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Pendant toute la campagne du desert,Wavell avait un àne. Mais a la fin des combats,tout le monde est formel la dessus,l ane ne savait toujours pas conduire une armee ....
Peut-être, mais dans le désert il était le seul à pouvoir conduire une armée vers un point d'eau sans boussole, sans cartes, sans GPS et sans se planter...
Évidemment... sous cet aspect-là aussi, Ungern est nettement désavantagé par rapport à l'âne de Wavell...
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Pendant toute la campagne du desert,Wavell avait un àne. Mais a la fin des combats,tout le monde est formel la dessus,l ane ne savait toujours pas conduire une armee ....
Peut-être, mais dans le désert il était le seul à pouvoir conduire une armée vers un point d'eau sans boussole, sans cartes, sans GPS et sans se planter...
Évidemment... sous cet aspect-là aussi, Ungern est nettement désavantagé par rapport à l'âne de Wavell...
Finalement, ce n'est pas un débat sémantique auquel on assiste ici mais à une logorrhée propagandiste axée autour d'un amalgame débile et d'un sophisme indécrottable démonisant Ungern, le soit-disant nouveau propagateur de la pensée de l'Axe du Mal!
C'est donner bien du crédit à l'ami Ungern.
Nos petits perroquets marionnettisés sont-ils en manque de points Godwin à ce point?
Tiens donc, ça me fait penser aux ânes utilisés par les touristes pour descendre le Grand Canyon. Faut leur garder le museau vers la paroi. S'ils tournent la tête vers le vide, ils s'y précipitent...
l n’y a pas de choses mauvaises, mais seulement de mauvaises utilisations des choses. En quelque sorte, il n’y a pas de choses mauvaises mais seulement de mauvaises pensées ; et surtout de mauvaises intentions … mais il est possible d’avoir de mauvaises intentions au sujet de bonnes choses ; et les bonnes choses, comme le monde et la chair, ont été tordues par une mauvaise intention appelée le diable. Mais le diable ne peut pas rendre les choses mauvaises; elles restent telles qu’elles étaient au premier jour de la création. L’oeuvre du ciel seule est matérielle – la fabrication d’un monde matériel. L’oeuvre de l’enfer est entièrement spirituelle. Chesterton
coco!
Invité Invité
Sujet: courage, lisez cet article jusqu'au bout !il parle de l'antisionisme-antisémite! 25/4/2012, 17:45
Haïr ISRAËL
Israël
27 mars 2012
Avant qu’il ne fût liquidé par la police française, le meurtrier jihadiste des trois soldats français-algériens et de quatre juifs, dont trois enfants, avait déclaré que son acte était motivé par le « meurtre » d’enfants palestiniens par les israéliens.
Bien sûr, quand rien ne colle plus et loupe en général, il faut blâmer les juifs.
Cette excuse n’est au fait, qu’un prétexte pur et simple, une tactique de propagande pour extorquer un soutien moral des pays de l’occident en exploitant cyniquement les préjugés répugnants anti-juifs nichés à perpétuité dans les cœurs de nombreux européens.
La chansonnette de l’occupation agressive de la patrie palestinienne par les israéliens est la cause de la violence jihadiste n’est plus qu’un cliché périmé, un prétexte pour légitimer la terreur, qu’éperonnent l’antisémitisme occidental et le pop psychologique.
Des exemples de ces raisons lumineuses sont très faciles à accumuler :
- Hubert Védrine, ministre des affaires étrangères français expliquait en 2002, ciblant la recrudescence des attaques antisémites et des incendies de voitures en France :
« on ne devrait pas nécessairement être surpris que les jeunes français issus de familles immigrées ressentent de la compassion pour les palestiniens et soient perturbés quand ils voient ce qui se passe. »
- L’historien Tony Judt dans son histoire de l’Europe d’après-guerre entérinait que les attaques étaient « une conséquence directe de la suppurante crise au Moyen-Orient ».
- Réitérant cette idée originale, le général David Petraeus, dans son témoignage au Congrès de 2010, disait que le conflit israélo-arabe suscite l’anti-américanisme en raison d’un favoritisme visible des USA pour Israël.
La frustration émanant de la question palestinienne restreint le dynamisme et la profondeur de l’association des USA avec les gouvernements et les peoples en Iraq et en Afghanistan.
