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Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Il était une fois les bêtes 17/11/2008, 07:56
Je trouve qu'on ne parle pas assez de l'actualité de nos amies les bêtes. Il faudrait s'y mettre aussi longtemps qu'il reste quelques spécimens authentiquement sauvages.
Mon épouse a absolument tenu à ce que je lise un court article sur l'autruche. Sûrement pensait-elle que ma connaissance de l'oiseau en question se limitait-elle au plumage des mêmes que les BlueBell Girls du Lido trémoussent en froufroutant de leur charmant postérieur.
(Svp, ne furetez pas ceci : http://www.clos-des-duchesses.com/bluebellsgirls.htm vous risqueriez de craquer et de ne pas lire la suite. Ne chercher pas non plus à biaiser en cliquant sur http://www.lido.fr/cabaret-paris.html car là on ne s'en sortirait plus. Et si vous persistez à ne pas m'écouter ni me lire et que vous cliquiez vers http://www.leplaisirdapprendre.com/docs/civilisation/regards5/portraits5.pdf histoire d'en apprendre plus sur les trucs en plume, vous seriez happés et sauvagement frappés par la splendide khônnerie de l'enseignement à la française.)
Revenons à notre autruche car c'est un sujet qui émeut beaucoup de monde, y compris les durs nandous d'Amérique du Sud.
L'autruche c'est lourd, 150 kg (330,693 livres) , c'est grand 2,75 m (78,74 inches ou 6,56 pieds), ça a un gros cul capable de pondre des œufs de 16 cm (6,299 inches ou 0,524 pieds) et de 750 g (26,455 onces ) et ça galope à 50 km/h (31,068 mph) et comble d'hypocrisie - ça vient d'Australie, une possession de la Perfide Albion - ça ne plante pas sa tête dans le sable à la vue d'un danger, ça se carapate lâchement !
Là où l'animal m'apparut extrêmement sympathique et proche, c'est quand je lus que le mâle entretenait un harem dans lequel la première dame élue choisissait les autres concubines. Un peu comme dans la clémente tradition mandarine chez les Célestes de l'Empire du Milieu.
Ce cheptel de gagneuses produit jusqu'à une soixantaine d'œufs, tous regroupés dans le même nid, c'est le côté taylorien de la galopeuse. La ponte, comme les accouchements assistés du papa qui tourne de l'œil et laisse tomber son caméscope, la ponte disais-je se fait en présence du monsieur autruche qui comptabilise la production et roule les œufs sous lui jusqu'à ce que les parturientes aient fini de parturier. Puis les femelles du sérail couvent les bijoux de la couronne à tour de rôle, le pater familias, lui, assurant le quart de nuit (histoire d'être éveillé pour vérifier si une de ses greluches ne se barre pas courir la prétentaine en tenant ses escarpins à la main pour ne pas faire de bruit). Y sont vraiment pas khôns les animaux !
Et ce mâle est quelqu'un de vraiment exceptionnel. Quand il ressent une montée de sève printanière, il rougit d'amour et - je cite - "les parties dénudées s'empourprent". Ce qui en langage mussetien s'écrirait "il arbore fièrement un priape turgescent". Mais l'article ne précise pas si les appendices péniens d'autruche sont circoncis ou non, faudra que je passe un coup de fil à un ami spécialiste. Le mâle est aussi un très bon père, attentif au bien-être et à la sécurité des autruchons comme à ceux de l'ensemble de la communauté autruchienne. En particuliers le mâle célibataire qui s'occupe bénévolement et spontanément des petits que les femelles chassent pour s'accoupler une deuxième fois dans l'année, de vraies chiennes. Mais bon, cette prédisposition à l'adoption conduit parfois des autruches à piquer les mômes des copines pour les élever à leur place. Faudra que j'en parle à Clint E. pour qu'il en fasse un film.
And last but not least les misters autruches comptent parmi les rares volailles à posséder un pénis, je l'avais déjà dit, mais sans donner la longueur 20 cm (7,874 inches) ; d'accord mesdames vous en avez vu d'autres, mais n'oubliez pas que c'est un zoziaux, point barre. OK, je sais que le canard de Meller se marre bien car lui ce n'est pas une feuille de vigne qu'il lui faudrait pour cacher sa virilité mais le cep entier pour protéger des UVA et B son bande-aux-néons de 42 cm (16,53 inches) ; d'accord c'est un peu moins que Long Dong Silver, mais tout de même l'anatidé généreusement pourvu a un corps qui fait à peine 35 cm (13,779 inches). Je me demande, avec un écouvillon pareil, il doit s'empaler plusieurs cannes à la fois !
