Du côté de la Belgitude...

Rappel du premier message :

Le "formateur du gouvernement" belge démissionne
(LEMONDE.FR avec AFP | 21.11.11 | 20h48)




Le socialiste belge Elio di Rupo, pressenti pour devenir premier ministre, qualifie la situation de "dramatique".REUTERS/FRANCOIS LENOIR


Cinq cent vingt-six jours sans gouvernement et la situation en Belgique est loin de s'améliorer. Elio Di Rupo, le "formateur du gouvernement belge" et principal négociateur a présenté sa démission auprès du roi Albert II, lundi 21 novembre en fin d'après-midi. Plus tôt, le socialiste francophone, jusqu'à présent pressenti pour devenir premier ministre, avait déjà qualifié la situation de "dramatique".

Une démission que le roi n'a pas encore acceptée. Elle est en suspens et va être examinée, a indiqué la palais royal.

M. Di Rupo a démissionné car les six principaux partis politiques sont incapables de s'entendre pour former un gouvernement. Alors qu'une nouvelle rencontre avait débuté dimanche, ils ont échoué à trouver un accord en raison d'un blocage persistant sur les questions budgétaires.

LES LIBÉRAUX POINTÉS DU DOIGT

Avant l'annonce officielle de sa démission, tous les autres négociateurs ont aussi abandonné toutes tractations. Le responsable du CDH (Centre démocrate humaniste), Benoît Lutgen a dénoncé l'attitude des libéraux : "Il y a plus d'un an, un parti a débranché la prise du gouvernement. Aujourd'hui deux partis [Open VLD et MR] refusent de la rebrancher”, a-t-il déclaré au sortir de la réunion, ajoutant que les quatre autres partis avaient accepté le plan de M. Di Rupo.

Une vision des choses que conteste le leader du MR, Charles Michel. Selon lui, ce blocage est le fruit d'"une gigantesque incompréhension". Il dénonce l'attitude de M. Di Rupo, qu'il accuse d'être l'acteur d'"un scénario écrit d'avance" alors qu'"un compromis était possible". Alexander de Croo, le président de l'Open VLD, s'est dit lui "étonné" du départ de M. Di Rupio mais reste prêt à faire des compromis "si le pays en sort renforcé".

Les négociations sont mal parties. Les principaux négociateurs ont d'ailleurs dévoilé au grand jour leurs dissensions sur le plateau de la chaîne de télévison RTL.

"UN SCÉNARIO DÉSÉQUILIBRÉ"

La coalition des six partis francophones et flamands devaient se mettre d'accord sur le projet de budget fédéral 2012, avec d'importantes économies à réaliser afin de ne pas risquer de voir le pays aspiré à son tour par la crise de la dette de la zone euro. Mais les partis libéraux, tant néerlandophone (Open VLD) que francophone (MR) jugent que les propositions du responsable socialiste font la part trop belle aux augmentations d'impôt et ne comprennent pas assez de coupes budgétaires ni de projets de réformes de fond du système des retraites ou des allocations chômage.

Dimanche au cours d'une première journée de négociations, l'Open VLD a ainsi jugé,"insuffisantes" les nouvelles propositions budgétaires d'Elio Di Rupo et a fustigé "un scénario déséquilibré qui ne favorisera pas l'augmentation du taux d'activité nécessaire à la préservation de notre prospérité". Les libéraux francophones ont aussi jugé qu'il y avait trop de taxes de nature à pénaliser les petites et moyennes entreprises et à grever l'activité économique. En revanche, les autres formations (socialistes francophones et néerlandophones, chrétiens démocrates flamands et centristes francophones) étaient globalement prêtes à soutenir les dernières propositions du premier ministre pressenti.

Le roi Albert II, malade, avait pourtant souligné la semaine dernière "l'urgence" d'aboutir à un accord sur la formation d'un gouvernement. La Belgique est sans gouvernement de plein exercice depuis avril 2010 et elle voit ses taux d'emprunt obligataire grimper à des niveaux records dans le contexte de la crise de la dette.