« Entre-temps, al-Qaida et d’autres groupes militants exploitent cette soi-disant fureur pour mobiliser un soutien. »
Conscient sans nul doute, de l’aptitude de l’occident à blâmer les juifs à tord et à travers, Oussama Bin Laden avait rajouté la Palestine à sa liste toujours croissante des prétextes pour s’attaquer à l’Amérique :
« La création et le maintien d’Israël », sermonnait-il en 2002, « est l’un des plus grands crimes, et vous les USA, êtes les chefs de ses criminels. »
Mais Bin Laden n’était jamais à court d’idées pour codifier ses meurtres.
C’étaient tout d’abord les troupes américaines stationnées en Arabie Saoudite pendant la guerre du Golfe.
Puis, en 2004, il soutenait l’ingérence américaine au Liban en 1983 qui engendra la haine des USA.
Plus tard, il maintint que les USA avaient déclaré la guerre contre les musulmans depuis 1945.
Néanmoins, dans ses déclarations après le 9/11, Bin Laden avait mentionné la véritable cause :
« Humiliation et honte » infligées aux musulmans par la dissolution du califat en 1924. La création d’Israël n’est pas et n’a jamais été la « catastrophe »véritable des islamistes, hormis l’accumulation de trois siècles d’embourbement de l’occident dans le monde islamique.
Pour les théoriciens du jihad comme la confrérie musulmane, Hassan al Banna et Sayyid Qutb, l’existence d’Israël n’est simplement que le symptôme d’une corruption plus profonde de l’Islam par les concepts occidentaux.
La brèche occasionnée permit la domination occidentale et rendit possible la création d’Israël en premier lieu.
En outre, il est difficile de distribuer des points d’honneur aux arabes ou aux musulmans pour leur manque de mansuétude face à la souffrance des fuyards palestiniens.
Les plupart des arabes avaient manifesté un mépris virulent contre les palestiniens lorsque ces derniers avaient choisi la fuite au lieu de se battre en 1948.
Ou encore, pour la façon dont les pays arabes avaient rassemblés les réfugiés palestiniens dans des camps sordides sous la protection internationale, leur refusant toute facilité d’intégration dans leurs pays
Ajoutez à cela le total des palestiniens tués par leurs compatriotes arabes, un nombre qui éclipse de loin ceux tués par Israël pour se défendre contre les attaques terroristes.
De toute évidence, la question n’est pas le nombre de morts, de torturés, d’emprisonnés ou d’opprimés, mais plutôt l’identité de l’ennemi –des infidèles dont le sort est d’être soumis à l’Islam, qu’Allah appelait la « meilleure des nations » destinée à dominer le monde.
Le simulacre des jihadistes frustrés et compatissants pour leurs frères palestiniens tyrannisés, devient alors un procédé, une recette efficace de propagande, mais aussi une manière d’exploiter l’antisémitisme latent dissimulé encore dans l’âme occidentale afin de gagner un soutien nécessaire à leur cause jihadiste.
Il n’existe d’autre explication pour justifier la haine obsessive d’Israël par de nombreux européens – haine irrationnelle accompagnée par les incantations rituelles de « jamais plus », tout en menant un politique anti-Israël et soutenant ceux qui en fait, pavent passionnément la voie pour un autre génocide.
Vous rappelez-vous de la magnifique sortie de l’ambassadeur de France en Angleterre qui avait appelé Israël « ce petit pays de merde » pendant que les terroristes palestiniens égorgeaient les femmes et les enfants israéliens lors de l’Intifada ?
L’insulte est juste une nouvelle version des vieilles paraboles antisémites évocatrices du Der Sturmer que l’on retrouve partout en Europe.
Au cours du débat sur la guerre en Irak, un député travailliste britannique disait que Tony Blair était « indûment influencé par une clique de conseillers juifs. »
Un ancien ministre de la défense allemand avait déclaré que le président Bush voulait se débarrasser de Saddam Hussein à cause d’un « lobby juif puissant – trop puissant ».
Un membre du Parlement européen avait affirmé que dans le département de la défense américaine « les positions clés sont occupées par les juifs ; le Pentagone est aujourd’hui une institution juive. »
Et selon un récent sondage de la ligue anti-diffamatrice, ces attitudes antisémites sont en pleine croissance à travers l’Europe.