A présent que j'ai appris tout ceci sur l'autruche je me sens très honteux d'avoir osé en manger de la cuisse. C'est juré je ne porterai plus jamais atteinte à la cohésion sociale de bêtes aussi grégaires en en prélevant une pour la becqueter.
Allez, tout ceci devrait vous inviter à choisir un livre cadeau de Noël pour vos petites têtes blondes crépues : http://curieux.dna.fr/?Livre-Il-n-y-a-pas-d-autruches http://lustucru.canalblog.com/archives/2008/10/05/10832892.html
Amusez-les biens, et vous de même.
Yours Rockabilly. EddieCochran, bien choisir la chef de harem !
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Cochoncetés 27/11/2008, 19:49
Nous avons inauguré la série sur nos amies les bêtes par l'une d'entre elles connue pour fourrer la tête dans le sable, mais qui habite dans les contrées lointaines ; nous allons à présent nous creuser les méninges à propos d'un terrassier de nos contrées à nous et qui n'est pas l'ami du prophète et de ses ouailles : l'ancêtre du cochon domestique, le sanglier, autrement nommé respectueusement par les derniers chasseurs qui ont de la classe, Monsieur !
Dans notre hexagone urbanisé, le bipède raseur de béton moyen s'imagine que chez les derniers pécores qui font de la résistance dans nos campagnes reculées à tout sanglier correspond son Obélix. Cette tenace image d'Epinal est à remiser dans les archives mythologiques uderziennes, le sanglier avait un caractère sacré pour tout Gaulois pur porc. Les archéodiététiciens qui ont eu le bol d'étudier l'alimentation du Gaulois à travers les reliefs de repas exhumés près de Bibracte et ailleurs ont la mort dans l'âme dû se résoudre à l'évidence que le sanglier ne figurait pas au menu traditionnel de nos rudes ancêtres, qui de loin lui préféraient la volaille, trait culturel qui en parfaite contradiction avec le désamour que notre excellent Jam, descendant des Arvernes, porte aux "poulets".
Pourquoi suis-je amené à vous brosser un récit sur le sanglier qui ne va pas de soi ? Deux raisons m'y conduisent, l'une anecdotique et personnelle, l'autre d'intérêt plus que général en cette époque de l'année durant laquelle nous allons vivre des agapes festives plus élaborées que le reste de l'année.
Entre mes séances sur la Toile il m'arrive d'aller quérir quelques biftons transformables en biftecks en territoire français, càd de l'autre côté de la rivière Var qui marque la frontière avec mon bon Countat. J'étais devant un espresso dans un café en attendant un RV et j'observais quatre glouglous de zinc émergeant de pantalons militaires aux camouflages variés poussant hors de rangers boueuses et qui causaient bruyamment de la chasse qui venait d'avoir cours avec leur experte participation. Je reconnus parmi ces Nemrod de bistrot un certain Luigi - un ancien légionnaire d'origine espagnole dont j'ai changé le vrai prénom qui est Tonio, dans le souci de préserver son anonymat, sa femme ne voulant pas qu'il traîne au troquet dès l'aube et si elle nous lisait elle pourrait lui chercher des crosses - que je hélai et qui me logeant après quatre clignements d'yeux pour dissiper les brumes d'alcool me présenta ses respects. Je saisis l'occasion de m'inviter alors dans la conversation du quatuor pour me renseigner sur le récent accident de chasse qui avait défrayé la chronique des chats crevés de la feuille de chou azuréenne.
La main en chœur sur leur canon de rosé, les diserts Rambo de la garrigue me donnèrent les détails du drame qui avait secoué la petite confrérie des porte-flingues locaux qui faillit perdre l'un de leurs meilleurs écluseurs de pastaga. Ce héros des taons modernes, lors d'une battue administrative au sanglier, s'était fait traitreusement charger par un cochon - dans le Midi, tout sanglier est appelé cochon - armé de deux défenses acérées qui lui avaient profondément labouré une jambe et éventré ses deux chiens. Le fauve avait été abattu par la suite par des redresseurs de torts à l'affût en bouclage de dispositif. L'invention du téléphone cellulaire avait sauvé le traqueur estropié d'une hémorragie cataclysmique, les secours alertés se portèrent en hélicoptère sur la scène du crime inaccessible en voiture et évacuèrent le tombé au champ d'horreur vers l'hôpital le plus proche où un spécialiste du point de chaînette posa 27 sutures sur la jambe du martyr.