L'EUROPE S'EN MÊLE

Le premier ministre sortant, Yves Leterme, et la Commission européenne ont lancé des appels pressants ces dernières semaines pour que le royaume se dote d'un budget ramenant le déficit public sous la barre des 3 % du PIB en 2012. Au risque sinon de se voir infliger une amende par l'exécutif européen.

Pour rentrer dans les clous et respecter les engagements budgétaires pris envers l'Union européenne, les responsables belges doivent trouver 11,3 milliards d'euros pour le budget 2012 et une vingtaine de milliards au total d'ici à 2015, un effort d'une ampleur historique contre lequel les syndicats ont déjà appelé à manifester le 2 décembre, avec une menace de grève générale.

Citation :

GRIMBERGEN - La Commission européenne ne contestera pas l’appel à la délation lancé en décembre dernier par la commune de Grimbergen (périphérie bruxelloise), qui visait notamment les inscriptions en français dans les commerces. L’eurodéputée MR Frédérique Ries, qui avait interpellé la commissaire aux droits fondamentaux, Viviane Reding, critique la réponse obtenue cette semaine.

Dans une lettre datée du 13 février, que Frédérique Ries publie sur son blog ce mercredi, la commissaire Reding affirme que « l’exercice des libertés fondamentales du marché intérieur n’est pas concrètement affecté par la pratique concernée. Ni le principe de la liberté d’établissement, ni le principe de la libre prestation de service ». Elle note aussi que la commune a entre-temps « retiré l’appel à dénoncer auprès d’elle les commerçants qui ne s’adressent pas en néerlandais à leurs clients ».

Frédérique Ries se déclare « pas réellement surprise » par la réponse. Elle y voit « une fin de non-recevoir technocratique et décousue qui évite soigneusement d’émettre le moindre début d’avis sur ce qui, de toute évidence, constitue une pratique aux antipodes des valeurs européennes ». « J’aurais aimé que tout en se déclarant éventuellement incompétente sur le fond, la Commission conclue malgré tout par un rappel à nos valeurs, clairement bafouées », ajoute-t-elle.

Dans un effort pour préserver le caractère néerlandophone de la commune, Grimbergen a appelé, à la fin de l’an dernier, ses citoyens à lui signaler l’usage de langues étrangères dans les commerces. Pressée de donner un avis dans ce dossier, la Commission européenne s’est montrée réticente, comme dans d’autres affaires liées à la querelle linguistique belge.

Cette réserve contraste avec la condamnation, par la commissaire Reding, du site créé récemment aux Pays-Bas pour recueillir la délation contre les incivilités commises par les ressortissants d’Europe de l’est.

LANTIN - Une femme en visite à la prison de Lantin, près de Liège, s’est fait dérober samedi après-midi à la fois son sac et sa voiture, a-t-on appris de bonne source.

À l’issue de sa visite à un détenu, une femme est repassée par un local où tout visiteur de l’établissement doit déposer ses effets personnels. Elle a constaté la disparition de son sac, déposé dans un casier fermé à clé et qui avait été fracturé.

Mais le sac contenait, outre divers documents, les clés de contact de la voiture garée sur le parking extérieur de la prison.

Cette voiture a également été volée.

Une enquête a été ouverte pour tenter d’identifier le voleur.

"Avant",c'était très clair,
Maintenant,ça l'est beaucoup moins ....

C'est ça la démocratie ....

Citation :

Le Comité de mise en œuvre des réformes institutionnelles s’est réuni ce jeudi matin au Lambermont, avec le Premier ministre, les secrétaires d’État aux Réformes institutionnelles et les présidents ou représentants des huit partis politiques concernés. Il « s’est mis d’accord, dans le cadre du premier volet de la réforme, sur la procédure de révision des modifications des dispositions de la Constitution nécessaires à la sixième réforme de l’État ».

« Les réformes institutionnelles avancent bien. Le Comité s’est mis d’accord, dans le cadre du premier volet de la réforme, sur la procédure de révision des modifications des dispositions de la Constitution nécessaires à la sixième réforme de l’État », a fait savoir Elio Di Rupo.

