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"Découverte d'un "chaînon manquant" du VIH chez le chimpanzé"
Des chercheurs pensent avoir trouvé un "chaînon manquant" dans l'évolution du VIH, le virus du SIDA: il s'agit d'un germe infectieux très proche, qui entraîne une forte mortalité chez les chimpanzés contaminés vivant dans la nature, selon une étude publiée jeudi dans la revue "Nature".
Les chercheurs ont étudié pendant neuf ans des chimpanzés dans leur habitat naturel au parc national de Gombe, en Tanzanie. Ils ont découvert que les sujets infectés par le VIS avaient un taux de mortalité 10 à 16 fois plus élevé que ceux non infectés. Les singes infectés décédés présentaient des concentrations inhabituellement basses de protéines de lymphocytes T, comparables aux niveaux observés chez les humains atteints par le SIDA, a précisé Mme Hahn dans un entretien téléphonique.
Lorsque les chercheurs ont examiné le VIS, ils ont découvert qu'il présentait un lien de parenté proche avec le VIH. "Du point de vue de l'évolution et de l'épidémiologie, ces données peuvent être considérées comme un 'chaînon manquant' dans l'histoire de la pandémie de VIH", estime le Dr Daniel Douek, un expert de l'Institut national américain d'allergie et des maladies infectieuses, qui n'a pas participé à l'étude.
Les différentes espèces de singes, à l'exception des chimpanzés, semblent survivre au virus en raison d'une forme d'adaptation, probablement au niveau des récepteurs des cellules, précise le Dr Douek dans un courriel. L'infection des chimpanzés est plus récente, et ils n'auraient ainsi pas eu le temps de s'adapter.
Selon Mme Hahn, les chimpanzés et les humains ont probablement contracté le virus de la même manière, en mangeant des singes contaminés. Et ils l'ont propagé de la même manière, par les relations sexuelles.
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Sujet: Cancer du sein - du neuf . 21/4/2012, 14:52
Citation :
Cancer du sein : pas une, mais dix maladies différentes Par damien Mascret - le 19/04/2012 Identifiées par des chercheurs de Cambridge, ces formes nécessitent chacune un traitement particulier. «C'est un travail incroyable. Les chercheurs regardent vraiment le fonctionnement de gènes dans les cellules cancéreuses. Conceptuellement, c'est comme si on passait de l'escalier à l'ascenseur!», explique le Dr Mahasti Saghatchian, spécialiste de la recherche génomique du cancer du sein à l'Institut Gustave-Roussy (Villejuif). Les travaux en question ont été publiés le 18 avril dans l'édition en ligne de la revue internationale Nature. De fait, en identifiant les signatures de gènes capables de mieux prédire l'évolution d'un cancer, des chercheurs de l'université de Cambridge associés à des chercheurs canadiens pourraient bien avoir découvert la «pierre de Rosette» des cancers du sein. Pour effectuer cette percée, les chercheurs ont analysé de façon approfondie 997 prélèvements obtenus sur des femmes touchées par la maladie puis ont vérifié leurs prédictions sur 995 autres tumeurs. «Ils ont utilisé les informations provenant de l'ADN, de l'ARN et les ont couplées avec des techniques informatiques de pointe», explique le Dr Saghatchian. «Là où on regardait la cellule cancéreuse en deux dimensions (présence de récepteurs hormonaux ou non, analyse de 70 gènes), ils la voient en 3D.» Même enthousiasme de son collègue de l'Institut Gustave-Roussy, le Dr Fabrice André, qui dirige l'équipe Inserm chargée d'identifier les prédicteurs moléculaires et de nouvelles cibles thérapeutiques: «Cette étude est extrêmement importante dans la mesure où elle montre que le cancer du sein correspond en fait à un nombre important de maladies définies au niveau moléculaire. Certaines de ces maladies moléculaires sont très rares et pourraient ne concerner que moins de 5 % des cancers du sein.» Nouvelles stratégies thérapeutiques Au lieu de se limiter à deux ou trois catégories de cancer du sein comme c'est généralement le cas, le Dr Carlos Caldas et ses collègues ont en effet séparé les cancers du sein en dix catégories. Cette avancée ne se limite pas à prévoir l'évolution de la maladie, ce qui pourrait déjà permettre d'éviter de «surtraiter» des tumeurs dont le pronostic est favorable. Elle permettrait aussi de mieux choisir le traitement. Pour le Dr André, ce travail et d'autres soulèvent une question cruciale: «Comment montrer l'efficacité de médicaments ciblés qui pourraient n'être très efficaces que dans 1 à 5 % de cancers du sein (ceux présentant l'anomalie ciblée). C'est à cette question qu'essaient de répondre deux essais thérapeutiques en France, Safir et Moscato, qui évaluent l'apport des analyses complètes du génome pour identifier le médicament utile à chaque patiente.» Cette étude ne serait donc pas seulement importante sur le plan biologique, mais elle ouvre surtout la porte au développement de nouvelles stratégies thérapeutiques en fonction des sous-groupes. À chaque profil de cancer son traitement.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
La mise sur le marché du premier traitement préventif contre le sida a été recommandée aux États-Unis, malgré les craintes qu'il n'entraîne des comportements sexuels plus risqués.
