Le Boudoir

Rappel du premier message :

Ici, vous n'etes plus des Super Heros mais des Super Heroines...




Mab

174 -

Est-ce que cela fonctionne ?

Oui oui, ça fonctionne très bien, et pas que pour la blonde !

176 -

Depuis le temps que je n'avais plus garé de dossiers pps ici j'avais perdu la clef pour les ouvrir sur LP.

Chez moi il suffit de cliquer dessus, mais ça dépend peut-être des fureteurs.

En étant connecté au site, bien sûr !

Eddie a écrit:

Est-ce que cela fonctionne ?

Paaaarfaitement.
Merci beaucoup Eddie




Mab

Ca m'arrive... d'où ma consommation démesurée de Lavazza puro arabica !

 D'accord, Mesdames de LP ?

kalawasa a écrit:

D'accord, Mesdames de LP ?

Je ne suis pas qualifié pour donner mon accord, mais ça me paraît tellement vrai...

mais bien entendu kalawasa

kalawasa a écrit:

Marieden a écrit:

mais bien entendu kalawasa

Ch'suis un peu déçu, mais je m'y attendais quand même....    Pour nous les hommes, l'amour prime ....D'accord, Messieurs de LP ?

Absolument, que Saint Georges me vienne en aide si je mens !

kalawasa, hypercalorique, a écrit:

D'accord, Mesdames de LP ?

Voui.
Encore que je m'en tape pas mal, mais il peut m'arriver de me reconnaitre dans celle qui suce avec moderation une feuille de salade en pensant à l'elasticite du porte-jaretelle.


Mab - l'ai-je bien repondu ? -

Biloulou a écrit:

Absolument, que Saint Georges me vienne en aide si je mens !

Taratatouille, vous les hommes, on sait bien ce qui tient chez vous de la bonne nouvelle !




Mab, à qui on ne la fait pas

Non, madame, pour qui me prenez-vous ? Un vulgaire trousseur de salle de bain ? Je suis un technophile, moi, madame !
(J'en connais deux qui vont être aux anges!)

 Mab, je veux l'adresse de ce plombier ! C'est absolument génial !

190 -

Biloulou In Vino Veritas a écrit:

USB Wine
Non, madame, pour qui me prenez-vous ? Un vulgaire trousseur de salle de bain ? Je suis un technophile, moi, madame !
(J'en connais deux qui vont être aux anges!)

Super les autoroutes électroniques du pinard !

Je ne sais pourquoi mais une chanson des temps anciens se rappelle à mon souvenir :



O Lord qu'elle est attractive cette Andrea Corr, je me damnerais corps et âme pour elle, sa sensualité
me donne des frissons sur tout mon être, comme le bon vin, elle a du corps, je chausserai mes éperons
d'argent pour la grande chevauchée et la ferai tinter.

Alors Mab  : qu'est-ce qu'on répond ?

L'alcool est à consommer avec modération, surtout quand on prend la route, et d'autant plus quand on est membre d'un gouvernement. La vice-ministre de la Justice polonaise a été limogée, vendredi 23 octobre, après avoir été interpellée en état d'ébriété au volant d'une voiture.

Des législatives dimanche prochain
Monika Zbrojewska a été arrêtée à Lodz, dans le centre de la Pologne, à la suite d'un appel téléphonique à la police d'un conducteur inquiet de manœuvres inhabituelles effectuées par la voiture qui roulait devant lui, a rapporté l'agence de presse polonaise PAP. Selon la police, la conductrice avait2 grammes d'alcool par litre de sang et se comportait de manière agressive, ce qui a entraîné son interpellation.

kalawasa a écrit:

Marieden a écrit:

mais bien entendu kalawasa

Ch'suis un peu déçu, mais je m'y attendais quand même....    Pour nous les hommes, l'amour prime ....D'accord, Messieurs de LP ?

...on a beau dire , on a beau écrire , dites moi c ´ est quoi l' Amour ?

193 -

Ben oui, il n'y a pas que les Polonais qui ont le privilège de rouler bourrés, les Polonaises aussi. Et en musique avé les écouteurs sur les oreilles pour écouter les chopines de Chopin.

194 -

Zora232 a écrit:

(...)