Les textes relatifs à cette procédure seront déposés au Parlement début de la semaine prochaine.

Pour rappel, la réforme de l’Etat implique une révision de la Constitution. Cette dernière n’est possible que pour les articles « ouverts à révision » – la liste a été établie sous la législature précédente.

Problème : la réforme négociée par les huit partis va bien au-delà.....

Une astuce juridique a dès lors été trouvée afin de pouvoir réviser des articles qui ne peuvent normalement pas l’être. Seul l’article 195 de la constitution sera modifié sous cette législature. Les autres articles qui pourraient être révisés y seront énumérés.
Technique ? Hautement. Plus d’un spécialiste a d’ailleurs souligné la fragilité de la formule. Mais il n’y en a pas d’autre…

Une fois le cas du 195 réglé, les experts institutionnels des huit partis boucleront les autres dossiers urgents. A savoir, essentiellement, la scission de l’arrondissement électoral de BHV, le vote des Belges à l’étranger, la communauté métropolitaine, la nomination des bourgmestres, etc. Tous ces éléments doivent en effet être votés avant les vacances parlementaires, le Premier ministre s’y est engagé. Ensuite, on passera à la concrétisation de la seconde phase (transferts de compétences et loi de financement). En associant, cette fois, les Régions, héritières des matières transférées

Toujours demander plus aux travailleurs !!! Ca doit cesser !

Citation :

Le puériculteur violait les fillettes de 5 et 7 ans qu'il était censé garder

Illustration Photonews
Un Liégeois de 27 ans a été condamné jeudi à une peine de 40 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Liège à la suite de faits de viol et d’attentat à la pudeur sur deux fillettes âgées de 5 ans et 7 ans.

Rédaction en ligne

Publié le Jeudi 26 Avril 2012 à 11h31

L’homme était puériculteur dans une garderie et éducateur dans un centre d’accueil lorsqu’il a commis les faits sur ces enfants dont il assurait la surveillance.

En novembre 2007, le prévenu avait commis des gestes déplacés sur une fillette de 5 ans à la crèche. En juin 2010, alors qu’il était éducateur dans un centre d’accueil pour enfants, il avait répété des faits du même type sur une fille âgée de 7 ans. Les deux victimes, qui ne se connaissaient pas, avaient révélé à chaque fois les faits commis par le prévenu en donnant des détails précis.

Le prévenu, toujours actif dans des mouvements de jeunesse, avait nié l’ensemble des faits. Dans d’autres circonstances, il avait déjà été suspecté d’avoir adopté des comportements inadéquats à l’égard de fillettes. Une expertise avait révélé qu’il présentait une immaturité sexuelle et qu’il était incapable d’affronter une sexualité normale.

Le prévenu avait encore droit au sursis mais, en raison de la gravité des faits, le tribunal a décidé de ne pas lui accorder. L’homme a écopé d’une peine de 40 mois de prison ferme.

Est ce qu'il y avait mis dans son contrat de travail qu'il ne pouvait pas faire du "touche pipi" ?
Non !
Alors de quoi exactement l'accuse-t-on ?

Citation :

Le père incestueux avait des photos de sa fille de 13 ans en petite tenue sur son gsm

Illustration Photonews
Un père de famille de la région d’Ath a écopé jeudi d’une peine de quatre ans de prison avec sursis probatoire pour ce qui excède la moitié de la peine devant le tribunal correctionnel de Tournai où il était poursuivi pour viols répétés sur sa fille âgée de 13 ans, d’attentats à la pudeur et de détention d’images pédopornographiques, entre avril et septembre 2011.

Rédaction en ligne

Publié le Jeudi 26 Avril 2012 à 10h12

La mère avait découvert des photos de sa fille en petite tenue sur la carte mémoire de l’appareil photo de son mari. Questionnée, sa fille lui avait confié que son père abusait d’elle et SOS Enfants avait demandé au parquet de Tournai d’ouvrir une enquête.