Je m'enquis de l'état-civil du frôle-la-mort. Le patron joufflu à tête de potiron, tout en essuyant compulsivement un verre avec un chiffon douteux, leva la tête d'un air interloqué car comme c'était la deuxième fois que je venais dans son établissement en 15 jours, il me considérait comme un habitué autochtone qui ne pouvait ignorer la réponse. Il me sortit sur le ton de l'évidence: "Mais, c'est Mickey". Les autres de confirmer : " Pardi que c'est Mickey !". Un réflexe de survie en milieu hostile m'avertit que pour sauver ma crédibilité en cet endroit estranger il fallait que cette info évidente je l'acquiesçât en affranchi. Je ne pouvais laisser planer un doute préjudiciable en donnant l'impression de ne pas connaître LE Mickey, l'enfant du pays estimé de tous et davantage depuis qu'il avait failli succomber sous les assauts de la hure meurtrière, mais qui était constitutive de l'anatomie standard d'une bête méritant une certaine considération car elle s'était vaillamment défendue, une mention d'honneur qui n'était amoindrie en rien par le fait que notre Mickey n'avait pas inventé la poudre et que ses pauvres chiens n'étaient pas non plus des flèches, dieu ait leurs âmes . Voici donc pour l'anecdote qui introduit le sujet de cette chronique animalière.
Passons à la seconde motivation de cet exposé écologique et cynégétique.
Rentré en mon beau pays je me mis à la recherche de quelque documentation qui pourrait m'en apprendre davantage sur les suidés sauvages de nos bois et maquis impénétrables. Ce que je découvris avec effarement me conduisit dans les délais syndicaux à m'asseoir devant le clavier pour prévenir sur les réseaux entoilés les malheureux blaireaux qui ignorent encore combien en période de fêtes ils risquent de se faire foncer dessus par un sanglier s'ils ne prêtent pas attention à ce qui va suivre.
Sachez braves gens, qui vous saignez aux quatre veines pour agrémenter vos succulentes préparations culinaires, que la truffe noire hors de prix que vous découpez en éclats nonoscopiques avec une fine lame et grands égards d'économie tout en salivant à l'évocation du parfum sophistiqué qu'elle répandra dans vos chefs d'œuvres du chef, la tuber melanosa n'est pas la reine du fumet divin que vous envisagez. L'odeur de la truffe, Ô fan de pied est semblable à celle exhalée sui generis par le sanglier mâle en rut ! Voilà qui démystifie l'intérêt tout particulier que portent les verrats et truies truffiers au noble champignon ; ces auxiliaires indispensables du récoltant d'ascomycètes du genre tuber ne sont pas des esthètes du goût comme vous le croyez depuis toujours, mais ils se révèlent de dévoyés obsédés sexuels. Tirez-en les enseignements de prudence qui s'imposent pour l'avenir si, sans escorte armée, vous vous promenez avec des tubéracées plein les poches là où rodent les artiodactyles sus scrofa.
Gardons à l'esprit que le sanglier est un animal dont le flair est classé dans le top 10 des plus fins limiers de molécules olfactives du règne mammaire. Grâce à un groin renforcé par un cartilage osseux qui le rend apte à fourrager les humus et terreaux les plus consistants, capacité qui fait du sanglier un super laboureur des sous-bois, déterrant des graines par ci, les enterrant par là, il est le jardinier paysagiste méconnu et indispensable de nos bosquets et forêts.
Du groin aux lèvres il n'y a qu'un pas de vice dans le raisonnement qui m'amène à signaler que quelques jours avant le rut, la salive du mâle prend des fragrances destinées à faire tomber en pamoison amoureuse ces dames et à défier les concurrents ballochés. Le sanglier affiche ataviquement un comportement culturel maghrébin, en ce qu'il se livre à des concours de crachats tandis que les femelles bavent sur les troncs des arbres pour indiquer aux mâles du voisinage qu'elles sont prédisposées, tout en partageant une mousse, à passer à la conclusion biblique. Pas un crac-crac avec le premier venu, mais le grand jeu avec le plus teigneux de la harde qui mettra la pâté aux moins velus. Car les mâles en lice cuirassent hormonalement leur carcasse en épaississant leur peau de 3 à 5 cm, ils renforcent leur toison et densifient leur couche de graisse aux endroits névralgiques. Ils se dotent d'un blindage réactif additionnel en se vautrant dans la boue qui en séchant ajoute à l'efficacité de la carapace de ces âpres combattants qui se castagnent avec une violence inégalée dans les jeux vidéo les plus gores.
