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| Les États-Unis en grève | |
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+5Biloulou Zed Charly kalawasa Ungern 9 participants | |
Auteur | Message |
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Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Les États-Unis en grève 2/10/2013, 18:27 | |
| Rappel du premier message :
Faute d'un accord sur le budget entre les démocrates majoritaires au Sénat et l'opposition républicaine qui domine à la Chambre des représentants, les administrations centrales des États-Unis sont partiellement fermées depuis mardi matin à 0 h. Environ 800 000 fonctionnaires, sur plus de deux millions, ont été mis en congé sans solde, entraînant la fermeture par exemple de parcs et de musées, et l'instauration d'un service minimum dans de nombreuses administrations publiques. | |
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Auteur | Message |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Date d'inscription : 16/11/2008
| | | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Les États-Unis en grève 4/10/2013, 07:32 | |
| USA/dette: ne pas croire qu'il reste "des fonds de tiroirs" (Lew, Trésor)romandie.com Le secrétaire américain au Trésor Jacob Lew a de nouveau insisté jeudi sur la nécessité de relever le plafond de la dette des Etats-Unis, jugeant "dangereux" de croire qu'il y avait "des fonds de tiroir"." Il faut que les Républicains se mettent autour de la table dans l'esprit de trouver un compromis sensé", a déclaré le secrétaire au Trésor dans un entretien à la chaîne Fox Business Network. " Mais cela ne peut pas se faire sur l'idée complètement irréaliste qu'on puisse révoquer la réforme sur l'assurance-santé pour financer le gouvernement pour deux mois ou même pour financer la dette", a-t-il ajouté. M. Lew a répété que la date-limite du 17 octobre, au-delà de laquelle le Trésor aura épuisé les mesures exceptionnelles de financement, est " bien réelle". " Très vite, nous n'aurons plus de trésorerie", a-t-il insisté rejetant " la dangereuse notion qu'il reste toujours des fonds de tiroirs". Evoquant les négociations avec les républicains, M. Lew s'est décrit comme " un optimiste". " Je pense qu'on va finalement se retrouver autour de la table et atteindre un compromis honorable. Mais cela ne peut pas être sous la menace de faire sauter l'économie", a ajouté le ministre des Finances. | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Les États-Unis en grève 7/10/2013, 17:38 | |
| Wall Street plonge, plombée par la persistance du blocage budgétaireromandie.com Wall Street s'affichait en nette baisse lundi à l'ouverture, plombée par le prolongement de la paralysie de l'Etat fédéral américain alors qu'aucune avancée n'avait été obtenue sur le budget durant le week-end: le Dow Jones abandonnait 0,80%, le Nasdaq 0,57%.Vers 13H45 GMT, le Dow Jones lâchait 121,70 points à 14.951,39 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 20,52 points à 3.786,93 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 baissait de 0,67% (- 11,91 points) à 1.678,50 points. La Bourse de New York avait fini en hausse vendredi, nourrissant l'espoir qu'une solution au blocage budgétaire aux Etats-Unis soit trouvée rapidement: le Dow Jones avait avancé de 0,51% à 15.072,58 points et le Nasdaq de 0,89% à 3.807,75 points. Les marchés actions ont connu une ouverture difficile alors que les négociations du week-end sur le budget et le plafond de la dette n'ont pas abouti à la moindre avancée, ont noté les experts de Briefing.com. Avec la fermeture partielle des services publics américains qui entre dans sa deuxième semaine, les craintes augmentent au sujet de l'impact d'une impasse budgétaire prolongée, ont remarqué de leur côté les analystes de Scharles Schwab. La plupart des agences fédérales ont dû fermer leurs portes depuis mardi dernier, faute d'accord entre les élus américains sur un budget pour le nouvel exercice fiscal entamé le 1er octobre. Aucun terrain d'entente n'a été trouvé ce week-end au Congrès: les élus se sont contentés d'approuver à l'unanimité une mesure qui permettra aux 900.000 employés fédéraux en congés sans solde d'être payés rétroactivement pour tous les jours de travail perdus, lorsque la paralysie aura pris fin. Derrière la question du budget, les