Cigarette électronique et "vapotage"

Rappel du premier message :

Eh oui! Tout arrive . J'ai arrêté de fumer et je me suis mis à vapoter ! La e-cigarette est-elle mauvaise pour la santé ? Une "vaste" étude a été lancée par le ministère de la santé .Les résultats sont attendus avec impatience !

Grande première en 2012 : pour la première fois, les rentrées fiscales sont en baisse . Je ne parle pas du volume, qui est très difficile à évaluer vu l'importance des importations, légales ou non.

Je parie que les résultats de cette étude seront négatifs , car l'état a une trouille bleue que les fumeurs se rabattent sur le vapotage!
Il y a actuellement 500 000 fumeurs convertis , et ce chiffre augmente très fortement.

De plus , cette e-cigarette n'est pas interdite dans les lieux publics . Je parie également que ça va changer!

J'ai consulté 2 sites "Conceptarome" et "Clopinette" : on y trouve des dizaines de parfums différents , fabriqués en France, le "hardware" étant chinois .
J'ai d'ailleurs noté la composition sur un site : Glycérol Bio : 90%
Eau purifiée : 10%
Arôme alimentaire : 6à8% , ce qui fait un total de 108% !
Si vous avez une expérience dans ce domaine ou des suggestions , faites-moi signe, Merci

Biloulou a écrit:

société de dégénérés

Bonjour Eric !   

Dégénéré pour dégénéré, je préfère encore le navion...  

Prise en main Smokio Cigarette électronique Smokio
(01net - par Stéphanie Molinier le 07/03/2014 à 14h00)




Tout en restant aussi attrayante qu'une e-cigarette classique, Smokio vous informe et vous motive au travers de fonctions complètes. L'intelligence comme on l'aime et qui joint l'utile à l'agréable sans gros surcoût.

Prise en main

Test de Smokio, la cigarette électronique intelligente qui vous aide à arrêter de fumer

la promesse

En vente en France depuis quelques jours, la première cigarette connectée s’appelle Smokio, du nom de la start-up qui l’a conçue. A son rôle classique de substitut électronique à la cigarette, elle ajoute une véritable vocation de coach. Simple gadget ou arme efficace pour arrêter de fumer ? Nous avons testé Smokio pour nous faire une idée précise sur la question.

la réalité

Le boîtier Smokio contient une batterie bâton (la partie basse de la cigarette), un réservoir à remplir de e-liquide (la partie haute de la cigarette) et un chargeur. Un réservoir de rechange et une petite fiole de liquide mentholé sans nicotine sont offerts dans le coffret. Remplissez le réservoir, vissez-le à la batterie et téléchargez l’application Smokio sur l’App Store. C’est à peu près tout ce que vous avez à faire avant de commencer votre vapotage, c'est-à-dire fumer votre première cigarette intelligente.

Smokio : la e-cigarette facile à mettre en route

L’association entre l’appli et la cigarette se fait de façon automatique via le Bluetooth. Il suffit d’allumer la cigarette pour qu’elle soit détectée. Pour préserver l’autonomie de sa Smokio, le concepteur a fait le choix du BLE (Bluetooth Low Energy). Ainsi le module intelligent logé au niveau de la batterie ne sollicite que très peu cette dernière et uniquement lorsqu’il y a un échange de données avec l’appli. L’interface de cette dernière, assez élégante et sans fioritures, peut être paramétrée pour que le coaching soit plus efficace et proche de la réalité. Rien de compliqué : on peut indiquer, par exemple, sa consommation quotidienne de cigarettes ou bien la date à laquelle on a décidé définitivement arrêter mais aussi le dosage en nicotine choisi pour sa vapoteuse.

Une partie intelligente très développée

A chaque bouffée tirée sur votre e-cigarette, le compteur situé sur l’appli Smokio s’incrémente de 1. Après un certain nombre de bouffées, l’interface vous livre aussi l’équivalent en nombre de cigarettes fumées. Un repère qui manque habituellement au vapoteurs de cigarettes électroniques non intelligentes. Grâce à la puce GPS du smartphone, on peut aussi de situer sur une carte affichée dans l’appli les lieux où Smokio est utilisée : on détermine ainsi d’un simple coup d’œil le ou les endroits les plus sujets à déclencher une envie irrépressible de fumer : le bureau, la maison, etc. Plus original encore : le smartphone devient au travers de l’application une télécommande capable de piloter la cigarette. Il est ainsi possible de choisir la puissance qu’elle délivre avec pour effet une densité de vapeur rejetée plus ou moins importante. Enfin, le niveau de batterie de l’e-cigarette est indiquée : très pratique pour éviter le stress de la panne sèche qui pourrait mener à la reprise de la vraie cigarette.