Un comité d'experts a recommandé jeudi à l'Agence américaine des médicaments (FDA) la mise sur le marché du Truvada, premier traitement préventif contre le sida, malgré les craintes de certaines associations qu'il n'entraîne des comportements sexuels plus risqués. La FDA n'est pas tenue de suivre les recommandations de ce comité, mais elle les entérine le plus souvent. Sa décision interviendra d'ici au 15 juin, a précisé un porte-parole.
Par une large majorité, les 22 experts se sont prononcés en faveur de la commercialisation du Truvada produit par le laboratoire américain Gilead Sciences. Le vote comprenait trois sous-questions. Par 19 voix contre 3, les experts ont ainsi recommandé d'autoriser le traitement préventif pour les hommes homosexuels séronégatifs. Par 19 voix contre 2 et une abstention, pour la vente du Truvada aux couples hétérosexuels dont l'un des partenaires est séropositif. Enfin, par 12 voix contre 8 et 2 abstentions, ils se sont prononcés pour la commercialisation aux "autres individus risquant d'être infectés en raison de leurs activités sexuelles". Ces votes sont intervenus à l'issue d'une longue journée de présentations et de délibérations.
Le Truvada, une combinaison de deux antirétroviraux, est déjà prescrit pour des personnes infectées par le VIH, le virus de l'immunodéficience humaine responsable du sida. Son coût varie de 12 000 à 14 000 dollars par an. L'efficacité préventive du Truvada a été mise en évidence par les résultats d'un vaste essai clinique mené de juillet 2007 à décembre 2009 dans six pays, dont le Brésil, l'Afrique du Sud et les États-Unis, et financé en grande partie par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH). Il avait alors réduit de 44 % le risque d'infection chez les hommes homosexuels qui utilisaient aussi des préservatifs. Une autre étude clinique a montré que le Truvada a diminué le risque d'infection jusqu'à 75 % chez les couples hétérosexuels dont l'un des deux partenaires était séropositif.
"Nature humaine"
Une quarantaine de personnes, dont des médecins et infirmières soignant des séropositifs, des représentants d'organismes privés engagés dans la lutte contre le sida et des personnes infectées par le VIH, étaient venues témoigner devant le comité. Une majorité s'est déclarée hostile à la mise sur le marché du Truvada. "Je suis préoccupée par le danger de voir se développer une résistance au Truvada", qui est déjà utilisé pour traiter les séropositifs, a dit Roxanne Cox-Iyamu, un médecin qui soigne des personnes infectées par le VIH.
Karen Haughey, une infirmière, a fait valoir que ce traitement préventif "ne marchera pas, car ce n'est pas dans la nature humaine de faire 100 % ce qui est recommandé". Elle faisait référence au fait que le Truvada, qui se présente sous forme de comprimé, doit être pris quotidiennement pour être efficace. "Nous avons besoin d'un tel traitement, car aux États-Unis nous avons encore 50 000 nouveaux cas d'infection chaque année, surtout parmi les hommes homosexuels, et nous n'avons pas eu beaucoup de succès ces dernières années pour réduire ce nombre", avait souligné, avant le vote, le docteur Anthony Fauci, directeur de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID).
"De ce fait, tout médicament préventif est important", ajoutait-il dans un entretien avec l'AFP, insistant sur le fait que le Truvada "ne devrait pas être utilisé pour se substituer aux autres méthodes de prévention" existantes, dont le préservatif. Selon une étude américaine publiée en avril, prescrire des antirétroviraux à titre préventif à des hommes homosexuels risquant fortement de contracter le virus du sida - plus de cinq partenaires par an - serait économiquement rentable en réduisant la propagation de l'infection.
Truvada : c'est une dénomination assez... sémillante, ne trouvez-vous pas ?