Compte tenu de ces préjugés, accuser Israël comme étant l’ennemi juré global est beaucoup plus aisé pour beaucoup d’européens et fournit aux djihadistes un puissant outil pour rationaliser leur terrorisme et faciliter l’exclusion sociale d’Israël par les européens.
Au-delà de l’antisémitisme européen, l’excuse qu’« Israël les contraints à agir de la sorte » témoigne d’une arrogance remarquable de la part des occidentaux, qui arrivent à ne commenter le comportement du Jihad que par des éléments matérialistes et psychologiques dans lesquels ils se sentent plus à l’aise.
Ainsi, les jihadistes n’ont aucun motif relevant des dérivés de leur foi, mais réagissent simplement aux péchés occidentaux comme le colonialisme et l’impérialisme, ou à un manque de liberté politique et de prospérité matérielle.
Qu’importe le nombre de fois que les jihadistes citent des chapitres et des verset du Coran, hadiths et théologies musulmanes et légistes, les trop surs d’eux-mêmes occidentaux rejettent le tout et blâment les « distorsions » d’une frange fanatique en hurlant haro aux « Islamophobes », qui ne sont en réalité, que tous ceux qui osent demander plus d’attention à ces faits.
Puisque ces rationalisations sont inabordables, nos experts et universitaires ignorent simplement l’évidence d’un courant intolérant islamique.
Ainsi, nous ne verrons rien dans la presse lorsqu’ibn Abdulaziz Al Abdullah al-Cheikh, le grand mufti du Royaume d’Arabie saoudite, déclarait récemment qu’il est « nécessaire de détruire toutes les églises dans la péninsule arabique, » comme le rapporte notre ami Raymond Ibrahim du Centre Shillman pour la liberté.
Plutôt que de prendre au sérieux les religions et reconnaître la théologie intolérante et violente de l’Islam qui mène au jihad, les intellectuels occidentaux trouvent plus facile de blâmer Israël, ce qui leur permet aussi de se consacrer entièrement à leur aversion irrationnelle du « Sionisme », la nouvelle forme du vieil antisémitisme.
La diabolisation occidentale faisant d’Israël un bouc émissaire a déformé la politique internationale et les tactiques face à la terreur jihadiste et de ses états commanditaires comme l’Iran et la Syrie.
Nous oublions qu’Israël a été le premier front bien avant l’attaque du 9/11, et est l’allié le plus important des USA dans ce conflit.
Plus l’occident compromet la sécurité d’Israël, plus les ennemis de la liberté sont encouragés et croient qu’ils seront les prochains dominateurs du monde.
Ça devient harassant les «fixettes» de l'un et de l'autre!
Mais si j'ai bien compris, l'humanité entière est responsable de la sécurité de l'Israël Sioniste sous peine de basculer en enfer! On croirait un reprise ânonnée du discours des évangélistes chrétiens avec juste une chute différente...
Ça devient harassant les «fixettes» de l'un et de l'autre!
Mais si j'ai bien compris, l'humanité entière est responsable de la sécurité de l'Israël Sioniste sous peine de basculer en enfer! On croirait un reprise ânonnée du discours des évangélistes chrétiens avec juste une chute différente...
Je croyais l'Israël Sioniste un état adulte?
je sais petit canard que de devoir lire un long texte est harassant pour toi!
petit canard soit rassuré la sécurité d'Israél nous nous en occupons seul et vu les résultats très bien!
aujourd'hui nous fêtons le 64 anniversaire de la création de l'Etat d'Israél !
et nous n'avons jamais été aussi fort .
coco!
ps: bon courage petit canard dans mon prochain message un texte long et instructif!
