La France de M. Hollande

Rappel du premier message :

Zora232 a écrit:

...çui là c'est les croqueuses de diams et les bébés qu'il croque , les copines à VGE en savent q'q'choses..  

Ô temps chéri, jamais tu ne reviendras....   
Très belle vidéo, au demeurant !

(Tu as égaré la vidéo de Léopold II ?)

Cher Eddie,

Tu te rends compte 180.000 CFA par jour

901 -

kalawasa a écrit:

Eddie a écrit:

Y seraient pas un peu éloignés des réalités quotidiennes d'ici les journaleux du JDD?

Bonjour cher Eddie . De retour de l'estive ?

Ceci dit, je vous trouve dur avec le JDD .  Comment voulez-vous qu'un journaleux du dimanche connaisse les réalités quotidiennes des 6 autres jours ?

N'entendrait-il donc pas la sourde clameur les prières qui montent depuis le peuple des gens
qui se lèvent tôt les jours ouvrables ?

Il est vrai que le dimanche l'on a l'esprit en repos.
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Bonjour Cher Kalawasa.

L'estive ce sera le mois prochain.

Merci Monsieur Bouvard, brillant comme toujours !



C'est la désolante saga d'un fromage d'abord appelé Hollande et fabriqué avec la crème des grandes écoles puis rebaptisé Président avant de se liquéfier peu à peu, en dépit de sa graisse personnelle, jusqu'à s'identifier au yaourt à 0%.

Le refus de prendre ses distances avec la crèmerie sous prétexte qu'un bail, récusé aujourd’hui  par presque tous les signataires, lui assure encore deux ans et demi de pas-de porte, semble avoir fait définitivement tourner le bon lait de la tendresse électorale.

L’amour pour ma patrie étant plus fort que l'amour-propre, j'en arrive à regretter d'avoir, dès le début de l’année de disgrâce 2012 et en basculant déjà dans l'opposition, tout prévu des malheurs qui allaient fondre sur nous.
A savoir l’incompétence gouvernementale d'un cacique de province propulsé directement de la direction du département le plus endetté du pays à la tête de la cinquième puissance mondiale. Une incapacité à rallumer les fours de la croissance, beaucoup plus angoissante que celle d'un réparateur de chaudière connaissant mal son métier.

L’entêtement idéologique, le défaut de pragmatisme et le manque de charisme ont abouti à ce que, élu voilà trente mois avec 52% des voix, Hollande ne disposerait même pas aujourd'hui d'une majorité au conseil municipal de Tulle.

Certains remarqueront qu'on ne doit pas plus apprendre l'arithmétique que l'orthographe à l’ENA. D'autres dresseront la liste des bons sentiments tombés en quenouille, des promesses non tenues parce qu'intenables et des formules pompeuses vidées de leur sens par les réalités. Emplois d'avenir devenus jobs sans lendemain. Soi-disant pactes impliquant l'accord de tous mais rejetés la semaine suivant leur annonce. Suppression des impôts mais pour ceux qui n'auraient jamais dû en payer.

Le pouvoir devient une impasse lorsque le peuple descend dans la rue. La mosaïque formée par les déçus, mécontents, protestataires qui recouvre toutes les régions, toutes les générations, toutes les professions.

Les policiers se suicident.  
Les paysans sont désespérés.
Les médecins ferment leurs cabinets.
Les avocats retirent leur robe.
Les huissiers sont tous saisis.
Pour la première fois, les enseignants, les parents et les enfants éprouvent le même ras-le bol.

Les mensonges d'Etat s'érigent en système de communication. Le remplacement des 16  "  Moi Président  ", qui ont fait, paraît-il, la victoire contre le seul " sans-dents " qui consomme la défaite.

Les braves gens ne comprennent pas qu'on puisse terminer un quinquennat alors qu'ils n'ont pas de quoi finir le mois.

Un endettement galopant dont on n'ose même plus préciser le montant.

Un va-t-en-guerre menaçant  de ses canons un tyran syrien mais ne réussissant à faire fuir que vers Bruxelles ou vers Londres les riches de son propre pays.