Pour sûr, ça fleure une révolution de l'œillet (pardon amis lusitaniens, mais n'est pas grec qui veut) et à moins que le marché ne s'affaisse ce médoc creusera son trou (je n'ai pas osé l'expression rabattue "restera dans les annales" dont on a plein le dos).
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
Les humains peuvent avoir un comportement d'addiction envers beaucoup de produits psychostimulants ou relaxants. La consommation de "drogues" peut être culturellement acceptée ou au contraire considérée comme étant inacceptable et susceptible d'être poursuivie et condamnée. Ce sont les drogues culturellement inacceptables qui, du coup, ont hérité en langage populaire exclusivement du mot drogue.
Il faut être prudent quant à la définition de l'addiction : des substances addictives, d'une part, qui varient d'un sujet à l'autre, en fonction du terrain génétique en particulier ; d'autre part, les effets négatifs possibles sur la santé de ces habitudes sont à évaluer pratiquement plus que moralement. J'ai récemment fait une tribune montrant que toutes les études réalisées ces dernières années montraient qu'une consommation modérée et quotidienne de vin était plutôt associée à une plus grande longévité (*).
Une étude sur l'effet du café sur la mortalité vient d'être publiée dans le plus grand journal de médecine. Cet énorme travail qui porte sur 400 000 personnes suivies pendant 13 ans montre que le café, même à des doses très importantes (plus de 4 cafés par jour), a un effet protecteur et diminue la mortalité. Pratiquement toutes les causes de mortalité sont concernées, et plus particulièrement, sans qu'on se l'explique, les maladies infectieuses, les infections respiratoires et le diabète.
Effet protecteur
Plus encore, il apparaît que le café préserve aussi des accidents vasculaires cérébraux. Étant donné que cette étude vient renforcer les études préalables, il est clair que le café en soi n'a pas d'effet nocif sur la santé, au moins chez ceux qui sont proches du groupe observé et sur la durée qui a été étudiée ici. Le café est plus particulièrement "utile" chez les sujets qui sont aussi des buveurs réguliers d'alcool et ceux qui, par ailleurs, sont en bonne santé.
En conclusion, le café a un effet potentiellement addictif, mais il joue un rôle positif pour notre espérance de vie de façon étrange. Les composants du café utiles dans ces conditions, ou associés à une meilleure espérance de vie, ne sont pas connus, mais ne semblent pas être la caféine, car le café décaféiné a le même effet protecteur, mais n'est pas supérieur au café comprenant de la caféine.
Ainsi, certaines de nos drogues sont associées à une plus grande espérance de vie !
(*) Didier Raoult, D. Pasteur, le vin et la santé. Le Point [2049], 21/12/2011.
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Boire de l'alcool protègerait les femmes de l'arthrite
C'est la conclusion d'une étude suédoise menée pendant plus de dix ans.
L’alcool, bu avec modération, pourrait avoir des vertus insoupçonnées chez les femmes. Des études récentes montrent que celles qui en boivent peu mais régulièrement, un peu plus de trois verres par semaine pendant au moins dix ans, sont moins sujettes que les abstinentes à l’arthrite rhumatoïde.
L’étude a été menée sur un échantillon de 34 000 Suédoises, et montrerait que le risque d’arthrite est réduit de moitié. Les chercheurs ont réuni des données sur la consommation d’alcool, le régime alimentaire, l’histoire tabagique, l’activité physique et l’éducation entre 1987 et 1997. L’analyse des résultats a pris des années, mais l’une des conclusions est la suivante : l’alcool serait un « facteur protecteur » contre l’arthrite rhumatoïde.
L’étude a été publiée sur bmj.com. L’arthrite rhumatoïde se développe en général entre 40 et 50 ans, et s’aggrave petit à petit, avec l’âge. Seul 1% de la population serait touchée par ce mal, mais les femmes sont trois fois plus atteintes que les hommes.
Lu sur The Independent
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Boire de l'alcool protègerait les femmes de l'arthrite. C'est la conclusion d'une étude suédoise menée pendant plus de dix ans. (...) Lu sur "The Independent of The South-West"
Voilà sans doute ce qui explique l'agilité de gazelle et la sveltesse de Diane de.... oui, bon, enfin...
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Boire de l'alcool protègerait les femmes de l'arthrite. C'est la conclusion d'une étude suédoise menée pendant plus de dix ans. (...) Lu sur "The Independent of The South-West"
Voilà sans doute ce qui explique l'agilité de gazelle et la sveltesse de Diane de.... oui, bon, enfin...
Il faudrait peut-être que Mab le sache.