Véritable coach, Smokio suit les progrès en temps réel

Dernier point et non des moindres, Smokio assure un rôle de coach aussi bien sur le plan de la finance que de la santé, les deux principaux facteurs d’arrêt du tabac. Grâce à l’application sur laquelle figure un compteur, le vapoteur est informé en temps réel des économies qu’il réalise en utilisant Smokio et ce sur les 30 derniers jours. Le système prend en compte pour cela le coût du paquet, ce qu’était la consommation quotidienne de cigarettes, mais aussi le coût de l’e-cigarette.
Un bilan santé s'appuyant sur des études américaines réalisées sur l’impact bénéfique de l’arrêt du tabac est également disponible. Nicotine éliminée, capacité pulmonaire retrouvée ou goût et odorat améliorés : le vapoteur voit au fil des semaines les pourcentages évoluer. Ceci n’est bien sûr qu’indicatif et ne substitue pas à de de véritables analyses médicales. Ultime facteur de motivation : il est possible de partager son expérience Smokio sur Facebook ou Twitter. De quoi susciter les encouragements de vos proches et, pour Smokio, l’occasion d’assurer sa promotion.

Les limites de la cigarette électronique intelligente

Comme avec la plupart des objets connectés dits intelligents, le fonctionnement passe par une application qui n'est hélas développée que pour les plateformes les plus fréquentées. Ainsi Smokio n'est téléchargeable pour l'instant que sur l'AppStore mais l'appli Android sera disponible avant la fin de ce mois. Pas de date annoncée, en revanche, pour les utilisateurs de Windows Phone ou de BlackBerry. Au delà de l'aspect logiciel, il est nécessaire que le smartphone soit compatible BLE, la dernière version du Bluetooth Low Energy, une technologie embarquée sur des modèles relativement récents. Le système fonctionnera ainsi à partir de l'iPhone 4S. Pour Android, seuls les Galaxy S3 et S4 de Samsung seront dans un premier temps garantis compatibles. Enfin, si le prix de Smokio est plus important que celui d'une e-cigarette classique (de 25 à 50 euros en général), le surcoût reste très raisonnable au regard du bénéfice apporté.

le verdict

La cigarette électronique connait aujourd’hui un vrai succès et avec son modèle intelligent, Smokio propose un système simple et efficace qui ne dénature pas le vapotage mais le complète efficacement. Niveau de batterie restant, estimation fine de la consommation, suivi des économies réalisées ou des effets bénéfiques sur la santé, cette smart e-cigarette n’a rien laissé au hasard. Vendue en exclusivité à la FNAC pendant quelques temps, Smokio est en promotion jusqu’au 15 mars à 80 au lieu de 90 euros.

Moi, j'ai arrêté de fumer il y a 8 ans ... et je ne m'en porte pas plus mal ...   

Test : vapoteuse Smokio, la cigarette électronique connectée (vidéo)
(01net. - le 13/03/14 à 07h00 - Jérôme Colombain, François Sorel, Stéphanie Molinier et Jean-David Duarte)


Fumer connecté c'est possible avec Smokio, la e-cigarette qui vous informera sur chacune de vos tafs(vidéo ci-dessous)



Dans la grande famille des objets connectés, nous avons testé la première cigarette connectée. Baptisée Smokio, cette e-cig fonctionne à l'aide d'une application mobile (iOS et Android) qui vous aide à arrêter de fumer. L'appli permet de contrôler avec précision votre consommation. Elle vous indique la quantité de nicotine absorbée, l'impact sur votre santé et même les économies financières réalisées. Une innovation insolite 100% française. Cette e-cig Smokio coûte environ 90 Euros. Remplit-elle son rôle ? Réponse dans cette vidéo.

assez efficace le-cigarette ... j'ai acheté ça non pour arrêter de fumer, mais pour pouvoir m'envoyer des décharges de nicotine là où la clope est interdite   

Ben, sans le vouloir, j'ai diminué ma conso de clopes de 60% ...sauf le jour de la journée sans tabac... j'ai fumé plus que d'habitude   

Alors, faut-il fumer assis ou fumer debout ?

kalawasa a écrit:

Biloulou a écrit:

Alors, faut-il fumer assis ou fumer debout ?

En marchant, tout simplement...

Oui, bon, ce n'est pas incompatible...   

kalawasa a écrit:

Astucieux ! Déjà breveté ?

