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 Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama

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OmbreBlanche

OmbreBlanche


Masculin Nombre de messages : 11154
Age : 51
Localisation : Nord Franche-Comté (25)
Date d'inscription : 16/11/2008

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MessageSujet: Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama   Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Empty6/9/2009, 09:00

Rappel du premier message :

Citation :
"Face aux critiques, Obama se veut compréhensif et reste concentré"

Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Capt.dd5055564d534817bbcd955cfaa64259.obama_whcd105

Le stoïcisme appliqué à la politique.

Qu'on le critique, Barack Obama n'en a cure et se contente de continuer d'essayer de faire du bon travail et de se montrer compréhensif envers ses détracteurs.


"Quand on est président, on est responsable d'un tas de choses. Un tas de gens traversent des moments et ont mal autour de nous", a expliqué le chef de la Maison Blanche à Damon Weaver, ce garçonnet de 11 ans qui l'a interviewé le 13 août dernier.

"Ce que j'essaie surtout de faire, c'est de rester concentré sur l'objectif de faire du bon travail, et de me montrer compréhensif quant au fait que parfois les gens vont s'énerver", a-t-il ajouté.

http://qc.news.yahoo.com/s/capress/090814/monde/20090814_usa_obama_critiques_1
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http://ump25.probb.fr/forum.htm

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Biloulou




Nombre de messages : 54566
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MessageSujet: Re: Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama   Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Empty4/11/2014, 22:34

Sylvette a écrit:
Invité a écrit:
eh salut Nenette    avonsposté en même temps !!!

Si c'est moi, Nenette, je ne poste que sous Sylvette. Smile

Ce topic est un curieux voyage dans le temps... Laughing
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Biloulou

Biloulou


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Date d'inscription : 27/10/2008

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MessageSujet: Re: Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama   Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Empty12/3/2015, 08:23

Obama soutient l’islam radical
(Les 4V - 11 MARS 2015 par JOSLAIN EVELYNE)



Si la civilisation occidentale est aussi impuissante devant les agressions extérieures, c’est parce qu’elle a été minée de l’intérieur par la guerre culturelle que lui livrent les forces de gauche depuis 50 ans.

Le «doute de soi» a gagné une partie de l’opinion publique et presque toutes les «élites». Les chefs politiques occidentaux, à l’exception de Abbott (Australie) et Harper (Canada), n’ont plus la certitude de notre supériorité morale et culturelle, très réelle en dépit de notre décadence partielle. En Europe, nos politiques semblent  avoir tout fait pour nous affaiblir économiquement et militairement. Endettés ou désarmés, ils affirment “qu’il n’y a pas de solution militaire au Moyen Orient”, ni en Ukraine, meme si les agressions, ells, sont bien militaires. L’heure est belle pour les hommes forts, les tyrans et tous les autres nuisibles de la planète car l’Amérique est “en retrait” depuis 6 ans et l’Union Européenne n’a jamais fait peur à personne.

L’Amérique est entravée par la dette monstrueuse due à l’actuel président (18.3 trillions de dollars, dont 2/3 créés par lui seul) mais a encore des ressources militaires imposantes.  Les démocrates et l’Administration Obama ( soutenus par les libertariens isolationnistes) ont considérablement affaibli les divers corps d’armée, les services secrets et l’OTAN, par mépris de la chose militaire et par des coupes drastiques dans les dépenses allouées à la sécurité nationale. L’idéologie directrice: restreindre à tout prix l’infuence américaine dans le monde et “redistribuer”, à ceux qui n’en n’ont pas ou peu, l’argent, le pouvoir géopolitique et même le pouvoir nucléaire. L’Amérique aujourd’hui n’est plus en mesure de faire face sur deux fronts. On comprend que les Américains n’aient pas envie de s’engager dans une autre guerre, surtout sous un commandant en chef qui a plus de solicitude pour les ennemis de l’Ouest que pour ses défenseurs. Pourtant, seule l’Amérique pourrait anéantir les quelque 60 000 combattants d’ISIS qui terrorisent le monde, sans engagement massif mais en utilisant la force militaire de façon ponctuelle et ciblée et en dirigeant les forces locales qui ne demandent que cela.