Qu'elle boive de temps à autre de la gnôle à la prune
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Boire de l'alcool protègerait les femmes de l'arthrite. C'est la conclusion d'une étude suédoise menée pendant plus de dix ans. (...) Lu sur "The Independent of The South-West"
Voilà sans doute ce qui explique l'agilité de gazelle et la sveltesse de Diane de.... oui, bon, enfin...
Il faudrait peut-être que Mab le sache.
Et ben, voilà le nom que je cherchais, merci Charly !
Citation :
Qu'elle boive de temps à autre de la gnôle à la prune
Tu crois qu'elle t'a attendu ?
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Boire de l'alcool protègerait les femmes de l'arthrite. C'est la conclusion d'une étude suédoise menée pendant plus de dix ans. (...) Lu sur "The Independent of The South-West"
Voilà sans doute ce qui explique l'agilité de gazelle et la sveltesse de Diane de.... oui, bon, enfin...
Il faudrait peut-être que Mab le sache.
Et ben, voilà le nom que je cherchais, merci Charly !
Citation :
Qu'elle boive de temps à autre de la gnôle à la prune
Tu crois qu'elle t'a attendu ?
Alors,elle devrait venir au G-D pour goûter le Kwetch !!!
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Feu vert au premier traitement de prévention du sida
16/07/12 - 20h28 Source: belga.be
La FDA, l'agence américaine des médicaments, a donné son feu vert lundi à la mise sur le marché de l'antirétroviral Truvada, premier traitement de prévention contre le sida. Suivant une recommandation d'un comité d'experts, la Food and Drug Administration a approuvé le Truvada, du laboratoire américain Gilead Sciences, "afin de réduire le risque de transmission du virus du sida (VIH) à des sujets sains à haut risque d'être contaminés", a précisé l'agence dans un communiqué.
Le Truvada est destiné "à être utilisé à titre prophylactique avant un contact avec le VIH (virus de l'immunodéficience humaine), en combinaison avec des pratiques sexuelles sûres comme l'usage de préservatifs et d'autres mesures de prévention --dépistage régulier et traitement d'autres maladies vénériennes-- pour empêcher la transmission du virus chez des adultes à haut risque", a souligné l'agence.
"Le Truvada ne peut pas se substituer à des pratiques sexuelles sûres", selon le communiqué. L'efficacité préventive du Truvada a été mise en évidence par les résultats d'un essai clinique mené de juillet 2007 à décembre 2009 dans six pays, dont le Brésil, l'Afrique du Sud et les Etats-Unis, et financé en grande partie par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH). Il avait alors réduit de 44% le risque d'infection chez les hommes homosexuels qui utilisaient aussi un préservatif.
Une autre étude clinique a montré que le Truvada a diminué le risque d'infection jusqu'à 75% chez les couples hétérosexuels dont l'un des deux partenaires était séropositif.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Révélations du Dr Moulinier sur les labos pharmaceutiques, la Sécurité Sociale et le système de santé
de Amessi.org
Soigner différemment, soigner avec des médecines plus naturelles, est-ce encore possible en France ?
Non, cela devient impossible, répond très clairement cette vidéo du Docteur Moulinier, qui précise que la situation empire sous la pression des lobbies de l’industrie médicale, contre la médecine dite "alternative" :
Si pour le Dr Moulinier les médecins souhaitant prescrire différemment sont les victimes de la sécurité sociale qui veut les faire couler pour l’exemple, les patients sont eux les victimes du Système, et les morts prématurées liées aux effets secondaires des médicaments classiques se compteraient par centaines de milliers selon diverses études indépendantes…
Le Docteur Didier Moulinier dénonce dans cette interview la sécurité sociale et les laboratoires pharmaceutiques, tuant 200 000 personnes chaque année...
Sans parler des sommes astronomiques dépensées pour la médicamentation chimique, sommes énormes qui font exploser le déficit de la sécurité sociale.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Moi je prend quatre pilules trois fois par jour juste pour mon obsession envers le fait que les pilules c'est pas bon
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Visiblement il ne croit pas dans la pilule contre les nez rouges !
andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
Sujet: Non à l'épilation des pubis ! 19/8/2012, 11:06
La canicule arrive à grands pas, les bikinis prennent leur premier bol d'air et... les poils ont la vie dure. Il s'avère pourtant, selon Emily Gibson, directrice du centre de recherche sur la santé à la Western University dans l'état de Washington, que l'épilation pubienne, dont la pratique s'accroît avec les beaux jours, comporte des risques considérables.