J’étouffe en France… On ressasse éternellement les mêmes petites idées toutes faites, les mêmes préjugés recuits qui servent à refouler toutes les questions neuves. (…) je ne participerais tout simplement pas à un « débat » entre deux personnalités qui pensent et disent exactement la même chose. Car c’est un grand classique de la désinformation à la française : vous prenez un homme politique de gauche et un intellectuel d’extrême-gauche, qui va l’engueuler, en lui disant que son parti n’en fait vraiment pas assez ; vous laissez mener un débat entre un politique de droite et un politique de gauche par une journaliste bien engagée à gauche sans prévenir le public ; vous prenez un « alterjuif » (comme dit Shmuel Trigano), adversaire irréductible d’Israël et vous feignez de l’opposer à un représentant patenté de l’OLP… Ce sont des débats truqués. (…) Mes interviews ne sont pas agressives. Mais je refuse de laisser prêcher, pérorer parfois, des personnages qui sont parvenus, en France, au statut « d’intouchables ». Personne n’ose ni les interrompre, ni les contredire. Même lorsqu’ils disent des bêtises. (…) Ma thèse, c’est que la pseudo « centralité » du conflit israélo-palestinien est un leurre, offert par les despotes arabes à leurs opinions publiques, pour masquer la réalité de leurs échecs – économiques, sociaux, culturels. On a fait croire à ces gens que la source de tous leurs maux, que l’arriération de leur société, avaient une cause unique : la présence d’un Etat juif sur la « terre sacrée de l’Islam ». Mais avec les Printemps arabes, la chute des despotes, le conflit avec Israël a donc perdu sa pseudo « centralité ». Les intellectuels français ne l’ont pas compris. Ils ont juste un temps de retard… (…) Je passe déjà pour « libéral », ce qui est, dans cet étrange pays, une grave accusation (il vaut mieux avoir été un partisan des Khmers rouges !), mais « sioniste » en plus, c’est prendre le risque de se voir boycotter ! (…) Il n’y a pas qu’en France. Dans toute l’Europe de l’Ouest, condamner Israël est devenu la norme. Il y a beaucoup de raisons. Mauvaises. L’une d’entre elles, c’est de chercher à s’attirer les bonnes grâces des immigrés d’origine musulmane. On les traite assez mal chez nous. Ils sont discriminés sur le marché de l’emploi. Au lieu de les laisser s’installer et travailler, pour s’enrichir – c’est pour ça, après tout, qu’ils sont venus chez nous -, on leur offre des compensations symboliques. La condamnation d’Israël en premier lieu. (…) La paresse intellectuelle, l’ignorance des réalités locales, la passion de répéter tous ensemble des slogans en bénéficiant, en outre, des bénéfices de la bonne conscience morale. (…) Soutenir l’OLP ou le Fatah, c’est à la mode, comme, dans ma jeunesse, soutenir le Vietcong… D’ailleurs, l’antisionisme a pris le relai de l’antiaméricanisme traditionnel des Français : depuis que le président est un Noir, c’est devenu beaucoup plus mal porté. Alors, on se reporte sur Israël, paria des nations…(..) Donner moins systématiquement la parole aux ennemis déclarés de l’Etat juif, à toutes ces bonnes consciences de gauche, qui feignent le courage en cherchant, en fait, à s’attirer les bonnes grâces de ceux qui leur font peur (les islamistes radicaux), qui feignent l’anticonformisme, alors qu’ils répètent en chœur les mensonges du moment, qui rejouent la lutte contre le vrai apartheid (en Afrique du Sud) en se trompant de lieu et d’époque. (…) Je pense que les révolutions arabes sont en train de changer la donne. Evidemment, je suis inquiet de l’arrivée au pouvoir des islamistes à l’issue des élections démocratiques, en Tunisie et en Egypte. Mais je veux croire que ce n’est qu’une étape sur la voie d’une démocratisation en profondeur de ces sociétés. Je pense que plus le monde arabe sera acquis à la démocratie, plus il aura tendance à supporter l’existence du minuscule Etat juif en son sein. A cesser de considérer les Juifs et les chrétiens d’Orient comme des dhimmis… De toute façon, la situation, au Moyen Orient, c’est une guerre de plus en plus ouverte entre sunnites (appuyés par l’Arabie saoudite) et chiites (dirigés par l’Iran). Qu’on arrête de raconter que la paix règnerait si Israël laissait s’installer un Etat palestinien dans les territoires conquis après la guerre des 6 Jours ! Ce n’est pas Tsahal qui massacre la population syrienne… Brice Couturier (France Culture)
À part servir la propagande démagogique qui bouillonne dans la caboche d'un vieil hasbariste comme Coco il démontre quoi, ce texte mal recopié? Qu'on est coupables d'amalgames d'un côté comme de l'autre?