Sans oublier le summum de l’irresponsabilité : la fausse  nouvelle de la libération - jamais intervenue à la suite de tractations jamais amorcées - des 250 jeunes filles nigérianes mariées de force à leurs ravisseurs.

Et que dire l’image véhiculée par des médias moins friands de séductions que de ridicules ? Un personnage mal fagoté, affublé  par son tailleur, déguisé par son chemisier, abandonné par ses  amis, décrié par ses femmes, mal entouré, mal conseillé, mal dans une peau tavelée par les coups reçus de toutes parts.

Une vie privée vaudevillesque jalonnée par l'octroi d'un ministère plutôt que d’un pacs à la mère de ses quatre enfants, poursuivie par la répudiation publique en dix-huit mots d’une femme aimée pendant sept ans et achevée par l'édition d'un livre de secrets d'alcôve griffonnés au saut du lit.

Pour l'heure, les appartements, désormais moins privés, de l'Elysée verraient débarquer chaque soir et repartir chaque matin, une comédienne dont il faudrait vérifier que les horaires tardifs et la régularité des prestations n'enfreignent pas la législation du travail de nuit.
Non seulement, je n'envie pas sa place mais je le plains de s’y accrocher, car je n’ose imaginer cette marionnette pathétique ne tenant plus qu'à un fil, errant dans le triste palais-bureau déserté par les courtisans, lorsqu'une secrétaire embarrassée prétend que par suite d'une grève de la distribution affectant seulement le 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, les odieux quotidiens et les méchants magazines ne sont pas arrivés.

" Le pauvre homme  ", comme disait Orgon dans Tartuffe. Un père de la Nation en l’honneur duquel les enfants n'agitent plus de petits drapeaux qu'à Bamako et qui ne peut plus parcourir l'Hexagone sans se faire huer.
A Hollande qui lui faisait remarquer, en le décorant pour six mois de cohabitation, qu'on pouvait réussir sa vie sans devenir président de la République, Valls aurait eu beau jeu de rétorquer qu'on peut tout rater en le devenant.

Plus besoin de posséder la science des conjectures pour prévoir la catastrophe.

Elle est déjà là.


 

Lawrence a écrit:

Les policiers se suicident.  
Les paysans sont désespérés.
Les médecins ferment leurs cabinets.
Les avocats retirent leur robe.
Les huissiers sont tous saisis.
Pour la première fois, les enseignants, les parents et les enfants éprouvent le même ras-le bol.

Purée mais il etait où, Bouvard, depuis 30 ans ?
Il decouvre ?
Avec mention speciale au "pour la premiere fois". Tartuffe toi-meme, vieil homme !


Comme si le pôvre Hollande avait les moyens, les epaules ou les competences pour peser sur quoi que ce soit.
Non, comme tous les socialistes, il herite et il parade en attendant le prochain nuisible.


Mab -marre des quons-

kalawasa a écrit:

Lawrence a écrit:

Merci Monsieur Bouvard, brillant comme toujours

Salut Lawrence,
                         Bien que cette lettre soit reconnue comme un hoax , on ne peut qu'applaudir des deux mains l'auteur de cet article !

Un grand lâche qui use d'un autre nom pour se repandre ?


Mab -mais oui, mais oui, parfois les quons ont raison-

kalawasa a écrit:

Mab a écrit:

Un grand lâche qui use d'un autre nom pour se repandre ?

Que voulez-vous, Mab : ça grenouille de lâches dans la politique...

Il me semble que ça se mange, les grenouilles ?


Mab, nettoyons utile

Mais quelle peuplade !

Ça mange des langues de rossignol, des pattes de grenouille, des escargots, des tripes, des foies de volailles malades, des langues de chat, des têtes de veau, des ortolans entiers...
À quelles mœurs la disette peut mener un peuple !

Pas à dire, je l'ai échappé belle lors de ma récente expédition dans le Sud Ouest !

Tu as echappé à la cervelle panée par politesse.
Mais n'insiste pas trop quand meme, j'ai juste ce qu'il faut de blonditude pour opportunement oublier mon elevage.