Il est impossible de ne pas établir de corrélation entre le problème qu’est ISIS et les agissements de Poutine en Ukraine. Pour la Russie expansionniste, ISIS est une source de diversion inespérée qui ne durera jamais assez longtemps.  Par un leadership ferme et une diplomatie véritablement “intelligente”( smart power), un président des Etats-Unis digne de ce nom ferait vite reculer Poutine dans sa Russie de 1991, comme un ours apprivoisé dans sa cage.

La réaction d’Obama aux dernières atrocités d’ISIS? Inviter à la Maison Blanche pour un Sommet  sur le Terrorisme Violent (il en existe donc un pacifique?) les représentants des organisations musulmanes aux Etats-Unis (dont des membres des Frères Musulmans, ces “modérés”, tout comme les mollahs iraniens…) car son inquiétude, c’est que l’Islam si pur soit sali par des terroristes “violents” mais qui ne peuvent être “islamiques” puisque l’Islam est intrinsèquement bon tandis que le christianisme avec son lourd passé et la civilisation judéo-chrétienne bien sûr sont les coupables de tout ce qui arrive. Il n’aidera donc pas le roi Abdallah de Jordanie ni le président égyptien Al-Sisi car lui, Obama , sait mieux qu’eux.  Il importe avant tout de garder aux musulmans-américains et aux musulmans en général leur “estime de soi”. Notons l’effet vases communiquants avec notre “doute de soi” obligatoire. A cette fin, il a donc créé une nouvellle bureaucratie de 80 fonctionnaires , dite Centre de stratégie contre-terroriste, chargée de “la communication”, et mis à sa tête un énième “tsar”(nom donné par l’opposition à ses conseillers spéciaux) choisi parmi les Frères musulmans qui grouillent dans son Administration à des échelons divers, un certain Rashad Hussain, individu connu pour ses déclarations violemment anti-américaines dès le 11 septembre mais doté d’un nom que l’on peut mémoriser (pour une fois!).

N’ayant plus rien à perdre et “soucieux de faire un maximum dans les deux années qui lui restent”, Obama tombe le masque. On connaissait ses sympathies, mais il en fait désormais étalage et, dans le bourbier islamique, il a choisi son camp, celui des musulmans radicaux, dits non-violents mais tout aussi acharnés à détruire l’Ouest que les terroristes, et non nos rares alliés.

Deux journalistes, inspirés par nos “marxisant”, “sympathisant”, etc…viennent d’inventer un nouveau vocable qui sied à merveille à Obama et pourrait définir son “legs à l’histoire” mieux que toutes ses autres réalisations calamiteuses: Obama l’Islamisant. Ce serait drôle si nous ne connaissions pas son indifférence confondante aux décapitations, immolations et crucifixtions qui jonchent l’ avancée vers le khalifat mondial.

Évelyne Joslain

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À chacun de juger, car le relativisme peut mener à tout...
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Biloulou

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MessageSujet: Re: Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama   Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Empty23/4/2015, 08:42

L’héritage de Barack Hussein Obama
(Les 4V - 22 AVRIL 2015)


La fin de la présidence Obama approche : dix-huit mois encore, et ce seront les élections présidentielles aux États-Unis.
Déjà, la campagne électorale s’enclenche. Dans le temps qui lui reste, Barack Obama fera feu de tout bois, dit-on, aux fins de laisser un « héritage ».
En fait, dès aujourd’hui, l’« héritage » qu’il va laisser est éloquent.


Sur un plan intérieur, il a fait glisser les États-Unis vers un socialisme rampant en accroissant considérablement le nombre des gens vivant d’allocations sociales diverses, sortis du marché du travail, et se nourrissant de « food stamps », ces bons de nourriture qui, désormais, prennent la forme d’une carte de crédit, et qui permettent d’acheter des aliments aux frais du gouvernement.

Il y a plusieurs millions d’Améri­cains de plus par rapport à 2008, mais il y a des centaines de milliers d’emplois de moins. Les chiffres du chômage semblent bons, mais ne comptent que les demandeurs d’emploi, pas les gens qui ne cherchent plus aucun emploi.
Toujours sur le plan intérieur, Obama a mis en place un système d’assurance, bureaucratique, qui a pour conséquence que les assurances santé coûtent beaucoup plus cher, sans que la plupart de ceux qui n’étaient pas assurés hier le soient à présent.