Oh que non, surtout que que tout l'un est blanc et tout l'autre est noir... Déjà là l'annonce d'un sectarisme prononcé.
Le lieutenant-général Benny Gantz, chef de l'armée israélienne. (Photo AFP)
«Si l’Ayatollah Ali Khamenei le veut, il progressera vers l’acquisition d’une bombe nucléaire, mais la décision doit d’abord être prise. Cela arrivera si Khamenei juge qu’il est invulnérable face à une réplique. Je crois qu’il commettrait une grave erreur s’il faisait cela, et je ne pense pas qu’il voudra franchir ce pas. Je pense que l’équipe au pouvoir en Iran est composée de personnes très rationnelles.»
- Le lieutenant-général Benny Gantz, chef de l’armée israélienne, prenant le contre-pied du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sur la menace iranienne lors d’une entrevue dont la publication dans le quotidien Haaretz coïncide avec la Journée du souvenir des soldats tués au combat au service de l’État juif.
Coudon', ils sont partout! Encore un autre antisémite... Éh misères!
La citation (israélienne) du jour
Citation :
«Je n’ai aucune confiance dans le Premier ministre ou le ministre de la Défense. Je n’accorde aucun crédit à des dirigeants qui fondent leurs décisions sur des sentiments messianiques. Je les ai côtoyés de près: ce ne sont pas des Messies, ces deux-là. Ce sont des gens à qui, personnellement, je ne confierai pas la responsabilité de diriger Israël à l’occasion d’un événement de cette ampleur et de sortir le pays de semblable situation.»
- Yuval Dishkin, ex-directeur du Shin Beth, les services israéliens de contre-espionnage, ajoutant sa voix à celles de l’actuel chef d’état-major de Tsahal, le général Benny Gantz, et de l’ancien patron du Mossad, Meir Dagan, qui ont mis en question la politique de Benjamin Netanyahu et Ehud Barak face à la menace iranienne.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Messianisme... Messianisme... Ça rime bien avec Sionisme, non?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
J'avais énoncé le même style d'idées par apport a Israël et le monde arabo-musulman.
Pendant que l'occident a les yeux rives sur le conflit Israëlo-Palestinien, on ne vois plus ce que font les dictatures de leurs si beaux pays musulmans.
Pendant que l'occident a les yeux rives sur le conflit Israëlo-Palestinien, on ne vois plus ce que font les dictatures de leurs si beaux pays musulmans.
Toujours aussi HS mon pôvre Zed...
En quoi les agissements de dictatures X justifient ceux d'une dictature Y? Ta xénophobie exacerbée?
Selon Beinart, l'occupation de la Cisjordanie par Israël est en voie de miner irrémédiablement le caractère démocratique de l'État hébreu. Ci-dessus, un jeune Israélien est photographié dans la colonie sauvage d'Ulpana, en Cisjordanie, le 22 avril.
Richard Hétu, collaboration spéciale La Presse
Peter Beinart, juif orthodoxe et sioniste américain, a inspiré ces jugements à des critiques de son nouveau livre, The Crisis of Zionism (La crise du sionisme), une analyse du déclin du sionisme laïc aux États-Unis. L'ouvrage a valu à cet ancien rédacteur en chef de l'hebdomadaire The New Republic plusieurs autres injures dont la virulence ne semble cependant pas lui avoir fait perdre son sens de l'humour.
Spoiler:
«Après la sortie de mon livre, un ami m'a demandé: «As-tu été la cible de mots durs, d'attaques ad hominem ou de dénonciations personnelles?» Je lui ai répondu: «Tu veux dire en dehors de ma propre famille?»», a ironisé le journaliste de 40 ans lors d'une rencontre la semaine dernière à Brooklyn.
Mais qu'a bien pu écrire ce partisan repenti de la guerre en Irak pour susciter une controverse à laquelle même l'ambassadeur d'Israël aux États-Unis a cru bon se mêler? Dans The Crisis of Zionism, Peter Beinart approfondit une thèse qu'il avait déjà présentée en 2010 dans la New York Review of Books. Une thèse pas vraiment révolutionnaire.