L’homme, considéré jusque là comme époux exemplaire, a reconnu les faits en décembre 2011. “Il a vu sa fille comme la propriétaire d’un corps dont il avait envie. Il ne l’a pas pris de force, il ne l’a pas menacée”, avait expliqué l’avocat de la défense.

Le ministère public avait requis une peine de prison de cinq ans, estimant que le père avait brisé le lien sacré entre un parent et son enfant et soulignant la gravité objective des faits, la fréquence, la mise en scène et les dégâts sur la victime.

Le tribunal a pris en compte ces arguments mais également le casier judiciaire vierge du prévenu, lui laissant le bénéfice du sursis pour ce qui excède la moitié de la peine. Il devra néanmoins suivre une thérapie et ne plus entrer en contact avec sa fille, sans la présence d’un adulte, durant cette période.

Au civil, il devra verser 6.000 euros à son épouse et à sa fille.

T'imagines déjà la castagne entre la mère et la fille pour les 6.000 euros !



Salope ! Ton père !
Si t'avais fais un peu plus attention à toi ,en, en serait pas là !

Ungern,il est l'heure que tu ailles travailler pour payer
ma retraite.

Vous avez une nouvelle plaque? Vous ne risquez pas de PV

Source: belga


Belga

Les policiers mettent à la poubelle les procès-verbaux rédigés à l’encontre d’automobilistes qui viennent de changer de voiture. C’est un peu fou : ils ne peuvent connaître les données correspondant aux 78.000 plaques dernièrement délivrées. Mais ça va vite changer.

Les agents de police sont contraints de mettre à la poubelle les procès-verbaux rédigés à l’encontre d’automobilistes qui viennent de changer de voiture, car ils ne peuvent connaître les données correspondant aux 78.000 plaques dernièrement délivrées, rapporte samedi le journal De Morgen.

Ce problème est le résultat de la modernisation de la base de données de la Direction Immatriculation des Véhicules (DIV). « Depuis que des adaptations sont en cours à la DIV, nous sommes de plus en plus souvent confrontés à des numéros de plaque qui ne figurent pas dans le système. Cela signifie que l’on ne peut connaître le propriétaire et que nous ne pouvons donc lui envoyer de procès-verbal », confirment des agents de plusieurs zones de police au journal. Ces infractions, « plusieurs dizaines par jour », sont donc classées verticalement.

C'est pas plus mal, les effets non voulus de cette modernisation !

En tout cas, question rapidité, bravo : j'ai changé de Lada l'année passée et comme j'avais une plaque ancien modèle j'ai dû en demander une nouvelle.
Je l'ai fait via ma compagnie d'assurances un vendredi début d'après-midi.

Le lundi vers 08:30 le service de colis de la Poste sonnait à ma porte, c'était ma nouvelle plaque par courrier recommandé. Bravo !

Quoi, toi aussi tu as émigré à Marbella ?

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Quoi, toi aussi tu as émigré à Marbella ?

Meuh non voyons, je ne passe pas les douanes moi, je ne suis pas un terroriste, juste un petit criminel sans avenir.

Tu n'es donc pas qualifié pour t'installer à Marbella.
C'est regrettable.

(Un concurrent de moins pour Lawrence...)

Zed a écrit:

C'est pas des concurrentes qu'il cherche lui plutôt?

Fais attention à ce que tu dis, la Châteleine est plutôt du genre cerebère...

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Zed a écrit:

C'est pas des concurrentes qu'il cherche lui plutôt?

Fais attention à ce que tu dis, la Châteleine est plutôt du genre cerebère...

Hoopssss

Et même berbère

Tony Martin (Omega Pharma-Quick Step) est le vainqueur final du 82e édition du Tour de Belgique (2.HC) cycliste à l'issue de la 5ème et dernière étape, disputée dimanche sur 208,5 km entre Clavier et Engis et enlevée par le Colombien Carlos Betancourt (Acqua & Sapone).

pour en venir à ceci:

Citation :

enlevée par le Colombien Carlos Betancourt

Le cousin à Ingrid ?ou à la LOREAL ?

Donc,ils portent tous ce nom,là-bas !!!