Mab -et les rognons ? Tu aimes ?-

Mara-des-bois a écrit:

Tu as echappé à la cervelle panée par politesse.
Mais n'insiste pas trop quand meme, j'ai juste ce qu'il faut de blonditude pour opportunement oublier mon elevage.
Mab -et les rognons ? Tu aimes ?-

Par je l'ai échappé belle, j'imaginais que j'aurais pu finir nappé d'une sauce à l'ail, même si tout le monde sait que du biloulou c'est immangeable...
Quoi, vous mangez de la cervelle de fœtus ? Je ne suis pas au bout des mes douloureuses surprises  

Des rognons ? Pour être franc, c'est comme les moules : par politesse j'en mangerais, mais ça ne contribue pas à mon bonheur...

Grèce-Iran : Hollande et Fabius maîtres du monde ! et modestes avec ça

Le président et son ministre des Affaires étrangères triomphent sans modestie excessive et s'attribuent un rôle aussi flatteur que disproportionné.
Par Pierre Beylau Le Point

Oyez, oyez bonnes gens ! Désormais, le soleil ne se couche plus sur l'empire de François Le Grand et de son ministre Laurent le magnifique. Le monde est à leurs pieds, l'univers entier, subjugué, par tant de génie, leur rend une grâce justifiée. Le premier a sauvé l'Europe et la Grèce, le second est quasiment le deus ex machina de l'accord sur le nucléaire iranien.

Les gazettes, dûment informées par les intéressés eux-mêmes ou leurs proches (on n'est jamais mieux servi que par soi-même), relaient à satiété le message laudateur. Les hérauts embouchent les trompettes de victoire. Les thuriféraires agitent frénétiquement les encensoirs, les troubadours entonnent leurs odes flatteuses. Barack Obama, Angela Merkel sont relégués dans les coulisses de la grande histoire. Ils sont devenus des personnages de second plan, presque des marionnettes dans la prodigieuse scénographie hollandaise.

La vérité est, comme toujours, un peu plus triviale. Une once de modestie devrait s'imposer de toute urgence même si ni François Hollande ni Laurent Fabius n'ont démérité sur les dossiers grec et iranien. Le président français a eu l'immense mérite de contribuer à faire avaler à Alexis Tsipras la potion allemande qui paraissait bien amère au Premier ministre grec élu sur un programme gauchiste échevelé et irresponsable. Au prix, certes, de quelques aménagements qui font maugréer Wolfgang Schäuble, le vieux grognard de la CDU, défenseur acharné du contribuable d'outre-Rhin et chantre d'une Europe fédérale à armature franco-allemande. Mais finalement, c'est Tsipras qui a plié face aux injonctions de l'Allemagne et de l'Europe du Nord. Pas l'inverse. Dans ce psychodrame, Hollande a excellemment joué son rôle de « good cop », le gentil flic compréhensif cher aux feuilletons américains.

En revanche, dans le marchandage nucléaire iranien, Fabius s'est, a contrario, attribué la posture de « bad cop », le méchant qui fait monter les enchères. Il s'agissait, bien sûr, de s'assurer que l'accord soit « robuste » comme le répète l'excellent Laurent. Mais il fallait surtout montrer clairement à nos amis saoudiens que la France n'était pas en train de changer de cheval et demeurait fidèle à son alliance avec le monde sunnite, génératrice, entre autres, de fructueux contrats.

Un accord en demi-teinte

En fait, les Français savaient pertinemment que Barack Obama voulait coûte que coûte parvenir à un accord avec Téhéran. Ils ne pouvaient agir qu'à la marge, car, comme dans toute négociation, tout est en demi-teinte. Le verre est à moitié vide et à moitié plein. D'un côté, l'Iran donne le feu vert à des contrôles élargis de l'Agence pour l'énergie atomique (AIEA), accepte une révision à la baisse de son stock d'uranium enrichi, une limitation de l'enrichissement (moins de 4 %) à un taux insuffisant pour fabriquer une bombe atomique. L'idée est de retarder l'échéance, de gagner du temps – en principe dix ans – en espérant que l'Iran sera redevenu véritablement fréquentable.