Selon Beinart, l'occupation de la Cisjordanie par Israël est en voie de miner irrémédiablement le caractère démocratique de l'État hébreu et d'aliéner une génération entière de jeunes juifs américains, un phénomène exacerbé par l'appui des principales organisations juives américaines - dont l'AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) - à tout ce que peut faire n'importe quel gouvernement israélien.
La réaction hostile de plusieurs critiques juifs au livre de Beinart tient en partie à la renommée de l'auteur, qui lui donne accès aux tribunes les plus prestigieuses. C'est d'ailleurs dans les pages du New York Times qu'il a défendu une des idées les plus contestées de son livre.
Pour accélérer la fin de l'occupation israélienne de la Cisjordanie, Beinart encourage les juifs américains à boycotter tout produit venant des colonies juives, un boycottage qui serait accompagné d'investissements équivalents sur le territoire propre d'Israël.
Aux yeux de Beinart, cet appel se veut une version «sioniste» de la campagne BDS (boycottage, désinvestissement et sanctions) lancée en 2005 par la société civile palestinienne et visant l'État d'Israël.
Bien qu'opposé à l'occupation de la Cisjordanie par Israël, l'influent journaliste américain Jeffrey Goldberg s'est insurgé contre la proposition de Beinart. «Des boycottages anti-juifs? Je sais où ça finit», a-t-il écrit sur Twitter en faisant allusion à l'Holocauste, une tragédie dont Beinart dénonce l'instrumentalisation par les principales organisations juives américaines.
«L'appel (au boycottage) de Peter Beinart le place très loin du courant majeur israélien, de la gauche modérée et de la vaste majorité des Israéliens qui aspirent à la paix», a pour sa part écrit l'ambassadeur israélien à Washington, Michael Oren, dans sa page Facebook, lui reprochant d'ignorer la responsabilité des Palestiniens dans la situation actuelle au Proche-Orient.
Mais Beinart se défend d'avoir basculé dans la marginalité avec sa proposition de boycottage. Il dit avoir été inspiré dans sa démarche par trois des plus grands écrivains israéliens, David Grossman, Amos Oz et A.B. Yehoshua, qui refusent, à l'instar de plusieurs autres artistes israéliens, de se produire dans la nouvelle salle de spectacle d'Ariel, l'une des plus importantes colonies juives de Cisjordanie.
«D'après mon expérience, les Israéliens qui luttent pour la démocratie sont souvent confus, perplexes et même déprimés par le fait que la plus grande communauté de la diaspora juive du monde, une communauté qu'ils admirent, semble complètement désintéressée par la lutte pour la démocratie dans l'État d'Israël», dit Peter Beinart.
«Et j'ai pensé que ma proposition serait une façon d'agir en solidarité avec eux», ajoute-t-il.
Mais la démocratie semble elle-même connaître des ratées aux États-Unis, où un président américain, en l'occurrence Barack Obama, peut à la fois récolter 78% du vote juif et se faire humilier dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche par un premier ministre israélien, en l'occurrence Benyamin Nétanyahou.
En revenant sur la rebuffade publique adressée par Nétanyahou à Obama sur la question des frontières de 1967, Peter Beinart rappelle que le premier ministre israélien a été ovationné à 29 reprises par les élus du Congrès américain lors d'un discours prononcé le lendemain de sa visite à la Maison-Blanche. L'auteur y voit une manifestation de l'influence démesurée de l'AIPAC et de ses alliés.
«L'AIPAC et ses alliés ont passé des décennies à se faire des amis sur la colline parlementaire et à faire craindre aux politiciens les conséquences de ne pas être les amis de l'AIPAC», écrit Beinart dans son livre, en souhaitant que son cri d'alarme contribue à éviter la transformation d'Israël en État d'apartheid.