...on a beau dire , on a beau écrire  , dites moi c ´ est quoi l' Amour ?

Soulevez le clapet magique pour découvrir la réponse :

C'est ça l'amour:

EddieCochran a écrit:

194 -

Zora232 a écrit:

(...)

...on a beau dire , on a beau écrire  , dites moi c ´ est quoi l' Amour ?

Soulevez le clapet magique pour découvrir la réponse :

C'est ça l'amour:

C'est merveilleux Eddie mais ils ne pourront jamais faire l'amour

196 -

Zora232 a écrit:

EddieCochran a écrit:

194 -

Zora232 a écrit:

(...)

...on a beau dire , on a beau écrire  , dites moi c ´ est quoi l' Amour ?

Soulevez le clapet magique pour découvrir la réponse :

C'est ça l'amour:

C'est merveilleux Eddie mais ils ne pourront jamais faire l'amour

Voyons, une chatte c'est une chatte, non ? Ce genre de truc sait parfois se comporter comme une chienne !

Zora232 a écrit:

EddieCochran a écrit:

194 -

Zora232 a écrit:

(...)

...on a beau dire , on a beau écrire  , dites moi c ´ est quoi l' Amour ?

Soulevez le clapet magique pour découvrir la réponse :

C'est ça l'amour:

C'est merveilleux Eddie mais ils ne pourront jamais faire l'amour

Et que crois-tu qu'ils font, Zora ? Cela amène à se poser la question : y a-t-il quelque chose de commun entre Amour et Copulation ?

198 -

En cherchant un journal pour empaqueter la litière du chat je tombe sur un exemplaire de Nice-Catin du
mois de mai de cet année dont le supplément santé sur la même page que les APLAA (agacements de
la prostate liés à l'âge) traite des questions esistentielles qui accablent les femmes avé les mâles au lit.

Un constat sans appel

>SOURCE<


http://www.nicematin.com/sante/40-ans-apres-la-chanson-les-femmes-semmerdent-elles-toujours-au-lit.2201398.html


"Voilà un livre qui va faire couler beaucoup d'encre. La thèse? Les femmes
s'emmerdent au lit! Comment ça, quarante ans après le mouvement de libération des femmes et alors
que ne pas avoir un sextoy dans son sac vous fait passer pour la dernière des ringardes?!

En avant-première de la sortie, rencontre avec Sonia Feertchak, écrivain, auteur de ce livre aussi
décapant que salutaire.

Qu'est-ce qui vous permet de dire que les femmes s'ennuient au lit?

Tout d'abord, ma propre expérience. Longtemps, je me suis emmerdée au lit et le jour où cela n'a plus
été le cas, j'ai essayé de comprendre pourquoi.

Cette recherche a demandé de nombreuses années d'enquête.

Alors, d'où vient cet ennui?

Pour le comprendre, il faut remonter dans le temps. Jusque dans les années soixante-dix, le désir
masculin était tout-puissant. Quand un homme désirait une femme, c'était de la faute de cette dernière.

Avec le mouvement de libération, cette culpabilité des femmes a disparu, mais elle est revenue très vite,
au motif qu'être désirée les mettait dans une position d'objet.

Elles se sont alors interdit d'être coquettes, se sont inquiétées de trop plaire, ayant l'impression de trahir
celles qui avaient lutté pour les libérer de cette position avilissante.

On ne peut nier que la vie sexuelle des femmes a évolué…

Bien sûr, et c'est à mettre au crédit du combat féministe. Leur plaisir physique a été déculpabilisé.

La masturbation, qui leur permet de mieux connaître leur corps, n'est désormais plus taboue. Sauf que
l'orgasme n'empêche pas l'ennui…

Qu'entendez-vous par là?

Le plaisir sexuel a deux composantes: le plaisir physique, relativement facile à convoquer, et le plaisir
psychique, qui relève de la circulation d'un désir réciproque. C'est lui qui n'est plus au rendez-vous.

Pour ne pas s'ennuyer au lit, nous devons sentir, au moment de la rencontre sexuelle, une énergie qui
nous pousse l'un vers l'autre, un regard qui nous valide en tant que femme, en tant qu'homme.