Car Téhéran conserve 6 000 centrifugeuses et sera autorisé à reprendre ses travaux de recherche et développement sur des machines IR-6 et IR-8 beaucoup plus performantes. Naguère encore, les « cinq +un » (États-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France plus l'Allemagne) qui négocient avec Téhéran juraient qu'il n'était pas question d'autoriser Téhéran à conserver une capacité d'enrichissement autre que symbolique… Visiblement – nécessité géopolitique oblige –, l'objectif a été révisé à la baisse. Barack Obama a une approche stratégique : réinsérer l'Iran dans le concert des nations pour juguler le chaos proche-oriental. Face à cette volonté, les autres acteurs ne pesaient pas bien lourd.

Je viens d'entendre des commentaires très intéressants concernant les manifs des éleveurs . Si je dis très intéressants, vous vous doutez bien qu'ils n'émanent pas de journaleux parisiens ou de politicards, mais d'un homme de terrain , spécialiste du marché de la viande dans les pays de l'est, notamment la Russie .

Si des milliers d'exploitation agricoles sont en train de crever, c'est à cause de l'embargo russe sur les produits européens  (la Chine nous dit merci ! ), embargo décrété suite à l'embargo français sur les vedettes Mistral (perdant...) . Les livraisons de viande française représentaient env. 70 000 tonnes/an.

On veut nous faire croire que le porc allemand et polonais, également victime de l'embargo russe, arrive massivement en France et fait chuter les cours . D'après ce spécialiste, c'est absolument faux , car, en douce, allemands et polonais continuent d'approvisionner le marché russe !

Une fois de plus , not' Mou, ses énarques et son ministre de l'agriculture qui y connait peut-être moins que vous et moi et qui méprise les paysans , vont laisser  crever des milliers de français "souchiens", au nom d'un dogmatisme idéologique crétin !
Et vous voudriez que je sorte le drapeau tricolore le 14 Juillet ?


PS : Je suis de tout cœur avec les éleveurs, ainsi qu'avec les milliers de touristes malheureusement bloqués devant le Mont Saint-Michel ou les Grottes de Lascaux...

Toujours d'après ce connaisseur du marché de la viande, les russes regrettent la viande française , nettement supérieure à la qualité allemande .

Moi chuis pas avec les touristes.
Jamais.


Mab, fourche jamais loin

Vous avez dit "bizarre" la folle "LE FOLL" se réveille !!!!!!

Pas un seul entrepreneur au gouvernement…
(Les 4V - 22 JUILLET 2015 par Charles Vernerey)





Une enquête récente révélait que l’avant-dernier gouvernement, président compris, totalisait 531 années d’activité, dont seulement 3 années en entreprise, Bernard Cazeneuve étant le seul ministre à avoir passé 3 ans dans une entreprise (une banque, en l’occurrence)…

Ce n’est évidemment pas mieux avec l’actuel gouvernement.

Nous sommes depuis des décennies gouvernés par des gens issus du droit.

Il n’y a pas pire que ces gens-là : ils ne sont bons qu’à rédiger des lois et des décrets de loi incompréhensibles, tous plus inapplicables et inappliqués les uns que les autres.

Pour preuve : j’ai sous les yeux un bulletin de salaire d’un simple ouvrier, sur lequel je compte 44 rubriques, 36 bases, 12 taux salariaux, 29 taux patronaux !

Pour chaque salarié, et suivant son activité dans l’entreprise (déplacements, paniers, heures supplémentaires), les taxes et les taux sont différents.

Les taux peuvent changer et des rubriques être ajoutées ou supprimées plusieurs fois dans l’année. Faire la paie d’un ouvrier sans passer par un comptable est devenu mission impossible. Même les comptables s’y perdent, d’ailleurs. Et, en cas de contrôle, vous êtes certain d’avoir une amende.

Tout citoyen français est obligatoirement en infraction avec au moins une loi.

Autre preuve : la réglementation sur les vide-greniers stipule que les citoyens non inscrits au registre du commerce sont autorisés à vendre uniquement deux fois par an des objets personnels et usagés.

Que dire donc de ces souks installés 24 heures sur 24 sur la voie publique dans toutes les villes de France, dans lesquels il est possible d’acheter toutes sortes de produits, de la petite culotte à la mitrailleuse lourde, en passant par la drogue, les voitures volées vendues en pièces détachées et les cigarettes de contrebande…
Croyez-vous que nos législateurs jetteraient un œil par la fenêtre pour regarder ce qui se passe dans la rue ? Pas du tout ! Ils continuent à empiler bêtement les lois les unes par-dessus les autres comme si elles servaient à quelque chose.

