables restent dans les esprits. Dans "Ah, les belles bacchantes !", en 1952, crâne d’œuf tondu à la façon d’un moine pour pub de camembert, il danse affublé de sandales grosses comme des battoirs de lessive. Il se montre dément et insensé, osant tout avec culot et génie.

Peu après, juché sur le sommet d’une échelle au fin fond d’une cave du 47 rue Poliveaux, dans La Traversée de Paris en 1956, il courbe le dos en se faisant houspiller par Jean Gabin tandis qu’il grimaçait sans retenue.

Avant, il faisait tapisserie dans l’agitation ambiante. Là, pour la première fois, en ces deux numéros, il se faisait formidablement remarquer et il donna des idées aux producteurs et des envies aux spectateurs qui, désormais, connaissaient son nom.

Après quelques premiers rôles, il éclata littéralement avec Le Gendarme de Saint-Tropez en 1964, composé spécialement à son intention. Et le film résume bien la trajectoire de la grande vedette qu’il devint.

Il travaillait ses rôles comme des partitions musicales

Occupant le début du film en noir et blanc, il quitte le triste arrière-pays, prend un bus et arrive, à la dixième minute, à Saint-Tropez subitement inondée de couleurs. Agité comme une bouteille d’eau de Cologne à friction, comme s’il avait des frelons dans sa culotte, il lui fallait et de l’espace et du changement pour bien faire le fou et le filou.

Travaillant ses rôles comme des partitions musicales et des présentations chorégraphiques, il se coula, dès lors, dans un personnage qui pétait constamment les plombs, mettait le feu et embrasait le décor. Véritable artiste, Louis de Funès créa, à lui seul, des archétypes. Et il installa sur la pellicule une authentique comédie humaine. Terriblement humaine.

L'inventeur de l'ardoise magique est mort
(France TV info - Mis à jour le 03/02/2013 | 16:40 , publié le 03/02/2013 | 13:54)





Avant les tablettes numériques, il y avait l'ardoise magique, ou plus exactement le "télécran", comme il avait été nommé officiellement à sa sortie. Un écran gris, un rebord en plastique et deux boutons qui traçaient des lignes et défiaient votre coordination. Son inventeur, le Français André Cassagne, est mort à Paris le 16 janvier à l'âge de 86 ans, selon la société américaine Ohio Art Company, qui a commercialisé le jeu depuis 1959.


Une ardoise magique photographiée par l'entreprise qui la commercialisée : Ohio Art Shows.
(SIPA / AP)


Électricien de formation, André Cassagne avait proposé son invention lors d'une foire aux jeux à Nuremberg, en Allemagne, après avoir observé que des dessins sur une couche de poudre d'aluminium étaient visibles des deux côtés de la planche. Quelques mois plus tard, en 1960, la license est rachetée par un groupe américain 25 000 dollars.

L'ardoise baptisée "Etch a sketch" est modifiée avec la collaboration de son créateur. Le joystick est remplacé par deux boutons blancs censés rappelés ceux de la télévision, en plein boom à la même époque. L'"écran magique" devient le jeu le plus vendu aux Etats-Unis dès Noël 1960.

Depuis, si vous en êtes restés aux voitures accidentées et aux maisons tordues, d'autres y ont trouvé le support de leur expression artistique. George Vlosich s'en est par exemple fait une spécialité.



George Vlosich, ici en février 2012, est l'un des champions de dessins en ardoise magique. Il peut passer 150 heures à reproduire un célèbre visage.
(GEORGE VLOSICH / REX FE/REX/SIPA / REX)



"Autant en emporte le vent", par George Vlosich, dessiné d'un seul trait en ardoise magique.
(GEORGE VLOSICH / REX FE/REX/SIPA / REX)



Barack Obama par Geroge Vlosich, à l'ardoise magique.
(GEORGE VLOSICH / REX /SIPA)




Après plus de 100 millions de ventes, l'ardoise magique a connu un regain commercial depuis qu'elle est apparue dans les films d'animation Toy Story.

L'ardoise magique a aussi servi d'argument pendant la dernière campagne électorale américaine. Les adversaires républicains de Mitt Romney comme Rick Santorum ou Newt Gingrich le comparaient au jouet qui s'efface quand on le secoue, soulignant son absence de constance de cette façon. Ils joignaient le geste à la parole en exhibiant une petit "Télécran".