Charly a écrit:

(...) et enlevée par le Colombien Carlos Betancourt (Acqua & Sapone).

Encore un coup des FARC ?

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

(...) et enlevée par le Colombien Carlos Betancourt (Acqua & Sapone).

Encore un coup des FARC ?

Ou du Cercle ,on ne les voit plus.....

Le retour des automobiles IMPERIA.

J'y ai travaillé la dernière année de son existence à son usine
de Nessonvaux.

La piste d'essais était sur le toit de l'usine.



http://www.rtl.be/videos/video/396996.aspx



http://www.imperia-auto.be/fr/

Faut pas créer la confusion dans l'esprit de Quantat, si tu demandes une Impérale à Lisbonne tu auras une bière pression...

Biloulou a écrit:

Faut pas créer la confusion dans l'esprit de Quantat, si tu demandes une Impérale à Lisbonne tu auras une bière pression...

Boire ou conduire,il faut .......

Elle parcourt plus de 10.000 km pour s’inscrire à l’école à Liège


LIÈGE - Plusieurs dizaines d’étudiants français ont campé devant la Haute école de la ville de Liège, la nuit dernière. Leur but : décrocher une place en Belgique pour des études de logopédie, auxquelles l’accès est très restreint en France. Rencontre avec des candidates, dont Mathilde qui provient de La Réunion .

Tous avaient de petits yeux ce matin, le long de la rue Hazinelle, au centre de Liège. Plusieurs dizaines de Français, 300 selon les estimations, y ont passé la nuit. D’autres voyagé plusieurs heures pour arriver en Cité ardente aux petites heures, dans l’objectif d’obtenir une place pour leurs études de logopédie. Dans la longue file d’attente, manifestement, peu d’étudiants belges.

«Nous avons l’habitude d’accueillir de nombreux étudiants français. Mais il faut reconnaître que la méthode est assez nouvelle cette année, avec cette arrivée en tir groupé dès le 2 juillet», admet l’échevin liégeois de l’Enseignement, Pierre Stassart (PS).

400 places disponibles pour les logopèdes

«Il y a 400 places disponibles» pour la première année de baccalauréat en logopédie, indique l’échevin. «Généralement, nous n’avons pas eu de problème les années précédentes». Mais cette fois, près de 350 étudiants avaient déjà inscrit leur nom sur la liste établie sur le seuil de l’établissement, peu avant 9 heures. Le 401e et les suivants se trouveront sur une liste d’attente.

Y aura-t-il des refus ? Pas sûr

«Il y aura certainement une série de doublons. Toute une série d’étudiants ont probablement déjà introduit leur demande la semaine dernière à Bruxelles. Donc si on dépasse 400 personnes, cela ne signifie pas forcément qu’il y aura des refus.»

La règle à respecter, c’est celle de l’ordre chronologique d’inscription. «Ici, ce sont des pré-inscriptions», précise toutefois Pierre Stassart. «L’inscription n’est effective qu’une fois le dossier complété et le paiement effectué». Il n’est donc pas possible à l’heure actuelle de déterminer si les inscrits seront en surnombre pour les classes de logopédie.

« On attend l’impact de la politique de François Hollande »

Pas de grandes inquiétudes, donc, après des autorités scolaires liégeoises. Mais on attend tout de même l’impact de la politique du nouveau gouvernement pour appréhender les années futures. «Il ne faut pas se leurrer. Certains étudiants viennent à Liège parce que c’est une ville qui compte et qui existe sur le plan international. Mais beaucoup font le déplacement parce qu’ils n’ont pas accès à ces études dans leur pays», reconnaît Pierre Stassart.

«Nous attendons de voir l’impact du président Hollande sur ce phénomène. Il a annoncé la création de 60000 postes dans l’enseignement, ce qui devrait résoudre une série de choses», comme la question du financement de ces études. «C’est surtout la Communauté française qui est concernée par cela», répond Pierre Stassart.

Les dizaines d’étudiants, eux, souhaitent juste pouvoir entamer les études de leur choix. En attendant, ils prennent leur mal en patience…