Ce comportement colérique fait du sanglier l'hôte le plus brave de la sylve tempérée. Si les mâles de par chez moi pour les meilleurs jaugent les 90 kg (199 livres anglaises), tandis que les ardennais et les allemands sont coutumiers des 200 kg (441 pds) et que les bulgares pédalent frénétiquement dans le yoghourt avec leurs 350 kg (772 pds), les sangliers quelle que soit leur masse sont des clients qui peuvent devenir extrêmement infréquentables !
Le régime alimentaire du sanglier qui n'a pas de truffes bien puantes à se mettre à fond le groin est omnivore au point qu'il biche parfois sur un faon à tortorer, voire un agneau comme cela arrive en Australie paraît-il, mais là-bas tout le monde est dingo. Comme nous l'avons vu plus haut, il ne dédaigne pas non plus les cuisses des mickeys qui viennent faire pan-pan sur son territoire.
Curieusement la bestiole qui se dépense beaucoup physiquement n'a pas de pores sudatoires et il régule sa température corporelle en se vautrant dans des bauges desquelles il ressort saoul de bonheur. La femelle, qu'on appelle la laie bien qu'elle ne soit pas spécialement moche, met bas dans une maternité personnelle qu'elle se construit à l'aide de branchages et que l'on appelle comme le stade des Verts de Saint-Etienne le chaudron. Un conseil, ne vous en approchez pas, elle vous fera instantanément comprendre que vous n'êtes pas le bienvenu dans les parages. Irritée elle claque des dents en hérissant sa crinière, on dit alors qu'elle "casse la noisette". Qu'en pense Monsieur, on ne le sait pas, mais on peut deviner...
Le sanglier se montre excellent nageur et il n'hésite pas à faire des traversées d'étendues d'eau en famille ou en harde. En baie de Somme, pour échapper aux chasseurs il prend le large à la nage et parfois débarque sur des bancs de sable parmi des veaux marins qui dégagent vite fait pour ne pas se faire phoquer.
Il y en aurait encore des choses à dire sur le sanglier, mais je les ignore, donc je m'abstiendrais d'en parler davantage.
Dernière édition par EddieCochran le 28/11/2008, 01:01, édité 1 fois
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 27/11/2008, 20:19
Je ne m'étais jamais imaginé que l'autruche et le sanglier pouvaient être si savoureux sans même me mettre à table !
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 30/11/2008, 04:48
Loll, je m'amuse
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 2/12/2008, 01:45
L'escargot est à la fois mâle et femelle, mais il ne peut pas en profiter.
Invité Invité
Sujet: 6 - 5/12/2008, 15:12
emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
Sujet: 10 raisons futiles d'abandonner son chien 18/12/2008, 19:49
Le "Dogs Trust", qui recueille des chiens abandonnés, a dressé la liste des dix excuses les plus irresponsables évoquées par les maîtres indélicats. En tête de classement figure un propriétaire qui n'a pas hésité à expliquer que son chien "n'est pas assorti au canapé". Dans le même registre, un maître a souhaité échanger son chien noir contre un blanc, pour être assorti à sa nouvelle moquette.
Certains possesseurs de canins ont expliqué que leur animal était trop vieux et qu'ils aimeraient l'échanger contre un plus jeune ou contre une poupée. Un autre a estimé que son chien avait l'air méchant et que ses yeux de couleur différente le faisaient ressembler au chanteur David Bowie.
Faire peur au cochon d'Inde, avoir ouvert tous les cadeaux de Noël ou mangé la dinde qui refroidissait sur le plan de travail, sont d'autres motifs d'abandon invoqués pour abandonner un chien.
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
Sujet: Quelques petits films d'animation amusants pour les amoureux des chats... 24/2/2009, 16:50
Alice
Nombre de messages : 729 Age : 48 Localisation : Brüsel Date d'inscription : 04/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 24/2/2009, 17:05
Mais c'est mon chat ça !
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: C'est bien observé... et tout mignon 24/2/2009, 17:37
C'est de l'éthologie appliquée, dirait Bran !
