Il était une fois les bêtes

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La compassion est un sentiment que doivent ressentir nos amies les bêtes qui se montrent moins
regardantes sur les origines des individus qui en font l'objet que nous autres humains dits intelligents...

Voici une charmante illustration des moments d'empathie exprimés par une chienne envers un renard,
histoire qui a toute sa place dans cet éminent forum vulpinophile.

Cela se passe en Allemagne, dans le Land de Hesse qui compte 6 millions d'habitants et dont comme chacun
le sait Francfort-sur-le-Main est la plus grande agglomération (700 000 hab.) mais c'est Wiesbaden qui en
est la capitale. Plus précisément la scène se situe à Oberscheld une bourgade minière des Monts du
Gladbach d'un peu plus de 2000 habitants dans la région du Schelder Wald qui fait partie du district de
Lahn-Dill dont le chef-lieu est Dillenberg (un des puits de mine s'appelle Amélie, tout le monde sauf
peut-être un seul hypothétique lecteur s'en fout, mais ça fait cultivé de citer des trucs très creusés).

Voilà le décor est planté et voici la belle histoire animalière.

La chienne de Werner de race berger d'Ecosse (le quadrupède à tétons pas le bipède Teuton) dans un élan
maternel admirable pour un Colley a mis la main au collet d'un renardeau de trois mois orphelin après le
passage de la civilisation sous forme d'une automobile sur sa maman. Leopold le chat de race Bengale est
dans la foulée également devenu pote avé Dinozzo (c'est le renardeau pas l'agent fédéral gandin débile
de la série NCIS) après que Diva (le toutou aux longs poils pas l'agent du Mossad rarement à poil qui a
intégré le NCIS) l'eut adopté et élevé.

Cette saynète de la série Famille d'accueil chez les Bêtes est l'occasion de faire de belles photos pleines
de tendresse et de paix qui font venir la larme à l'œil des Internautes sensibles aux histoires d'amour.

En voici une en inclusion les autres sont sous la chatière magique afin de ne pas surdimensionner ce billet.

Adoption:

Mouchoirs ?

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De plus en plus craquant...

Biloulou a écrit:

De plus en plus craquant...

profitons, ça ne va pas durer longtemps, il va grandir très très vite et là, le taxi qui a refusé de le prendre aussi petit ne sera pas prêt de le prendre à l'age adulte

Marieden a écrit:

Biloulou a écrit:

De plus en plus craquant...

profitons, ça ne va pas durer longtemps, il va grandir très très vite et là, le taxi qui a refusé de le prendre aussi petit ne sera pas prêt de  le prendre à l'age adulte

Peut-être Uber ?

Biloulou a écrit:

Marieden a écrit:

Biloulou a écrit:

De plus en plus craquant...

profitons, ça ne va pas durer longtemps, il va grandir très très vite et là, le taxi qui a refusé de le prendre aussi petit ne sera pas prêt de  le prendre à l'age adulte

Peut-être Uber ?

oui le privé l'a pris sans rechigner

il a ravagé mon "massif" de persil

Coucou Ludwig !

le paradis des chats

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Marieden qui s'y connait en mise en boîte a écrit:

le paradis des chats

Magnifique et tellement vrai. Néanmoins le paradis des chats ne semble pas avoir fait un carton plein !

(Sont-ce des chats SDF ?)

Trois lionceaux naissent au Parc zoologique de Paris

La fratrie a désormais six semaines et se porte à merveille.

Zed a écrit:

(...) Adulte, dans la nature, tu n'es qu'un repas de plus.

Qui ça ? Toi ? Moi? Eux ?

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Zed a écrit:

(...) Adulte, dans la nature, tu n'es qu'un repas de plus.

Qui ça ? Toi ? Moi? Eux ?

Tous, en fait il n'est pas raciste ni même sexiste, le lion quand il s'agit de viande fraîche

Fraîche ? Oui, bon, j'échappe peu à peu à cette catégorie-là, et Lawrence, alors...

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Une histoire animalière se déroulant dans le Sud-Ouest du Rif qui devrait être parlante pour notre
excellent camarade berbère Zora.