Le candidat aux primaires républicaines américaines Rick Santorum tient une ardoise magique qu'il compare à Mitt Romney le 22 mars 2012 pendant sa campagne à San Antonio.
(ERIC GAY/AP/SIPA / AP)

Dans mon souvenir le curseur était toujours "continu" ...

Ça fait bien longtemps, mon parcours sur l'ardoise... Tu " effaçais " en repassant sur la région, je crois.

Si le brillant artiste a trafiqué le télécran, c'est malhonnête de l'offrir à notre admiration - s'il est banquier, alors, c'est vertueux.

J'avoue que le Meccano et le patin à roulettes constituaient l'essentiel de mes jouets de gosse, je n'avais jamais entendu parler de cette Ardoise magique....

Biloulou a écrit:

J'avoue que le Meccano et le patin à roulettes constituaient l'essentiel de mes jouets de gosse, je n'avais jamais entendu parler de cette Ardoise magique....

On s'habitue Biloulou en payant simplement l'ardoise !!!

Biloulou a écrit:

J'avoue que le Meccano et le patin à roulettes constituaient l'essentiel de mes jouets de gosse, je n'avais jamais entendu parler de cette Ardoise magique....

pareil !
l'ardoise, je l'ai quand même essayée mais c'était pas très fonctionnel (comme dit plus haut, on ne pouvait pas relever le curseur)
donc les photos ci-dessus sont truquées

Citation :

LA DISPARITION DE JOHN KARLIN, RÉVOLUTIONNAIRE INVENTEUR DU CLAVIER DU TÉLÉPHONE


Avec la mort, le 28 janvier, de John Elias Karlin, je vais vous parler d’un temps que les moins de 20 ans, voire 30 ans, n’ont pas connu. Un temps où les téléphones n’étaient évidemment pas portable, encore moins smart, et où pour composer le numéro de votre correspondant —pas le 22 à Asnières, faut pas exagérer —, il fallait patiemment mettre son doigt dans un cadran, tourner vers la droite jusqu’à une petite butée, et attendre que le cadran revienne à sa position initiale avant de pouvoir composer le chiffre suivant. Etc. Heureusement, en général, on ne composait que six chiffres à cette époque. ....

Revenons à John Elias Karlin, décédé la semaine dernière aux Etats-Unis, à qui le New York consacre une nécrologie ce samedi. Né en Afrique du Sud, il y a 94 ans, immigré aux Etats-Unis, John Karlin, un total inconnu du grand public, est pourtant l’homme qui a révolutionné nos vies en changeant notre façon de téléphoner. Car c’est lui, multidiplomé en psychologie, philosophie et électronique, ancien étudiant du MIT, qui a fait passer le cadran de vie à trépas pour imposer ce que nous utilisons aujourd’hui tous les jours : le téléphone à touches.


En 1945, Karlin débute sa carrière dans les Bell Labs, un laboratoire de recherches propriété de grandes compagnies de téléphone, ATT et Western Electric Companies. Avec son équipe, il va créer le téléphone à touches, qui sera testé à partir du 18 novembre 1963. Les premières modèles possèdent deux rangées de boutons horizontaux: Du 1 au 5, puis du 6 au 0. Ils ne sortiront jamais des labos. Le clavier qui allait tout changer allait d’abord connaître plusieurs designs: boutons en cercle, boutons en arc de cercle, rectangulaire…

Le clavier qui allait finir par s’imposer, sur la base de tests d’observation de groupes d’études —on allait analyser la vitesse de composition des numéros, les préférences des utilisateurs — est celui qui existe encore aujourd’hui: 10 touches, par rangées de trois de 1 à 9, avec le 0 centré en dessous, avec le 123 en haut. A deux différences près: les téléphones possèdent toujours ce même design, également à l’usage sur les calculatrices, les écrans tactiles et certains claviers d’ordinateurs. On leur a ajouté deux touches: l’étoile et le dièse.

Ungern a écrit:

En zappant,je crois que je suis tombé sur le décès de Martin Gray.
J'ose pas l'affirmer,mais je crois .
Si c'est vrai on va avoir droit à un retour de Coco et du Gave "en force" (mais sans Nagmachon...).

C'est à espérer, ce n'est pas dans les principes de LP de museler ceux qui pensent autrement, ce serait la mort des débats.

Deux remarques :

a) il est pas mort .
b) Coco ne pense pas .


Brel en avait déjà parlé il y a bien longtemps de celà ....