Leur seul objectif, c’est leur réélection. Le reste ; ils s’en foutent… Les candidats de tous les partis politiques ont tous une formation de droit, énarques, avocats, professeurs, beaux parleurs, menteurs, comédiens, capables, dans un même discours, de vous affirmer tout et son contraire.

Pas un seul chef d’entreprise, pas un seul économiste parmi les candidats.

Les élections, c’est un peu comme si, au moment du départ d’un navire, on demandait aux passagers qui serait candidat pour prendre le commandement du bateau et choisir le capitaine, non pour ses connaissances en navigation, mais sur la couleur de ses caleçons !

Nous sommes embarqués sur ce bateau à la dérive et le naufrage est inéluctable.

Crise des éleveurs : Valls lance à un appel à la "responsabilité"
S'adressant aux "abatteurs et aux industriels", le Premier ministre juge "essentiel que les prix augmentent dans la filière du boeuf".
AFP
Publié le 23/07/2015 à 08:59 | Le Point.fr

Manuel Valls a jugé jeudi « essentiel que les prix augmentent dans la filière du boeuf », lançant un appel à la « responsabilité », notamment « aux abatteurs et aux industriels », au lendemain de la présentation du plan gouvernemental d'urgence pour l'élevage. « Il faut, et c'est un appel que je lance de nouveau, c'est essentiel, que les prix augmentent dans les filières du boeuf. Que chacun prenne ses responsabilités, notamment les abatteurs et les industriels », a déclaré sur RTL le Premier ministre.

C'est le sens du rapport qui a été remis mercredi à Stéphane Le Foll par le médiateur des relations commerciales agricoles. On y lit notamment que les abatteurs ont interprété a minima l'accord de revalorisation des prix de la viande bovine et que la grande distribution, si elle a respecté l'accord, aurait pu se montrer plus dynamique. Manuel Valls a également annoncé que le gouvernement avait « décidé de généraliser dans les restaurations collectives d'État l'approvisionnement local. » Il a ajouté que « le service des achats de l'État va renégocier tous les contrats d'approvisionnement, car il faut consommer de la viande française » et il a appelé les collectivités locales à en faire de même.

Concernant les barrages des agriculteurs toujours maintenus comme à l'entrée de Lyon, le Premier ministre a espéré qu'ils puissent être levés. « La colère ne permet pas tout » a estimé Manuel Valls, « il ne faut pas pénaliser le pays, les gens qui partent en vacances, notre économie », même s'il a dit comprendre « la détresse et le désespoir » des éleveurs. Enfin, le Premier ministre a de nouveau apporté tout son soutien au ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, sous le feu des critiques de l'opposition ces derniers jours. « Il a réuni l'ensemble des filières en crise pour permettre une augmentation des prix », a salué Manuel Valls. C'est un homme qui « connaît parfaitement ses dossiers » et ne compte pas ses déplacements sur le terrain.

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« La colère ne permet pas tout » a estimé Manuel Valls, « il ne faut pas pénaliser le pays, les gens qui partent en vacances, notre économie »[/b

je ne suis pas certaine que c'était vraiment le truc à dire

à votre avis, qui va trinquer à la sortie de tout ça ??? ............. le consommateur

je vais me faire végétarienne ......quoique vu les prix des légumes, je vais peut être me tourner vers des gélules

« La colère ne permet pas tout » a estimé Manuel Valls,

Il est toujours en train d'hurler comme un putois

kalawasa a écrit:

Valls lance à un appel à la "responsabilité

Ah, enfin, la v'là la phrase vide , creuse , nulle , passe-partout , cache-misère  , déblatérée par un politicard arriviste faussement volontariste ,et qui risque de devenir PR !

que chacun prenne ses responsabilité, il ne faut pas perturber les vacances du petit prince de sa majesté

Charly a écrit:

......on appele cela l hospitalité parceque que déclin y a

longtemps que les belges disent ça des français