MAB !!!

Rappel du premier message :

Maaab ! Coucouuu ! Tu veux bien dire bonjour à tes petits camarades adorés ?

Mara-des-bois a écrit:

En tous cas, je refuse de sauver l'âme de David, elle est epuisante
Mab

Ahhhhhh............ nous y sommes !!!

et ?

une autre ?

Mab, tu peux te connecter, entre, ne reste pas dehors devant la porte ! 

Elle est morte ?  

andre a écrit:

Elle est  ?  

...elle est avec coco !     

andre a écrit:

Elle est morte ?  

Non... en principe non.

Elle va devenir Ober Fuërerhin dans un site dont les chiffres sont connus de eux seuls !  

Tu es en compétition avec André pour dégoûter les filles et Mab en particulier ?

Sans commentaire, hélas...

Zora232 a écrit:

andre a écrit:

Elle est  ?  

...elle est avec coco !     

désolé de vous décevoir cher ami mais Mab n'est pas à mes cotés !

bien que si elle daignait venir visiter mon kibboutz j'en serais très heureux ainsi que mon épouse !

coco!

Oh, foutez-lui la paix !  

Elle fait ce qu'elle veut, non ?

Alande-Duché d'Aquitaine is dead

Alande a écrit:

Oh, foutez-lui la paix !  

Elle fait ce qu'elle veut, non ?

Alande-Duché d'Aquitaine is dead

Justement peut etre qu'elle s'est marié  

Zora232 a écrit:

Alande a écrit:

Oh, foutez-lui la paix !  

Elle fait ce qu'elle veut, non ?

Alande-Duché d'Aquitaine is dead

Justement peut etre qu'elle s'est marié  

A son âge ? ...  

andre a écrit:

Zora232 a écrit:

Alande a écrit:

Oh, foutez-lui la paix !  

Elle fait ce qu'elle veut, non ?

Alande-Duché d'Aquitaine is dead

Justement peut etre qu'elle s'est marié  

A son âge ? ...  

Elle est aussi jeune que Madonna André  

andre a écrit:

Elle est morte ?  

Tu aimerais ça, hein ?
Mais voilà, pas autant que moi te contrarier alors : non  

Et puis on arrete de faire mumuse avec ma respectable collection d'années, la petite classe.


Mab -aaaaah mais-

Mara-des-bois a écrit:

andre a écrit:

Elle est morte ?  

Tu aimerais ça, hein ?
Mais voilà, pas autant que moi te contrarier alors : non  

Et puis on arrete de faire mumuse avec ma respectable collection d'années, la petite classe.


Mab -aaaaah mais-

bien que si elle daignait venir visiter mon kibboutz j'en serais très heureux ainsi que mon épouse !

mon invitation sera éternelle!

coco!

Mara-des-bois a écrit:

Et puis on arrete de faire mumuse avec ma respectable collection d'années, la petite classe.
Mab -aaaaah mais-

Surtout ceux qui pourraient être ton père...

T  G

Mara-des-bois a écrit:

andre a écrit:

Elle est morte ?  

Tu aimerais ça, hein ?
Mais voilà, pas autant que moi te contrarier alors : non  

Et puis on arrete de faire mumuse avec ma respectable collection d'années, la petite classe.


Mab -aaaaah mais-

Non, non, ... et d'ailleurs, j'ai préparé votre oraison pour le moment venu Chère Miss Mab :