Jamais aucun objet ne nous procurera cette sensation, et bon nombre d'actes sexuels ennuyeux non plus…

Pourquoi cette magie n'a-t-elle pas lieu?

Parce que les hommes n'osent plus affirmer leur désir, craignant qu'il soit assimilé à une tentative
de domination.

Beaucoup ont eu des mères féministes qui les ont élevés dans l'idée qu'il fallait être très précautionneux
avec les femmes, se soucier de leur plaisir, à tel point qu'ils ont fini parfois par négliger le leur! N'oublions
pas qu'eux aussi s'emmerdent au lit…

Comment en sommes-nous arrivés là?

Autrefois, le désir masculin s'exprimait souvent brutalement, aussi en a-t-on conclu un peu vite qu'il était
persona non grata. Mais il ne faut pas se tromper d'ennemi: c'était cette toute-puissance qui était
condamnable, pas le désir lui-même!

Quant aux femmes, craignant d'être ravalées au rang d'objets, elles sont restées sur leurs gardes, ce qui
empêche l'abandon nécessaire dans l'acte sexuel.

Et le règne de la pornographie n'aide pas, écrivez-vous…

Elle est effectivement venue en rajouter car, dans ces films, la femme est vraiment avilie, chosifiée,
souvent contrainte…

Ce modèle effraie les femmes mais aussi un grand nombre d'hommes, qui en arrivent à confondre
la force de leur désir avec la violence, confusion qui les empêche d'affirmer une certaine virilité.

Aïe, «virilité», vous lâchez le mot qui fâche!

Et oui, j'ose ! La notion de virilité est aujourd'hui très dévalorisée. Mais de quoi parlons-nous ?
Autrefois, ce mot renvoyait à une fonction sociale : l'homme devait protection et assistance à la femme.
Aujourd'hui, où elle est autonome, on pourrait penser cette notion désuète…

Et ce n'est pas le cas?

Sur le plan social oui, mais pas au lit. Nous pourrons faire toutes les révolutions du monde, nous ne
changerons pas cet état de fait: pour faire l'amour, d'un strict point de vue physiologique, la femme
doit accepter d'être pénétrée, l'homme doit la pénétrer.

La rencontre sexuelle ayant lieu à l'intérieur de notre corps, elle nous met en situation de vulnérabilité.
C'est vrai, à ce moment-là, une partie de nous est un peu objet…

Ne craigniez-vous pas de vous mettre les féministes à dos?

Franchement, elles auraient tort. Je suis totalement d'accord pour qu'aucune domination ne soit
exercée sur les femmes, comme sur les hommes.

Je veux juste souligner que ce concept d'égalité, que je défends dans tous les autres domaines de la vie,
n'est plus pertinent dès que l'on franchit le seuil de la chambre à coucher.

C'est d'ailleurs le combat féministe qui nous permet d'accéder à cette jouissance recherchée, en sachant
que nous ne sommes « objets » que lorsque nous le décidons nous-mêmes!

Ce n'était pas le cas des femmes d'autrefois, qui n'étaient des sujets ni au lit, ni dans la vie. J'ajoute
qu'accueillir une certaine violence du désir n'exclut pas le respect, bien au contraire, il est même
indispensable pour se laisser aller.

Comment sortir de cet ennui?(That's the question ! Ndlr)

En distinguant notre moi social de notre moi érotique, en faisant de cette position de dominant/ dominé
un jeu aux rôles jamais fixés une fois pour toutes. Par moments, c'est l'homme qui peut avoir envie
d'être plus passif, et pourquoi pas?

Mais acceptons ce simulacre de soumission, qui nous laisse toujours sur le fil du rasoir, en sachant bien
évidemment que la vraie violence ne sera jamais de la partie.

Enfin, nous culpabiliserions beaucoup moins si nous faisions de nos ébats sexuels une affaire strictement
privée : ce qui se passe sous la couette ne regarde que nous!

Les femmes s'emmerdent au lit - Le désir à l'épreuve du féminisme et de la pornographie.
Sonia Feertchak. Éditions Albin Michel (paru le 7 mai), 200 pages, 15 €.

«L'orgasme n'empêche pas l'ennui»

Sonia Feertchak, écrivain.""

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C'est vraiment ennuyeux tout ça, mais je ne peux pas être partout, désolé.