Je crains que oui, mais le Catalogue des objets introuvables regorge de bonnes idées


Cafetière pour masochistes


Protège parapluie


Side-horse


Cravate-slip pour président de la République pressé.


Tennis-basket


Machine à coudre biomotorisée.




Un ouvrage de référence. Indispensable à l'homme moderne

kalawasa a écrit:

Merci, Biloulou : je pourrais passer des heures à regarder ce genre de conneries . J'aimerais bien faire partie d' une équipe de défoncés qui passent leur temps à créer de l'inutile drôle . Qu'est ce qu'on doit se marrer !

Oui, oui, comme je te comprends...  

Après la cigarette électronique, le joint électronique
(01net - le 23/06/14 à 13h13 - Gilbert Kallenborn)


Une société néerlandaise vient de lancer une cigarette électronique jetable en forme de cône, mais totalement dépourvu de THC. D’autres modèles sont en préparation...

Les fans de cannabis en ont rêvé, E-Njoint l’a fait : le joint électronique. La société néerlandaise vient de lancer une cigarette électronique à forme conique avec, à l’extrémité, une feuille de chanvre qui s’éclaire lorsqu’on vapote. En réalité, cette première version jetable du E-Njoint n’est pas un véritable joint car son liquide ne contient pas de THC, ni même de nicotine. Il est donc totalement légal et, à priori, inoffensif. Son principal intérêt est donc sa forme.





Mais attention, d’autres modèles sont prévus. Une version rechargeable sera bientôt disponible, qui pourra être remplie « d’un cannabis sous forme liquide dont la composition est propre à chaque utilisateur », comme l'indique un communiqué. Une troisième version baptisée « E-Njoint Vaporizer » permettrait, quant à elle, de « fumer des herbes sèches » et, notamment « de la weed ». Mais le fonctionnement de cet appareil semble pour l’instant assez obscure.

Par ailleurs, la société explique être en négociation avec Tikun Olam, un fournisseur de cannabis médical, pour décliner son offre en produits de santé. D’autres sociétés se sont lancées dans cette voie. La société californienne Cannabee, par exemple, propose des cigarettes électroniques et des fioles de cannabidiol, un cannabinoïde non-psychotrope dont le service médical rendu serait particulièrement élevé. A suivre...

91 -

Biloulou notre e-cône a écrit:

(...) des cigarettes électroniques et des fioles de cannabidiol, un cannabinoïde non-psychotrope dont le service médical rendu serait particulièrement élevé...

Ce qui me conforte dans l'idée qu'il faut être particulièrement malade pour s'adonner à la consommation
de cannabis et de ses dérivés.

EddieCochran a écrit:

91 - Ce qui me conforte dans l'idée qu'il faut être particulièrement malade pour s'adonner à la consommation de cannabis et de ses dérivés.

Absolument, il ne faut pas jouer avec les molécules officinales comme des plaisants joujoux.
Pour la petite histoire, mon médecin traitant, patron de la Médecine interne et Immunologie au CHU Érasme à Bruxelles, a songé à utiliser le THC sur votre serviteur, expérience plutôt réussie à Nantes... et finalement les formalités administratives plus complexes que les essais projetés l'ont fait renoncer.

C'est dire que cette molécule est particulièrement active et dangereuse, mal utilisée !

Ce qui me conforte dans l'idée qu'il faut être particulièrement malade pour s'adonner à la consommation de cannabis et de ses dérivés.
...n'exagérons rien un p'tit joint le matin après le petit dejeuner c'est féérique Eddie , et à notre àge faut en profiter  

Zora232 a écrit:

Ce qui me conforte dans l'idée qu'il faut être particulièrement malade pour s'adonner à la consommation de cannabis et de ses dérivés.
...n'exagérons rien un p'tit joint le matin après le petit dejeuner c'est féérique Eddie , et à notre àge faut en profiter   

Oui... si on est particulièrement malade, oui...  
(Voilà qui explique pas mal de choses !)

Notre ministre de la santé, Marisol Touraine avec sa tête de shootée, n'en loupe pas une : haro sur la e-cigarette !



Le ministère de la Santé et la plupart des spécialistes en conviennent désormais : le vapotage est pratiquement inoffensif. Aucune étude – aucune – ne lui attribue le centième, voire le millième, des effets néfastes que produit le tabac sur l’organisme. Plus de 70 000 personnes meurent chaque année en France d’un cancer provoqué ou favorisé par la consommation de tabac. A l’inverse, les seuls dangers qu’on a pu déceler dans l’usage de la cigarette électronique sont liés à l’addiction éventuelle à la nicotine, qui ne figure pas parmi les causes du cancer, et dont les effets, en regard des ravages causés par la vraie cigarette, sont parfaitement mineurs (sachant que tout excès est mauvais, par exemple l’excès de café ou l’excès de sucre). Rappelons qu’on vend en pharmacie des substituts au tabac dûment autorisés qui contiennent principalement… de la nicotine.