Le petit chacal et le chameau

Le petit chacal était un animal très rusé mais, malheureusement, il n'en profitait pas
seulement pour se défendre, il aimait aussi berner les gens. Hélas ! Si on apprend vite que l'on peut être
très rusé, on trouve toujours quelqu'un de plus rusé encore. Et c'est ce qui arriva au petit chacal.
Le chacal aimait beaucoup les coquillages et les crabes. Quand il eut mangé tous ceux qui se trouvaient du
côté du fleuve où il vivait, il se dit qu'il devait y en avoir beaucoup sur l'autre rive. Mais le fleuve était trop
large, et le courant trop fort pour qu'il puisse traverser à la nage. Il y songea longtemps, et, un jour, il
alla trouver son camarade le chameau.
« Frère chameau, dit-il, je connais un endroit où il y a de fameuses cannes à sucre, je te le montrerai si
tu veux m'y porter.
— De bon cœur, dit le chameau qui aimait beaucoup les cannes à sucre. Où est-ce ?
— Oh ! de l'autre côté de la rivière, dit le petit chacal, mais, si je monte sur ton dos, nous y arriverons
facilement. »
Le chameau ne demandait pas mieux. Le petit chacal grimpa sur son dos, entre les deux bosses, et le
chameau traversa la rivière à la nage. Quand ils furent sur le bord, le petit chacal sauta à terre, indiqua
au chameau le champ de cannes à sucre et courut vers la rivière pour chercher des crabes, pendant que
le chameau se régalait sans penser à rien.
Le petit chacal fut rassasié avant que le chameau eût seulement mâché trois cannes à sucre. Petit père
chacal n'avait pas la moindre envie d'attendre que son camarade eût fini et il se mit à courir tout autour
du champ en glapissant et en faisant un grand bruit. Les villageois l'entendirent tout de suite.



« Il y a un chacal dans le champ de cannes à sucre, dirent-ils. Il va faire des trous
et abîmer toute la récolte, il faut le chasser. » Ils arrivèrent en hâte avec des pierres et des bâtons, et ne
virent point de chacal ; rien qu'un grand chameau qui croquait tranquillement les roseaux sucrés. Ils lui
jetèrent des pierres, le frappèrent avec leurs bâtons, et le firent sortir à moitié assommé. Quand les
villageois furent partis, le petit chacal arriva en dansant, et dit à son compagnon : « Il faut s'en aller,
maintenant.
— Bien, je te retiens, dit le chameau ; en voilà un camarade ! Quelle idée t'a pris de glapir et de sauter
comme cela ?
— Oh ! je ne sais pas, dit le chacal. C'est une habitude que j'ai comme ça de chanter après dîner.
— Ah ? dit le chameau. Très bien. Rentrons chez nous, maintenant. » Il laissa le chacal grimper sur son
dos et entra dans l'eau.
Quand il fut à mi-chemin, au beau milieu de la rivière, il s'arrêta et dit : « Chacal ?
— Quoi ? dit le petit chacal.
— J'ai une drôle d'envie, reprit le chameau. Je crois que je vais me rouler dans l'eau.
— Te rouler ? cria le chacal. Ne fais pas ça, frère, tu vas me noyer ! Qu'est-ce qui te donne cette idée ?
Pourquoi veux-tu te rouler ?
— Oh ! je ne sais pas, répondit le chameau. C'est une habitude que j'ai comme ça de me rouler après
dîner ! »
Il se roula donc, et le petit chacal tomba dans l'eau et manqua de peu se noyer ! Il eut toutes les peines
du monde à gagner la rive.
Le chameau, quant à lui, revint tranquillement à la maison, et ne voulut plus jamais lui parler.

Source : >ICI<

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Le chameau est un loup pour le chacal !

kalawasa a écrit:

Je ne suis pas un spécialiste de l'ornithologie, mais je peux vous assurer qu'il y a 4 femelles et un mâle !

Le pauvre...
Tout à fait comme chez les humains!

kalawasa a écrit:

Je ne suis pas un spécialiste de l'ornithologie, mais je peux vous assurer qu'il y a 4 femelles et un mâle !

Bizarre, j'aurais dit l'inverse : 4 grandes gueules et une perplexe...


Mab -disons 5 brochettes ?-

kalawasa a écrit:

Ahhh ! Bonjour chère Mab . Ravi de vous revoir et de constater que vous êtes toujours d'attaque...

Ce n'est pas genetique, mon bon Kalawasa, vous me galvanisez
Tres heureuse aussi de vous revoir,


Mab -j'ai echappé à "tete de piaf"-