" Chez ces gens là,monsieur.... On ne pense pas...." .

Brel en avait déjà parlé il y a bien longtemps de celà ....

" Chez ces gens là,monsieur.... On ne pense pas...." .



Je pense donc il est ...

Ungern a écrit:

Deux remarques :

a) il est pas mort .
b) Coco ne pense pas . (...)

Oh si, et si tu savais ce qu'il pense de toi, et à juste titre....

Biloulou a écrit:

Oh si, et si tu savais ce qu'il pense de toi, et à juste titre....

M'en fout .
Comme il pense toujours de travers,
il va finir par me construire une basilique ...

Le marteau et la faucille sont morts !
(Le Point.fr - Publié le 08/02/2013 à 16:28 - Modifié le 08/02/2013 à 19:19)



Le parti communiste abandonne la faucille et le marteau sur leurs cartes d'adhérents. © MANAN VATSYAYANA / AFP


Les célèbres emblèmes communistes ont soudainement disparu des cartes d'adhérent du PCF. Les militants s'indignent.

Plus que des symboles, c'est une partie intégrante de l'identité communiste qui vient soudainement d'être retirée des cartes d'adhérent du PCF. Le marteau et la faucille ont été remplacés par la mention "gauche européenne" sur les nouveaux documents remis à tous les adhérents. Une décision prise sans débat interne ni avis du conseil national, qui provoque la colère des membres du parti, au moment même où débute le congrès du PCF.

Sans surprise, le parti tient à se justifier. "Nous voulons nous tourner vers l'avenir. C'est un sigle qui ne résume pas ce que l'on est aujourd'hui", explique Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, sur le plateau de LCI. Il parle aujourd'hui de "communisme de nouvelle génération". Selon lui, il s'agirait de poursuivre la "normalisation" du parti qui s'intégrerait dans l'euro-social-démocratie, contrôlée par le Parti de la gauche européenne.

L'indignation des adhérents
Le porte-parole du PCF, Patrice Bressac, refuse pour sa part de commenter le sujet. Il préfère s'indigner : "Je suis scandalisé. Le congrès du parti s'ouvre par des interventions de salariés d'entreprises en crise, comme Petroplus, par des dirigeants internationaux qui viennent nous parler des militantes kurdes tuées à Paris (...) On parle de sujets comme ça. Je ne commenterai pas des problèmes d'intendance", déclare-t-il sur Europe 1.

Les militants PCF, quant à eux, sont déstabilisés par la disparition du marteau et de la faucille. "Tout le parti est choqué par ça", explique le secrétaire de section à Paris, Emmanuel Dang Tran, sur France Info. Il déplore la disparition d'un "point historique, symbole de résistance". S'inquiétant d'un revirement politique qui pourrait menacer l'intégrité du parti, il soupçonne Pierre Laurent de vouloir "inféoder le PCF, avec le Front de gauche, des verts, des trotskistes, à la social-démocratie". L'avenir du parti est peut-être en jeu.

Par Morgane Tapia

Ungern a écrit:

il va finir par me construire une basilique ....

Compte sur moi pour ne pas y mettre les pieds.


Mab, bonne copine

469 -

Citation :

Les militants PCF, quant à eux, sont déstabilisés par la disparition du marteau et de la faucille. "Tout le parti est choqué par ça", explique le secrétaire de section à Paris, Emmanuel Dang Tran, sur France Info.

Il s'émeut pour rien le camarade Manu : au Parti il y aura toujours un tas de gens marteaux arborant des faux-cils !

Ungern a écrit:

C'est interdit aux animaux ...sauf le jour de la Saint Hubert ...et de la Saint François d'Assise ...

Cesse d'ecouter les racontars.
Sur deux pattes, on entre où on veut.


Mab

Mara-des-bois a écrit:

Ungern a écrit:

C'est interdit aux animaux ...sauf le jour de la Saint Hubert ...et de la Saint François d'Assise ...

Cesse d'ecouter les racontars.
Sur deux pattes, on entre où on veut.


Mab

Oui mais tu sais pas tenir longtemps sur 2 pattes je suppose ...

Ungern a écrit:

Oui mais tu sais pas tenir longtemps sur 2 pattes je suppose ..

Tu supposes mal (et ma foi, il y a dans cette continuité quelque chose de rassurant)

Si j'arrete de te repondre, tu t'en prends à qui ?


Mab, on ne sait jamais...