Soliste ou sioniste ? Publié le 4 décembre 2011 par le journal de Personne
Identité La juive : je suis juive française La sioniste : Française, mais ma patrie c’est Israël
Judaïsme La juive : le judaïsme est une religion La sioniste : il n’y a pas de vérité en dehors de la Torah : le judaïsme est une condition
Shoah La juive : la Shoah était l’occasion de nous faire trébucher… pas la raison d’en faire trébucher d’autres La sioniste : l’histoire est un détail de la Shoah… pour toute l’humanité, il n’y a pas d’autre fracture
Étoile de David La juive : l’étoile de David… c’est le plus beau pendentif, ne soyons pas naïfs: disons que c’est un signe religieux distinctif. La sioniste : c’est l’horizon indépassable sur terre comme dans le ciel
Dieu La juive : Dieu? Pour moi c’est … et ça reste le visage de l’autre La sioniste : Dieu merci, je suis athée… tout ce que je sais de Dieu c’est qu’il a brillé par son absence dans les camps de concentration
Le ressentiment La juive : non, je ne suis pas une femme du ressentiment… je ne peux en vouloir qu’à moi-même La sioniste : ce n’est pas une question de ressentiment… nous avons une revanche à prendre… sur… l’histoire
Le peuple élu La juive : le peuple élu? J’ai tendance à penser que tout peuple est l’élu du ciel La sioniste : c’est le peuple qui a une mission sur terre… c’est le seul qui ait son destin entre ses mains…
Les menaces La juive : non je ne me sens pas menacée, mais j’ai tendance à cacher mon identité… pour ne pas avoir à me justifier. La sioniste : nous serons toujours menacés… parce qu’on nous en voudra toujours d’exister.
Les arabes La juive : l’arabe, c’est mon demi-frère, nous avons le même père Abraham mais pas la même mère… et on s’y perd! La sioniste : l’arabe veut notre peau et nous la lui vendons très cher… très très cher…. c’est le marché…
L’Amérique La juive : l’Amérique ne défend pas notre être au monde mais nos avoirs, nos richesses… pas nos promesses. La sioniste : c’est notre allié objectif… nous avons les mêmes intérêts donc le même but: être au-dessus de la mêlée.
L’islam La juive : l’Islam voudrait revenir à la vie… renaître au monde sans couper le cordon avec sa matrice préhistorique, c’est comique La sioniste : l’Islam, je ne sais pas ce que c’est. Mais l’islamisme lui voudrait nous dominer et nous déterminer.
Le terrorisme La juive : le terrorisme a toujours existé… ce sont les armes qui ont changé… la mauvaise foi est la pire de toutes. La sioniste : Jadis, à Rome ou ailleurs, on terrorisait les faibles, aujourd’hui les forts, les plus forts, les juifs si je puis dire.
Le printemps arabe La juive : le printemps arabe, non ce n’est pas révolutionnaire, c’est un big soulèvement contre la misère et la corruption planétaire. La sioniste : je n’en ai retenu que l’hiver, l’hiver des barbares… qui exigent de tous un retour en arrière.
L’amour La juive : j’aime les gens sans distinction de race ou de religion… les juifs ont parlé d’amour avant que le Christ n’ai vu le jour. La sioniste : je voudrais qu’on m’aime pour ce que je suis… et tant pis si on me déteste pour ce que j’ai : de l’argent ou des idées.
Israël La juive : non je ne soutiens pas Israël quand il ou elle trahit ses propres idéaux: la justice pour commencer La sioniste : Israël est condamnée à être toujours sur la défensive: comme tout ce qui est grand, elle est vulnérable… parce que les crétins sont les plus nombreux.
Palestine La juive : la Palestine, c’est drôle mais on ne se dit pas à qui elle appartient mais à qui elle revient… de force ou de droit La sioniste: c’est un coefficient d’adversité crée de toutes pièces pour justifier tous les calculs antisémites.
L’antisémitisme La juive : je me méfie davantage des pro-juifs que des antisémites… des faux amis que des vrais ennemis. La sioniste : les antisémites n’ont plus aucun impact réel, ni idéologique, ni bactériologique. C’est la victoire de l’état d’Israël
Les colonies La juive: je ne parlerai pas de colonie de peuplement mais de qui est le plus apte à garder la maison : l’israélien ou le palestinien. La sioniste il n’y a pas de territoires occupés mais des territoires confisqués en attendant la paix… qu’ils nous fichent la paix.
Les indignés La juive: oui si je vivais en Israël, j’aurai fait partie du mouvement des indignés La sioniste : indigne-toi… c’est la maxime juive par excellence… l’âme juive à laquelle vous avez donné corps.