... puisque je suis donc destiné à rendre ce devoir funèbre à Très Haute et Très Chère Miss Mab, duchesse de LP. Elle, que j'avais vue si attentive pendant que je rendais le même devoir à nos amis ici déjà disparus, devait être si tôt après le sujet d'un discours semblable, et ma triste voix était réservée à ce déplorable ministère. Ô vanité ! ô néant ! ô mortels ignorants de leurs destinées ! L'eût-elle cru, il y a dix mois ? Et vous, messieurs, eussiez-vous pensé, pendant qu'elle versait tant de larmes en ce lieu, qu'elle dût si tôt vous y rassembler pour la pleurer elle-même ? Duchesse de LP, digne objet de l'admiration de Bilou, n'était-ce pas assez que notre communauté pleurât votre absence, sans être encore réduite à pleurer votre mort ? Et la France, qui vous revit, avec tant de joie, environnée d'un nouvel éclat, n'avait-elle plus d'autres pompes et d'autres triomphes pour vous, au retour de ce voyage fameux, d'où vous aviez remporté tant de gloire et de si belles espérances ? Vanité des vanités, et tout est vanité ! C'est la seule parole qui me reste ; c'est la seule réflexion que me permet, dans un accident si étrange, une si juste et si sensible douleur. Aussi n'ai-je point parcouru les livres sacrés pour y trouver quelque texte que je pusse appliquer à notre Duchesse. J'ai pris, sans étude et sans choix, les premières paroles que me présente l'Ecclésiaste, où, quoique la vanité ait été si souvent nommée, elle ne l'est pas encore assez à mon gré pour le dessein que je me propose. Je veux dans un seul malheur déplorer toutes les calamités du genre humain, et dans une seule mort faire voir la mort et le néant de toutes les grandeurs humaines. Ce texte, qui convient à tous les états et à tous les événements de notre vie, par une raison particulière devient propre à mon lamentable sujet ; puisque jamais les vanités de la terre n'ont été si clairement découvertes, ni si hautement confondues. Non, après ce que nous venons de voir, la santé n'est qu'un nom, la vie n'est qu'un songe, la gloire n'est qu'une apparence, les grâces et les plaisirs ne sont qu'un dangereux amusement : tout est vain en nous, excepté le sincère aveu que nous faisons devant Dieu de nos vanités, et le jugement arrêté qui nous fait mépriser tout ce que nous sommes. Considérez, Messieurs, ces grandes puissances que nous regardons de si bas. Pendant que nous tremblons sous leur main, Dieu les frappe pour nous avertir. Leur élévation en est la cause ; et il les épargne si peu, qu'il ne craint pas de les sacrifier à l'instruction du reste des hommes. Chrétiens, ne murmurez pas si Madame a été choisie pour nous donner une telle instruction. Il n'y a rien ici de rude pour elle, puisque, comme vous le verrez dans la suite, Dieu la sauve par le même coup qui nous instruit. Nous devrions être assez convaincus de notre néant : mais s'il faut des coups de surprise à nos coeurs enchantés de l'amour du monde, celui-ci est assez grand et assez terrible. Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : Madame se meurt ! Madame est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille ? Au premier bruit d'un mal si étrange, on accourut à son chevet de toutes parts ; on trouve tout consterné, excepté le coeur de cette princesse. Partout on entend des cris ; partout on voit la douleur et le désespoir, et l'image de la mort. Bilou, Ungern, Kog et toute la cour, tout le peuple, tout est abattu, tout est désespéré ; et il me semble que je vois l'accomplissement de cette parole du prophète : le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d'étonnement. Mais et les princes et les peuples gémissaient en vain ; en vain Monsieur, en vain le Roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements. Alors ils pouvaient dire l'un et l'autre, avec saint Ambroise : Stringebam brachia, sed jam amiseram quam tenebam : « je serrais les bras ; mais j'avais déjà perdu ce que je tenais ».
La Duchesse leur échappait parmi des embrassements si tendres, et la mort plus puissante nous l'enlevait entre ces royales mains. Quoi donc ! elle devait périr si tôt ! Dans la plupart des hommes les changements se font peu à peu, et la mort les prépare ordinairement à son dernier coup. Madame cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin, elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée ; et ces fortes expressions, par lesquelles l'écriture sainte exagère l'inconstance des choses humaines, devaient être pour cette princesse si précises et si littérales !

Dieu que c'est fastidieux Andre.
Je comprends mieux pourquoi il vous faut autant de poupees gonflables, il n'y en pas une seule
qui ne s'endorme point