investisseurs craignent aussi celle de la dette. Les Etats-Unis doivent atteindre le maximum de dette autorisée, actuellement situé à 16.700 milliards de dollars, le 17 octobre, et le Congrès doit approuver un relèvement de ce plafond pour éviter un défaut de paiement aux conséquences potentiellement catastrophiques. Aussi dangereuse que soit la paralysie budgétaire, une paralysie économique à la suite d'un défaut de paiement serait bien pire, a affirmé la président Barack Obama. Observant la stratégie de la corde raide adoptée à Washington, les analystes de Charles Schwab évoquent des risques potentiels pour la note de la dette américaine par les agences de notation. Les marchés attendaient par ailleurs la publication d'un indicateur sur le crédit à la consommation, prévu dans l'après-midi. Le marché obligataire avançait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans reculait à 2,614% contre 2,652% vendredi soir, et celui à 30 ans à 3,697% contre 3,732% à la clôture précédente. | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Les États-Unis en grève 11/10/2013, 06:57 | |
| républicains et démocrates négocient après une percée apparenteromandie.com La Maison Blanche et les républicains devaient continuer à négocier jeudi soir pour tenter d'éviter que la paralysie de l'Etat fédéral américain dégénère en catastrophique défaut de paiement.Les républicains ont proposé jeudi à Barack Obama un relèvement temporaire de la limite de la dette jusqu'au 22 novembre pour écarter le risque d'un défaut de paiement, mais sans inclure de mesure rouvrant entièrement l'Etat fédéral, paralysé depuis le 1er octobre. Ils ont présenté ce plan jeudi au président mais " aucune décision définitive n'a été prise", selon le porte-parole du président de la Chambre John Boehner. Ce porte-parole, Brendan Buck, a salué une " conversation utile et productive". La Maison Blanche a rendu compte de la réunion dans des termes très neutres, en observant qu'" après une discussion sur les possibles façons d'aller de l'avant, aucun choix spécifique n'a été effectué". De même source, " le président espère continuer à faire des progrès avec les membres des deux partis", démocrate et républicain. Les républicains sont sous pression, l'opinion publique se rangeant majoritairement du côté de Barack Obama depuis le début de la crise. Selon un sondage NBC/Wall Street Journal publié jeudi, 53% des Américains estiment que les républicains sont responsables de la paralysie fédérale, contre 31% qui accusent Barack Obama. LES MARCHÉS REPRENNENT DES COULEURSL'annonce républicaine, très favorablement accueillie par les marchés - les principaux indices de Wall Street ont bondi de plus de 2% -, a en revanche suscité une réaction mesurée des démocrates du Sénat, qui ont eux aussi rencontré M. Obama jeudi après-midi. Leur chef de file, Harry Reid, a assuré à sa sortie du siège de l'exécutif que ses troupes étaient prêtes à " discuter de tout, absolument tout" avec les républicains après le vote d'un budget. Mais il a écarté l'idée de conditionner la fin de la paralysie de l'Etat à des négociations. " Cela n'aura pas lieu", a-t-il lancé. Actuellement d'environ 16.700 milliards de dollars, la limite de la dette a été atteinte en mai et le Trésor n'a pu continuer à emprunter que grâce à des mesures "extraordinaires". Mais au-delà du 17 octobre, le Trésor a prévenu qu'il serait totalement incapable d'emprunter, et que ses ressources seraient limitées à une trésorerie d'environ 30 milliards de dollars et aux rentrées fiscales subséquentes. La mise en congés sans solde d'office de centaines de milliers de fonctionnaires a grippé les opérations de l'Etat. Dernière "victime" en date, la signature d'un accord entre la France et les Etats-Unis sur la lutte contre l'évasion fiscale, reportée selon le ministre français de l'Economie Pierre Moscovici. Si aucun accord n'est trouvé, les tribunaux fédéraux, jusqu'ici épargnés, vont à leur tour fermer leurs portes à la fin de la semaine prochaine, a en outre prévenu l'administration. De son côté, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a jugé jeudi inimaginable qu'un accord budgétaire ne soit pas trouvé, et mis en garde contre " de graves dommages à l'économie américaine et mondiale" si la crise se prolongeait. | |
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