La Syrie La juive : il faut que les arabes apprennent à balayer devant leur porte au lieu de faire appel à l’étranger. La sioniste : la Syrie ferait (au conditionnel) partie du grand Israël donc il faut que le monde intervienne.
Une anecdote La juive : une anecdote : je m’appelle Sarah… j’ai changé de nom pour m’appeler Lou et puis rechangé de nom pour m’appeler Emeline et quand un goy me dit que j’ai changé de nom… je dis oui avant je m’appelai Lou. La sioniste : c’est l’histoire d’un savant d’extrême droite: il demande à une grenouille de sauter. Elle saute. Une fois… puis deux… puis il sectionne ses pattes et lui redemande de sauter… la grenouille ne bouge pas. Et notre savant est tout content de valider sa thèse selon laquelle quand on sectionne les pattes d’une grenouille… elle devient sourde. Méditez ! Cette entrée a été publiée dans Journal, avec comme mot(s)-clef(s) antisémitisme, arabisme, colonialisme, élitisme, étoile de David, identité, impéralisme, interventionnisme, islamisme, Israël, judaïsme, judéité, juive, la Torah, lejournaldepersonne, peuple élu, printemps arabe, ressentiment, Shoah, sionisme, Syrie, terrorisme. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.
jam
Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
une chose est sûre; le conflit palestinien est le terreau de l’antisémitisme dans le monde chaque fois qu’Israël intervient contre les palestiniens, il y a plus d'antisémites qui existent peu importe que les palestiniens utilisent des roquettes ou des bombes la vision extérieure donne toujours des pierres contre des chars
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
une chose est sûre; le conflit palestinien est le terreau de l’antisémitisme dans le monde chaque fois qu’Israël intervient contre les palestiniens, il y a plus d'antisémites qui existent peu importe que les palestiniens utilisent des roquettes ou des bombes la vision extérieure donne toujours des pierres contre des chars
Je poursuis ce raisonnement que je partage :
L'occupation crée la résistance . La résistance,le conflit . Le conflit ,l'antisémitisme .
Sans occupation,chute de l'antisémitisme .
(Mais aussi de l'Alya... vu que l'Alya est médiatiquement basée non plus sur l'envie d'aller en Israël,mais celui de foutre le camp de son pays d'origine taxé d'antisémite (où en tous les cas une politique médiatique habile ne cesse de remuer la recrudescence de l'antisémitisme ).
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
une chose est sûre; le conflit palestinien est le terreau de l’antisémitisme dans le monde chaque fois qu’Israël intervient contre les palestiniens, il y a plus d'antisémites qui existent peu importe que les palestiniens utilisent des roquettes ou des bombes la vision extérieure donne toujours des pierres contre des chars
Je poursuis ce raisonnement que je partage : L'occupation crée la résistance . La résistance,le conflit . Le conflit ,l'antisémitisme . Sans occupation,chute de l'antisémitisme . (...)
Comme chacun le sait, l'antisémitisme est né avec la création d'Israël...
une chose est sûre; le conflit palestinien est le terreau de l’antisémitisme dans le monde chaque fois qu’Israël intervient contre les palestiniens, il y a plus d'antisémites qui existent peu importe que les palestiniens utilisent des roquettes ou des bombes la vision extérieure donne toujours des pierres contre des chars
Mais bien sur. Au Moyen Age, dejà...
Mab -c'est pas Dieu possible de lire certaines choses...-
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Initialement les juifs ont été accusé de capturer puis de manger des petits enfants . (je n'ai pas d'avis là dessus). [quote] Effectivement, l'anthropophagie était pratiquée dans l'antiquité sous des prétextes divers et pas uniquement alimentaires...
Ungern a écrit:
Ensuite ils ont été accusé d'avoir fait tuer le petit Jésus... Et effectivement il y a matière à discussion sur ce point ....
Les juifs ? En disant "des" juifs on serait plus proche de la réalité probable...
Ungern a écrit:
Actuellement ils sont accusés de voler des terres ,et ça à part quelques dingues,fanatiques ou bornés,personne ne discute ...
"Les juifs" ont volé des terres quand et à qui ?
On peut recconaître les dingues, les fanatiques et les bornés à ce qu'ils proclament sans cesse leurs obssessions à qui veut les entendre... et même à qui ne le veut pas...
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009