Un rempart naturel contre les bactéries
Si « les poils pubiens sont là, c'est pour une bonne raison. Ils protègent contre le frottement qui peut causer écorchures et blessures. Ils sont un rempart naturel contre les bactéries, explique la scientifique. Le temps, l'énergie, l'argent et l'émotion provoquée chez les deux sexes pour supprimer les poils de leurs parties génitales est astronomique. »
Lors de l'épilation, des micro-blessures se forment suite à l'irritation ou l'inflammation des follicules pileux (développement anatomique en forme de sac dans lequel pousse un poil). « Combiné à un environnement moite, vous voilà en face d'un terrain parfait pour les plus méchantes bactéries », souligne Emily Gibson.
Staphylocoque doré, herpès génital...
Les méchantes bactéries dont elle parle ne sont autres que le staphylocoque doré ou le streptocoque B. Selon elle, il n'est pas rare non plus de se retrouver face à des abcès ou furoncles, qui nécessitent des incisions pour drainer l'infection. Les maladies sexuellement transmissibles ainsi que l'herpès sont également de la partie, la contamination étant facilitée par les micro-blessures.
« Certaines théories sociologiques, explique Emily Gibson, suggèrent que cette tendance a à voir avec la mode des bikinis et des strings, des acteurs et actrices sans poils, un désir de revenir à l'enfance, un tentative hygiéniste ratée, ou une volonté de devenir plus attractive pour son partenaire. » Autant d'influences créées par un idéal du corps parfait, lisse et aseptisé.
Un livre pour «défendre le poil»
Outre la problématique santé, le poil est donc aussi sociologique. Stéphane Rosse, un amoureux du poil, en a fait son combat en écrivant un livre intitulé « Défense du poil - Contre la dictature de l’épilation intime ». Interviewé par Rue 89, il se dit effaré de l'utilisation de l'épilation « comme une arme par diverses forces oppressantes et aliénantes pour l’humain (pornographie, presse féminine, industrie cosmétique, hygiénisme...) ». Pour lui, l'épilation pubienne s'inscrit dans un mouvement bien plus large et rejoint l'élimination des rides, mais aussi du gras, « et tout ce qui égratigne l’idéal juvénile associé au corps désirable. »
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Selon un livre écrit par deux professeurs de médecine, 50% des médicaments sont inefficaces et 5% d’entre eux seraient dangereux. Et, en plus, ils coûtent cher. Leur déremboursement rapporterait 10 Mds€., ...
Ils lancent un pavé dans la mare dans un pays qui est l’un des plus gros consommateurs de gélules de la planète avec 47 boîtes par personne en 2011.
L’Ordre des médecins préfère garder le silence
D’après cette enquête exhaustive, la moitié des traitements mis en vente en pharmacie serait inutile. Et 5% seraient même très dangereux. Selon leurs calculs, leur déremboursement éventuel rapporterait 10 Mds€ à l’assurance maladie. Trois ans après la crise du Mediator, rien n’aurait vraiment changé. Les deux médecins, réputés pour leur sérieux, attaquent bille en tête les autorités sanitaires, accusées d’inertie, les laboratoires pharmaceutiques, soupçonnés de vouloir vendre à tout prix leurs produits, et les médecins, incapables de faire des ordonnances courtes.
La charge est sévère, même si les professeurs rappellent aussi qu’il existe de bons médicaments! Interrogé sur ce sujet explosif, l’Ordre des pharmaciens a indiqué hier… qu’il ne souhaitait pas s’exprimer mais les autorités sanitaires réagissent. Le professeur Dominique Maraninchi, patron de l’Agence nationale de sécurité du médicament, met en avant la récente réforme qui interdit maintenant l’accès aux représentants des laboratoires des commissions officielles.
Mais, malgré ces avancées, peu de produits sont exclus du marché. « Nous les retirons quand il y a des problèmes de sécurité prouvés. Nous l’avons fait pour l’Actos, en juin 2011, prescrit à 250000 personnes, et soupçonné de provoquer des cancers de la vessie », indique le professeur Maraninchi. De leur côté, les laboratoires pharmaceutiques se rassurent en indiquant que, selon un sondage Ipsos de juillet 2012, 84% des Français ont confiance dans le médicament.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
En collaboration avec Notre Père Céleste, j'aimerais s'il est de sa volonté et de votre foi en son amour pour vous, demander notre libération des maux physiques qui nous affligent.
Ainsi soit-il.
Et Louis Pasteur vint au monde
Il y en aura d'autre
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
En collaboration avec Notre Père Céleste, j'aimerais s'il est de sa volonté et de votre foi (...)
Oui mais... votre foi ou votre bonne foi ?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008