Et il a régularisé des millions d’immigrants clandestins qui feront, demain, des électeurs démocrates dociles.
Il lui reste à parachever son « œuvre » sur un plan extérieur. Et là, il a fait son possible pour rompre les liens des États-Unis avec leurs amis et pour se rapprocher des ennemis du pays. Il est visible qu’il entend continuer. Il n’a pas réussi tout ce qu’il a entrepris en la matière, mais il ne désespère pas d’y parvenir.

Après avoir tenté d’installer au pouvoir les Frères musulmans en Égypte (action fort heureusement déjouée, au bout d’un an de présidence Morsi, par le maréchal Sissi), après avoir abandonné l’Irak à l’Iran et à al Qaïda en Irak et en Syrie (ISIS, devenu depuis l’État Islamique), après avoir laissé se développer en Syrie une guerre civile qui a fait 230 000 morts, après avoir laissé, précisément, l’État Isla­mique prendre forme et force, après avoir transformé (avec l’aide de la France), la Libye en chaos djihadiste, après avoir commencé à rendre le pouvoir aux talibans en Afgha­nistan, après avoir permis aux mollahs iraniens de poursuivre leurs activités nucléaires militaires, il entend entériner l’avancée de l’Iran vers l’arme atomique et vers une hégémonie régionale qui permettrait de déstabiliser l’Arabie Saoudite et les pétromonarchies du Golfe.

Mais cela ne lui suffit pas : il entend aussi sauver autant de dictatures latino-américaines qu’il le pourra.
Lors du récent sommet des Amériques tenu à Panama, il a, on le sait, rencontré Raul Castro, incarnation d’une dictature communiste qui dure depuis 1959, et l’a assuré de son amitié. Il a aussi, on le sait moins, rencontré Nicolas Maduro, le successeur d’Hugo Chavez au Venezuela, et Daniel Ortega, du Nicaragua. Il a accepté, avec joie, semble-t-il, de recevoir le torrent d’insultes anti-américaines que ces gens lui ont jeté au visage. Il n’a eu de tensions, apparemment, qu’avec Rafael Correa, président de l’Équateur, mais je suis certain qu’il ne désespère pas de s’entendre avec Rafael Correa aussi.

Sauver des dictatures latino-américaines ne lui suffit pas non plus : il a tout fait pour que le président sortant du Nigeria soit battu, et remplacé par un militaire musulman, Muhammadu Buhari, ce qui est une bonne nouvelle pour Boko Haram.
Il a géré les relations avec Pou­tine de telle façon que les dirigeants d’Europe centrale n’ont plus qu’une confiance très limitée dans les États-Unis, et les relations avec la Chine de telle façon que les eaux de la mer de Chine sont, de facto, passées presque entièrement sous con­trôle chinois.
La campagne électorale s’enclenche, disais-je. Elle a, en fait, commencé il y a plusieurs semaines.

Ceux qui ont aimé ce que Barack Obama a « accompli » depuis janvier 2009 espèrent adorer ce que Hillary Clinton pourrait faire une fois installée à la Maison Blanche.

Dès lors qu’Hillary Clinton serait une continuatrice des années Obama, je n’ose imaginer Hillary Clinton à la Maison Blanche.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Tout à fait incompétent en politique et complètement ignare en politique américaine, j'ai cependant toujours constaté un déluge d'éloges dithyrambiques s'abattre sur le président Obama.
Certains, peut-être beaucoup, sont certainement mérités, d'autres... Bon, il ma semblé intéressant de citer un autre point de vue, fort critique, lui, et le mettre à la disposition de mes coreligionnaires aux fins de poilade d'analyse...
 Surprised
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Lawrence

Lawrence


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MessageSujet: Re: Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama   Le sens de l'engagement en politique, selon Barack Obama - Page 2 Empty26/12/2016, 14:16

SUPERBE OBAMA cheers cheers cheers




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