Un nombre croissant de médecins estime que le recours au vapotage est un substitut efficace au tabac, sans doute le premier qu’on ait trouvé dont les effets positifs soient mesurables. Depuis que la cigarette électronique s’est répandue en France, la consommation de cigarettes a diminué nettement. Jusqu’à présent, seules des augmentations de prix brutales ont abouti à ce résultat. Comme on ne peut pas vendre la cigarette au prix de l’or, même au nom de la santé publique, l’usage de l’e-cigarette offre un relais crédible à ceux qui souhaitent faire reculer le tabagisme. Nombre de ceux qui s’adonnent à l’e-cigarette sont de grands fumeurs qui trouvent là le moyen de se débarrasser de leur vice. Comme il est reconnu qu’un fumeur sur deux est tôt ou tard victime d’un cancer, on calculera facilement le gain espéré en santé publique : si cent personnes passent du tabac au vapotage, le transfert de l’une à l’autre addiction peut en sauver cinquante.

Malheureusement, ces considérations de bon sens sont masquées par des arguments irrationnels qui nous renvoient au règne des préjugés et des peurs obscurantistes. Le principe de précaution, dit-on, nous enseigne qu’il faut attendre de longues années avant de disposer d’une certitude scientifique sur l’innocuité du vapotage et donc qu’en attendant, il est préférable de s’abstenir. Sophisme pur et simple. En fait, le principe de précaution, qu’on interprète de travers, (voir le texte initial voté à l’initiative de Jacques Chirac) s’applique uniquement si des «dommages graves ou irréversibles» peuvent être imputés de manière vraisemblable à telle ou telle technique nouvelle ou à tel ou tel produit (par exemple l’émission de CO2 dans l’atmosphère). Où sont les dommages «graves et irréversibles» qu’on peut craindre de la cigarette électronique ? Nulle part, en tout cas dans aucune étude connue, même à titre d’hypothèse lointaine. En revanche ceux du tabac sont évidents depuis des décennies. Autrement dit, les deux produits, l’ancien et le nouveau, n’ont rien à voir en termes de santé publique. Le tabac tue, l’e-cigarette diffuse de la vapeur d’eau.

Le seul argument logique consiste à dire que le vapotage pourrait, dans certaines circonstances, inciter les consommateurs à passer ensuite à la vraie cigarette. Mais rien n’est prouvé (là aussi, les études sont trop récentes…). On s’appuie pour dire cela sur le fait que les fumeurs et les vapoteurs font les mêmes gestes. Mais dans ce cas, l’eau est aussi nocive que l’alcool, puisque l’on fait les mêmes gestes pour les consommer. On voit où mène ce parallèle. Les buveurs d’eau seraient les proies naturelles des marchands d’alcool et, pour lutter contre l’alcoolisme, on devrait interdire le Canada Dry…

La vérité, c’est que l’interdiction de vapoter dans les lieux publics ou bien au travail est une absurdité, calquée de manière irrationnelle sur les mesures antitabac et appliquée à un produit aux effets parfaitement bénins. A l’inverse, en encourageant les fumeurs à passer à l’e-cigarette, on agirait dans le sens du bien-être public. Politique que Marisol Touraine a écartée de manière irréfléchie, en commettant une grave erreur de santé publique.

Laurent JOFFRIN

97 -

kalawasa, fumace, a écrit:

Notre ministre de la santé, Marisol Touraine avec sa tête de shootée, n'en loupe pas une : haro sur la e-cigarette !

(...) Les buveurs d’eau seraient les proies naturelles des marchands d’alcool et, pour lutter contre l’alcoolisme, on devrait interdire le Canada Dry…
.....

Une prudente précaution s'impose cependant avant de boire du petit-lait en accordant crédit à cette
assertion fumeuse, nous avons parmi nous un sympathique et convivial gars du Canada qui à
ses propres dires n'est pas spécialement Dry .

Remarquez je ne voudrais pas laisser croire qu'en lui interdisant de venir ici l'on empêcherait l'excellent
Quantat de forcer sur la bibine...



Et eux-là, ça fait un millénaire qu'ils vapotent et pourtant pas un seul n'y a laissé des plumes pour autant
en ce qui concerne sa santé !