Alice
Nombre de messages : 729 Age : 48 Localisation : Brüsel Date d'inscription : 04/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 25/2/2009, 17:11
17:08 : mon chat commence à faire des allées-venues et à tourner autour de mon siège en se frottant ostensiblement... 17: 10 : mon chat grimpe sur le bureau et fait des allers-retours entre mon clavier et l'écran, en marquant l'arrêt... vous devinez où... la pression monte
Invité Invité
Sujet: 12 - Voila qui ne surprendrait certainement pas Tsur 10/3/2009, 08:09
Un chimpanze resident d'un zoo suedois prepare l'offensive: avant l'arrivee des visiteurs, il prepare un tas de pierres, qu'il jette (les pierres) a ceux qui viennent se planter devant lui (en anglais)
Dernière édition par Sylvette le 10/3/2009, 11:30, édité 1 fois
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 13- Ah bon ? 10/3/2009, 09:43
C'est curieux, Tsur ne doit pourtant pas beaucoup apprécier le climat des pays du Nord...
(Que s'est-il passé ensuite chez Alice ? Suspense !)
Invité Invité
Sujet: 14 - Je ne faisais que reference a l'intelligence (?) 10/3/2009, 11:31
des bonos et au fait que Tsur semblait bien les connaitre.
Je n'aurais pas du?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 15- Mes excuses. 10/3/2009, 13:32
Désolé, Sylvette, j'ai plongé dans l'erreur pieds joints - ce qui fait déjà une belle surface....
D'une lecture très (trop) rapide - vous savez ce que c'est que de vouloir se tenir au courant de toute l'actualité... - j'ai cru que c'était Tsur qui ramassait les pierres !
J'ai honte de moi, c'est dire... (J'espère que Tsur aussi, non mais ! Quel comportement envers les gens qui viennent lui rendre visite ! )
Invité Invité
Sujet: 16 - Biloulou 10/3/2009, 13:36
Pas de probleme!
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 10/3/2009, 13:40
C'est qui Tsur ? Un nouveau rigolo de LP ou un rigolo déjà existant {c'est que moi y en n'a pas savoir }
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 18- C'est gratuit 10/3/2009, 14:03
Bonjour Zed !
Je vais répondre gratuitement à ta question !
Tsur est un participant historique de LP. Son plus récent pseudo est Kwikwit, si mes souvenirs sont bons. Les gens convenables continuent à l'appeler Tsur. Il est israélien d'origine française et vit la moitié de l'année en Galilée, l'autre moitié dans l'ex-Congo Belge où il a des plantations et élevages d'animaux - je crois.
Il intervient par vagues... parfois c'est le silence complet pendant des mois... et puis c'est jour et nuit sans arrêt. Je crois que ça dépend de l'endroit où il se trouve, de la période de l'année, de ses occupations...
Sa femme, Yaya, sévit aussi de temps à autres sur LP mais jamais sans son mari.
Depuis le "Grand chambardement" on n'a pas encore eu de leurs nouvelles.
Invité Invité
Sujet: 19 - Merci 10/3/2009, 15:23
Biloulou
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Il était une fois les bêtes 10/3/2009, 15:34
Biloulou a écrit:
Bonjour Zed !
Je vais répondre gratuitement à ta question !
Tsur est un participant historique de LP. Son plus récent pseudo est Kwikwit, si mes souvenirs sont bons. Les gens convenables continuent à l'appeler Tsur. Il est israélien d'origine française et vit la moitié de l'année en Galilée, l'autre moitié dans l'ex-Congo Belge où il a des plantations et élevages d'animaux - je crois.
Il intervient par vagues... parfois c'est le silence complet pendant des mois... et puis c'est jour et nuit sans arrêt. Je crois que ça dépend de l'endroit où il se trouve, de la période de l'année, de ses occupations...
Sa femme, Yaya, sévit aussi de temps à autres sur LP mais jamais sans son mari.
Depuis le "Grand chambardement" on n'a pas encore eu de leurs nouvelles.
Ça tombe bien, je suis un peu a cour {no money}
Il aurait grand intérêt a me connaître Tsur
Mais c'est leur choix {a lui et sa femme}
J'espère bien un jour le connaître.
Gardons espoir
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 21- Tout compte fait... 28/3/2009, 13:28
(C'est mieux à sa place dans ce fil)
Avec l'autorisation présumée d'Armelle, une preuve que l'"intelligence" des araignées dépasse celle de beaucoup de décérébrés verts...